(NDLR : cet artikle fait partie d'une série d'artikles au ton dékalé et résolument katrième degré élitiste. Achtung lire avec ultra prékaution et sans humour ultra)
Qu'on dénigre tes choix tu refuseras, mais des intérêts des autres tu t'amuseras.
La liberté d'expression tu revendiqueras, sauf quand contre toi elle s'appliquera.
Derrière l'ironie tu te réfugieras, quand des remarques tu récolteras.
Mais l'ironie des autres tu condamneras, car seule la tienne comptera.
Jamais de la majorité tu ne divergeras, sinon d'élitiste on te traitera.
L'équipe du site tu fustigeras, ceux qui travaillent pour les autres sont des scélérats.
Aucun article pour le stub tu n'écriras, des articles contre des stubistes tu rédigeras.
Avec plein de sourires aimer les autres tu diras, plus facilement sur eux tu cracheras.
Sur un autre site tu n'iras pas, il pourrait arriver qu'ici on ne te regrette pas.
Et sur le stub tu resteras, preuve qu'on n'y est pas si mal que ça.
:):-B:p
"A traffic jam when you're already late
A no-smoking sign on your cigarette break
It's like ten thousand spoons when all you need is a knife
It's meeting the man of my dreams
And then meeting his beautiful wife
And isn't it ironic... don't you think
A little too ironic... and yeah I really do think..."
Personnellement, cette jubilation liée au malheur des guignols m'apparaît puérile et me navre au plus haut point...
Donc autant en profiter à outrance et de manière caricaturale
Toutes ces émotions valent bien une blague Carambar (même si la vodka les a tous dissous et que je n'en ai plus)(attention, c'est un appel du pied caché)
"Que fait un supporter lyonnais quand il gagne la Champions League 2007-2008 ?
Il éteint sa Playstation..."
Je précise au fan lyonnais (il y en a toujours un dans la salle, seul, caché au fond) que je me contrecarre du résultat, victoire ou défaite, et que je n'ai même pas vu le match
Bon, donc en haut et à droite, c'est à droite
Et à gauche, et en bas à gauche, c'est à gauche.
Et au centre, c'est kif-kif mais ça rosit.
C'est facile finalement la politique...
"Quand le soleil s'éclipse, on en voit la grandeur"
C'est comme un choc. Le genre de spectacle qui fait s'arrêter, regarder, capturer...
Un peu plus et il n'y aurait rien d'autre... Qu'astres, comme ils disent au rugby...
"I've never seen you looking so gorgeous as you did tonight
I've never seen you shine so bright you were amazing
I've never seen so many people want to be there by your side
And when you turned to me and smiled, It took my breath away
I have never had such a feeling
Such a feeling of complete and utter love, as I do tonight
The way you look tonight
I never will forget, the way you look tonight
The lady in red
The lady in red..."
Ou non ?
Hongrois que ce qu'on voit de toute façon...
Extrait du meeting de Strasbourg du 21.02.2007
"Maintenant que la paix est assurée et le continent réunifié, c'est au regard de la mondialisation qu'il faut concevoir l'avenir de l'Europe. La mondialisation est un fait. Un fait aussi plein d'espoir que lourd de menaces.
C'est une partie de l'humanité qui s'arrache à la misère, une autre qui s'enfonce dans la pauvreté.
C'est la détresse au milieu de l'abondance. C'est la misère matérielle et morale de l'ouvrier du Tiers-Monde exploité jusqu'au bout de ses forces.
La mondialisation c'est la croissance économique mondiale plus forte que jamais. C'est aussi le réchauffement climatique et les émigrants qui s'entassent dans des pirogues pour traverser la mer.
La mondialisation c'est les droits de l'homme et la démocratie. C'est aussi le terrorisme et le fanatisme religieux.
La mondialisation c'est l'ouverture des frontières. C'est aussi les murs qui un peu partout s'élèvent pour séparer les peuples.
La mondialisation c'est l'avènement de la première civilisation mondiale. C'est aussi la plus grande menace qui ait jamais pesé sur la diversité culturelle.
La mondialisation c'est la raison trop sûre d'elle-même qui provoque le retour en force de l'irrationnel et de l'obscurantisme.
La mondialisation c'est l'occidentalisation du monde confrontée au rejet de l'Occident.
On ne peut pas continuer de répondre à la souffrance sociale et à des angoisses légitimes : « c'est triste mais on n'y peut rien ».
On ne peut pas continuer de répondre à l'angoissante question de l'avenir que « le marché est tout et la politique rien ».
Je n'accepte pas cette idée.
L'accepter ce serait faire le lit de tous les extrémismes.
Je n'accepte pas l'idée que le combat politique ne serve à rien.
Je n'accepte pas l'idée que la mondialisation soit le nouveau nom de la fatalité.
La politique est impuissante quand elle ne veut rien.
Quand on ne veut rien, on ne peut rien. Voilà ma conviction.
Seule la politique peut mettre la mondialisation au service de l'homme. Seule la politique peut prévenir la révolte de l'homme contre une mondialisation dont il a le sentiment qu'elle l'asservit au lieu de le libérer.
L'avenir n'est écrit nulle part.
Le pire serait de subir."
Ahhhhhhhhhhh ! Cachez les chtis morveux, protégez les femelles !! Tous aux abris !
Et on ose fustiger les monstres euromusico-télévisuels alors que l'horreur est là, dans nos rues, nos bars et notre stade, vêtue des pires apparats et fière de son mal...
Ah il est beau notre assommeur de chameau, quand il retire son masque de respectable supporter passionné strasbourgeois ! Imaginez la terreur des enfants alsaciens ne rêvant que du maillot strasbourgeois...
"Un monstre est individu ou une créature qui surprend par sa laideur ou par sa difformité physique [taper 1]. On parle aussi de monstruosité sur le plan moral quand quelqu'un commet des actions que la majorité des gens réprouvent [taper 2]. Le monstre peut ainsi se définir comme la différence par rapport à la perception habituelle du monde [taper 3].
L'étymologie du mot monstre, qui à la même racine que montrer, nous apprend qu'à l'origine, un monstre était une chose spectaculaire ou intrigante que l'on montrait dans les foires ou les cirques.
D'autre part, certaines acceptions de monstre ne sont pas négatives et insistent sur le côté spectaculaire du monstre, c'est le cas de monstre sacré qui désigne, le plus souvent, une star [taper 4]." (source)
En l'espèce le 2 pourrait l'emporter sur le 3 et le 4...
(avec l'aimable autorisation du barbare, malgré ses penchants douteux !)
Après le divorce entre Philippe et Gilbert et le déchirement de Léo, la Famille est en pleine déliquescence.
Tandis que Jacky hésite à reprendre la succession, Roman, réaliste, devient finalement l'actionnaire majoritaire. Grâce à lui, Julien prend le pouvoir mais un nouveau coup de théâtre survient : Roman réécrit l'histoire et vend à Alain, qui devient le nouveau boss, sans l'avoir roulée.
Les différents clans voient d'un mauvais oeil ce changement de direction et là mystère, Julien le perce et en fait vite les frais au profit du chanceux Luc. Mais Alain philosophe, il est prêt à sacrifier Luc à la main trop froide pour que Julien se taise, mais celui-ci neutralise Ralph, tapi comme une souris dans l'ombre. Christophe a crié, crié sur le personnel et gère tant bien que mal les affaires, mais Alain reçoit des menaces de Frédéric et doit appeler du renfort « Jafar, chuis coincé ». Après avoir joué à kashkash, il en profite pour faire disparaître Julien, trop clair, et nommer la sentinelle Luc à la tête de la Famille.
Mais nouveau coup de théâtre, Alain s'abat, sabre Luc au laser et nomme à deux heures moins le quart JC qui, aware, entend faire la paix avec les différents chefs de clans de la ville.
Quelle est la stratégie d'Alain, et de l'autre ?
Sans raison ni sentiment, peut-il avoir à faire un choix cornélie ?
JC sera-t-il crucifié comme Lulu et Juju ?
Quelle sera la chanson des Roland ?
Jacky va-t-il tuner son offre et Egon sortir des siens ?
Un des plaisirs du matin en allant au boulot, c'est de percer la brume ambiante pour débouler la mine pas très fraîche (contrairement aux températures) au milieu des canards et de devoir s'arrêter pour les laisser passer joyeusement...
Non, non, il ne s'agit pas de parler de l'arnaque médiatico-marketing de Bayrou (qui augure malgré tout une troisième voie acceptable à l'avenir, ce dont on ne peut que se réjouir) entre les deux tours...
"Un habitant de Sars-Poteries, près de Maubeuge (Nord), qui avait blessé une adolescente de 12 ans avec une croquette de chien propulsée à l'aide d'un lance-pierre, a été condamné jeudi à quatre mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Excédé par le bruit provoqué par un groupe d'enfants qui jouait en mai dernier au pied de son immeuble, l'homme avait utilisé sa fronde chargé de croquettes de chien et blessé la jeune fille à l'arcade sourcilière." (source)
Non à l'insécurité au quotidien Et à la connerie, aussi...
"Spam : envoi d'un même message électronique, souvent de nature publicitaire, à un grand nombre d'internautes sans leur consentement ; ce type de messages"
"Quand j'avais 14 ans, je souhaitais un jour avoir une petite amie.
A 16 ans, j'ai eu une petite amie, mais la passion n'existait pas.
Je décidais alors de trouver une femme passionnée, qui puisse me donner l'envie de vivre.
A la fac je suis sorti avec une fille passionnée, mais trop émotionnelle. Tout était tranchant, c'était la reine des drames, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
Alors j'ai décidé de trouver une femme stable. Quand j'ai eu 25 ans, j'ai trouvé une femme stable, mais lassante. Elle était totalement prédictible et rien ne l'excitait.
La vie fut si pénible que je décidais de chercher une femme exaltante. A 28 ans j'ai rencontré la femme exaltante, mais je n'ai pu suivre son rythme. Elle allait d'un côté à un autre sans jamais s'arrêter. Elle était impétueuse et flirtait avec n'importe qui, elle me rendit misérable autant qu'heureux. Au début c'était amusant et stimulant, mais sans aucun avenir.
Alors j'ai décidé de trouver une femme un peu plus ambitieuse. Quand j'ai eu mes 30 ans, j'ai trouvé une fille intelligente, ambitieuse, les pieds sur terre. Je décidais de me marier.
Elle était tellement ambitieuse qu'elle a demandé le divorce et pris tout ce que j'avais.
Aujourd'hui, à 40 ans, j'aime les connes avec de gros nichons..."
Bon, au moins on m'épargne les problèmes d'élection ou d'érrection... Merci les copains...
"Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas
{Refrain:}
Paméla Paméla
C'est la môme que je préfère
Evidemment faut se la faire
Mais c'est une nana d'enfer
Elle m'a demandé le chemin qui va nulle part
Je lui ai dit ça tombe bien c'est là que je vais
Elle dit j'ai perdu Gaston un magnifique vieillard
Et je serais bien triste si je le retrouvais
{au Refrain}
Pour notre premier rembour ce p'tit chameau
Avait enfilé un pull trois tailles en dessous
Son futal était serré
Son slibar bien amarré
Fallait carrément que j'attaque au chalumeau
{au Refrain}
Elle est venue entre la poire et le chômage
Visiter mon somptueux huit mètres carrés
Elle entra dans mon boudoir
Bien en retard sur ses nibards
Elle me les braquait en plein dessus je me suis rendu
{au Refrain}
Elle me pose ses deux seins j'en retiens un
Je me dis j'aurais toujours l'autre pour demain
Puis elle me roule une saucisse
De quoi appeler la police
Le genre de petit truc qui laisse des cicatrices
{au Refrain}
Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas" (source)
C'est la première image... Un crocodile, sombre, sale, menaçant, s'enfonce lentement dans un marécage, glauque, sale... Puis le beau apparaît... "C'est quoi cette guerre au sein même de la nature ? Pourquoi la nature lutte contre elle-même ? Pourquoi la terre rivalise avec la mer ? Est-ce que la nature peut porter en elle la vengeance ? Etre non pas une force, mais deux ?"
[...]
"Vous étiez pour moi comme mes fils...Vous êtes mes fils... Mes chers fils... Vous vivez en moi désormais... Je vous emporte partout où j'irai..."
"Rien ne te le fera oublier... Chaque fois tu repars à zéro... La guerre ne rend pas les hommes plus nobles... Elle en fait des chiens... Elle empoisonne l'âme... "
"Ma femme chérie... On est saccagés de l'intérieur par tout ce sang... Cette crasse, ce vacarme... Je veux rester inchangé pour toi... Je veux te revenir tel que j'étais avant... Comment atteindre ces autres rivages... Ces collines bleutées... L'amour... D'où vient-il ? Qui a allumé en nous cette flamme ? Aucune guerre ne peut l'éteindre... Le soumettre... J'étais prisonnier. Tu m'as libéré... On a beau être surentraîné, faut faire gaffe... Se faire tuer ou pas, c'est qu'une question de chance..."
[...]
"Tout est un mensonge... Tout ce qu'on entend, tout ce qu'on voit... Il en dégueule de partout... ça n'arrête pas... un mensonge après l'autre... T'es dans une boîte... Une boîte qui se déplace... Ils veulent que tu meures... Ou que tu mentes, avec eux... Il n'y a qu'une seule chose à faire... Trouver quelque chose qui est à soi... Se fabriquer une île..."
"Si je ne te revois pas dans cette vie... Que je ressente le manque... Jette moi un regard... Et ma vie sera à toi..."
"Où on était quand on était ensemble... Qui étais-tu ? Qui a vécu avec moi ? Marché avec moi ? Le frère... L'ami... De la lumière aux ténèbres... De l'amour au conflit... Ce sont les oeuvres d'un seul esprit... Les traits d'un même visage... Oh mon âme... Recueille moi maintenant... Regarde à travers mes yeux... les choses que tu as créées... Tout est lumineux..."
est-ce-t-elle, je te hais, ça y est, c'est officiel, je le crie à la face du monde, je te souhaite tout le mal possible, et le moins de plaisir imaginable avec ton balai !
- mon premier réflexe en voyant mon petit frère qui venait de naître a été de balancer un grand coup de pied dans le berceau, geste qui me vaut d'être rappelé à chaque rasemblement familial...
- petit, mon goût pour l'indiscipline et la violence m'ont conduit à me faire virer d'un centre de loisirs et à envoyer un mec à l'hosto suite à une bagarre (parmi d'autres...) à l'école
- j'ai été lauréat du concours européen de langue française organisé par l'Alliance Française et champion de France de go
- quand j'étais prof de français en Espagne, j'ai réussi l'exploit, en entreprise, de m'endormir devant mon élève qui lisait, suite à une nuit passée avec une señorita (un besito, guapa !)
- au local (ultra), j'ai du sortir avec mes doigts le vomi de la bouche d'une demoiselle en plein coma éthylique qui menaçait de s'étouffer
Me trouvant face à l'obligation de trouver 5 personnes qui se connectent souvent et qui sont susceptibles de répondre, je passe donc le relais à jess, tatoun, klaus, arbo et royrodgers... Et pensez à me trackbacker ! (je sais pas ce que ça veut dire, mais comme marc l'a dit, ça ne doit pas être sexuel et ça doit être vachement important)
Tellement haut que du traineau on n'en voit plus le haut...
Lumineuse et si brumeuse...
"Il est venu le temps des cathédraaaaaaaaaaales
Le monde est entré
Dans un nouveau millénaire
L'homme a voulu monter vers les étoooooooooiles
Écrire son histoire
Dans le verre ou dans la pierre..."
A l'heure où l'ONU a été saisie et délaisse le Tibet pour se consacrer à la liberté d'expression sur le stub et l'envahissement des élites maoïstes dans certains sujets phares de la démocratie totalitaire de masse, faisons preuve de poésie...
Achtung aux clownés de passage et aux adeptes du RIP cloné, ce défilé coloré se veut apaisant...
N'expression, what else ?
Quand des gorilles bavarois se mettent des tatanes pour s'amuser, c'est autrement plus impressionnant qu'une horde de sangliers hooligans sedanais et on est bien content d'être derrière le plexi à tester son appareil photos...
Le zoo reste décidément un excellent terrain de jeu photographique...
Quand certains s'essaient à la poésie urbaine... ça laisse des traces...
Poésie : "1. Art du langage, visant à exprimer ou à suggérer par le rythme (surtout le vers) l'haromonie et l'image. [...] 5. Qualité d'émotion esthétique (que peut éveiller un spectacle, un lieu, une situation). [...] 6. Aptitude (d'une personne) à éprouver l'état, l'émotion poétique
On se serait cru au supermarché... Des files d'attente, du monde qui grouille partout, et quelques spots en guise d'illumination...
Mouaif, pas inspiré sur ce coup là...
Le 9 mai, c'est la commémoration de la Déclaration Schuman et la Journée de l'Europe
"La paix mondiale ne saurait être sauvegardée sans des efforts créateurs à la mesure des dangers qui la menacent.
La contribution qu'une Europe organisée et vivante peut apporter à la civilisation est indispensable au maintien des relations pacifiques. En se faisant depuis plus de vingt ans le champion d'une Europe unie, la France a toujours eu pour objet essentiel de servir la paix. L'Europe n'a pas été faite, nous avons eu la guerre.
L'Europe ne se fera pas d'un coup, ni dans une construction d'ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d'abord une solidarité de fait. Le rassemblement des nations européennes exige que l'opposition séculaire de la France et de l'Allemagne soit éliminée. L'action entreprise doit toucher au premier chef la France et l'Allemagne.
Dans ce but, le gouvernement français propose immédiatement l'action sur un point limité mais décisif.
Le gouvernement français propose de placer l'ensemble de la production franco-allemande de charbon et d'acier sous une Haute Autorité commune, dans une organisation ouverte à la participation des autres pays d'Europe.
La mise en commun des productions de charbon et d'acier assurera immédiatement l'établissement de bases communes de développement économique, première étape de la Fédération européenne, et changera le destin de ces régions longtemps vouées à la fabrication des armes de guerre dont elles ont été les plus constantes victimes..." (source)
"Penser pouvoir vivre sans illusions, c'est comme se tenir devant un miroir sans reflet, c'est impossible"
"Il était une fois, en plein hiver, quand les flocons descendaient du ciel comme des plumes et du duvet, une reine qui était assise et cousait devant une fenêtre qui avait un encadrement en bois d'ébène, noir et profond. Et tandis qu'elle cousait négligemment tout en regardant la belle neige au-dehors, la reine se piqua le doigt avec son aiguille et trois petites gouttes de sang tombèrent sur la neige. C'était si beau, ce rouge sur la neige, qu'en le voyant, la reine songea: "Oh! si je pouvais avoir un enfant aussi blanc que la neige, aussi vermeil que le sang et aussi noir de cheveux que l'ébène de cette fenêtre !" Bientôt après, elle eut une petite fille qui était blanche comme la neige, vermeille comme le sang et noire de cheveux comme le bois d'ébène, et Blanche-Neige fut son nom à cause de cela. Mais la reine mourut en la mettant au monde.
Au bout d'un an, le roi prit une autre femme qui était très belle, mais si fière et si orgueilleuse de sa beauté qu'elle ne pouvait supporter qu'une autre la surpassât. Elle possédait un miroir magique avec lequel elle parlait quand elle allait s'y contempler :
- Miroir, gentil miroir, dis-moi, dans le royaume
Qui est la femme la plus belle ?
Et le miroir lui répondait:
- Vous êtes la plus belle du pays, Madame.
Alors la reine était contente, car elle savait que le miroir disait la vérité..." (Blanche-Neige)
Ah ça fait du bien de retrouver les copains (fussent-ils norinois !!), l'apéro, l'excitation d'avant match et les premiers frissons à l'entrée des joueurs...
Cette fois ça y est, c'est vraiment reparti...
De Notre-Dame à Notre-Dame...
Décollage pour la capitale pour un déplacement pas du tout capital...
Paris, pas ri ? Sourire et promenade dans le Ve au moins...
"Belle
C'est un mot qu'on dirait inventé pour elle
Quand elle danse et qu'elle met son corps à jour, tel
Un oiseau qui étend ses ailes pour s'envoler
Alors je sens l'enfer s'ouvrir sous mes pieds
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
A quoi me sert encore de prier Notre-Dame ?
Quel
Est celui qui lui jettera la première pierre ?
Celui-là ne mérite pas d'être sur terre
Ô Lucifer !
Oh ! Laisse-moi rien qu'une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda
Belle
Est-ce le diable qui s'est incarné en elle
Pour détourner mes yeux du Dieu éternel ?
Qui a mis dans mon être ce désir charnel
Pour m'empêcher de regarder vers le Ciel ?
Elle porte en elle le péché originel
La désirer fait-il de moi un criminel ?
Celle
Qu'on prenait pour une fille de joie, une fille de rien
Semble soudain porter la croix du genre humain
Ô Notre-Dame !
Oh ! laisse-moi rien qu'une fois
Pousser la porte du jardin d'Esmeralda
Belle
Malgré ses grands yeux noirs qui vous ensorcellent
La demoiselle serait-elle encore pucelle ?
Quand ses mouvements me font voir monts et merveilles
Sous son jupon aux couleurs de l'arc-en-ciel
Ma dulcinée laissez-moi vous être infidèle
Avant de vous avoir mené jusqu'à l'autel
Quel
Est l'homme qui détournerait son regard d'elle
Sous peine d'être changé en statue de sel
Ô Fleur-de-Lys
Je ne suis pas homme de foi
J'irai cueillir la fleur d'amour d'Esmeralda
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame
Quel
Est celui qui lui jettera la première pierre
Celui-là ne mérite pas d'être sur terre
Ô Lucifer !
Oh ! laisse-moi rien qu'une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda
Esmeralda" (source)
D'après Oscar Wilde, le mariage est la principale cause de divorce...
Un mariage est toujours un évènement à part, synonyme que le temps passe, qu'on vieillit en somme. Surtout lorsqu'il s'agit de gens de notre âge... Il y a à la fois cette légèreté dans l'air et tous ces visages rayonnants, malgré l'organisation et l'importance de l'engagement, et un questionnement personnel sur sa propre vie. La célébration à l'église en est le moment le plus propice : pendant lectures et chants des autres, on réfléchit à son quotidien, et surtout à l'avenir, se demandant par exemple si on vivra aussi ce genre de situations...
Quoi qu'il en soit, tout se déroule bien, c'est fait, vive les mariés !
"On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu'un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu'il mène vers de calmes jardins.
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd'hui comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l'ombre
Qu'il brille d'amour au quotidien.
Puisque l'avenir vous appartient
Puisqu'on n'contrôle pas votre destin
Que votre envol est pour demain
Comme tout c'qu'on a à vous offrir
Ne saurait toujours vous suffir
Dans cette liberté à venir
Puisque on sera pas toujours là
Comme on le fut aux premiers pas.
{Refrain}
Toute une vie s'offre devant vous
Tant de rêves a vivre jusqu'au bout
Surement plein de joie au rendez-vous
Libre de faire vos propres choix
De choisir qu'elle sera votre voie
Et où celle-ci vous emmenera
J'espère juste que vous prendrez le temps
De profiter de chaque instant.
{Refrain}
Ché pas quel monde on vous laissera
On fait d'notre mieux, seulement parfois,
J'ose espérer que c'la suffira
Pas à sauver votre insoucience
Mais à apaiser notre conscience
Aurais-je le droit de vous faire confiance...
2005 : rejet français de la Constitution européenne
2006 : putain d'insomnie, et le reste aussi d'ailleurs
Site de foot oblige : le Heysel
"Le drame du Heysel, survenu le 29 mai 1985 à Bruxelles en Belgique, est l'une des tragédies les plus marquantes liées à une manifestation sportive. Il eu lieu à l'occasion de la finale de Coupe des clubs champions européens 1984-1985 entre le Liverpool Football Club et la Juventus Football Club.
Ce mercredi soir, plus de 60 000 personnes doivent assister à la finale dans l'enceinte du stade du Heysel. Les conditions de sécurité et de confort sont inexistantes, et en raison de nombreuses failles dans le système de contrôle, plusieurs milliers de fans sans billets ont transformé l'enceinte en boîte de sardine.
La tribune des fans des Reds est séparée du fameux Bloc Z par un no man's land d'une quinzaine de mètres. Vers 19h10, plus d'une heure avant le début programmé de la rencontre, la tension entre supporters des deux clubs monte d'un cran, se traduisant d'abord par des insultes et des jets d'objets divers. Des fans de Liverpool chargent en direction des gradins du bloc Z, qui devaient être occupé par des Belges neutres mais où se trouve de nombreux tifosi italiens. Quelques gendarmes postés dans un couloir de séparation entre les deux groupes sont rapidement débordés. L'essentiel des forces de l'ordre belges se trouve alors à l'extérieur du stade. À noter que les incidents furent insignifiants en ville.
Vers 19h20, une centaine d'Anglais envahissent la tribune des Italiens. C'est une prise de tribune, typique de la culture hooligan. Sous la poussée, les Italo-Belges qui n'ont pas l'habitude de ces pratiques réservées jusque là aux îles britanniques reculent et se replient vers l'autre extrémité de la tribune causant une bousculade. En bas des gradins, des portes donnant accès à la pelouse sont fermées. Les forces de police présentes sur la pelouse repoussent même des spectateurs qui tentent de fuir par la pelouse. Le piège est en place. Les grilles de séparation et un muret s'effondrent. Des dizaines de personnes sont piétinées et le bilan est lourd : 39 morts au total : 34 Italiens, 2 Belges, 2 Français et un Britannique.
Les tifosi de la Juve, Fighters en tête, qui suivent les évènements depuis la tribune opposée, tentent alors d'envahir le terrain afin d'aller en découdre avec les fans anglais. Pas franchement pacifiques, ces Ultras avaient apposé une bâche géante le long des grillage « Reds = Animals ». La police belge intervient et évite de peu l'affrontement direct. Un fan italien exhibe même un pistolet et le pointe en direction des policiers belges. Les télévisions de l'Europe entière diffusent ces images en direct. Elles ont un impact considérable, même si les décryptages qui en sont faits sont souvent erronés. À noter l'existence d'un reportage important de la Télévision Suisse Romande qui avait une équipe de tournage au coeur de l'action.
Vers 21h30, les capitaines des deux formations lancent un appel au calme. Quelques minutes plus tard, les deux équipes entrent sur le terrain. Selon l'UEFA, un report du match aurait risqué de raviver la violence. La Juventus l'emportera sur le score d'un but à zéro, marqué par Michel Platini sur penalty accordé pour une faute commise sur Zbigniew Boniek quelques cinq mètres au-dehors de la surface de réparation, ce qui donna la sensation que le match suivait une espèce de "scénario" pour éviter la prolongation.
Depuis le stade du Heysel a été rénové et rebaptisé stade Roi-Baudouin.
La justice belge condamna lourdement les autorités responsables d'avoir autorisé la tenue d'un match dans une enceinte vétuste. L'UEFA met dans la foulée en place toute une batterie de normes strictes avec obligation des places assises et interdit pendant cinq ans tous les clubs anglais de participation en Coupes d'Europe. Liverpool est interdit de Coupe d'Europe pendant 10 ans, peine finalement réduite à 7 ans. Il faudra toutefois attendre le drame de Sheffield en 1989 pour voir la mise en place en Angleterre d'une politique cohérente au niveau de la sécurité et du confort des spectateurs. En France, c'est le drame de Bastia (1992) qui pousse la Ligue à rendre les places assises obligatoires. En Italie, le problème n'a jamais vraiment été traité, et les stades italiens figurent aujourd'hui parmi les moins sûrs d'Europe." (source)
Week end pascal sans orgie pourtant... C'est plein la tête, et pas plein la panse. Pense, pense...
"Une chaise renversée et mes jambes qui s'égarent,
Ton visage s'est inversé sous le plafond de ce bar
Une vie trop bien rangée apprivoise chaque soir,
L'imminence redoutée d'une chute obligatoire.
J'ai cette vie à l'endroit qui se dresse sans un pli,
Des rêveries à l'étroit qui se pressent dans l'oubli,
Je veux aimer à l'envers remarcher dans les faux pas,
De mes amours de travers qui me suivent pas à pas.
C'est vrai
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis.
Repasser dans le désert des errances d'autrefois,
Redevenir solitaire comme un oiseau vu d'en bas,
Quand j'aurais fait le chemin à rebours de mes déboires,
Je pourrais penser enfin au projet de me rasseoir.
C'est vrai
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis" (source)
Manichéen ? Deux couleurs s'affrontent sur un champ de bataille... Noir contre blanc, blanc contre noir... Tantôt lent, tantôt effréné... Tantôt minutieux, tantôt impulsif... Tantôt subtil, tantôt sauvage... Tantôt élégant, tantôt sale... Lutter, risquer, dominer... Le danger, le jeu, encore, toujours...
Petits soldats anonymes, interchangeables et mystérieux, engagés dans la bataille, glorifiés ou sacrifiés... Détruire l'autre, se construire... Mise à mort glaciale ou duel enflammé... Face à face fatal, il ne peut en rester qu'un, ou qu'une...
L'envie revient... Ne pas se tromper d'adversaire pour profiter de la partie...