Que la bête meure !
L'agonie fut longue : on a d'ailleurs des doutes sur la date exacte des premiers symptômes.L'agonie fut pénible : de nouveaux symptômes en rémission miraculeuse, l'humeur des supporters variait plus que le timbre de voix d'Alexandre Delpérier lors d'un match de coupe du monde féminine sur Direct8.
Mais le virus a finalement eu le dernier mot. La bête est morte. Souhaitons que le Racing soit plus du type phénix, prêt à renaître du néant, que du ténia, phagocytant ceux qui l'entourent et dont il suce la substantielle moelle.