Albert Gemmrich
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matteotriangle a écrit, le 2011-06-10 12:28:06 : mais ils étaient de deux bords politiques opposés
Tu peux développer ? Ginestet serait mélenchoniste ?
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Je sens qu'on va rigoler !
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attendez moi, je prends place :D
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Tout simplement GEMMRICH était sur la liste de Fabienne KELLER et GINESTET soutenait le maire actuel.
Cela a été dit en séance du conseil municipal et enregistré. -
La dernière fois que j'ai croisé Gemmrich, c'était en début 2008, juste avant que le Racing n'entame sa série calamiteuse de défaites et chute en L2. Il affirmait a cette époque haut et fort son soutient à Ginestet.
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Et ? ça l'obligeait à faire comme certains ici et le trouver sympa jusqu'à la fin de sa vie ?
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En même temps, à cette époque, strictement personne ne gueulait contre Ginestet. (Je parle de personnes réeles du stade, pas de gens virtuels).
C'était juste pour répondre à notre ami équilatéral que son hypothèse de camp politique opposé ne tient pas. -
Ce n'est pas une hypothèse mais un fait.
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Comme c'est un fait que Gemmrich affichait un soutient sans faille à Ginestet durant au moins 3 ans.
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conan a écrit, le 2011-06-10 20:52:27 : En même temps, à cette époque, strictement personne ne gueulait contre Ginestet. (Je parle de personnes réeles du stade, pas de gens virtuels).
Ah mais je l'avoue bien volontiers, je suis tombé dans le panneau pendant un certain temps, j'appréciais beaucoup son côté golden boy, alsacien d'adoption et fier de l'être, dynamique et beau parleur. Ses idées aussi d'ailleurs. C'est pour cela que je lui en veux d'autant plus à cet enfoiré. Et ça pourrait parfaitement expliquer et justifier que Gemmrich le déteste : c'est plus douloureux de se faire trahir par un ami que par un parfait inconnu. Et Ginestet nous a trahis. Hilali aussi mais lui, ça n'a jamais été un "ami". -
Ouais donc en fait nous sommes grosso modo d'accord sur Ginestet quoi...
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Quelqu'un peut nous narrer la scène entre Gemmrich et Ginestet durant les Internationaux de Tennis ?
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C'est une hypothèse qu'on peut raisonnablement envisagée, Conan.
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Gemmrich se représente à la tête de la LAFA.
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Albert Gemmrich repart en campagne
Albert Gemmrich, le président de la Ligue d'Alsace de football, figure sur la liste de Noël Le Graët, candidat à sa propre succession à la tête de la Fédération française, lors de l'assemblée générale élective de samedi.
Il y a 18 mois, quand il a fallu désigner un successeur à Fernand Duchaussoy, alors président de la Fédération française de football, Albert Gemmrich, le « boss » du foot alsacien depuis le 1 er janvier 2009, avait été sollicité par les deux principaux candidats, Fernand Duchaussoy et Noël Le Graët, finalement élu. Il avait poliment décliné. Un an et demi plus tard, il a été relancé par Noël le Graët, qui part largement favori ce samedi à Paris lors de l'assemblée générale élective face à Eric Thomas et François Ponthieu.
Albert Gemmrich, qu'est-ce qui vous a poussé à accepter de figurer sur la liste de Noël Le Graët ?
Avant, je ne connaissais pas Noël Le Graët, celui qui était président de Guingamp, de la Ligue professionnelle ou vice-président de la Fédération. Ces 18 derniers mois, j'ai appris à le connaître et il m'a fait bonne impression. Il connaît ses dossiers, sait déléguer et prendre les décisions qui s'imposent. C'est un fédérateur. Bernard Desumer, l'ancien président de la Ligue de Lorraine, qui est vice-président délégué et que je connais bien depuis quatre ans, a facilité notre rapprochement.
Quand avez-vous accepté de rejoindre le président actuel ?
Bernard Desumer m'a contacté il y a déjà un certain temps. Quand j'ai vu le projet, ça me plaisait bien. Du bon boulot a été effectué depuis un an et demi, ce n'était pas évident. Je crois que faire partie du comité exécutif de 12 personnes, c'est un grand honneur.
Pourquoi aviez-vous refusé en 2011 ?
J'ai dit non aux deux candidats qui m'avaient sollicité. Je m'étais laissé le temps de la réflexion, donné rendez-vous en décembre 2012. Maintenant, ce n'est pas encore gagné. La liste de Noël Le Graët est bien placée, elle est favorite. Il faut rester humble et modeste.
Quel sera votre rôle au sein de la Fédération ?
Dès que nous serons élus, nous définirons les différents rôles. Une seule chose est sûre : là où le besoin se fera sentir, Noël Le Graët pourra compter sur moi. Tout m'intéresse, que ce soient les dossiers liés aux éducateurs, aux arbitres, aux bénévoles ou au sport de haut niveau. Je suis prêt à accepter tout ce qui m'est proposé. Rappelons que c'est une équipe de 12 personnes qui sera élue, que les décisions se prendront collégialement. La démocratie sera respectée.
Votre passé et votre rôle de président de la Ligue d'Alsace vont être précieux à la Fédération.
J'ai été joueur amateur, professionnel, international, éducateur. Je suis fils d'arbitre et j'ai été élu à la Ville de Strasbourg. J'ai donc une certaine expérience à apporter à la Fédération. J'ai 57 ans et c'est un nouveau défi qui s'ouvre à moi.
Que va y gagner le football alsacien ?
Je ne peux pas raisonner comme président de la Ligue d'Alsace. C'est l'intérêt général qui va primer, tout le football français. Mais pour le football alsacien, je suis convaincu que c'est un plus indéniable.
Certains pourraient vous reprocher de délaisser quelque peu la Ligue d'Alsace...
Qu'ils se rassurent. Il faut savoir ce qu'on veut. Je pourrai porter la bonne parole à Paris. Franchement, je ne pouvais pas refuser. Je vais intégrer l'espace décisionnel du football français. Mais je consacrerai le temps qu'il faut à la Ligue d'Alsace, je serai toujours présent. C'est mon jardin ! Les clubs alsaciens vont rester une priorité. Et je suis entouré par une équipe formidable, qui accomplit un travail remarquable tous les jours.
Y a-t-il des sujets sur lesquels vous avez envie de vous investir ?
Je me battrai pour qu'on retrouve rapidement une sérénité entre amateurs et professionnels. Les quatre dernières années ont été terribles pour les responsables fédéraux. L'autre domaine qui me tient à coeur est le bénévolat. Quand on rencontre toutes les semaines des personnes formidables qui permettent aux clubs d'exister, je suis persuadé qu'il faut davantage les aider. Les valoriser aussi. Je ne peux qu'être admiratif devant toutes ces gens. Ces bénévoles ont plus de mérite que nous. Je leur dis merci ! Et c'est aussi pour eux que je souhaite m'investir au plus haut niveau.
L'Alsace -
A l'occasion de mon retour annuel à Strasbourg, j'ai mangé une tarte flambée. Vers le milieu du repas, je me dis qu'un gars à la table d'à côté ressemblait beaucoup à Gemmrich. Mais je ne suis pas allé le déranger.
Lorsqu'il est parti, en passant devant notre table, il a au passage fait une petite caresse amicale sur la tête de mon garçon de 6 ans. J'ai eu l'impression que ça voulait dire un peu : "oui tu m'as reconnu, c'est bien moi".
Confirmation de la serveuse, c'était bien lui.
Et la tarte flambée était bonne.
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Gemmrich, Wagner, Piasecki, Tanter, quelle attaque! Que du bonheur, rien qu'en y repensant aujourd'hui! Bonne année et belle vie à eux!
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Ce soir pour fêter votre anniversaire, avec votre mythique voisin, rue d Altkirch,espere.pas trop de vacarme
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ninion a écrit, le 2014-01-01 20:26:52 : Gemmrich, Wagner, Piasecki, Tanter, quelle attaque! Que du bonheur, rien qu'en y repensant aujourd'hui! Bonne année et belle vie à eux!
C'est à cause ou plutôt grâce à eux,que gamin ,je devins fan de ce club. -
A cette époque là , les joueurs cités ne jouaient pas en National ( d'ailleurs à cette époque personne n'aurait pensé que le racing serait un jour relégué en CFA2 ) !
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domarchivsas a écrit, le 2014-02-13 18:40:44 : ninion a écrit, le 2014-01-01 20:26:52 : Gemmrich, Wagner, Piasecki, Tanter, quelle attaque! Que du bonheur, rien qu'en y repensant aujourd'hui! Bonne année et belle vie à eux!
C'est à cause ou plutôt n en était la grâce à eux,que gamin ,je devins fan de ce club.
Moi aussi et en plus je suis de Preuschdorf, j´avais 14 ans et Albert balayais presque tout les samedis le trotoir de la Coop du village puisque sa futur belle maman en etait la gerante lol avec ma mob je venais lui parler souvent pour le feliciter de ses buts !!!!!!!! -
Merci pour cette belle anecdote beb.
Souvenirs impérissables pour toi ,sûrement. -
fleet a écrit, le 2014-02-14 10:07:26 : A cette époque là , les joueurs cités ne jouaient pas en National ( d'ailleurs à cette époque personne n'aurait pensé que le racing serait un jour relégué en CFA2 ) !
A cette époque si je ne trompe il ni avait pas encore le National , par contre un moment il y avait deux division 2 puis je crois le CFA
Si quelqu'un pourrait effectivement éclairé ma lanterne -
Dans le temps, il n'y avait effectivement pas de National, c'était la D1, la D2 avec deux poules puis la D3 qui était le CFA actuel. De mémoire, il n'existait pas de CFA 2 non plus et le champion DH montait direct en CFA.
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