Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

La SIG

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Flux RSS 8469 messages · 1.364.520 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par chrisneudorf

  • Si j'avais au moins la sensation d'être face à quelqu'un qui s'intéresse (hors provocation évidemment..) à la SIG et au basket en général, le débat aurait un sens. Avec d'autres il y a aussi des désaccords parfois mais je sais reconnaître ceux qui malgré tout ont véritablement envie que la réussite soit au rdv. Enfin le plus drôle dans tout ça c'est qu'une bonne partie des supporters de l'ASVEL critiquent leurs propres dirigeants, ne se reconnaissant pas dans leur gestion et l'image qu'ils donnent à leur club. Place au parquet et Allez Stras pour la suite.
  • Il y a beaucoup de choses et de sports qui m'intéressent, c'est pourquoi je pense avoir du recul en disant qu'on a de sacrés spécimens à la SIG, supporters comme dirigeants, plus proches de Calimeros plutôt que de compétiteurs. Vincent Collet a des qualités techniques mais aussi quelques défauts que ses adversaires aiment titiller, et il ne changera pas. Par contre j'aime que ce club se structure et progresse (lentement) même s'il est encore loin de l'Euroligue.
    Quant à l'ASVEL, c'est devenu le joujou des Parker, je ne sais pas si la mayonnaise peut prendre mais la carrière de Tony mérite qu'on le laisse faire, un certain temps, pour voir... Parce que le basket français est loin du haut niveau.
  • En étant objectif et en oubliant deux secondes notre fragilité évidente en finale, la SIG reste un modèle à suivre dans l'hexagone. Taux de victoires, environ 70% , le plus élevé depuis 6 saisons, club qui commence à se faire un petit nom au niveau européen avec quelques exploits en Euroligue face aux finalistes de cette saison, une finale d'EuroCoupe, ce qu'aucun autre club français a pu réaliser depuis quasiment 20 ans, un quart en BCL avec une élimination face au futur vainqueur, ect. Pour le reste, avec un nombre d'abonnés qui a plus que doublé, une affluence générale avec un taux de remplissage proche de 100% , à l'image de la saison actuelle avec déjà une dizaine de matchs à guichets fermés, alors que les PO n'ont même pas encore débuté, sans oublier le projet concernant l'agrandissement de la salle qui prend forme, ainsi qu'un centre souvent montré en exemple, il y a de quoi faire rêver un grand nombre de clubs de notre championnat. Et tout ça, y compris l'augmentation de budget grâce à nos résultats sportifs, on le doit aux dirigeants actuels qui ont permis à la SIG de changer de dimension. Sans la présence du coach, les Ajinça, Diot, Labeyrie et compagnie ne seraient jamais venus chez nous et d'ailleurs ils ne s'en cachaient pas. Et encore, je ne parle que des français mais ce ne sont pas les seuls à le mettre régulièrement en avant, à l'image de Dee Bost :

    "Coach Collet et son staff me donnent beaucoup de confiance et me laissent beaucoup de liberté dans mon jeu. Le coach me parle tous les jours, il me donne des conseils pour que je devienne le meilleur meneur possible, il est très présent. C’est un super coach, il sait de quoi il parle. Je sais que si c’est mes pourcentages ont progressé de cette manière, c’est en grande partie grâce à lui. Maintenant, à moi de devenir encore davantage un leader et de mettre en application tout ce qu’on me dit."

    Après, je ne sais pas si on gagnera enfin ce satané titre, ni même si on passera Nanterre, mais ce qui est certain c'est que le club continuera à grandir au fil des saisons. Dans 5 ou 10 ans la SIG aura encore beaucoup changé à mon avis et il n'est pas impensable de la voir durablement se battre avec l'ASVEL suite à son arrivée dans l'Euroligue.
  • Un bon club qui évolue bien, je suis d'accord, mais de là à en faire un modèle, faut pas exagérer. Tu es beaucoup trop supporter de la SIG pour te rendre compte qu'elle est insignifiante au niveau national. Evidemment si elle avait gagné 5 titres consécutifs (ou même 3, en étant gentil) tout le monde serait à genoux devant elle. Ce qui a manqué c'est la rage de la défaite pour la sortir de sa tiédeur habituelle.
    Pour cela j'espérais que Collet laisse de côté l'équipe nationale pour avoir plus de fraîcheur aux moments-clés mais celle-ci a toujours la priorité sur son agenda. Cela n'aurait rien enlevé à ses réseaux d'ailleurs.
    Je pense que l'état d'esprit général du club, sans pression et donc sans coup d'éclat, n'aide pas. Cela vient peut-être du président ? Un vrai compétiteur à sa tête comme un Fred Forte (paix à son âme) changerait la face du club et l'état d'esprit.
  • Lors de ses deux dernières saisons à la tête de Limoges, malgré de gros moyens financiers le CSP de FF ne s'était même pas qualifié pour les PO et sa gestion était alors critiqué par ses propres fans. Enfin concernant la SIG, ce n'est pas être "trop supporter" que de constater que son centre est performant, à l'image de la réussite d'un certain Ntilikina, son budget sans arrêt à la hausse, son projet de salle de plus en plus crédible, sa présence sur la scène européenne régulière, tout comme dans le Top 4 de Pro A. En oubliant Monaco qui et un cas un peu spécial avec un gros investisseur, comme pour le foot, ainsi que certains avantages, le club strasbourgeois est de loin celui qui a eu la plus grosse progression ces dernières années, au niveau sportif, financier et popularité, dans l'hexagone. Et pendant ce temps Chalon passe du titre au maintien, Nancy est à présent en Pro B après avoir été sacré à deux reprises, ect. Dans notre championnat la régularité reste quelque chose de rare et ce n'est pas pour rien que l'on un autre champion chaque saison. Statistiquement, perdre cinq fois de suite en finale c'est incroyable mais être capable d'y aller si souvent, ça l'est tout autant dans une Ligue que l'on juge homogène. Enfin, début d'une nouvelle aventure ce mardi face à Nanterre.
  • Vu de l'extérieur, la SIG a visiblement la cote avant les PO :

    « Honnêtement, la force intérieure strasbourgeoise est trop forte pour Nanterre. Ils sont inarrêtables. Il y a bien Heiko Schaffartzik qui pourrait mettre le feu à Strasbourg mais quand tu as des mecs comme Dee Bost ou Zack Wright en face, cela ne suffira pas. » Selon Frédéric Weis (consultant SFR Sport), le vainqueur de cette opposition SIG - Nanterre est tout trouvé. Et quand on lui demande qui sera sacré champion, l’ancien international mettrait même une petite pièce sur les Strasbourgeois : « Je vais dire un truc qui va surprendre beaucoup de monde mais moi, je vois la SIG. Ils n’ont presque plus de joueurs frustrés par les dernières saisons. C’est l’année ou jamais pour eux.»

    "La conquête du titre est devenue une obsession pour Vincent Collet, son président Martial Bellon, et tout le club alsacien. La SIG, battue lors des cinq dernières finales, rêve d’accrocher une deuxième bannière, treize ans après le premier sacre de son histoire, lorsque le « Gang of New York » d’Éric Girard avait raflé la mise à Bercy. À l’évidence, le spectre de ces échecs à répétition ne va pas manquer de ressurgir. Mais que pèse-t-il vraiment pour les neuf nouveaux joueurs arrivés en Alsace depuis l’été dernier ? On doute en vérité que cette dimension psychologique affecte sérieusement les leaders de la SIG que sont Dee Bost, Zack Wright, David Logan, Louis Labeyrie ou Miro Bilan. Sur le terrain, cette équipe surdimensionnée est taillée pour aller au bout. Ici, chaque poste est doublé, voire triplé. Vincent Collet pianote sur un effectif de onze professionnels expérimentés, plus deux jeunes capables de donner un coup de main. Son duo d’intérieurs Louis Labeyrie - Miro Bilan a peu d’équivalent en Jeep® ÉLITE. Sa ligne arrière Dee Bost - Zack Wright - David Logan donne des cauchemars à plus d’un adversaire. Et les joueurs de rotation sont bien plus que des jokers. Levi Randolph, Jérémy Leloup, Damien Inglis, Darion Atkins… seraient titulaires dans la plupart des équipes de Jeep® ÉLITE. Cette formation n’a pas de point faible notoire, sinon une tendance à relâcher ses efforts défensifs par séquence. Elle paraît en tous les cas assez nettement supérieure à sa devancière, battue en match d’appui des Finales 2017 à Chalon-sur-Saône. Une chose est sûre, il faudra être costaud pour battre cette SIG trois fois sur une série de playoffs. Même quand on s’appelle Monaco. (LNB) "

    Reste à confirmer sur le parquet évidemment.
  • Étonnamment, il reste encore des places pour le match 1 vs Nanterre de mardi...
    Foncez ;)
    Ce match est d'autant plus capital que les 1/4 de finale, qui se jouent en 2 victoires seulement, réservent souvent des surprises
  • Le rhenus n'affichera pas complet pour ce rdv, étrange quand même, même si c'est un mardi. Ca ne se bouscule pas au portillon .Un match des playoffs ça ne se loupe pas les billets devraient se vendre comme des petits pains. Allez la Sig en route vers ce fameux sésame.
  • Des billets se vendront encore d'ici ce soir mais c'est un constat (surprenant) déjà fait par le passé. Un grand nombre de matchs à guichets fermés durant la saison régulière même face à de modestes adversaires parfois, des places qui s'arrachent en quelques minutes pour les 1/2 puis en quelques secondes.. pour les finales.

    Par contre le premier match des 1/4 attire moins, un peu comme si le public estimait que ce n'était qu'une simple formalité ou qu'il réservait ses finances pour la suite, sachant qu'en cas de qualif les matchs vont s'enchaîner.

    Enfin si les deux équipes devaient être à égalité après deux manches, nul doute que le Rhenus serait à nouveau trop petit pour une éventuelle belle décisive.
  • Victoire de la SIG 83-56,
    1-0 pour la SIG. Match 2 vendredi à Nanterre.

    Rappel : les quarts de finale se joue en 3 matchs maximum.
  • Belle deuxiéme Mi-temps, il a fallu une MT pour se mettre dedans en attaque (31-31), puis Nanterre à complètement exploser dans le 3éme 1/4 (30-10) et un 52-25 en seconde.

    Point extrême positif la SIG à était dur et dedans défensivement de début à la fin ! et cela est de trés bonne augure, maintenant méfions nous, la Sig à que trop connus cette situation, elle doit rester sur ses garde ! RDV vendredi à Nanterre !
  • Dans ce marathon mieux vaut gagner petitement se préserver utiliser au Max les remplaçants laisser l’adversaire y croire et le fatiguer
    La sig et surtout Collet ont payé pour apprendre.....sans retenir la lecon.
  • Cette équipe est tout de même impressionnante lorsqu'elle evolue à son véritable niveau, au complet (ce qui a rarement été le cas par le passé) et avec un maximum de rotations possibles. Ce n'était que le premier match et il demande évidemment confirmation mais Nanterre a totalement explosé au retour de vestiaires, donnant l'impression d'être complètement cuit. Un véritable carnage mais ce n'était que la vérité d'un soir et on est bien placé pire savoir que tout peut aller très vite en basket.


    Et soudain, la déferlante…

    Après une mi-temps en apnée au cours de laquelle ils avaient bien résisté (31-31), les Nanterriens ont été cuit à l’étouffée (83-56) par la SIG Strasbourg dans un 3equart temps exceptionnel (24-2 en 7’30). Les Strasbourgeois ont validé la première manche mais il faudra aller dans les Hauts-de-Seine avec les mêmes intentions et le même état d’esprit, vendredi pour tenter de ficeler le ¼ de finale.

    https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/fr/cp0/e15/q65/3308...

    LA DONNE

    Face à l’équipe qui lui réussit le moins bien dans l’Hexagone depuis 2013 (8 victoires, 10 défaites), la SIG Strasbourg entame des playoffs à hauts risques pour lesquels elle est, une fois encore, dans la course pour le titre. Mais avec un effectif XXL et les bonnes attitudes des dernières semaines, il faut entrer avec une faim de loup dans le sprint final…

    PREMIER QUART TEMPS : GROSSE DÉFENSE, PETIT RELÂCHEMENT

    Vincent Collet aime décidément bien surprendre ces derniers temps. Il alignait pour débuter un cinq inédit avec Wright à la mène, Bilan au pivot, mais aussi Randolph, Atkins et Sy. En face, Donnadieu avait fait dans le classique. Les intentions étaient parfaites avec une défense tout terrain agressive mais les deux équipes ne cédaient pas un pouce de terrain : 6-7 (4e’). Atkins (4 rebonds) était très actif, et on pensait les premiers changements bénéfiques avec l’arrivée de Bost, Pietrus, Labeyrie puis Inglis. De quoi donner encore un peu plus de volume physique… Mais après un panier de Bost, en dragster (15-10, 8e’), la SIG calait. Nanterre trouvait de la fluidité, des ouvertures et passait un 1-10 qui laissait le Rhenus médusé : 16-20. Le dernier panier de Logan faisait du bien : 18-20. Évaluation : 19 à 18.

    DEUXIÈME QUART TEMPS : SERRÉ, DE PLUS EN PLUS SERRÉ

    Nanterre accélérait encore, par Konate et Edwards (18-24 (11e’), obligeant Collet à prendre un temps mort. Efficace, car après deux grosses séquences défensives, deux flèches de Logan effaçaient l’ardoise : 24-24 (14e’). Cette fois, c’est Nanterre qui stoppait le match. La SIG ne s’arrêtait pas là et filait à 28-24 pour conclure un joli 10-0. Pendant près de six minutes, les Franciliens étaient restés muets, étouffés par la défense alsacienne. Une fois encore, Invernizzi, puis Schaffartzik, sortaient du bois et avec la complicité de Konate, excellent, Nanterre repassait devant : 30-31. Bost égalisait in-extremis sur la ligne de réparation : 31-31. Évaluation : 14 à 9 (total : 33 à 27).

    TROISIÈME QUART TEMPS : CUITS À L’ÉTOUFFÉE

    Vexés d’avoir de l’avance à l’évaluation mais d’avoir encore leurs adversaires collés aux basques, les SIGmen entamèrent le troisième quart de la meilleure des façons. Une défense hyper agressive, des ballons volés, du jeu rapide. Une recette simple et efficace. Logan qui avait conclu une interception et sur l’action suivante, il donnait une offrande à Leloup, si frustré par son manque de réussite. Le symbole d’une équipe solidaire, qui veut partager… Nanterre était K.-O. debout malgré les temps morts de Donnadieu et l’addition devenait salée après le 24-2 des Strasbourgeois : 55-33 (27e’). L’affaire était pliée et les Franciliens n’eurent plus que des réactions sporadiques : 61-41. Évaluation : 40 à 2 (total : 73 à 29).

    QUATRIÈME QUART TEMPS : FESTIVAL D’ADRESSE POUR FINIR

    On se doutait que Nanterre ne reviendrait plus. Les Strasbourgeois sont toutefois restés sérieux (presque) jusqu’au bout. Un festival à trois points pour Labeyrie (ses premiers points après la 35e’, mais qu’importe !), Logan, Randolph et Atkins, fit gonfler l’écart jusqu’à 28 points (79-51, 38e’) mais l’essentiel était d’avoir assuré cette première manche de la série. Évaluation : 27 à 15 (100 à 44).

    http://sigstrasbourg.fr/2018/05/et-soudain-la-deferlante
  • schilles1979 a écrit, le 22/05/2018 23:10 :
    Dans ce marathon mieux vaut gagner petitement se préserver utiliser au Max les remplaçants laisser l’adversaire y croire et le fatiguer
    La sig et surtout Collet ont payé pour apprendre.....sans retenir la lecon.


    Je ne suppose que tu n'as pas vu le match, Collet ayant au contraire fait tourner au maximum son effectif en répartissant le temps de jeu. La force de cette SIG c'est de pouvoir s'appuyer sur un grand nombre de rotations, sans que la qualité de jeu ne baisse pour autant. L'info de la soirée c'est que la victoire fut écrasante tout en ayant géré la rencontre.
  • Grosse armada tout de même cette équipe de la Sig, vivement la revanche en demi contre l'Asvel !
    A noter que le speaker a importé le "Merci, de rien" de la Meinau...
  • Et des chants, de plus en plus fréquents, côté supporters. Belle ambiance pour un premier match, ce qui promet pour la suite avec un Rhenus qui monte lui aussi en puissance.
  • rcsforever a écrit, le 22/05/2018 23:21 :
    schilles1979 a écrit, le 22/05/2018 23:10 :
    Dans ce marathon mieux vaut gagner petitement se préserver utiliser au Max les remplaçants laisser l’adversaire y croire et le fatiguer
    La sig et surtout Collet ont payé pour apprendre.....sans retenir la lecon.


    Je ne suppose que tu n'as pas vu le match, Collet ayant au contraire fait tourner au maximum son effectif en répartissant le temps de jeu. La force de cette SIG c'est de pouvoir s'appuyer sur un grand nombre de rotations, sans que la qualité de jeu ne baisse pour autant. L'info de la soirée c'est que la victoire fut écrasante tout en ayant géré la rencontre.


    Je confirme plus gros temps de Jeu 23 Minutes...................

    Je site un des membre du forum infrarouge :

    "comme toujours on a eu droit aux différents visages de cette équipe, une bonne entame avec un 5 composé plutôt de remplaçants, puis les titulaires sont entrés avec une intensité bien inférieure et se sont frustrés face à la défense de la JSF qui avait pris l'option de fermer la raquette avec prises à deux pour éviter tout jeu dos au panier....Du coup en ayant mal transféré les ballons et égaré un paquet on s'est retrouvé à égalité à la mi-temps.
    Du coup VC nous sort un 5 avec Lelou-Inglis aux côtés de Bost-logan et Bilan qui a tout cassé dans le 3ème quart avec une défense incroyable qui a donné énormément de jeu rapide.....ça donne un aperçu de ce que cette équipe est capable de faire quand elle le décide.
    Point positif : on est resté concentré dans le Q4 alors qu'on aurait pu se relâcher.
    Au final on gagne sans une grosse perf offensive de nos intérieurs (LL avait l'air apathique je pense qu'il est encore diminué par sa virose), Bilan a combattu même s'il a subit les prises à 2 permanentes. Atkins est métamorphosé, un vrai guerrier (effet coupe blondasse surement^^)
    ."

    Il ne faut surtout pas s’enflammer, surtout quand on voit la presté de L'ASVEL et sa recrue sur le fil, Mais la métamorphose de cette équipe depuis le deuxième 1/4 à Bercy est tout simplement étonnante et porteuse d’espoir Ndrl pour rappel la SIG n'a toujours pas perdu depuis le match précédent cette finale (Vs Monaco) et à gagné avec un écart moyens de 21 pts avec 83 pts de Moyenne marqués !
  • "vivement la revanche en demi contre l'Asvel !"

    Chaque chose en son temps mais ce serait le 3e affrontement en 3 saisons avec l'ASVEL, qui après été menée 0-2 s'était imposée 3-2 en 2016, avant de mener 2-0 puis de s'incliner 2-3 et de laisser le dernier mot à la SIG en 2017. Des séries toujours un peu folles mais à l'heure actuelle Nanterre et Le Mans n'ont pas encore dit leur dernier mot.
  • Quel match de la SIG, une défense très agressive avec beaucoup de fluidité offensive. Cette année la SIG a un effectif complet et surtout large par rapport aux années précédentes. Il y a 10 ou 11 joueurs de niveau à peu près similaire, surtout une grosse rotation où tout le monde peut remplacer tout le monde et peut apporter sa pierre à l'édifice sans que le jeu perde du niveau. Cette année je la sens bien sans trop m'avancer je l'espère, mis à part blessures , coup de théâtre ou panne psychologique, je ne vois pas ce qui pourrait empêcher la Sig de glaner son deuxième titre de l'histoire. Surtout que dee bost, wright, logan, pietrus sont des tueurs plein de sang froid, labeyrie qui peut shooter à trois points aussi ca en fait un joueur très complet, sans oublier Bilan, atkins, randolph, inglis, pape Sy qui revient bien et a un degré moindre leloup. Monaco est très fort l'ASVEL aussi mais c'est quand même moins complet que la Sig.
  • D'accord avec toi, si ce n'est que Monaco a un effectif aussi riche en quantité qu'en qualité, sans oublier que Villeurbanne s'est renforcé à la dernière minute comme à son habitude. Sinon je ne sais pas si c'est l'équipe de la SIG la plus forte de son histoire mais en tout cas c'est la plus complète, sans le moindre doute car cette fois les pépins physiques semblent nous épargner. Les blessures des Fitch, Duport et compagnie sont autant de mauvais souvenirs à effacer que nos finales perdues. Espérons qu'une éventuelle qualif face à Nanterre en 2018 puisse mettre fin à la malédiction qui avait débuté contre ce même adversaire en 2013.
  • Cette SIG impose vraiment le respect. Depuis quelques temps, en les regardant, je ne tremble plus quand l'adversaire recolle ou est devant. Au contraire, je me dis qu'ils peuvent appuyer n'importe quand là où ça fait mal et renverser des montagnes. Comme dans ce match 1.

    Et franchement, battre Nanterre en 1/4, l'Asvel en 1/2 et finir par terrasser Limoges en finale, ce serait pas le meilleur titre ever ? Casser la spirale en renversant tous les vieux démons ?
    Je vais rêver encore un peu, en espérant vraiment que ça arrive...
  • Quelque Part, ce serait une manière de se saisir du trône....
  • Ce serait forcément symbolique d'aller au titre en faisant tomber nos 3 démons.. verts, tout en sachant que Chalon est déjà en vacances, mais à l'heure actuelle nous sommes encore loin d'un tel scénario, surtout que Nanterre qui n'a plus rien à perdre à présent, va tenter le tout pour le tout. Pour autant, notre victoire en Coupe à Bercy a visiblement pu servir de déclic, à en croire nos derniers résultats :

    SIG - Nanterre : 83-56 (+27)
    SIG - Dijon : 93-77 (+16)
    Le Mans - SIG : 70-80 (+10)
    SIG - Antibes : 93-77 (+16)
    Pau -SIG : 76-103 (+ 27)
    SIG - Limoges : 100-70 (+30)
    SIG - Boulazac : 82-62 (+20)


    Pourvu que ça dure.. Enfin pour en revenir aux PO, si la SIG a fait le travail au Rhenus, Villeurbanne est allé s'imposer à l'extérieur, alors que Monaco et Limoges ont souffert mais assurent tout de même l'essentiel à la maison, lors de ce match 1 :

    Limoges - Dijon : 79-75
    Monaco - Pau : 99-97
    Le Mans - Villeurbanne : 68-81


    Retour vendredi dans notre série et celle de l'ASVEL, samedi pour les deux autres.
  • La SIG qui termine, dans la douleur malgré tout, le travail à Nanterre (70-77) , alors que dans l'autre série qui nous concerne, Le Mans arrache la belle sur le parquet de Villeurbanne.
  • Qualifiés au bout du suspense !

    Après la victoire au match aller, les SIGmen connaissaient la donne : gagner pour valider en deux manches sèches la qualification en demi-finale des playoffs 2018. Objectif réussi pour Vincent Collet et ses joueurs qui se sont imposés au bout du suspense 70-77 sur le parquet de Nanterre 92.

    https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/fr/cp0/e15/q65/3351...

    Vincent Collet débutait le match avec le même cinq de départ que lors du match aller. Et comme lors du premier match c’est le revenant Pape Sy qui mettait du rythme en scorant les cinq premiers points pour donner l’avantage à Strasbourg (2-5, 2’). Ce même Pape qui complétait très bien Miro Bilan, qui faisait son travail de sape (6 rebonds en 5’), pour maintenir la SIG Strasbourg aux commandes grâce à un très bon passing game : 8-10, 5’. Mais, porté par un public de feu, Nanterre 92 ne se laissait pas démobiliser et plantait un 6-0 par l’intermédiaire de Jean-Marc Pansa qui n’avait pas froid aux yeux pour prendre les commandes : 14-10, 7’. Heureusement l’entrée du 6ème homme de luxe, Dee Bost, faisait beaucoup de bien aux SIGmen. Comme à son habitude, sans pression, le meneur de la SIG Strasbourg faisait le job pour égaliser après deux paniers (14-14, 8’). Les deux équipes se tenaient alors et le score ne trouvait pas réellement preneur au bout de 10’ même si les locaux menaient d’un petit point. Fin du premier quart temps : 19-18 (évaluation 24-17).

    Parfaitement en place, l’attaque de la SIG Strasbourg trouvait par deux fois ses snipers, David Logan et Dee Bost, pour lui donner six longueurs d’avance : 20-26, 12’. Un petit gap qui n’effrayait pas les verts et blancs qui profitaient également de leur pistolero, Heiko Schaffartzik, pour recoller à la faveur d’un 3+1. Mais cela n’impressionnait pas Dee Bost qui allumait derrière l’arc. Auteur de trois primés en 4’, Dee ‘‘la main chaude’’ portait son équipe qui, après 5’ n’avait pas manqué un tir dans la période : 29-34, 15’. Les Strasbourgeois affichaient une belle énergie et les Nanterriens le payaient cash car, avec Jo Passave-Ducteil à 3 fautes et Jean-Marc Pansa à 4 fautes après 17’, il allait leur falloir trouver des solutions (29-36, 16’). Resserrant les rangs en défense, Nanterre 92 grapillait son retard en provoquant des fautes. Si bien, qu’à la faveur d’un 9 à 2 en 2’40, les Franciliens égalisaient à 1’ de pause 38-38. Les SIGmen accusaient le coup mais ne baissaient pas les bras pour autant à l’image de la dernière action de la mi-temps qui permettait à Jérémy Leloup de marquer au buzzer un panier tout en vaillance. Mi-temps : 40-43 (évaluation 44-46).

    Vincent Collet et ses hommes étaient très vigilants au retour des vestiaires pour ne pas essuyer la furia légendaire de Nanterre. Avec David Logan sérieux et Miro Bilan au four et au moulin, les premiers instants sont de bonne facture et la SIG Strasbourg menait encore de six points 2’30 après le début du troisième quart : 44-50, 22’30. Mais la température montait de quelques crans et à la surprise quasi générale le jeune Jean-Marc Pansa portait Nanterre et était l’instigateur d’un 9-0 en 2’20 pour remettre les blancs en tête : 53-50, 25’30. Mais Dee Bost stoppait le début d’hémorragie en plantant un triple sur le museau de Konate : ouf ! Un panier qui était le seul de la SIG Strasbourg lors des 7min30 avant la fin du 3ème acte. Clairement en difficulté, les rouges faisaient ce qu’ils pouvaient pour ne pas s’écrouler en faisant le dos rond et en encaissant un 14-3 qui permettait à Nanterre d’en profiter pour mener de 5pts à 10’ du terme. Fin du troisième quart-temps : 58-53 (évaluation : 66-54).

    Il allait falloir se remettre la tête à l’endroit pour espérer repartir de Maurice Taurez avec une victoire. Miro Bilan puis Zack Wright permettaient aux SIGmen de recoller à un petit point rapidement (58-57, 31’30). Mais l’agressivité était plus forte du côté des joueurs de Pascal Donnadieu. La SIG Strasbourg perdait trop de balles et l’euphorie gagnait les rangs de Jamar Wilson et des siens qui maintenaient la pression. Dominé dans le secteur intérieur malgré les 4 fautes de Passave et Pansa, Strasbourg faisait de son mieux pour ne pas lâcher (66-62, 35’). Mais, revenant à ses basiques les SIGmen montraient pourquoi et comment ils ont fini à la 2ème place cette saison. En retrouvant leur jeu, exploitant les espaces et surtout en étant plus lucides, les rouges plantaient un violent 13 à 2 en 3’30 pour imposer leur loi : 68-73, 39’ ! Un coup de massue dont Nanterre 92 ne se relèverait pas pour s’incliner au final de 7pts : Score final : 70-77 (évaluation 71-84).

    Une victoire qui, sans surprise, n’avait pas été simple à obtenir mais, finalement, qu’importe, la mission était accomplie. Même si les 17 pertes de balles auraient pu faire du mal aux joueurs de Vincent Collet où même si l’armée alsacienne a courbé l’échine par moment, la vaillance et l’envie des SIGmen ont été plus fortes que l’adversité pour se qualifier pour la demi-finale qui débutera jeudi 31 mai à 20h45 au Rhenus Sport !

    http://sigstrasbourg.fr/2018/05/qualifies-au-bout-du-suspense
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