[2018-2019] Nîmes 2-2 RCS | Après match
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superdou- Est ce qu'il y a eu contact entre Lala et le joueur nîmois ?
Évidemment oui
- Est ce que tout contact doit être sanctionné par un coup franc ?
Évidemment non, car le football est un sport de contact.
- Est ce que ce contact méritait qu'on siffle un coup franc ?
C'est une question d'interprétation de l'arbitre. Pour tout contact, l'arbitre doit juger en fonction du contexte. Quel est-il ? La position de l'arbitre, la dureté du contact, l'esprit dans lequel il est effectué (touche de balle précédent le contact par exemple), ... tous ces critères et plein d'autres forment ce contexte. Dans le cas présent, la position de l'arbitre était idéale, il a très bien vu le contact, et a jugé qu'il n'était pas suffisant, dans le contexte pour être sifflé.
- Est ce que la VAR aide l'arbitre dans ce cas précis ?
La VAR est hors contexte. On est sur une image au ralenti sur un point de l'action. Evidemment, cela change tout et montre une faute évidente, amplifiée par le fait que ce soit au ralenti. C'est un peu comme quand on montre une image hors contexte suer un évènement, on peut lui faire dire ce que l'on veut. On voit un policier frapper un manifestant ? C'est un scandale. Mais dans le contexte, on peut voir le manifestant balancer des pavés quelques secondes auparavant sur ces mêmes policiers, agresser le policier, qui réplique en le frappant. Hors contexte, le policier est un salaud, dans le contexte, le policier ne fait que se défendre d'une agression. La VAR, c'est exactement la même chose, elle sort un élément du contexte pour pouvoir faire dire ce qu'elle souhaite à l'arbitre, même si c'est foncièrement faux.
- Y a-t-il erreur d'arbitrage dans ce cas précis ?
Non, ben évidemment, vu que c'est un jugement sur l'interprétation, siffler ou ne pas siffler est correct dans les 2 cas règlementairement parlant. Le problème, c'est que la VAR ne peut pas faire juger honnêtement ce genre de cas, n'ayant pas le contexte. La VAR, pour être efficace, ne peut donner des résultats que sur les points de règlements qui ne sont pas ordre à l'interprétation: but inscrit de la main, hors-jeu, tirage de maillot flagrant, ... Mais pour tout ce qui dépend de l'interprétation, non seulement elle est incompétente, mais provoque des fautes d'arbitrage en enlevant le contexte. -
Je mets quand même la séquence ici pour être bien sur que tout le monde a bien vu l'affaire.
Où est ce que vous voyez une faute indiscutable ?
Je vois un joueur qui se fait subtiliser le ballon et qui fait un magnifique plongeon ensuite. -
Désolé mais moi je vois un joueur qui pousse un peu loin son ballon mais se fait crocheter juste après...
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Vivement la prochaine évolution de la VAR pour départager ce genre de cas avec un système de vote payants par SMS des spectateurs
Blague à part je comprend que le cas divise. Y en a qui vont voir que l'image de gauche les autres que celles de droite.
On peut siffler ce qu'on veut. Pourquoi changer la décision initiale ? -
C'est vrai que c'est limite, Lala a quand même avoué avoir touché le joueur (d'après une interview du Gonz après le match) donc pas un scandale absolu non plus de siffler cette faute. Bref on pas u de chance sur ce coup là mais ce n'est pas une terrible injustice non plus, on a connu bien pire...
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Je n'ai toujours pas vu la main de Kone qui mène au penalty et je ne trouve pas lien sur Internet.
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jmr a écrit, le 19/03/2019 13:11 : Je n'ai toujours pas vu la main de Kone qui mène au penalty et je ne trouve pas lien sur Internet.
C'est la même que celle d'Umtiti contre l'Australie lol -
Sur celle de droite tu as l’impression qu’il prend son élan pour faire un saut de l’ange !!!
Il accentue au maximum sa chute !
Sur celle de gauche , c’est moins flagrant. -
CQFD. Les ralentis ne peuvent se substituer à l'appréciation en direct de l'arbitre (qui est à deux mètres de l'action).
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Je viens de voir la main de Kone. Pour moi elle reste un insondable mystère. Aucune explication ne me convainc. C'est n'importe quoi cette main !
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Ça a donné lieu à une petite séquence de Julien Cazare lors de J+1.
Assez drôle..... Et incompréhensible... -
Il n'a certainement pas envie que le Racing lève son option d'achat . D'ailleurs elle est compromise à mon avis maintenant.
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Personne n’a pu poser à Kone la question du pourquoi de sa main ?
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@Irlande : ou le contraire ! Maintenant qu'il fait boulette sur boulette, le club prêteur sera peut-être d'accord de le vendre à Strasbourg pour un prix intéressant :D
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@chrislauf : bien vu donc c'est un complot de Keller et Laurey pour l'avoir moins cher .:)
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arthas a écrit, le 17/03/2019 22:54 : Elle met surtout en lumière les arbitres qui tiennent la route et les autres. Quand un arbitre ne bronches pas sur une action qui se passe à 3 mètres de lui, et que plus de 30 secondes après il revient dessus parce qu'un but a été marqué, ça en dit long sur ses facultés de décision ...
Par ailleurs, résumer la VAR aux cas litigieux revient à éluder toutes les situations où elle permet de corriger une réelle injustice. Je me souviens de ce match où Dijon se prend carton rouge en tant que dernier défenseur + pénalty. Après visionnage des images, l'attaquant sur lequel intervenait la faute et le centreur étaient hors-jeu. Décision logiquement annulée. Ça n'a d'ailleurs pas empêché Dijon de se prendre une branlée.
Il est certain que si le préalable posé est une mauvaise qualité des arbitres… on peut aussi accepter la mauvaise qualité de la VAR :D
Le cas de Mr Delarue est intéressant car on admet généralement que la VAR permet de mettre en évidence qq chose que l’arbitre n’a pas vu… Ici, il est difficile de croire que Mr Delarue, de la manière dont il est placé, ne voit pas l’action dans sa précision et dans sa totalité : s’il ne siffle pas on peut penser avec une logique certaine qu’il estime que ce pied que repose involontairement Lala sur le Nîmois ne change pas le cours du jeu, malgré le saut de l’ange et la double fracture tibia-péroné (fantasmée) de ce dernier.
Il a vu et modifie ensuite sa propre décision. On pourrait en déduire qu’il jouit de toute sa liberté dans sa direction de match, et même qu’il sait humblement reconnaître son erreur.
C’est beau et c’est faux. En réalité Mr Delarue est seul face :
- à la tension d’une décision à prendre dans un laps de temps limité, avec la pression d’un stade entier qui retient une éventuelle colère, et des joueurs, nîmois en l’occurrence, auprès desquels il s’est sans doute déjà défaussé sur la VAR (et qui ne le ferait pas à sa place).
- au courage d’infirmer le cas échéant, l’avis de deux de ses pairs (ou supérieurs hiérarchiques ? ou dotés de prestige dans la profession ? ) qui l’ont interpellé et lui ont communiqué une tendance différente.
- et, prioritairement, à la force des images séquencées, sorties de leur contexte et martelées jusqu’à plus soif, qui auront tendance à effacer de son esprit la rapide analyse qui a motivé sa première décision.
- aux conséquences de sa décision dans la semaine qui suit, car les images de la VAR feront ensuite le tour des émissions sportives (je veux dire quand il s’agit du PSG, du club d’Aulas, etc…)
Par conséquent, l’arbitre central s’incline face à "l’évidence de la VAR". Comme déjà dit, c’est ce qu’Habib Baye soulignait durant le CFC en disant qu’avec la VAR, il y aura de plus en plus de mains sifflées dans la surface. C’est l’effet mécanique de la VAR, qui libère de manière frelatée l’arbitre du poids d’une décision tout en l'aliénant, et perturbe l’esprit du football. -
La question de @inter est vraiment pertinente ! Kone a-t-il commenté sa main totalement incompréhensible ?
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@malag, merci pour ces images en boucle, tu as raison : "Je vois un joueur qui se fait subtiliser le ballon et qui fait un magnifique plongeon ensuite".
Il prend appui sur son pied gauche pour s'élancer ensuite dans un plongeon magnifique; c'est beau mais ça nous coûte 2 points.
:D je sais, il faudrait passer à autre chose ...
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