[2010-2011] Paris FC 2-2 RCS | Après-match
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redactionCe message est une brève publiée par strohteam.
Le Racing et le Paris FC ont fait match nul 2-2. Buts d'Alexis Peuget et Tristan M'Bongo pour Strasbourg, Jawad El Hajri et Antoine Ponroy pour Paris. -
Pas possible que l'on ne soit pas capables de gagner cette rencontre alors que l'on mène encore 2-0 à la 82'
Honteux 
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ça fait 3 fois (Evian, Cannes, PFC) que le Racing prend des buts assassins dans les dernières, voire la dernière minute de jeu! faudra jouer les matches jusqu'au bout car en championnat, ça fait déjà au moins 6 points de perdus
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Effectivement cest un beau gachis et pas normal , quel manque de maturité
par contre cela arrive meme au plus grand, ce wend Manchester menait à la 89eme 3-1 à Everton Resultat 3-3 avec des buts à la 90e et 92eme .... -
Purée y a des chats noirs sur le live !!!
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No stress les amis on prend 1point chez une bonne équipe,qui marche bien en ce moment,maintenant c'est clair c'est frustrant vu la physionomie du match
.Faut absolument gagner chez nous samedi et commencer des séries positives,etre intraitable a la Meinau et grapiller le max de points a l'exterieur pour qu'a Noel on soit pas loin des premiers,ce championnat c'est un marathon,on va revenir B-)
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Des zéros ces joueurs franchement !!!
C'est pitoyable, lamentable !
Le pire c'est que je m'y attendait tellement quand il restait 10 minutes !
Franchement ça commence a bien faire, c'est encore pire que contre Cannes là. put*** c'est une honte, ce soir j'ai honte de mon équipe !
Hilalli et consort mais cassez vous sérieux, on veut une équipe à Strasbourg pas des guignols !
Maintenant faut gagner contre GAP (qui au passage à gagner 4-0) samedi soir sinon la montée on l'aura dans le Q et bien profond.
Malgré la honte et la colère je garde espoire.
Allez Racing !
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Mauvaise blague à répétition
Déjà rejoint par Cannes à la Meinau alors qu'il menait 3-1 à 17 minutes de la fin (3-3), le Racing, toujours 13 e, a laissé échapper son premier succès à l'extérieur hier à Paris, en encaissant deux buts dans les 7 dernières minutes (2-2).
Laurent Fournier a la mine des très mauvais jours. Il est 22 h 10 hier dans la salle de presse du stade Charléty et le coach du Racing rumine sa colère. Quelques instants plus tôt, son équipe vient de perdre le bénéfice d'un match globalement maîtrisé. Invaincu depuis le début de saison, le Paris FC a longtemps fait les frais de ce réalisme froid dont avaient déjà tâté, à leurs dépens, les Colmariens samedi.
D'ailleurs, les prochains adversaires du RCS vont devoir surveiller leurs arrières encore plus que d'habitude à l'approche de la mi-temps. Il y a quatre jours, Billy Ketkeophomphone avait assommé les SR Colmar en doublant la mise à la 45 e. Hier, Tristan Mbongo a frappé à son tour les deux coups dans le temps additionnel de la première période. Le Franco-Congolais a hérité du bon travail préparatoire de Loïc Damour et Ali Mathlouthi. Et quand le ballon lui est revenu presque par miracle dans les pieds, l'ancien buteur de Luzenac (17 buts en National l'an passé) ne s'est pas posé de question. Sa frappe du gauche légèrement enroulée à l'entrée des 16 m s'est logée dans le coin droit d'un Demarconnay irrémédiablement battu (45e + 1). Une délivrance pour l'ailier gauche bas-rhinois, qui attendait avec impatience sa première réalisation sous son nouveau maillot.
Comme face aux Colmariens, les Bleus viennent de faire preuve d'une implacable efficacité. Deux occasions, deux buts. Le premier a été inscrit à la demi-heure par Alexi Peuget, lui aussi buteur pour la première fois. Mathlouthi s'est arraché pour fixer trois défenseurs et servir son jeune partenaire plein axe. Un bon contrôle, une frappe croisée du droit à ras de terre et le tour est joué. Le Racing vient de se placer sur la voie d'un 2 e succès consécutif. Mbongo lui en indiquera encore un peu plus le chemin un quart d'heure plus tard.
Fournier crie à l'erreur d'arbitrage
« On monte en puissance », assurait Régis Gurtner après le succès face aux SRC. Les faits semblent lui donner raison en une soirée parisienne plutôt douce, mais qui va malheureusement pour les Bleus tourner à l'orage dans les dix dernières minutes. Assez inexplicablement, les hommes de Laurent Fournier, qui a décidé de faire tourner, sortant notamment son capitaine Loïc Damour, averti pour la 3 e fois et prochainement suspendu, vont perdre le fil. Jérémie Clément laisse la défense alsacienne sur place. Sur son centre au 2 e poteau, El Hajri, à bout portant, réduit le score (83 e). « J'espère pour lui que le juge de touche ne s'est pas trompé, parce que Clément m'a paru nettement hors jeu », pestera un Fournier rouge comme une pivoine. « L'an dernier avec Créteil, nous nous étions fait enfumer sous la neige (1-0). Cette fois, c'est à cause de l'oubli d'un hors-jeu. »
Peut-être, mais pas seulement. Les Bleus vont aussi être « victimes » de leurs propres errements. Un relâchement coupable qu'aucun d'eux ne saura justifier après coup, mais dont va profiter Ponroy à la 90 e. Sur un renvoi trop mou et plein axe, le défenseur du PFC allume un tir enroulé imparable de l'entrée des 16 m.
Pour le Racing, tout s'effondre, comme contre Cannes lorsque le géant tchèque Jan Koller l'a privé de sa première victoire à la 94 e. Sur ces deux matches, il a abandonné quatre points qui lui permettraient d'être aujourd'hui dans la roue du peloton de tête.
« Si nous sommes encore en apprentissage, il va falloir apprendre vite », martèle Alexi Peuget. C'est une évidence. Sinon, les points perdus ne se rattraperont plus.
L'Alsace -
cette équipe me fait pitié elle me donne envie de gerber
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Grosse désillusion, même scénario que face à Cannes. C'est dommage ces points pourront peut-être compter cher dans l'optique de la montée.
Mais bon, ce résultat reste tout de même encourageant: dans la continuité de Colmar l'équipe a retrouvé de l'efficacité devant le but, certains joueurs vont prendre de la confiance sur match (M'Bongo, Peuget, Marcio...), on a vu que nous sommes tout à fait capables de réaliser des coups à l'extérieur (déjà à Bastia)...
Manque plus que la petite touche d'expérience qui nous permettrait de gérer sereinement et intelligemment le déroulement d'un match. -
D'accord avec toi fuchsi, mais cela devient quand même un mal récurrent spécifique au RCS depuis quelques saisons et totalement désespérant, voire exaspérant, ce manque de concentration, pas digne de pros...
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Que de regrets !
Alors qu'il tenait son premier succès à l'extérieur depuis un bail, le Racing a craqué dans les derniers instants et laissé le Paris FC arracher le point du match nul.
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Cette égalisation est liée à 3 choses pour moi:
1. La sortie de Damour, remplacé par un Ahouéya complètement à côté de ses pompes, qui a déstabilisé l'équilibre de l'équipe.
2. Comme contre Colmar, un Racing qui fait une bonne 1ère mi-temps, lais qui est complètement dominé en seconde. Le premier but parisien arrive au moment où le Racing ne sortait plus de sa surface de réparation.
3. Un problème mental, après avoir encaissé le 1er but, les joueurs faisaient n'importe quoi, et après le second, c'était pire. On a même vu un de nos joueur tirer au but face à Gurtner
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katzo68 a écrit, le 2010-09-14 22:28:43 : Pas possible que l'on ne soit pas capables de gagner cette rencontre alors que l'on mène encore 2-0 à la 82' Honteux
On dirait le Bayern contre Manchester, horrible.
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C'est alors à l'entraineur de les remettre dans le droit chemin, si ce n'est que mental ou tactique , du gendarme .
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Oui, conan, mis à part qu'eux, cela ne leur arrive pas tout le temps
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Si Cannes bat Colmar, c'est déjà 7 points de retard sur le podium.
Avec une équipe en apprentissage, je ne vois déjà plus comment rester au contact.
Dommage de ne pas savoir conserver le score. Coaching malheureux peut être aussi ? -
superdou a écrit, le 2010-09-15 08:36:08 : Cette égalisation est liée à 3 choses pour moi:
1. La sortie de Damour, remplacé par un Ahouéya complètement à côté de ses pompes, qui a déstabilisé l'équilibre de l'équipe.
2. Comme contre Colmar, un Racing qui fait une bonne 1ère mi-temps, lais qui est complètement dominé en seconde. Le premier but parisien arrive au moment où le Racing ne sortait plus de sa surface de réparation.
3. Un problème mental, après avoir encaissé le 1er but, les joueurs faisaient n'importe quoi, et après le second, c'était pire. On a même vu un de nos joueur tirer au but face à Gurtner
Cette égalisation est surtout lié au manque d'expérience de cette équipe, douée, généreuse mais encore trop tendre. Faites la somme des matchs de matchs pros joué par ces mecs, il n'y a rien à ajouter...
Ce qui est scandaleux, c'est que l'équipe en place est incapable de jouer la montée. J'ai plus envie de gueuler contre ceux qui l'ont montée que contre les gamins qui sont sur le terrain et se font avoir comme des bleus bites...
Dans l'absolu, faire nul sur le terrain du 3e n'est pas un résultat mauvais. -
Mouais, enfin, l'inexpérience explique le 3ème point, pas pourquoi l'équipe déjoue totalement en seconde période, sans réelle raison, menant 2-0 à chaque fois, face à des adversaires alors en plein doute.
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Sinon, à noter la présence imposante de 150 à 200 supporters strasbourgeois dans le parcage, à comparer aux 800 spectateurs officiels au total, mais, en enlevant les abonnés absents, plus près de 500.
Autrement dit, les supporters du Racing étaient presque aussi nombreux que les locaux (+)
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Ben si. Une équipe de djeuns, qui ne se connaissent pas bien de surcroît, si elle gagne de 2 buts, elle s'imagine que le boulot est fait. Chacun compte alors sur l'autre. Et c'est la chute qui se profile. Bref, manque de concentration, de professionnalisme en fait.
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On dirait que le foot fait de moins en moins recette à Paris, malgré les résultats positifs en ce qui concerne le Paris FC
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O rage o chat noir ! Quand le sort nous sourira t il un jour ???
Nous avons joué le Paris FC à Charlety. Nous avons joué à domicile et nous avons perdu 2 points.
Le Racing a peut être déjoué en seconde mi temps mais le Paris FC n'a pas joué de tout le match. Notre équipe a largement le niveau de cette nationale 10/11 mais il va falloir arrêter de laisser des points en route. -
oliver a écrit, le 2010-09-15 09:17:28 : Ben si. Une équipe de djeuns, qui ne se connaissent pas bien de surcroît, si elle gagne de 2 buts, elle s'imagine que le boulot est fait. Chacun compte alors sur l'autre. Et c'est la chute qui se profile. Bref, manque de concentration, de professionnalisme en fait.
Je ne suis pas d'accord pour dire que les joueurs ont manqué de professionnalisme. Ils ont craqué dans les dix dernières minutes, c'est rageant mais de là à les traiter de zéros il y a une limite qu'il faudrait ne pas franchir. -
superdou a écrit, le 2010-09-15 09:15:10 : Sinon, à noter la présence imposante de 150 à 200 supporters strasbourgeois dans le parcage, à comparer aux 800 spectateurs officiels au total, mais, en enlevant les abonnés absents, plus près de 500.
Autrement dit, les supporters du Racing étaient presque aussi nombreux que les locaux (+)
A noté la précense de Vincent Guerrin dans le parkage Strasbourgeois.
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