Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2010-2011] RCS - Paris FC | Après-match

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Flux RSS 47 messages · 5.859 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par sylvain68

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  • Ce message est une brève publiée par rcstrasbourg67.
    Match nul (0-0) entre le Racing et le Paris FC.
    Source: France Bleu Alsace
  • Trés mauvaise opération ce soir pour le Racing.
  • Il fallait s'y attendre.
  • J'étais pas au match, pas en Alsace d'ailleurs :-s
    Quelqu'un a vu ? Ils étaient comment physiquement avec l'accumulation des matches ?
  • Derrière ma radio, j'aurais envie de dire fatigués..
  • Un non-match. Aucun joueur du racing n'est arrivé à faire la différence en 1 contre 1.

    Froid, National, 0-0, Paris FC. On en rigolera dans quelques années... (j'espère !)

    2 occas dans le match pour le racing, mais des grosses : un raté hilarant de Belvito et la balle de match pour Tchato qui tire à côté suite à une balle repoussée par le goal.

    Evidemment le Paris FC est venu jouer le 0-0 mais honnêtement leur niveau était très faible. Malheureusement le Racing a eu la mauvaise idée de jouer à ce même niveau.

    Ahoueya, Damour et Noro : tout le milieu de terrain a été très mauvais.

    Ledy a été le seul dans ce match à se bouger et à tenter des choses.

    Mathlouthi complètement invisible. Ketkeo incapable de passer un joueur et ne joue pas à son poste.

    Cette tactique du 4-5-1 à domicile, j'ai toujours du mal à comprendre. Dès qu'on a eu 2 attaquants axiaux, et même si Belvito est ce qu'il est, on sentait que ca allait un peu mieux. Mais il restait 30 minutes à ce moment là.

    On a pas le droit de laisser filer des points comme ça, surtout pas avec le retard accumulé depuis le début de saison. C'est pas encore mort mais bon on sent pas l'équipe conquérante capable de mettre le petit but à la 93ème minute comme à l'époque Papin.
  • Strasbourg et Paris sont les champions des matchs nuls cette saison en National....

    Mais ce soir le match etait nul dans les 2 sens, pas d'envie (manque de fraicheur ??) en première mi tps.
    Que dire des joueurs..

    En défense : un marcio pas très rassurant dans ces transmissions, les 3 autres défenseurs ont essayé d'apporter offensivement mais sans réussite.

    Au milieu : Ahoueya qui a ratisse pas mal de ballons, Noro a essaye de diriger le jeu, Damour qui s'est bien battu mais l'equipe du PFC les a gérer sans s 'affoler

    En attaque ; Ketkeo qui a affolé un peu son défenseur sur quelques accélérations, Ledy qui s 'est battu comme à son habitude, Ali il a pas touché beaucoup de ballon s'est heurté à une défense très solide du PFC.

    Les entrants Belvito et Yenga : 30 minutes de jeu et peu de chose à dire.
  • Oui, bon, match nul en tout sens. Mais n'oublions qu'il manquait :

    http://img36.imageshack.us/img36/5946/sikimic.jpg
  • On aurait du les bouffer,ils étaient largement à notre portée,on vient de rater une grosse occasion de se rapprocher et de mettre la pression sur Guingamp :(
  • j'ai pas bien vu j'étais de l'autre coté mais il me semble qu'un attaquant du racing est arrivé à tirer a coté du but vide non ?
  • Il fallait être à la Meinau ce soir...si vous souhaitiez avoir un aperçu de ce qu'est le National. Haché, âpre, dur, long, froid et fade. Le Racing a cruellement manqué d'imagination et de fraîcheur dans ce match face à une équipe du Paris FC dont, il est vrai, la piètre qualité n'invitait pas au dépassement de soi.

    Pendant les premières minutes planait l'absence de Milo, l'homme de fer. La défense orpheline de sa sentinelle se cherchait. Marcio semblait très fébrile et manquait d'automatismes avec Outrebon. Le milieu m'a paru inexistant, ce qui donnait une impression d'espaces trop grands entre les lignes. De trop nombreuses erreurs de relance ont émaillé cette première période au cours de laquelle le Racing n'a pas suffisamment cherché à avancer, pratiquant un jeu latéral et plutôt stérile, malgré une période de pression plus importante, entre la 25e et la 35e. Dommage de n'avoir pas su faire la différence à ce moment là.

    La seconde période a démarré sur un rythme intéressant, le Racing témoignant d'une supériorité technique incontestable sur le Paris FC mais ne se procurant que peu d'occasions nettes. L'embellie n'a malheureusement pas duré longtemps, et les Bleus se sont épuisés, un peu à la manière d'une équipe de handball, à force de tourner autour de la défense et du milieu parisiens très regroupés et bien organisés, bien que cédant parfois à la panique.
    Les rentrées de Yenga et de Belvito (un peu plus intéressant dans son rôle de point de fixation que lors de ses précédentes apparitions, même s'il vendange l'immanquable) n'y ont rien changé, le match s'achevant sur un triste score nul et vierge.

    Au rang des satisfactions : Gurtner, qui aurait eu le temps de faire du tricot ce soir, est à gratifier d'un superbe arrêt sur une frappe parisienne. La charnière centrale, très inquiétante en début de rencontre, s'est améliorée par la suite malgré quelques approximations. On notera un superbe tacle glissé d'Outrebon, encore une fois fidèle à lui-même : impeccable en défense, mais plus laborieux à la relance. Ledy a encore une fois démontré qu'il a pris du volume, et son envie fait plaisir à voir. Il ne lâche jamais l'affaire et fait honneur au maillot bleu. Donzelot est également à ranger dans la catégorie des « guerriers ».

    Le milieu a réalisé un match décevant : Ahouéya a joué en-dessous de son niveau habituel, et Damour dans un positionnement un peu étrange, plus avancé, ce qui n'a pas contribué à densifier le milieu, sans pour autant apporter des solutions offensives.

    Noro était un peu à l'image de l'équipe ce soir : la qualité est évidente, mais tout a paru compliqué et poussif, certainement le résultat de la fatigue liée au marathon de ce début d'année 2011.

    Au rang de l'attaque, pas grand-chose à se mettre sous la dent. C'est frustrant, car je pense qu'il y avait vraiment la place pour l'emporter ce soir, tant le Paris FC m'a paru faible et dépassé lorsque, trop rarement, le Racing a appuyé sur le champignon.

    Il va falloir chercher une victoire à Gap, pour ne pas être décroché, car avec un match en plus que ses devanciers, le Racing n'est pas aussi proche du podium qu'il en a l'air.
  • Un Racing mollasson face à un PFC plutôt à l'aise défensivement, sans avoir recours aux trucages et mesquineries d'Amiens ou Rouen (comme quoi, c'est possible). Deux frappes cadrées à une, yeeaah.... Et c'était encore celle du PFC la plus belle.

    Assez déçu par Ketkeo notamment. Il a vraiment un super toucher de balle mais n'en fait rien faute d'appels et de provocation. Mais c'est un reproche qui peut s'étendre à toute notre ligne d'attaque ce soir, avec un petit bémol sur Ledy qui était une fois de plus le combatif et entreprenant.
  • trois stadiers en tout et on n'est plus fouillé à l'entrée b-(
  • Ben simplement au vu du résumé de StrasTV, je vois qu'il y a eu son petit lot de ballons chauds et ça donne l'impression de ce genre de match ou il faut un peu de chance pour en mettre une au fond et qui fait la différence en fin de saison quand on le gagne. Triste aussi que Fournier ne se soit pas attendu à avoir un équipe regroupées derrière (vu que beaucoup ont déjà réussi avec cette tactique là à la Meinau) et aligne une compo un peu frileuse. Ce genre d'occasion de se rapprocher aussi vite du podium ne se présenteront plus très souvent. Dommage pour cette équipe parmi les plus attachantes de l'histoire du Racing depuis 31 ans.
  • La tête dans le mur

    http://www.lalsace.fr/fr/images/C1B21667-CC6E-4D0F-AF10-CC198BABE...

    Entré en jeu à la 62e minute, Nicolas Belvito a tenté d'apporter un nouveau souffle à l'attaque strasbourgeoise. En vain puisque les Parisiens d'Antoine Ponroy n'ont rien lâché. Photo Jean-Marc Loos

    Le RCS s'est cassé les dents hier à la Meinau sur la carapace d'un PFC tortue (0-0). Arrêté par le mur parisien, il a perdu deux points importants dans la course à l'accession, mais revient tout de même à trois longueurs du podium, avec certes un match de plus.

    Évidemment, le Racing ne peut pas tout gagner. S'il ne constitue pas la bonne opération escomptée, le nul concédé hier à la Meinau face à un Paris FC venu chercher le 0-0 et tout content de repartir avec n'est pas non plus un cataclysme. Invaincus depuis six rencontres, les hommes de Laurent Fournier ont tout de même récolté 14 points sur 18. Mais comme le disait David Ledy à la sortie des vestiaires, « ce sont deux points perdus qu'il va falloir récupérer à l'extérieur, si possible dès vendredi à Gap qui va sûrement nous laisser venir aussi. »

    Il faut dire qu'en ce frisquet samedi soir, le Paris FC a tout de suite annoncé la couleur. Disposé dans un prudent schéma en 4-1-4-1, il abandonne la possession du ballon à un RCS amputé de Milovan Sikimic, contraint de déclarer forfait après l'échauffement (voir ci-dessous). Du coup, Julien Outrebon, en délicatesse avec sa cheville droite, doit serrer les dents alors que lui aussi était proche du renoncement après un échauffement personnalisé. Le capitaine d'un jour fait ainsi équipe en défense centrale avec Marcio, Yohan Betsch étant ajouté à la hâte sur la feuille de match.

    On l'a dit : Paris n'est guère disposé à faire dans la dentelle. Plus – sans doute – à cause de ses limites actuelles (1 victoire sur ses 8 derniers matches) que par choix délibéré. Dans la toile d'araignée tissée devant le but de Demarconnay, les Strasbourgeois s'engluent. Seuls deux coups francs de Noro juste au-dessus (17 e) et dans les bras du portier du PFC (25 e) font légèrement frémir une Meinau qui s'ennuie. Jamais, cette saison, une équipe n'avait autant cherché à détruire que le PFC.

    Les Bleus ont donc la main sur le match et le pied sur le ballon. Mais ils en font un usage improductif, malgré la bonne volonté d'un Noro qui s'efforce de mettre ses partenaires sur orbite et d'un Ledy qui se démultiplie. Au basket, le Haut-Rhinois aurait explosé toutes les stats de fautes provoquées.

    « Un match de m... »

    Conscient que son équipe, pas à l'abri d'un mauvais coup, comme sur cette frappe en pivot de Meye stoppée par Gurtner (26 e), peine à trouver la profondeur et à créer des décalages, Laurent Fournier va, sitôt l'heure de jeu, renforcer son secteur offensif en lançant simultanément Yenga et Belvito. Ce dernier est d'ailleurs tout près de trouver l'ouverture six minutes plus tard, mais excentré après avoir résisté à Clément et Demarconnay, il rate la cible à seulement six mètres (68 e).

    Paris, qui n'a vraiment rien de magique, guette, lui, le moindre trou de souris. Touré est tout près de s'y engouffrer, mais sa frappe tendue de 20 bons mètres est écartée par une superbe parade horizontale de Gurtner sur sa gauche (71 e).

    Dans le sillage d'un Noro qui déclenche un tir puissant de 25 m sorti par Demarconnay et dont Tchato expédie la reprise d'un rien à côté (81 e), jamais les Bleus ne renonceront. En témoigne encore cette volée d'Outrebon stoppée par le portier du PFC (90 e + 5). Mais jamais non plus ils ne réussiront pas à décapsuler la carapace de la tortue parisienne. Dans une fin de rencontre qui sent le piège à plein nez, au moins auront-ils l'intelligence de ne pas tomber dedans. « On peut très bien perdre », s'efforce de positiver un Laurent Fournier aussi frustré que ses joueurs. « C'était un match de m... Mais il y en a aussi en Ligue 1. On reprend tout de même un point à Guingamp. Il reste 14 matches. On est dans la course. »

    La course poursuite, surtout. Quand on part d'aussi loin, le plus dur est toujours de ne pas s'essouffler. L'histoire dira si le nul d'hier n'est qu'un simple contretemps.

    L'Alsace
  • « Déçus, mais pas abattus »

    Conscients d'être passés à côté d'une belle opération, les Strasbourgeois se refusent à voir le nul d'hier comme un coup d'arrêt.

    Deux points lâchés à domicile alors que la bataille fait rage aux avant-postes, un Milovan Sikimic dont la blessure derrière le genou droit s'est aggravée à l'échauffement (1), un Julien Outrebon qui a joué sur une jambe et écopé d'un avertissement (le 3 e après ceux reçus en Coupe de France à Thaon-les-Vosges et contre Évian) qui lui vaudra d'être suspendu le samedi 5 mars contre Gueugnon : cette 27 e journée n'a pas vraiment souri aux Strasbourgeois hier.

    À l'issue de débats rendus pénibles par un Paris FC « qui a déjoué et défendu à onze » (dixit Billy Ketkeophomphone), les Bleus sont d'ailleurs aussi frustrés que déçus par ce 7 e nul concédé à la Meinau (pour six victoires). « Nous avons cherché à jouer, à trouver les intervalles, mais sans réussite », analyse le jeune attaquant franco-laotien, « Il faut continuer, ne pas baisser les bras, même si ces deux points perdus peuvent valoir très cher et nous manquer en fin de saison. »

    Pendant que « Ketkeo » voit la bouteille aux deux tiers vide, son partenaire Nicolas Belvito, entré à l'heure de jeu, préfère la considérer au tiers pleine. « C'est quand même un point pris. Si ça se trouve, c'est le point qui nous apporter le petit plus supplémentaire pour accrocher le podium à la fin. On a vécu un match fermé. On s'y attendait un peu quand on a vu la composition de leur équipe, à cinq derrière. Ça a été une attaque-défense. Nous avons eu le monopole du ballon, mais un peu manqué de jus. Nous sommes déçus, mais pas abattus. »

    Abattu, l'entraîneur parisien Jean-Luc Vannuchi est loin de l'être. Dans cette période de vaches maigres que traverse son équipe, un point à Strasbourg est, selon lui, « une bonne affaire. Nous avons défendu tous ensemble. C'était une attaque-défense quasiment tout le match et nous aurions même pu réaliser le hold-up. On n'a pas été trop en danger non plus. Il y a des moments dans une saison où on est moins bien. C'est valable pour Paris ces temps-ci. On ne joue plus la montée. »

    « C'était pénible à regarder »

    Tout le contraire d'un Racing qui, pour avoir abandonné deux points, n'en a pas moins repris un à un En Avant Guingamp en chute libre (trois défaites de rang) et désormais 3 e. « C'était pénible à regarder », observe Laurent Fournier, « On aurait même pu prendre un but sur un contre. À la lecture de la compo, je savais que le PFC allait jouer de façon ultra défensive. Nos prochains adversaires en feront peut-être de même, mais n'auront sans doute pas les qualités individuelles de Sankharé et Besnard qui sont montés en Ligue 2 avec Nîmes ou Ponroy qui jouait à Évian. »

    Peut-être pas, en effet. Mais dans la situation du RCS, le pedigree de l'adversaire importe peu. La lumière viendra - si elle doit venir - de ses propres prestations.

    (1)« Je vais passer une IRM lundi. J'ai senti un craquement, mais au moins une chose est-elle sûre : ce ne sont pas les croisés », confiait le Serbe après le match.

    L'Alsace
  • Impuissants.
    Confirmation du match de Colmar dans le jeu, peu d'idées dans l'animation offensive.
    Il nous a quand même fallu presque 20 mn pour comprendre que vu la taille des défenseurs parisiens ça ne servait à rien de balancer vers Ledy, Noro ou Ali #-o Nos latéraux n'arrivent pas à déborder, tout semble manquer un peu d'énergie...

    Dommage, bonne ambiance dans les tribunes et c'était l'occasion de mettre la pression sur nos concurrents. Frustrant :(
  • Comme d'habitude ! quand il faut etre présent...ils ne le sont pas :-w
  • Puis 2 mains parisiennes non sifflées dans la surface...
  • et en plus les strasbourgois sont une bande de connare que ce branle

    Edit de modération : la prochaine fois c'est la porte.
  • On avait une très bonne dynamique c'est vraiment dommage...j'espère que les deux points ne vont pas compter pour la montée..
  • Rendez-vous en fin de saison pour le savoir.....
  • Le non match est vraiment le terme le plus approprié, tant la prestation du Racing a été insignifiante. Le Paris FC était bien en place, mais la victoire était tout à fait envisageable en accélérant un tout petit peu. Or, le jeu offensif était d'une pauvreté sans nom: aucun mouvement, aucune proposition pour le porteur, des passes en retrait ou latérale. Comme zvain, je pense que la tactique en 4-2-3-1 à domicile n'est pas forcément adaptée à des adversaires dont le seul objectif est le 0-0, surtout quand on a encore des Yenga (même si son entrée a été fantomatique) et des Belvito sur le banc. Quand on voit que Damour peine à orienter le jeu vers l'avant et que Noro peut évoluer en relayeur sans problèmes, un vrai 4-4-2 m'aurait bien plus convaincu.
    Maintenant, il s'agit d'oublier cette déception et prendre 9 points sur les 3 prochains matchs. La montée passe par là.
  • Vendredi prochain il faudra absolument passer un Gap!!! Facile je sais!!! b-(
  • father-tom a écrit, le 2011-02-20 09:03:23 :
    Puis 2 mains parisiennes non sifflées dans la surface...


    Fort logiquement, puisque non volontaires.
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