Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Racing saison 2009/2010

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  • zottel a écrit, le 2010-05-22 15:19:23 :
    En début de saison, oui. Plus après. L'équipe s'est aussi pas mal stabilisé avec l'arrivée de Strasser. Mais on a fini la plupart des matchs de la saison à l'usure.


    Voilà pourquoi on ne peut rien dire comment ça se serait passé si Gress était resté à la tête de l'équipe sur ce point de vue bien sur.
  • On ne saura jamais, vu qu'il n'a pas souhaité poursuivre l'aventure... 6-1 à Istres quand même pour le premier match... :-s
  • Tout au long de la saison on a frôlé des corrections du genre, hormis lorsque les joueurs ont joués contre les grosses écuries certainement pour interesser les éventuels recruteurs.
  • Mouais. Si ils avaient bossé pareil, Papin aurait eu les mêmes critiques en 2006, au moins des types qui passaient en EdF, comme Gueye. Et en 2009, on aurait des échos positifs de la préparation tout l'année. J'ai pas entendu dire que c'était le cas.

    D'ailleurs le démarrage sous Papin, c'est en août (ce qui était gérable pour la montée). Cette année, ils tiraient encore la patte à la Toussaint. Je trouve pas ça comparable tout ça, mais bon.
  • jamal a écrit, le 2010-05-22 15:31:22 :
    Tout au long de la saison on a frôlé des corrections du genre, hormis lorsque les joueurs ont joués contre les grosses écuries certainement pour interesser les éventuels recruteurs.


    C'est précisément la raison pour laquelle je répète que les premiers responsables sont avant tout ces connards de joueurs.

    Après, qu'un vieil arrogant ai bavé sur le club durant des années, est arrivé en disant "vous allez vois comment je vais faire, tas de cons" et persiste encore à faire le beau alors qu'il s'est gaufré en beauté, cela relève de l'anecdotique finalement. Ca serait drôle si ce n'était pas la Légende du club qui s'était ridiculisé...
  • zottel a écrit, le 2010-05-22 15:32:27 :
    Mouais. Si ils avaient bossé pareil, Papin aurait eu les mêmes critiques en 2006, au moins des types qui passaient en EdF, comme Gueye. Et en 2009, on aurait des échos positifs de la préparation tout l'année. J'ai pas entendu dire que c'était le cas.

    D'ailleurs le démarrage sous Papin, c'est en août (ce qui était gérable pour la montée). Cette année, ils tiraient encore la patte à la Toussaint. Je trouve pas ça comparable tout ça, mais bon.

    Au fait, PAPIN il est libre :) on le critiquait mais en fin de compte, c'est quand meme un bon entraineur.
  • Pas forcément bon. Mais on a eu pire.
    Là où on est, de toute façon...
  • Pourquoi pas lui, le Racing est à la recherche d'un entraineur, avec sa volonté de vaincre, il pourrait nous faire remonter en L2.
  • La saison 2009-2010 en photos

    Retour en images sur une saison noire, mais néanmoins jalonnée de rebondissements hauts en couleurs.

    Sortez les lunettes de soleil, voici les plus belles photos, les plus fortes, les plus symboliques...


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  • Bilan 2009-2010 : les joueurs (1/2)

    Trente joueurs ont au moins joué un match pour le RCS et le bilan n'est pas fameux pour la plupart. Aujourd'hui, voyons les joueurs défensifs.

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  • Jamais d'attaque

    http://www.lalsace.fr/fr/images/get.aspx?iMedia=18692254

    La politique à courte vue des dirigeants successifs a privé le Racing d'un renfort offensif de poids (comme le Toulousain Xavier Pentecôte, prêté à Bastia et bourreau du Racing à Furiani le 23 avril dernier) qui aurait pu lui éviter de sombrer pour la première fois de son histoire en National. PhotoPQR/Nice Matin/Gérard Baldocchi

    Du 30 octobre au 1 er février, Pascal Janin a réclamé en vain le recrutement d'un buteur. Et quand la bise est venue, avec les blessures de Nicolas Fauvergue et Magaye Gueye, le RCS s'est retrouvé fort dépourvu. Relégué en National pour la première fois, il a payé cher son manque d'investissement sur un goleador patenté. Voici le 4 e et dernier volet de notre série intitulée « L'enfer du décor ».

    C'est aujourd'hui lundi de Pentecôte. Pour le Racing, ç'aurait pu être le semestre de Pentecôte. Du nom, évidemment, de l'attaquant de Toulouse, Xavier Pentecôte, que le club strasbourgeois a courtisé durant le mercato d'hiver pour renforcer un compartiment offensif « Nicolas Fauvergue dépendant ».

    Interdit de recrutement à titre onéreux et placé sous masse salariale contrôlée par la DNCG (1), le RCS se démène à l'époque pour donner satisfaction à un Pascal Janin qui, malgré des résultats en progrès (7 matches sans défaite - 3 victoires, 4 nuls - entre le 15 janvier et le 26 février), tire toujours la sonnette d'alarme.

    Cette sonnette, le coach l'a actionnée pour la première fois le 30 octobre, un soir de revers à Metz (0-1). Ce jour-là, Fauvergue, malade, ne joue pas. « Nous nous sentons trop inoffensifs quand Nico n'est pas là », déplore-t-il alors, « En attaque, nous n'avons pas assez de réserves, pas de buteur vraiment confirmé. Pour le bien de l'équipe et du club, il serait bon qu'un joker offensif vienne nous aider. »

    « Nous n'avions qu'un seul véritable 9 »

    Trois mois plus tard, à la clôture du mercato hivernal le 1 er février, seul Basile De Carvalho, rattrapé par la manche dans les dernières heures et dont le profil ne correspond pas au renard des surfaces recherché, a été engagé. « Quand j'ai réclamé un joker fin octobre, le président Philippe Ginestet se préparait à revendre le club et n'avait pas envie d'investir, ce qui peut se comprendre », rappelle Janin avec le recul, « Ensuite, les nouveaux actionnaires ont sans doute été surpris par les exigences de la DNCG et nous nous sommes retrouvés coincés. Nous avions coché sur nos listes Xavier Pentecôte, le Nantais Claudiu Keseru et le Monégasque Serge Gakpe. J'ai eu les deux premiers au téléphone. Keserü a choisi Angers. Gakpe, dont l'agent avait été contacté par le club, a signé à Tours. Et, surtout, Pentecôte, qui connaissait certes Bastia pour y avoir déjà joué, a préféré, à ma grande surprise, rejoindre le club corse, pourtant presque condamné. Je peux comprendre qu'il n'ait pas eu envie d'attendre que nous dégagions de la masse salariale pour le prendre. Il a failli sauver le Sporting à lui tout seul (12 buts en 15 matches). Il aurait pu être à la fois un complément et un suppléant pour Nicolas. Dans notre effectif, nous n'avions qu'un seul vrai 9. Quand Nico n'était pas là, nous aurions pu jouer des heures et des heures sans marquer. Tous les présidents successifs l'ont admis. »

    En janvier, Luc Dayan et Pascal Janin s'unissent pourtant pour trouver des solutions. « À l'époque, je n'ai pas pu aller au bout de ce que je voulais », regrette l'ex-chargé de mission, « Je me souviens très bien que le jeudi 28, on m'a demandé de quitter le club. Avec Pascal, nous avions identifié les joueurs de qualité qui pouvaient nous rejoindre et ceux de notre effectif susceptibles de nous quitter. Le mercredi, nous avions avancé dans les négociations, mais dès le lendemain, Julien Fournier est revenu aux affaires, sans être informé de ce que nous préparions. Comme nous ignorions d'ailleurs nous-mêmes que Ralph Isenegger (Ndlr : l'avocat genevois au coeur du processus de rachat du club en décembre) allait essayer en toute fin de mercato de passer en force sur des joueurs qu'il avait choisis. »

    « Quand on fait mal les choses, ça coûte cher »

    En à peine trois jours - en fait surtout le lundi 1 er février - Fournier sauvera les meubles. « Sans remettre en cause les qualités d'Albert Baning, nous n'avions pas besoin d'un milieu récupérateur », rappelait l'ancien président il y a quelque temps, « Il aurait mieux valu recruter deux attaquants, dont un buteur. »

    Pascal Janin ne le contredira pas. « En fait, Albert avait été recruté pour pallier le départ de Rodrigo à Nantes qui ne s'est jamais concrétisé. Du coup, nous avons été bloqués pour recruter devant. Un seul attaquant aurait suffi pour se sauver. Mais avec deux, dont un meneur de jeu, nous aurions pu remonter encore plus sensiblement la pente. Le sportif a été négligé et ça nous est revenu en pleine bouille de façon logique. Quand on fait mal les choses, même si ce n'est pas volontaire et si c'est par méconnaissance, ça peut coûter très cher. Aujourd'hui, ça nous coûte cher. »

    Bien plus en tout cas qu'un investissement judicieux au moment opportun sur un chasseur de buts. « Nous sommes tous responsables, tous mouillés », admet P. Janin, « Mais le club n'en serait pas là avec un mercato d'hiver réussi. Maintenant, il faut trouver les solutions pour le faire remonter. »

    Le Racing est aujourd'hui en National pour avoir « mal fait les choses » toute la saison. Ses détracteurs diront sans doute que quelque part, c'est bien fait.

    Stéphane Godin
    (1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.

    L'Alsace
  • Un diagnostic sans remède

    Du stage d'avant-saison à Amphion-les-Bains à l'épilogue fatal du 14 mai, les lacunes offensives du RCS ont constamment été pointées du doigt. Sans jamais être comblées.

    Dans les jours qui suivent la reprise de l'entraînement le 23 juin 2009, l'évidence saute déjà aux yeux. Aux premiers jours d'un été pas encore pourri, Gilbert Gress, dont la préparation et le mode de management ne recueilleront certes jamais l'adhésion du groupe, établit ce diagnostic prémonitoire. « Trois joueurs qui avaient inscrit 30 buts la saison passée sont partis (Ndlr : 13 pour James Fanchone, 11 pour Kandia Traoré et 6 pour Renaud Cohade) et n'ont pas été remplacés. C'est l'évidence : il nous faut un ou deux buteurs. » (« L'Alsace » du 8 juillet 2009)

    Un seul arrivera : Nicolas Fauvergue, deux jours avant l'ouverture en L 2. « Pourtant, nous n'avions pas été les seuls à dresser ce constat », se souvient Pascal Janin, « Le soir de notre victoire en amical contre Colmar à Eckbolsheim (2-1 le 15 juillet), le président Philippe Ginestet avait déclaré avoir assisté à une rencontre entre deux équipes de CFA. Nos carences offensives sont apparues au grand jour durant toute la préparation. Toute la ligne d'attaque de l'année précédente avait été démantelée. Le seul recrutement de Nicolas (Ndlr : sur lequel Gress avait freiné durant trois semaines) ne pouvait suffire à compenser. »

    Un préjudiciable bras de feravec la DNCG

    Cinq mois plus tard, à l'aube d'un crucial mercato hivernal, le Racing, qui a commencé à relever la tête sur le terrain, s'enfonce chaque jour un peu plus en coulisses. Les pourparlers pour sa revente battent leur plein. Les nouveaux propriétaires londoniens refusent de céder à l'injonction de la DNCG d'injecter trois millions d'euros sur le compte courant du club. Le recrutement est paralysé (voir ci-dessus). Et quand, enfin, le 26 janvier, les actionnaires majoritaires, contraints et forcés, procèdent au virement, Luc Dayan, arrivé le 28 décembre et pas encore président de la SASP, n'insiste pas pour demander la levée des contraintes imposées par le gendarme financier de la LFP. « Le président de la DNCG, avec qui nous avions pris contact, nous avait dit que ce n'était pas possible. Mais indépendamment de ça, compte tenu de la situation financière délicate du club, alors menacé de rétrogradation administrative, il ne m'était pas apparu très opportun de partir dans une logique d'investissements. »

    Le 28 janvier, Dayan est prié de prendre du recul. Julien Fournier ressort du placard et, en quelques jours, remet de l'ordre dans des transferts mal ficelés (Albert Baning) ou au montage douteux (une commission d'agent de 75 000 euros pour l'arrivée en prêt - finalement annulée - du Ghanéen Gladson Awako, dont le coût salarial pour cinq mois n'excède pas... 40 000 euros).

    Le 9 janvier, Magaye Gueye s'est blessé contre Lyon en Coupe de France. Le 19 février face à Clermont, Nicolas Fauvergue quitte le terrain, victime d'une entorse de la cheville gauche. Les deux buteurs ne réapparaîtront respectivement que fin mars et début avril. Ils marqueront contre Dijon, avant que « Nico », touché à la cuisse, ne rate les trois derniers matches. Avec le préjudice que l'on sait.


    La phrase

    « Si Julien Fournier a besoin d'un million d'euros pour recruter un joueur, nous le lui donnerons. L'objectif est de restructurer l'équipe pour la rendre compétitive. Nous injecterons ce qui est nécessaire pour que Julien puisse redresser le club. » D'Alain Fontenla, nouveau propriétaire du Racing lors de sa première visite à Strasbourg (« L'Alsace » du 11 décembre), avant le dernier mercato d'hiver.


    Le chiffre
    42

    Le Racing a inscrit 42 buts cette saison en Ligue 2, dont 22 pour le tandem Nicolas Fauvergue - Magaye Gueye (respectivement 13 et 9). « Sur l'aspect défensif, même si tout n'a évidemment pas été parfait, nous n'avons pas encaissé beaucoup plus de buts que la saison précédente lorsque l'équipe avait raté la montée d'un point et terminé 4e avec 65 points », met en lumière Pascal Janin, « À l'époque, elle avait pris 45 buts. Cette année, nous en avons concédé 49, quatre de plus seulement, alors que nous finissons 19 es et descendons. Il n'est pas difficile de comprendre que nous avons péché offensivement, avec seulement 42 buts inscrits contre 57 en 2008-2009. »

    L'Alsace
  • Bilan 2009-2010 : les joueurs (2/2)

    Heureusement que ça sent le Fauv' en attaque. Le reste, c'est rien que des éclopés.

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  • Bilan 2009/2010 (1/3)

    Avant même de frapper le moindre ballon, le Racing s'était déjà tiré une immense rafale dans le pied. Retour sur un été en pente douce.

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  • Bravo, ça n'a pas dû être facile de pondre un article équilibré sur ce début de saison de tordu.
  • Bilan 2009-2010 (2/3)

    Un redressement sportif qui se fait attendre et des coulisses plus tortueuses que jamais, c'est le Racing de l'automne 2009.

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  • Bilan 2009-2010 (3/3)

    Étonnamment productif durant un hiver très troublé, le Racing finit par s'écrouler au printemps alors même que tribunes et coulisses retrouvent un certain calme. Retour sur une fin de saison paradoxale.

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  • L'abécédaire de la saison 2009-2010 (1/4)

    La saison du Racing en toute lettre. De A à F.

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  • L'abécédaire de la saison 2009-2010 (2/4)

    De Gress à Maintien, le dico du Racing Club de Strasbourg à la portée de tous.

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  • L'abécédaire de la saison 2009-2010 (3/4)

    Où l'on fait la fête de NRJ, jusqu'au Shadok, en passant par...quinquennat.

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  • L'abécédaire de la saison 2009-2010 (4/4)

    Suite et fin de cet abécédaire : de T comme texto à Z comme Zahia.

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  • Il était temps que ça se termine cette série. Vraiment pas fastoche comme exercice, et plutôt mécontent de moi.
    C'est lourdeau, pas rythmé, une demi-vanne par article et encore. D'ailleurs le nombre de lectures et de votes décroissants est bien représentatif.
    Ni fait, ni à faire.
    (-)
  • D'accord avec [login=oudin démission]!
    J'ai lu seulement le tome 1, c'était plutôt drôle.
  • Courbis sort de l'ombre

    Lundi 17 mai 2010. « L'Alsace » révèle qu'à la demande des propriétaires du Racing, Rolland Courbis, alors sous contrôle électronique après sa condamnation dans le procès des comptes de l'OM et assigné à résidence à Montpellier, a adressé le mardi précédent un fax à la Meinau détaillant la composition de l'équipe pour le match du 14 à Châteauroux. Pascal Janin a rejeté le document.

    Le lendemain dans « L'Equipe », Courbis et le président Jean-Claude Plessis démentent en bloc (voir ci-dessous). Le technicien niera même tout contact avec Hilali et les autres depuis deux mois. Un an plus tard, la direction anglaise reproche à Janin de n'avoir pas obtempéré.

    Voici les griefs exacts qui lui sont adressés sur le sujet : « Vu la position très inquiétante au classement du club et le manque de résultats chroniques à l'extérieur, il était du devoir de l'équipe dirigeante et de ses actionnaires de référence d'apporter des solutions. Dans ce contexte, nous avons demandé à M. Rolland Courbis, à titre gracieux, d'être le conseiller sportif du club et de faire profiter le Racing de son expérience professionnelle dans les situations de crise, de stress et de manque de résultats au niveau du foot. Comme vous l'avait confirmé Jafar Hilali [...], M. Courbis, n'ayant pas le droit d'exercer en tant qu'entraîneur, ne pouvait en rien menacer votre poste. Il voulait seulement nous aider et conseiller le Racing sans aucune contrepartie. Cependant et malgré la demande qui vous en était faite par la direction, vous avez refusé de prendre en compte ses conseils et vous êtes enfermé dans une stratégie défensive à l'extrême, très destructive et inefficace. Ce faisant, vous avez manifesté de façon explicite votre refus de suivre les instructions de la direction, contrairement aux dispositions de votre contrat de travail qui indique dans son article 5.4 : Pascal Janin s'engage à respecter directement les instructions du président, du directeur général ou de leurs représentants [...] ».

    Lundi 17 mai 2010 donc. Les révélations de « L'Alsace » font l'effet d'une bombe à la Meinau. Le lendemain, Rolland Courbis et le président du Racing Jean-Claude Plessis jurent dans « L'Équipe » leurs grands dieux qu'elles ne sont qu'affabulations. Tout juste le consultant de RMC reconnaît-il avoir appelé Guillaume Lacour.

    Un an plus tard, la direction londonienne reproche à Pascal Janin de n'avoir pas appliqué les consignes de Courbis et prouve une fois de plus que les démentis n'engagent toujours que ceux qui les croient. Voici l'extrait du quotidien sportif qui contredit la version donnée par « L'Alsace » la veille.

    « L'Équipe » du 18 mai 2010. « Je l'ai appelé (Guillaume Lacour), oui, mais pour lui souhaiter bonne chance. Je n'ai donné aucune consigne », assure-t-il (Courbis). Quant à un supposé service commandé, il est catégorique : « Ce sont des conneries. Début mars, j'ai discuté avec Jafar Hilali (coactionnaire avec Fontenla). On m'a proposé de venir pour les six derniers matches, mais j'ai refusé, ça ne m'intéressait ni pour cette saison ni pour la prochaine, je ne suis pas un magicien. En tout cas, depuis deux mois, je n'ai eu aucun contact avec les dirigeants. »

    Ce que Plessis confirme, au moins pour ce qui le concerne : « J'ai beaucoup d'amitié pour lui, mais franchement, vous voyez Courbis à Strasbourg, avec son bracelet électronique. Mes actionnaires sont parfois surprenants... Dès que je suis arrivé, j'ai mis le holà. Et je jure que j'ignorais que Courbis avait appelé Lacour. »

    L'Alsace
  • katzo68 a écrit, le 2011-05-09 07:15:46 :
    Courbis sort de l'ombre
    ......
    L'Alsace

    En finesse Godin sur ce titre.


    Eh bien retournes y! A l'ombre! X-( X-(
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