Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[Départ][Officiel] Gilbert Gress

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Flux RSS 210 messages · 17.182 lectures · Premier message par racing67400 · Dernier message par moderateur

  • Qu'il parte Gress, j'ai rien contre lui, mais ça marchera pas...
  • Il faut vraiment être tombé sur la tête pour prendre comme entraineur Gress . Les années 39-45 sont passées , il y a eu de l'évolution dans tout les milieux y compris dans celui du foot .

    Mr GINESTET , n'est également pas à sa place sinon il aurait compris que son frère était une bille . Il a préféré démissionné du poste de Président mais resté dans le conseil d'administration .

    Cette situation me fait pensé aux années André Bord :|s :|s :|s :|s :|s
  • Faut pas être tombé sur la tête, c'est le seul entraîneur qui a réussi au Racing, mais je pense qu'avec un Duguépéroux, Papin où Fernandez ça serait mieux ..
  • Il y a un malaise général et cela date depuis le soir de la non montée . Ils y a des personnes qui sont au club uniquement par intérêt . Sans être méchant , Gress n'avait pas à revenir . Jamais je n'ai vu dans un club qu'un entraineur reveanit pour la troisième fois , et surtout qu'à chaque fois , il se met tout le monde à dos .

    Amicalement
  • Virer gress me semble plus facile et plus rapide par contre trouver un repreneur pouvant allonger quelques millions sur le tapis et que ginestet le veuille c est une autre affaire
    c'est le dernier choix que j'ai cocher au sondage mais bon je pense pour le salut de notre club chéri je pense que ce devrait être les 2 parties qui devraient tirer leur reverance.

    Quel bordel ce club, rembourse moi mon abo! Lol
  • On nous prends vraiment pour des chèvres .
    Ou est la fièrté Alsacienne ?

    Ou le respect des supporters ? qui pour certains prennent congés pour se rendre au stade et j'en passe

    Pour infos , j'habite Troyes et je n'ai raté aucun match à la meinau l'année dernière . Cette année je n'ai pas repris d'abonnement , tout simplement parceque j'en ai marre des promesses non tenues depuis plus de 15 ans !

    Je me répète encore , ce n'est pas un problème de joueurs , mais un problème interne au club au niveau de la direction et cela depuis des années .

    Amicalement
  • Hônnetement je pense que n'importe quel entraîneur pourrait être au Racing, il n'arriverai à rien..Tellement que c'est le Bordel en interne, même Guardiola, Ginestet le ferait chier
  • Lejour ou l'absès sera creva à sa base on pourra reparler de rebatir une équipe ! ! ! ! ! Toute maladie se guérrie lorsque celle-ci est traité de façon radicale , seul les résultats comptent !

    Amicalement
  • On avait dit qu'on arrêtait avec les amicalement :-w

    Citation:
    Toute maladie se guérrie lorsque celle-ci est traité de façon radicale , seul les résultats comptent !


    Hippocrate t'as déjà entendu parler ?
  • Okay
  • Des histoires de machinations et de prises de contrôle y en a dans tous les clubs ou entreprises
    par contre c est quand même l employé ( gress) qui se met son employeur a dot.
  • IL faut que ca flache MERCI Mr GRESS de dire les quatres vérités
  • Gress à été clair sur France 3, il reste au Racing ! :)- Voyons maintenant ce que ça va donner, il faut qu'il renforce le secteur défensif, c'est une calamité..
  • Il va le renforcer si Ginestet lui donne les moyens ...
  • hammerfitz a écrit, le 2009-08-09 17:02:17 :
    Ouia, enfin les matchs de merde..

    On te fait faire 100 000 pompes pendant 4 semaines puis on te demande de faire 90 min de matchs que tu commence déjà complètement vanné.

    T'es marrant tu veux qu'ils fassent quoi les joueurs..


    Ouai, m'enfin il faut dire que sur les joueurs ayant fait la préparation physique d'avant-saison il n'y en avait que 4 ou 5 d'aligner donc bon... Après comme je l'ai dit, attendons au moins 5 matchs pour faire un premier bilan sur la méthode gress et voir s'il y a une progression au niveau du jeu.
  • Tu crois sincèrement qu'il va lui en donner ? #-o
  • supp67 a écrit, le 2009-08-09 18:35:30 :
    On nous prends vraiment pour des chèvres .
    Ou est la fièrté Alsacienne ?

    tiens j'ai même pas envie de lire la suite...
  • Le tort à Gress c'est de faire des déclarations .
    Furlan faisait moins de vagues .
    Sinon il a été viré pour faute , Gress pourrait l'être également .
    Moi à sa place je partirai on verrait alors avec le prochain , Papin ou un autre , ce que cela changerait .
    Bon j'arrête ici car 2 sujets qui parlent de la même chose .
  • Amis supporters , j'ai l'impression que chacun se jette la balle comme dans un échange au tennis . L'erreure est humaine mais il faut pouvoir la reconnaître et l'assumer et cela peut importe le nom et ou le statut que l'on occupe au sein d'une entreprise .

    Effectivement il y a des histoires dans tous les clubs , mais au Racing cela dure depuis plus de 15 ans , à moins que je me trompe :-/
  • Ginette est indéfendable, mais c'est quoi cette histoire de Paisley qui daube sur Schilles ?
  • Ginestet aurait demandé (selon Gress) à Paisley de salir l'entraineur. Ce que le président ET l'agent du joueur ont clairement démenti.

    Une des nombreuses remarques du paranoïaque Gress qui non content de foutre sa merde, nous ramène son copain Kientz qui veut récupérer le racing pour la modique somme d'un euro. b-(
  • hammerfitz a écrit, le 2009-08-09 17:02:17 :
    On te fait faire 100 000 pompes pendant 4 semaines puis on te demande de faire 90 min de matchs que tu commence déjà complètement vanné.

    T'es marrant tu veux qu'ils fassent quoi les joueurs..

    Ils sont crevés avant d'avoir commencé ( merci la préparation commando )

    Seuls 5 des 11 titulaires, dont Cassard, ont fait cette fameuse préparation. Et c'était pas les plus cramés. Donc, accuser la préparation me semble hors de propos.
  • Un processus irréversible

    Le conseil d'administration du Racing se rassemblera mercredi soir. L'issue de cette réunion pourrait être fatale au président Léonard Specht et à Gilbert Gress.
    Alors qu'une guerre ouverte fait rage entre l'entraîneur Gilbert Gress et l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet, le conseil d'administration du RCS se réunira mercredi en fin d'après-midi. Il devrait entériner le départ du coach et le retour de l'investisseur immobilier à la présidence.
    Au feu ! La maison bleue brûle. Sportivement, le début de saison est catastrophique. En coulisses, l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet et l'entraîneur Gilbert Gress se sont lancés depuis samedi, à l'initiative du coach champion de France 1979, dans un remake de « Règlements de comptes à OK Corral ». L'édifice Racing est d'autant plus proche de l'effondrement que ses fondations n'ont jamais paru aussi friables.
    Hier, après l'offensive en règle de Gress contre Ginestet samedi midi à la Meinau, au lendemain de l'échec à domicile contre Châteauroux (1-2), le propriétaire du RCS a rencontré celui à qui il avait cédé la présidence le 6 juin, Léonard Specht. Une entrevue « d'une demi-heure, pour faire le point », selon Ginestet, dont la teneur n'a pas filtré. Tout juste l'actionnaire principal a-t-il consenti cette révélation : « À la suite des propos tenus par Gilbert Gress dans la presse, Léonard Specht a convoqué un conseil d'administration extraordinaire pour ce mercredi en fin d'après-midi. Je n'ai rien à ajouter. Léonard va orchestrer cette réunion. Je respecte la hiérarchie et la procédure. »

    Gress : « Si tout le monde avait mon courage... »

    Voilà. Fermez le ban. Dans l'après-midi, Gilbert Gress s'est à son tour entretenu avec Specht. « Ce que nous nous sommes dit ? C'est à lui de vous le dire. Demandez-le lui. » Toute la presse hexagonale en a eu l'idée hier. Mais le nouveau président a préféré faire le mort, ce qui, après tout, correspond parfaitement à l'image de club moribond que véhicule le Racing depuis quelques semaines (voir par ailleurs).
    En 24 heures, « Schilles », lui, n'a pas renoncé à ses attaques contre Ginestet. « Mon président, c'est Léonard Specht. Quelqu'un d'autre, majoritaire, veut me démolir. Je n'accepte pas qu'il me traite ainsi, ni qu'il cherche à me salir. Vous vous rendez compte de ce qu'on fait dans mon dos. Je suis revenu parce qu'on me l'a demandé, pour aider ce club et donner du bonheur aux gens. Aujourd'hui, on me met des bâtons dans les roues. Et il faudrait que je l'accepte sans rien dire. C'est mal me connaître. Si tout le monde avait mon courage, bien des gens auraient des choses à dire. J'ai en face de moi quelqu'un qui s'est retiré, a annoncé publiquement son intention de vendre, mais qui continue à agir en coulisses. Il est propriétaire du club, mais la question n'est pas là. Le problème est de savoir s'il reste une moralité dans le foot. Je ne suis pas d'accord avec ceux qui pensent que le fric peut tout régenter. Si je dois sortir, je sortirai la tête haute. »
    Une extrémité qu'il n'envisage cependant toujours pas. « La question ne se pose pas de savoir si je dois quitter le Racing ou y rester. J'ai à préparer un match très important à Laval ce jeudi. C'est un premier tournant. » Comment l'effectif va-t-il pouvoir préparer ce voyage en Mayenne, sachant que la tête de l'entraîneur a toutes les chances de rouler sur le billot mercredi en conseil d'administration ? Poser la question, c'est déjà y répondre.
    Sauf surprise, le sort de Gilbert Gress est scellé. Le retour de Philippe Ginestet à la présidence se profile lui aussi à l'horizon de ce mercredi. Mais pendant 72 h, le Racing va encore une fois verser dans le pathétique et être la risée de la France du football. Pourtant, quand les hyènes s'entretuent, il n'y a pas de quoi rire.

    L'Alsace
  • Faut que l'Alsace arrête de mettre de l'huile sur le feu tout le temps, on dirait qu'ils aiment cracher sur le club ! X-(
  • Après la tempête, avant la tempête
    Au lendemain du coup de sang de Gilbert Gress, une forme d'accalmie trompeuse a régné sur le Racing. Cette semaine, les grandes manoeuvres vont reprendre, avec leur lot de changements, à tous les niveaux. Du côté de la Meinau, c'est quasiment l'année zéro.
    Le Racing n'en finit pas de jouer les pâles copies, les tristes copies. Dix jours après avoir subi une monumentale fessée à Istres (6-1), dans l'anonymat le plus total, à quelques kilomètres du vrai coeur du foot provençal, le club alsacien se plaît à mimer à nouveau l'OM avec une face de clown triste.
    Quand le club phocéen multiplie les crises pour demeurer, grosso modo, dans le top 5 hexagonal depuis plus de vingt ans, accumulant les titres, les places d'honneur et alignant une équipe rutilante, l'alsacien n'en finit pas de faire peine à voir. Ces jours-ci, le Racing, OM de l'Est, le Racing, OM du pauvre, a toutes les apparences de la coquille de noix dans un ouragan.
    On se souvient que le Marseille du Tapie acte II avait fait sensation en étant le théâtre d'un limogeage inédit. Tomislav Ivic, remplacé par José Anigo, avait pris la porte deux jours avant le premier match de championnat au mois de juillet 2001.

    Le club strasbourgeois
    ne tourne pas rond


    Huit ans après, le Racing, sans craindre le ridicule, ne réussira même pas à faire pire. Il prépare un changement à sa direction sportive après... un match de L 2 (1-2), cette funeste défaite face à Châteauroux qui a mis en lumière combien le club strasbourgeois ne tourne pas rond. C'est inéluctable. Gilbert Gress s'en est pris de manière virulente, non pas à son patron, mais à la tutelle de son patron.
    Hier, l'entraîneur s'est montré un peu plus édulcoré dans l'amertume du propos. Les grandes orientations de son discours n'ont néanmoins pas changé. L'actionnaire majoritaire l'entrave dans sa liberté d'agir.
    « Concernant les joueurs proposés (ndlr : notamment par la cellule de recrutement), je tiens à souligner que j'ai eu d'abord un souci de dégraisser. Et on m'a proposé des éléments qu'il fallait payer jusqu'à 60 000 euros. Franchement, ce n'est pas raisonnable », a indiqué Gress avant de conclure : « Maintenant je prépare l'équipe pour Laval, avec des solutions tactiques à trouver ». S'il sera présent tout à l'heure, sur la pelouse d'entraînement, son cas apparaît réglé. Ses jours sont comptés.
    L'adjoint de Gress, Pascal Janin, qui couvre d'ailleurs le futur limogé sur les feuilles de match, fait office de candidat naturel à la succession. En interne, dans des cercles où les réseaux de Philippe Ginestet continuent de s'activer, la solution Janin n'a pas que des partisans. Elle a même tous les défauts.
    L'adjoint de Gilbert Gress, vanté par son supérieur pour sa loyauté, incarnerait une survivance du court épisode en passe de s'achever. Si Janin a prouvé une réelle capacité à travailler avec les jeunes, ce qui s'avère indispensable au regard de l'effectif du Racing, le technicien à la moustache ne peut, non plus, afficher le crédit d'une incontestable réussite. Il a sauvé Brest de la descente voilà deux saisons, mais a échoué à l'heure de faire franchir un cap au Stade breton. Et le club strasbourgeois doit continuer de jouer la montée selon son actionnaire majoritaire.
    Les pronostics quant à l'identité du prochain élu vont bon train. Au Racing, on a définitivement pris le parti du « people » sur un banc. Dans un silence assourdissant, puisque Léonard Specht a joué les absents tout le week-end pendant que son club coule, des techniciens aux profils baroques sont entrés en piste. Cela tombe bien : le futur élu fera contre-feu.
    Car ce n'est pas seulement la direction sportive qui se retrouve dans l'oeil du cyclone depuis trois, voire dix, jours. Les dysfonctionnements au sein du club apparaissent au grand jour. Le cas Gress cristallise le caractère boiteux de la réorganisation opérée le 6 juin dernier et la démission de Philippe Ginestet de la présidence.

    Depuis 48 heures,
    le président Léonard Specht
    est injoignable


    Depuis 48 heures, le président Léonard « Faites comme si je n'étais pas là » Specht est injoignable. Un membre du conseil d'administration a lâché dans une boutade : « Il y a trois mois, le voeu le plus cher de Léo était de devenir le président du club. Aujourd'hui, le voeu le plus cher de Léo, c'est de ne plus l'être. »
    Il s'agit de relativiser le bon mot. Le directeur des ressources humaines chez Lohr Industrie n'était pas demandeur pour occuper le poste de n°1 au Racing. Il devrait avoir l'occasion de s'effacer, dès mercredi, et la tenue d'un conseil d'administration, dont la date a été décidée hier.
    La réunion des décideurs du club correspondra à une nouvelle révolution. Selon toute probabilité, elle mettra fin à « Gress entraîneur » acte III et marquera le début de « Philippe Ginestet président » acte II.
    En toute logique, la rénovation de fond en comble interviendra mercredi soir... à la veille du 2e match de championnat, à Laval, où le Racing a une occasion de prouver qu'il est en mesure de décoller cette saison.
    Avec des joueurs qui ont montré un attachement tout relatif à sauver le club lors de leurs deux premières sorties officielles, un entraîneur condamné et un président bientôt limogé, le Racing ne ressemble plus à grand-chose. Il n'est peut-être simplement plus grand-chose.

    DNA
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