Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

François Keller

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  • « Un nouveau championnat »
    François Keller a le regard tourné vers 2012 et une montée à assurer en fin de saison.


    Le Racing n'est que troisième au premier tiers d'un championnat qui s'apparente au mieux à un purgatoire. À sept points du leader, Vesoul, avec un match en plus à jouer, François Keller, son entraîneur, refuse de céder à l'inquiétude. Il s'attend à une année 2012 qui n'aura rien à voir avec la précédente.


    – Comment basculez-vous sur cette nouvelle année 2012 après un début de saison bien agitée ?

    – On ne s'est pas arrêté bien longtemps. Et on a vite eu le match de Coupe de France, face à Drancy (ndlr : le dimanche 8 janvier, le Racing sera en Seine-St-Denis pour le compte du 32 e de finale), en tête.
    «On ne va pas payer un joueur deux fois plus que les autres»

    J'ai récupéré une vidéo, un match complet de cette équipe, son dernier de 2011, face à la réserve de Valenciennes, qu'elle ne méritait vraiment pas de perdre (2-1). J'aborde ce match sans savoir qui va jouer, en privilégiant les joueurs les plus en forme.

    – Vous souhaitiez renforcer votre groupe avec un attaquant supplémentaire. Pourquoi n'y a-t-il pas eu de recrutement en attaque ?

    – On n'a effectivement pas trouvé le n°9 qui pouvait apporter un vrai plus, sans remettre en cause la logique salariale en place. Ce n'est pas une question de moyen. Mais on ne va pas payer un joueur deux fois plus que les autres.

    On garde une certaine politique en tête. Si tu commences à lâcher dans n'importe quelle négociation, tu ne peux plus t'appuyer sur une certaine cohérence.

    Des dossiers sont ouverts, notamment avec Kassi Ouedraogo. Mais ça se fera à nos conditions ou ça ne se fera pas. Concernant Rudy Carlier, il préfère encore tenter sa chance avec un club pro et il serait à l'essai en Belgique. Mais fondamentalement, je me dis que si David (ndlr : Ledy) ne se blesse pas gravement, notre groupe a suffisamment de qualité.

    – Vous vous considérez donc comme suffisamment armé pour la fin de saison...

    – Il est compliqué de raisonner comme ça. Au mois de janvier, c'est vraiment un nouveau championnat qui commence. Je m'appuie simplement sur l'exemple de la saison passée. Sarre-Union était relégable et a fini par monter.

    Des clubs profitent de la trêve pour se renforcer, sachant qu'ils n'ont alors plus que six mois de salaire à assurer. Il reste deux tiers de la saison. Ce n'est pas rien.

    – Y a-t-il des certitudes liées à ce qui s'est passé jusqu'en décembre ?

    – Il y a eu plusieurs phases dans le championnat, les trois premiers matches qui nous ont lancés, la défaite face à Pontarlier (1-2) qui aurait pu correspondre à un gros coup sur la tête.

    Dans ce sens, la victoire face à Steinseltz (2-0) a été essentielle. Je constate aussi qu'on a su se relever malgré la grosse blessure de Gauthier Pinaud (absent du 17 octobre au 23 décembre en raison d'une entorse à la cheville) et changer d'animation.

    Après, certains ont fait la fine bouche lors du nul face à St-Louis (1-1), mais vu le match, c'était plutôt un bon résultat, face à une équipe qui sera longtemps à la lutte pour la montée.

    – Au final, ne va-t-on pas se retrouver avec un duel entre Vesoul et le Racing pour la première place et donc la montée ?

    – Pour le dernier match de 2011, on a vraiment fait une bonne affaire. On a gagné (face à St-Dié, 5-0), St-Louis (à Dijon 2-0) et le Sporting (face à Auxerre 0-3) ont perdu. Or je suis sûr que ce sont des équipes qui ont les moyens de jouer pour la montée. Il y a aussi Pontarlier (sachant que ni Dijon II, ni Auxerre III ne peuvent monter).

    Au final, on a réalisé une première partie de saison cohérente, mais Vesoul a joué sans pression, peut-être parce que le Racing est le grand favori.

    Notre présence dans ce championnat peut désinhiber les autres. C'est à nous de gérer la pression.
    par Propos recueillis par Fr.N., publié le 31/12/2011 à 05:00
    DNA
  • "désinhiber" pourquoi pas mais cela n'intéresse peut être pas Vesoul de monter .
    Y a pas 36 façons pour monter, faut gagner un max de matchs, au mini tous ceux à la meinau et ils ont perdu trop de points mais on y croit .
  • On a pas dù suivre la même équipe..!
    Ils sont complétement dans les temps..
    Nan sérieusement, il n'y a rien de dramatique, avec les sories d'infirmerie et le retour de Milo, c'est solide, ca va le faire..
  • Les Keller, frères de jeu

    http://www.lalsace.fr/fr/images/6EDDBA16-7743-4D16-BA03-A4F81A3C6...
    Un vendredi midi chez Marc à Eschau. François (à gauche) et Marc reconnaissent être unis par un lien très fort au sein d'une famille soudée. Le premier voit le second comme un guide. Photo S.G.

    Entre François et Marc Keller, la fraternité n'est pas un vain mot. Le cadet, entraîneur du Racing Strasbourg, se nourrit de l'expérience et des conseils de son aîné, après avoir si longtemps admiré sa carrière... au Racing.

    C'est le second qui le dit : Marc et François Keller ont été éduqués « dans le respect de la hiérarchie à la maison. » Claude (né en 1966), Marc (68), Marie (71) et François (73), les quatre frères et soeur, n'ont jamais dérogé à ces préceptes. « Les conseils du paternel sont paroles d'Évangile », poursuit le petit dernier, « Ceux des plus grands aussi. J'ai énormément de respect pour mes aînés et suis toujours demandeur. Je raconte souvent à mes filles cette anecdote : quand nous étions gamins, mes frères tondaient la pelouse. Pendant des années, je leur ai demandé de le faire. Ils m'ont longtemps répondu que j'étais trop jeune. Puis un jour, ils ont fini par accepter. Il m'a fallu un moment pour comprendre qu'après, c'est moi qui le faisais tout le temps (rires) . »

    Depuis, les gamins ont grandi. Mais les liens familiaux ne se sont jamais distendus. Entre Marc et François, ils se sont même resserrés quand leur arrivée dans le monde des adultes a atténué leur différence d'âge (cinq ans). « Il n'y a jamais eu la moindre virgule de jalousie entre nous quatre », raconte Marc en élargissant sa réflexion à toute la fratrie : « Ainsi François a-t-il toujours été mon premier supporter comme je suis le sien aujourd'hui. Ma présence n'a pas vraiment été facile pour lui, d'abord comme joueur, ensuite comme entraîneur. Son nom a été lourd à porter. Pendant quelques années, ça a freiné son ascension. Mais il a toujours su avoir son équipe derrière lui. L'an dernier, après le titre de la réserve en CFA 2, il a invité ses joueurs et l'encadrement chez mes parents à Balgau. Je n'étais pas là, mais j'ai vu les photos. Quand tu les regardes, tu comprends pourquoi son équipe a été championne. Il a su créer un état d'esprit qui a fait la différence. »

    Le tout dit avec cette forme d'admiration que lui a souvent vouée son jeune frère : « J'admirais la carrière de Marc. Au Racing, à Karlsruhe ou West Ham. C'était formidable quand nous allions voir des matches là-bas. Peut-être cette admiration a-t-elle effectivement constitué un frein psychologique pour moi, parce que je me disais que je ne pourrais pas faire aussi bien. Mais Marc a été un guide dans mes choix professionnels. Ce n'est pas un copain. Je le vois plus comme un grand frère protecteur ou un conseiller. D'ailleurs, il me traite parfois plus comme un fils que comme un frère. Cette relation que nous avons dans le foot, nous l'avons aussi dans la vie. »

    Chacun n'en délimite pas moins son périmètre. Non par volonté. Mais parce que les aspirations de l'un ne sont tout simplement pas celles de l'autre, comme le reconnaît Marc : « François a toujours été porté sur la partie technique du foot. Je lui donne des outils de compréhension générale, mais je ne m'immisce pas dans ses décisions. Du reste, sur le terrain, notre jeu était très différent. Jacky Duguépéroux a toujours dit que François avait plus la grinta que moi qui jouais sur d'autres qualités. Moi, j'ai plus une vision de la gestion d'un club. »

    Ça tombe bien : son frère recherche moins sa connaissance du jeu que son approche des sphères dirigeantes. « Marc connaît la problématique des patrons de clubs. En revanche, il ne me donne aucun conseil sur l'aspect technique ou le choix des joueurs pour une compo d'équipe, car il estime que j'ai dans la gestion humaine d'un groupe une sensibilité qu'il n'a pas. Quand il me parle d'un joueur, il me donne son ressenti sur l'individu. Mais sur le plan tactique, j'échange davantage avec Jacky Duguépéroux, Jean-Marc Furlan ou Noureddine Bouachera. »

    Marc n'en prend nullement ombrage, convaincu que son frère a un bel avenir de technicien devant lui. « François est quelqu'un qui prend son temps. Il ne brûle pas les étapes. On lui donne sa chance maintenant dans une période très difficile – il n'avait pas d'équipe à la mi-août – et les leçons tirées depuis dix ans auprès de tous les techniciens qu'il a côtoyés, comme Jacky Duguépéroux, Nasser Larguet ou Jean-Marc Kuentz, lui servent. Ces dernières saisons, il travaillait avec les mêmes jeunes et c'était plus facile, parce qu'ils connaissaient sa vision. Cette fois, il est parti d'une page blanche. Mais semaine après semaine, l'équipe s'est mise en place. François a cette qualité de faire progresser son effectif. »

    L'Alsace 8 mars 2012
  • Comme le sujet "Marc Keller" est fermé, je poste les deux articles ici.


    Portrait Marc, un homme enfin libre

    http://www.lalsace.fr/fr/images/9DF762E1-01E4-45DF-BEC3-6ACBC6922...
    Avec sa mère Annette et son père Jean-Paul, Marc soutient François à la Meinau, même s'il ne peut assister à tous les matches. Il dit avoir vu l'équipe s'affirmer au fil des mois. Photo Jean-Marc Loos

    Depuis son départ de Monaco en fin de saison passée, le Haut-Rhinois Marc Keller garde à la fois du temps pour sa famille et un pied dans le monde du football comme consultant sur Canal +.

    Son histoire a commencé sur un petit terrain de foot, derrière le cimetière de Balgau. Marc Keller, ses frères aîné Claude et cadet François, y ont, avec des copains, usé quelques crampons et fonds de culotte. « Jamais je n'aurais imaginé faire la carrière qui a été la mienne, à Mulhouse, au Racing (1991-1996) , à Karlsruhe, West Ham ou en équipe de France », sourit l'ancien international (1) retiré des terrains depuis 2001.

    Il a alors 33 ans et estime qu'il aurait pu jouer « encore deux ou trois saisons. » Mais l'appel de l'ex-tennisman Patrick Proisy, président d'IMG/France et du Racing qui lui propose le poste de directeur général, fait pencher la balance. « J'ai été pro durant 15 ans. J'ai arrêté le 6 mai 2001 à Blackburn. Le lendemain, j'étais à la Meinau. Gérer un club m'a toujours intéressé, sans doute parce que j'ai mené des études commerciales(2). J'ai pris plaisir à remonter le Racing (Ndlr : à son arrivée, il venait de tomber en Ligue 2) . On peut dire ce qu'on veut de Patrick Proisy et IMG/Mc Cormack qui ont été très critiqués, mais ils m'ont laissé bosser comme je l'entendais et ont toujours assumé financièrement. Ensuite, avec Egon (Gindorf) , Patrick (Adler), Pierrot (Pierre Schmidt) et Thierry (Wendling) , j'ai aimé notre travail d'équipe (3). La période avec Egon, c'est ma grande histoire au RCS, avec, en point d'orgue, le sacre en Coupe de la Ligue 2005 au Stade de France contre Caen. »

    On connaît la suite. Des divergences avec le nouvel actionnaire majoritaire Philippe Ginestet conduisent à son départ au printemps 2006. « Je voulais déjà partir l'année précédente, mais beaucoup de personnes, dont François, m'ont demandé de rester. Nous étions, à mon sens, l'un des clubs les mieux structurés de France. J'ai toujours essayé de mettre les bonnes personnes aux bonnes places pour être le plus efficace possible. L'exemple parfait, c'est Jacky Duguépéroux. Quand je suis parti en 1996 alors qu'il était l'entraîneur du RCS, mes relations avec lui étaient très tendues. À mon retour, il était toujours là, mais sur une voie de garage. Nous ne nous étions pas vus pendant cinq ans. Contre l'avis de beaucoup, j'ai décidé de le relancer au recrutement des jeunes, puis des pros. Avec Freddy (Zix, ex-directeur du centre), Nasser (Larguet, son successeur), Jean-Marc (Kuentz, qui occupe le poste depuis 2007), François et Claude (Fichaux, son ami colmarien adjoint de Rudi Garcia à Lille) , nous disposions d'un des meilleurs centres de formation en termes de rapport qualité-prix. Egon me laissait travailler, mais prenait part aux discussions et, éventuellement, tranchait en bon patriarche. Les débats ont parfois été chauds. Mais même quand il y avait des divergences ponctuelles, tout le monde oeuvrait dans l'intérêt du Racing et, une fois la décision prise, s'y rangeait sans aigreur. Le fonctionnement était top. »

    Monaco, qui lui avait déjà fait du gringue en 2005, lui tend les bras. Entre l'Alsace et la Principauté, il vivra une décennie sous pression. « Ça m'a plu et je n'en retiens que les bons moments. Mais sur l'échelle des sentiments, la joie de la victoire pesait beaucoup moins que la douleur de la défaite. À l'époque, ce que j'ai raté dans certains aspects de ma vie ne m'a pas manqué. Mais aujourd'hui, je me dis qu'il est bon de rattraper le temps perdu. Je m'occupe de ma famille et moi. »

    Il n'a pas pour autant rompu avec le foot. Canal +, pour qui il avait déjà travaillé, lui a offert un poste de consultant. « J'ai signé un an avec possibilité de continuer. Je vais à Barcelone, Milan, Manchester United où j'échange avec Rio Ferdinand ou Yaya Touré, Arsenal où je peux parler une heure avec Arsène (Wenger) . Je ne prends que le bon côté du foot, tout en m'occupant de mes autres activités (Ndlr : des investissements patrimoniaux). Mais à toutes les vacances scolaires, nous partons en famille. Nous venons d'aller aux sports d'hiver. Joueur, je n'en avais pas le droit. Dirigeant, je ne pouvais jamais le planifier. Là, j'ai l'impression de vivre normalement. C'est nouveau pour moi. Je profite vraiment de ce que m'a apporté ma carrière. »

    À 44 ans, Marc Keller peut s'offrir un luxe qui n'a pas de prix : la liberté de choisir.

    (1) Six sélections, un but à Gerland contre le Brésil au tournoi de France 1997. Le 3 juin, Marc Keller répond à l'extraordinaire coup franc de Roberto Carlos face à Fabien Barthez (1-1).

    (2) Il est titulaire d'une licence en sciences économiques.

    (3) Ils étaient tous coactionnaires après le départ d'IMG/Mc Cormack.

    L'Alsace 8 mars 2012


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    Passes croisées Une famille unie

    http://www.lalsace.fr/fr/images/30ABBB26-2A3D-4764-AB70-0CECC6C27...
    Marc Keller, ici sous le maillot de Karlsruhe, face à Gharib Amzine. Archives S.R.

    L'entretien a duré deux bonnes heures chez Marc, à Eschau. Une interview enrichie d'anecdotes par les deux « frangins » qui baignent dans le foot depuis 30 ans. En voici quelques-unes, brutes de décoffrage.

    François Keller :« Je suis arrivé au Racing en 1992. Marc en était déjà l'une des vedettes. Le club venait de remonter en Division 1 avec Gilbert Gress. J'appartenais à la génération des moins de 19 ans avec Valérien Ismaël, Olivier Dacourt, Martin Djetou, Yannick Rott ou Kelly Coutenay. Ils étaient au centre de formation depuis un moment. Moi, j'étais juste l'étudiant nourri, logé, blanchi qui venait de prépa maths sup à Mulhouse. Marc m'a dit que j'étais aussi capable d'y arriver que les autres, mais que mon chemin serait plus long. »

    Marc Keller :« Je suis venu deux ou trois fois à la Meinau cette saison. Mais jusqu'à ce que le Racing assure sa victoire, je n'y ai pris aucun plaisir, parce que je sais trop la difficulté d'avoir des résultats et combien, souvent, ça tient à rien. Nous sommes une famille unie et même à distance, nous vivons les choses. Je sais qu'à Strasbourg, la pression est aussi forte en CFA 2 qu'en Ligue 1 ou L 2. »

    F.K. :« Pendant des années, mes parents et moi nous sommes angoissés pour Marc. Aujourd'hui, c'est pour moi que la famille s'inquiète et ça fait bizarre. Marc vit par procuration ce que nous avons éprouvé pour lui lorsqu'il était joueur ou dirigeant. À Canal +, il réapprend à voir des matches sans parti pris, ni pression, et c'est pour ça qu'il s'éclate. Je n'ai pas l'impression qu'il veuille replonger comme dirigeant très vite. De toute façon, il est comme mon père : aujourd'hui qu'il n'a plus de fonctions dans un club, il a encore moins de temps qu'il n'en avait avant. Il n'est pas homme à faire une seule chose à la fois, mais dix. »

    M.K. :« J'espère que le Racing va se stabiliser pour que François ne subisse pas les conséquences de ce qui se passe autour. Il aime ce club depuis vingt ans. Comme Jean-Marc (Kuentz), Guy (Feigenbrugel, l'intendant), Thierry (Wendling), Eric (Moerckel, l'ex-kiné licencié après la liquidation) , tous ceux qui étaient vraiment impliqués dans ce club en ont vécu la descente aux enfers. Ça leur a fait mal, mais ils n'ont jamais tenu les rênes pour stopper cette descente. »

    L'Alsace 8 mars 2012
  • Il y a un emploi du présent de l'indicatif qui me choque dans les trois articles ci-dessus:

    Citation:
    Quand il me parle d'un joueur, il me donne son ressenti sur l'individu. Mais sur le plan tactique, j'échange davantage avec Jacky Duguépéroux, Jean-Marc Furlan ou Noureddine Bouachera. »
  • Effectivement , JM Furlan grand tacticien , on ne sait pas tout de lui .
    Sinon c'est prenant d'être consultant C+ , il se promène dans le monde entier , de plus il est payé . Super pour lui .
  • C'est pas le seul, Lachuer aussi communique avec Furlan, (c'est même lui qui lui a dit de venir entraîner Orléans), certes il n'a pas réussi au Racing, mais quand il parle football, c'est un connaisseur.
  • deldongo a écrit, le 2012-03-08 08:12:42 :
    Effectivement , JM Furlan grand tacticien , on ne sait pas tout de lui .
    Sinon c'est prenant d'être consultant C+ , il se promène dans le monde entier , de plus il est payé . Super pour lui .


    Où est le problème toutes les chaînes ont des consultants qui se promènent davantage en Europe que dans le monde entier. Il y a même un consultant qui cumule son emploi de manager général avec celui de consultant.
  • et un consultant mise en examen pour avoir a priori touché indemnites chomage +salaires( Baup pour pas le citer) :))
  • [citation=pur-et-dur68|

    Où est le problème toutes les chaînes ont des consultants qui se promènent davantage en Europe que dans le monde entier. Il y a même un consultant qui cumule son emploi de manager général avec celui de consultant.

    Ah il y a un problème ? Où ça , dis moi, dis moi .

    J'n'ai pas d'abonnement à C+ donc je n'ai pas le plaisir de voir Marc commenter .
    C'est dommage .
  • « François m'accueille avec plaisir »

    Après avoir laissé passer un peu de temps après son licenciement à Fribourg, Yacine Abdessadki a contacté François Keller pour lui demander l'autorisation de s'entraîner avec le RCS. « Il était content et m'a répondu qu'il m'accueillerait avec grand plaisir. Je l'ai côtoyé comme joueur au Racing lorsqu'il est revenu de Fulham pour encadrer la réserve. J'ai même joué une fois sous sa direction lorsqu'il en était devenu le coach et que j'étais « descendu » pour me remettre en forme après une blessure. Nous étions allés gagner à Montceau-les-Mines. Un excellent souvenir (rire). C'est un bon entraîneur. Même s'il n'a longtemps dirigé que des jeunes, il a toujours agi comme un coach de professionnels. »

    L'Alsace
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  • « Une mauvaise image »

    Depuis des semaines, François Keller essaie autant que faire se peut de protéger le groupe sportif des soubresauts des coulisses : « On a décidé de ne pas en parler. L'avenir nous dira si ça nous porte préjudice. J'espère que la providence nous accompagnera. Mais on l'a parfois vu dans le passé : elle fuit quand on ne fait pas tout pour que ça se passe bien. Ce qui se passe au Racing fait rire les autres clubs et leur donne l'envie de s'accrocher encore plus. Mais ce qui me gêne le plus, c'est moins ça que les sifflets qui descendent des gradins quand on peine à marquer. Nous sommes dans un projet de reconstruction et les joueurs ont besoin de l'effort de tout le monde. Je les ai fait venir en leur garantissant que le bordel au Racing, c'était fini. Ce que les supporters doivent comprendre, c'est qu'en France, le club a une mauvaise image. Plus personne ne s'y intéresse, hormis les amoureux que nous sommes. Ce qui s'est passé ce soir ne la sert pas. »

    L'Alsace
  • Merci de citer d' autres médias plus neutres que SG dans les derniers débats
  • En l'occurrence c'est François Keller qui est cité. Pas Godin. I-)
  • Oui mais qui pose les questions et fait l article?
  • Nan mais rassure-moi, tu le fais exprès ?
    :|s
  • Oui
    Je m adapte et fais preuve de la même objectivité que SG il y a quelques semaines
  • katzo68 a écrit, le 2012-04-10 05:25:53 :
    « Une mauvaise image »

    Depuis des semaines, François Keller essaie autant que faire se peut de protéger le groupe sportif des soubresauts des coulisses : « On a décidé de ne pas en parler. L'avenir nous dira si ça nous porte préjudice. J'espère que la providence nous accompagnera. Mais on l'a parfois vu dans le passé : elle fuit quand on ne fait pas tout pour que ça se passe bien. Ce qui se passe au Racing fait rire les autres clubs et leur donne l'envie de s'accrocher encore plus. Mais ce qui me gêne le plus, c'est moins ça que les sifflets qui descendent des gradins quand on peine à marquer. Nous sommes dans un projet de reconstruction et les joueurs ont besoin de l'effort de tout le monde. Je les ai fait venir en leur garantissant que le bordel au Racing, c'était fini. Ce que les supporters doivent comprendre, c'est qu'en France, le club a une mauvaise image. Plus personne ne s'y intéresse, hormis les amoureux que nous sommes. Ce qui s'est passé ce soir ne la sert pas. »

    L'Alsace


    Bon revenons au sujet, il les a entendus quand les sifflets ? :-/
  • Hier quand le kop se taisait quelques sifflets dans le haut de la tribune sud lors de passes ratees
  • Si schilles1979 avait écouté l'après-match sur Arc-en-ciel hier, il aurait reconnu les paroles prononcées par Keller au micro de TSL.

    MAIS! Je tiens à informer schilles1979 que ces interviews dans les vestiaires ne sont pas exclusives. Il y a toute la presse, DNA, l'Alsace (oui, oui, je sais il n'aime pas), FBA (si, si), StrasTV (on ne peut pas toujours filmer un panneau d'affichage), TSL, karimediasoc et peut-être d'autres.

    Tous les micros sont ouverts et les journalistes de la PQR grattent frénétiqument leurs blocs. Le lendemain, on retrouve grosso modo les mêmes citations un peu partout, libre à chaque journaliste de prendre celle qui lui convient dans l'interview.

    Quant à citer des médiais plus neutres que l'Alsace (schilles1979 dixit), rien ne t'empêche d'aller suivre un cours de copié/collage à la fac d'informatique de Strasbourg.
  • Moi je dit tous avec les bleus et faut etre honnete ,on entend assez de sifflets dès que Sow touche la balle , alors que c est pas le plus mauvais!! #-o
  • Ça me peine de voir qu'ils en pâtissent aussi. Mais ils gagnent, et c'est le plus important.
    François Keller a du mérite de tenir la baraque (au niveau sportif) dans une telle situation. (+)
  • Une grosse pensée pour lui avec ce qu'il se passe en ce moment au club.
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