Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Racing des années 80

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  • Voila le arcing comme on l'aime avec un Youri heureux comme a ses plus beaux jours avec les bleus de france!!! :)- http://img283.imageshack.us/img283/9018/numriser00505ep.jpg
  • Et là c'est le drame!!!

    http://img16.imageshack.us/img16/8459/numriser00512ik.jpg
  • Apres le match aller je suis parti en voyage scolaire en Grece, cxertain que le Racing avait décroché la montée. Quelle déception :(
  • Voilà la dernière saison de cette décennie en détails sur le stub :
    1989-1990 (matches, stats...)
  • On parle souvent de Pita comme du plus grand flop du RCS.

    Cependant, en voyant sa fiche, je vois qu'il a inscrit 6 buts en 20 matchs, ce qui est loin d'être ridicule , surtout pour un milliru de terrain.


    A cette époque j'avais une douzaine d'années et je n'écoutais encore le Racing qu'à la radio.

    Alors je demande aux ainés, Pita, bide ou pas ? #-o
  • me semble qu'il avait marqué 2 ou 3 coups francs...
    dans le jeu je ne me souviens plus trop de lui...
  • lenain2jard1 a écrit :
    On parle souvent de Pita comme du plus grand flop du RCS.

    Cependant, en voyant sa fiche, je vois qu'il a inscrit 6 buts en 20 matchs, ce qui est loin d'être ridicule , surtout pour un milliru de terrain.


    A cette époque j'avais une douzaine d'années et je n'écoutais encore le Racing qu'à la radio.

    Alors je demande aux ainés, Pita, bide ou pas ? #-o


    Je me souviens d'un joueur talentueux, mais arrivé blessé, et qui n'a pas pu donner sa pleine mesure.

    Sans doute que s'il n'avait pas été blessé, il aurait pu devenir un grand joueur du Racing...
  • est-il vrai que Pita etait le premier brésilien a évolué dans le championnat Francais?
  • Non. Absolument pas . Il ya eu le fameux duo Jairzinho-Paulo Cesar à l'OM en 1974-75.
    C'était aussi un flop.

    En ce qui concerne de Pita,c'était un excellent joueur.Malheureusement une fracture de fatigue l'a contrarié tout au long de la saison. Il a marqué de superbes coups-francs et également un corner direct.
    Très,très grand technicien,le plus grand jamais vu à la Meinau, avec Mostovoi.
  • le racing des anné 80 c'est le racing qui gagne
  • La décennie du gâchis

    Du Capitole à la Roche Tarpéienne il n'y a souvent qu'un pas. Le Racing l'a franchi deux ans seulement après son triomphe de 1979 et la campagne européenne dans la foulée. Il est rattrapé par ses vieux démons. Deux relégations en Division 2 (1986 et 1989) marqueront ces années quatre-vingt au cours desquelles 4 présidents et 13 entraîneurs se succéderont.

    Gilbert Gress parti, les rênes du pouvoir sont confiées en cette fin d'année 1980 à Raymond Hild (48 ans) préféré au prestigieux... Di Stefano. Le citoyen de Weyersheim accepte sans fanfaronner, conscient d'avoir à assumer un héritage empoisonné. « A l'heure actuelle, je ne succède à personne. J'assume tout simplement un intérim dont on m'assure qu'il sera court. » Il le sera. Hild démissionnera l'année suivante à la même époque. Non sans avoir aligné un joli parcours, terminant la saison à la 7e place et surtout à un cheveu de la finale de la Coupe de France contre le Saint-Etienne de Platini et Herbin. Didier Six est convoité par Stuttgart, Olivier Rouyer, Félix Lacuesta et Carsten Nielsen arrivent.

    Lemerre : « Si mon chapeau connaissait mes pensées... »

    Décembre 1981. Il y a bien longtemps que le froid s'est installé en Alsace. Le public de la Meinau n'arrive pas à se réchauffer aux performances de son équipe. Comme toujours dans ces cas-là, il est urgent de changer d'entraîneur. Le nom de Lucien Muller, l'Alsacien exilé en Espagne, circule et se perd dans les couloirs du stade. La chance de Roger Lemerre, homme à poigne, au parler vrai, honnête jusqu'au bout des ongles. Cet ancien international, major du stage d'entraîneur, qui se définissait lui-même comme « un ouvrier du football » n'avait encore jamais entraîné au plus haut niveau. Strasbourg lui permet de mettre le pied à l'étrier (ça ne vous rappelle pas un certain JPP ?). Il sera le 35e entraîneur du club.
    Mais problème. Le discours de Roger Lemerre était souvent alambiqué. Contrairement à ce qu'écrivait alors mon regretté ami et confrère, Michel Kapfer (« Avec Roger Lemerre, pas d'artifices linguistiques, les faux-fuyants, très peu pour lui. Les trajectoires tarabiscotées, il aime encore moins en-dehors que sur le terrain. ») il n'était jamais facile de décrypter sa pensée. Souvenez-vous de l'énigmatique citation jetée en pâture à la presse chargée de suivre l'équipe de France dont il sera plus tard le sélectionneur : « Si mon chapeau (il faisait souvent sensation avec son béret de chasseur alpin) connaissait mes pensées, je brûlerais mon chapeau. » Même si l'on peut y déceler certaines références à Jules-César qui soupçonnait sa toge de connaître ses tactiques guerrières, on peut comprendre la perplexité des joueurs. Qui lui éviteront de justesse l'humiliation de la descente en Division 2. La démission suivra fin mai 1983.
    Pendant ce temps, Arsène Wenger connaîtra, à 33 ans, sa première promotion comme entraîneur à Cannes. Raymond Hild apportera sa science du recrutement et de la formation des jeunes au FC Mulhouse.

    Pas de miracle pour Sundermann « Wundermann »

    Arrive alors sur les bords du Krimmeri un certain Jürgen Sundermann (43 ans), surnommé « Wundermann » pour son incontestable réussite comme entraîneur à Stuttgart. Aux Kickers et au VFB. Sa chevelure blonde bouclée, ses yeux clairs, sa parfaite aisance dans notre langue, son épouse présentatrice-vedette à la TV allemande étaient bien connus des téléspectateurs alsaciens habitués des joutes de la Bundesliga. L'homme impressionnait. Restait à séduire le public de la Meinau.
    Sundermann avait été appelé pour éteindre le mythe Gress à Strasbourg. 18 mois après, c'est tout le contraire. Gress est plus populaire que jamais. Pire, le président Bord est la cible désignée du citoyen de Leonberg qui lui reproche de ne pas l'avoir suffisamment soutenu dans certains conflits avec les joueurs, d'avoir « manqué de psychologie. Le climat était devenu insoutenable ».
    Sundermann refuse les propositions de reclassement interne : « Il y a rupture unilatérale de mon contrat de travail. » Exit « Wundermann » qui passe à la caisse et aux prud'hommes. Le Racing aussi. Comme d'habitude.

    « Désolé, pour moi le football n'a jamais été le bagne »

    C'est ainsi que le 7 mars 1985, à la veille du match contre Laval, Jean-Noël Huck est lancé dans le grand bain. « La transition est plus brutale que je ne l'espérais. » Voilà donc l'artiste du ballon rond relancé dans cette Meinau dont il était devenu la tête de Turc à ses débuts avant d'enchanter les foules du stade du Ray à Nice. Le Racing ne pouvait être qu'à son image. Jeune et spectaculaire, technique et collectif. Las, l'expérience tournera court en décembre de la même année. « Si j'ai été contraint de durcir l'entraînement il y a quelques semaines, c'était pour obéir aux injonctions du président qui n'a cessé de me répéter qu'il fallait leur (les joueurs) en faire baver. Désolé, pour moi, le football n'a jamais été le bagne. »
    Jean Wuillaume, le président de la section handball qui a accepté le fauteuil du foot pro, reconnaît que « Huck est le bouc émissaire et que les joueurs sont les seuls coupables ». Mais c'est Francis Piasecki, « l'homme du président », qui est appelé pour redresser la barre. Au club depuis 1977, il est respecté par tous et n'a pas la langue dans sa poche. « Dans le foot pro, j'accepterai toutes les fonctions sauf celle d'entraîneur », avait-il déclaré.
    Mais une fois placé devant ses responsabilités, son discours est plus nuancé : « Après avoir mûrement réfléchi, je suis convaincu que le Racing peut encore se sauver. » Il n'y parviendra pas. Il est pourtant conforté dans ses fonctions par Jean Wuillaume. Il y a quelques mois je ne me voyais pas dans ce rôle, mais cela ne m'empêchera pas de passer mes diplômes d'entraîneur. Le métier me plaît. »

    Un sphynx à la Meinau

    L'arrivée de Daniel Hechter à la tête du club en 1986 ne lui offrira pas cette opportunité. A peine débarqué dans la capitale européenne que le couturier parisien procède à quelques coupes claires. Il suspend Piasecki de ses fonctions. « Il me fallait prendre des décisions rapides », affirme-t-il le 3 septembre 1986 au micro de feu Radio Nuée-Bleue. L'ancien international Jean-Pierre Dogliani, employé du groupe Hechter et éminence grise footballistique du nouveau président, dirigera l'équipe, assisté de Didier Six et Freddy Zix, ce dernier en charge de la préparation physique.
    Solution transitoire, bien sûr, avant de sortir un « sphynx » de sa manche. Robert Herbin, le mythique entraîneur des verts de Saint-Etienne. Mais l'investissement personnel de « Robby le Rouge », ainsi dénommé en raison de son impressionnante tignasse rousse, sera insuffisant. Et l'échec cuisant. Malgré un recrutement de qualité avec l'Argentin Simon, l'Allemand Reichert (13 buts) et les débuts prometteurs de José Cobos et Vincent Sattler :( , ce dernier disparaissant tragiquement dans un accident de voiture deux ans plus tard.

    Pita cet inconnu

    Il faudra attendre 1988 pour assister enfin au retour de Strasbourg parmi l'élite. Un retour que le couturier-président signe de sa griffe avec des maillots devenus ciel et blanc et les shorts rallongés jusqu'aux genoux, façon rétro.
    L'entraîneur aussi n'est plus le même. Herbin ayant regagné son Forez natal, le Franco-Polonais Henry Kasperczak est prêt à relever le défi de l'accession. Il y parvient avec panache avec l'aide du nouveau canonnier Peter Reichert (15 buts) et du libéro « à l'ancienne » Juan Simon. Le public retrouve le chemin du stade (25 000 personnes pour le dernier match de la saison) et la prochaine saison en division 1 s'annonce explosive.
    Simple feu de paille. Les promesses s'y consument comme l'image du gaucher brésilien Pita, trentenaire inconnu du grand public, recruté (blessé) à Sao Paulo au prix d'artifices financiers complexes. Un transfert qui éveillera les soupçons de la PJ concernant la gestion du club par Daniel Hechter, ce dernier étant finalement contraint de démissionner en janvier 1990 à la suite d'un audit financier commandé par la municipalité strasbourgeoise et révélant un passif de près de 90 millions de francs.

    Les barrages de Specht

    Oublié l'intermède en division 1. Le Racing, de nouveau relégué, attaque la saison 1989-90 presque entièrement relooké. Avec de sérieux atouts offensifs dans ses rangs : Didier Monczuk et Youri Djorkaeff (45 buts à eux deux cette saison). Malgré cela, l'entraîneur Gérard Banide choisit la fuite, laissant à Léonard Specht le soin d'amener le bateau à bon port. Pour avoir été successivement l'adjoint de Kasperczak et de Banide, Albert Gemmrich, l'autre héros de la campagne du titre, avait pu mesurer la fragilité de la fonction d'entraîneur en chef. Il suivra finalement une voie plus classique dans la vie professionnelle.
    Léonard Specht, lui, persiste. Avec raison. Par deux fois il n'échouera qu'aux barrages pour la remontée. Sa méthode est la bonne. Pas pour tout le monde cependant. Le nouveau tandem présidentiel, Jacky Kientz - Émile Stahl est persuadé que seul le retour de Gilbert Gress peut réveiller la Meinau. La suite lui donnera raison. Un an plus tard, Gress réussira à forcer les portes de ces barrages sur lesquels son prédécesseur s'était, par deux fois, cassé les dents. Le mythe était toujours vivant.

    source : DNA
  • J'en appelle aux historiens stubistiques !!

    Au détour d'un repas, j'apprends que le Racing aurait dans les années 80 (voir à une autre époque) intentionnellement perdu un match, afin de terminer reléguable et de disputer un match d'appui ... tout cela dans l'unique but d'empocher la recette de ce match.

    Evénement ridicule qui pourrait bien être le fait de la fière équipe Alsacienne, alors est-ce vrai ? Quelqu'un a-t-il déjà entendu parler de cette « affaire » ?
  • Jamais entendu parler de ce truc. :O
    Ca me parait quand même assez invraissemblable au vu du risque encouru... #-o
  • Je n'ai pour ma part jamais entendu cette rumeur. La seule saison qui semble correspondre est 1988/89, la dernière défaite 3-0 à sochaux condamne le racing aux barrages qu'il va finalement perdre contre Brest.
    Je ne pense pas que le Racing ait voulu disputer ces barrages intentionellement. Au contraire, aprés une saison catastrophique, ou il aura connu tous les malheurs (le décès de V. Sattler en particulier), Le Racing était revenu en fin de saison tout prés de la 17ème place synonyme de salut. Il leur aura juste manquer un point pour éviter la descente (C'est la seule fois dans l'histoire du club que l'on sera redescendu l'année de la montée). On peut accuser D. Hechter de tous les vices, mais je ne crois tout de même pas qu'il soit aller aussi loin dans l'irresponsabilité.
  • Jamais entendu non plus.
    Ceci dit le club est en manque chronique d'argent, peut-être qu'il lui arrive de faire de temps en temps n'importe quoi pour en récupérer un peu O:)
  • Ok merci, cette histoire restera donc une légende urbaine plus proche du fantasme que de la vérité. O:)
  • Un article du correspondant allemand Rainer Kalb pour « France Football » du 14 avril 1981 sur la future recrue strasbourgeoise Carsten Nielsen (une de mes idoles du passé), qui évoluait encore à Möenchengladbach.
    Je vous le recopie car je trouve certains passages assez incroyables, vu maintenant. Et qui donne surtout une idée du fossé de l'époque entre le football français et celui du voisin allemand...


    « Soit Borussia me laisse partir pour Strasbourg, soit je rentrerai au Danemark comme amateur »
    Carsten Nielsen, le milieu de terrain offensif de Möenchengladbach, menace le club où il joue depuis 1976. Ce dernier voudrait bien le garder, mais, lui, il veut partir à tout prix:
    « Je suis très content ici, Borussia est un club splendide. Mais je ne supporte plus la Bundesliga, l'entrainement sévère, les matchs durs. Je veux mener une vie plus tranquille. »
    La douce France est alors le but choisi (...)
    Quand Udo Lattek[g]*
    est revenu de Copenhague avec Nielsen, en 1976, de mauvaises langues ont prétendu qu'il s'était trompé de personne. Le danois n'était pas capable de stopper le ballon, de tirer tout droit. Tout cela, il l'a appris après un long entraînement. Avec sa force physique, il est un numéro 10 par excellence: rares sont les défenseurs qui arrivent à le freiner une fois qu'il a démarré.
    (...) L'année dernière, il a été le deuxième meilleur buteur de Möenchengladbach en marquant 7 buts.
    C'est pas du Platini, bien sûr, mais quand même. »[/g]


    *entraîneur légendaire de Möenchengladbach, mais aussi du FC Barcelone, du Borussia Dortmund, Schalke 04, et du FC Cologne. Il est avec l'italien Giovanni Trapattoni, le seul à avoir remporté les 3 Coupes Européennes de Football en Club, mais l'unique à l'avoir fait avec 3 équipes différentes.
  • Un peu de poésie dans ce monde de brutes. En 1987/1988, nous étions champions de D2, un exploit dont on ose plus rêver. Les compos du Racing de cette saison sont désormais toutes saisies, avec les stats afférentes. [Il manque cependant le plus souvent les affluences, cartons et capitaines... Si vous avez des archives, n'hésitez pas]

    Je tente une équipe type :

    Equipe


    On notera que la défense c'était carrément pas de la petite bière puisque Specht et Simon c'était du très lourd pour la D2 et il y avait Sattler et J. Cobos sur le banc...
  • Les compositions d'équipes pour la saison 1985/1986, une des plus mouvementées de l'histoire du RCS, sont désormais toutes saisies. [Manquent cartons et capitaines]

    A noter que cette année là l'hiver commençait tôt puisque d'octobre à janvier le Racing enchaîne 10 matches sans victoire, avec le limogeage de JN Huck. Suivra un beau redressement sous la férule de Piasecki mais insuffisant hélas.

    Au passage, le RCS s'en sortait pas trop mal face aux grosses équipes : nul au Parc, victoire à domicile au match retour contre le futur champion parisien et même une victoire au Vélodrome contre une équipe de Marseille qui, il est vrai, ne tournait pas fort.

    Côté joueurs, pour une fois le RCS avait recruté judicieusement au mercato d'hiver puisque Patrick Cubaynes plante 7 buts en 12 matches dont un triplé pour commencer contre Bastia, le club qu'il venait de quitter. Pour le reste, l'équipe était constamment remodelée, seuls Schuth, Brisson, Vogel et V. Cobos faisant figure de titulaires indiscutables.
  • Saison 1984/1985 saisie, selon les mêmes modalités que les précédentes.

    C'est la deuxième saison de Sundermann au Racing mais après un mauvais début de saison il est remplacé par Jean-Noël Huck qui lance les jeunes : Schuth, Andrieux, V. Cobos, Niesser... S'ensuit un beau redressement avec 5 matches sans défaite et le Racing sauve sa peau en D1.

    Comme d'hab' à l'époque, l'attaquant recruté à grand frais a fait un flop puisque l'international Gérard Soler ne marque que 6 buts et finit la saison remplaçant. En revanche, le tandem Pécout-Kelsch fonctionne pas trop mal (12 buts chacun).

    En défense, le départ de Specht et Dropsy se fait sentir puisque, malgré la réputation défensive de Sundermann, l'équipe ne garde ses cages inviolées qu'à cinq reprises. D'après Perny, Piasecki aurait même joué en défense une partie de la saison... Les moins jeunes peuvent peut-être confirmer :-/
  • strohteam a écrit, le 2009-11-12 12:52:57 :
    Saison 1984/1985 . D'après Perny, Piasecki aurait même joué en défense une partie de la saison... Les moins jeunes peuvent peut-être confirmer :-/


    Oui, Piasecki avait jouer libero !
  • Effectivement, en fin de carrière et un peu plus lent que dans ses jeunes années, F. Piasecki s'est replacé au poste de Libéro.
    Je me souviens d'un but casquette pris dans ces conditions. L'expérience n'a pas forcément été à la hauteur des attentes.
  • Saison 1983-1984 saisie ! Sans doute la moins pire de la décennie point de vue résultats : 8ème et invaincu à domicile, ce qui n'est pas arrivé si souvent. En revanche, ça n'était pas vraiment du football champagne avec Sundermann, avec notamment pas moins de huit zero-zero dans la saison et des attaquants qui se cherchent : flop de Krimau, Gemmrich nettement en deça de ses stats habituelles, Rouyer très irrégulier, Quéry, Ouattara, Schaer... Le Racing s'est visiblement beaucoup cherché offensivement au cours de cette saison.

    A propos, j'ai une nouvelle question pour ceux qui suivaient le Racing à l'époque : Carsten Nielsen est référencé comme attaquant sur le stub mais, au vu des compos, j'ai davantage l'impression qu'il jouait milieu. Qu'en est-il exactement ?
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