Les cahiers du cinéma... (actualité du cinéma)
Flux RSS 4794 messages · 316.251 lectures · Premier message par conan · Dernier message par iuliu68
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lawknightJ'ai lu dans les journaux qu'il n'y aurait pas un Amazing Spider-Man 3. Sony va redémarrer une nouvelle franchise de l'homme araignée. Comme s'ils n'avaient pas brassé assez de pognon avec les cinq films précédents. Quand est-ce que ça va s'arrêter?...
En revanche, Spider-Man fera un tour chez les Avengers, Sony a conclu un arrangement avec Disney, qui a racheté Marvel, pour que le superhéros puisse rejoindre la bande quelque temps. Je n'en sais pas plus pour le moment. -
Concernant La famille Bélier, c'est un film que j'ai trouvé touchant. Un mix intéressant, et un François Damiens dans un rôle assez surprenant pour lui mais qu'il interprète plutôt bien.
J'ai vu Taken 3, qui était pas mal quoi qu'un peu lent par moments.
dans un autre registre un film qui m'a bien plu c'est Wild. L'histoire d'une jeune femme perdue entre drogue, tristesse, erreurs sentimentales... qui décide de faire le Pacific Crest Trail (une sorte de Grande Randonnée à l'américaine) sur 1600km.
Et le dernier en date que j'ai vu c'est Bis, qui m'a quelques peu déçu. Le duo Kad Merad - Franck Dubosc ne m'a pas convaincu. Bien sûr ça reste marrant, les clichés des années 80 ça marche toujours, même pour des plus jeunes comme moi. Mais quelques longueurs et l'histoire est tirée par les cheveux. Quelques répliques qui font sourire, des clins d'oeil à d'autres films des 2 acteurs qui ont été placées, mais ça tient plus du délire qu'autre chose. -
American Sniper
Avis mitigé. Monsieur Eastwood pose sa caméra et filme l'histoire un peu dérangeante de ce texan as de la gâchette. C'est brut, c'est forcément l'angle de vue américain avec tout son manichéisme, sa certitude d'être du bon coté. Et pourtant c'est tout aussi brut quant au retour des soldats, entier ou presque, broyés par une guerre, dont la finalité leur échappe.
Le film n'explique rien, parce que de ce point de vue il n y a rien expliqué. L’Amérique fait la guerre et c'est moche.
Pour le reste c'est assez classique, pas désagréable, quoique l'accent texan est atroce. -
Si les stubistes ne vont plus au cinéma, le cinéma viendra aux stubistes :)
Kingsman. Une comédie énergique très second degré. Excellents acteurs, scénario d'un vieux james bond, autodérision et l'accent anglais en prime. 2h qui passe comme un rien, ça m'a donné envie de ressortir mes VHS d'Austin Power. -
Je viens de le voir et je confirme les propos de @guigues, ce film est jouissif !
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Avec six films en deux semaines, j'ai fait une petite cure dans les salles obscures. Je me suis remis (brièvement) à la Fête du Cinéma, puis quelques réductions m'ont incité à la curiosité.
Un moment d'égarement avec Vincent Cassel, François Cluzet, Lola Le Lann et Alice Isaaz
Synopsis : Antoine et Laurent, amis de longue date, passent leurs vacances en Corse avec leurs filles respectives : Louna, 17 ans et Marie, 18 ans. Un soir sur la plage, Louna séduit Laurent.
Louna est amoureuse mais pour Laurent ce n'est qu'un moment d'égarement... Sans dévoiler le nom de son amant, Louna se confie à son père qui cherche par tous les moyens à découvrir de qui il s'agit...
Critique : une bonne comédie, même si l'histoire est un peu culcul. Le film réserve de bons moments de rires, mais si François Cluzet en fait des tonnes. Lola Le Lann semble être ici en raisons de qualités plus physique qu'artistiques et Alice Isaaz est sous-employée (elle est bien meilleure dans La crème de la crème de Kim Chapiron). A voir, sans plus.
Nos futurs de Rémi Bezançon avec Pio Marmaï et Pierre Rochefort
Synopsis: Deux amis d’enfance, qui s’étaient perdus de vue depuis le lycée, se retrouvent et partent en quête de leurs souvenirs…
Critique : intéressant. L'histoire paraît simple mais le film réserve un twist final qui m'a surpris. Entre temps, de bons moments de comédies, un bon duo d'acteurs (Pierre Rochefort n'est autre que le fils de Jean et il a du talent) avec une bonne alchimie, de bons seconds rôles (Kyan Khojandi notamment) et la nostalgie qui fait son apparition et nous donne envie de revivre notre jeunesse rock'n'roll comparée à une vie adulte rangée et un peu morose. Clichés par moments, mais à voir.
Terminator Genisys avec Arnold Schwarzenegger et Emilia Clarke
Synopsis : Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l'avenir de l’humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Sarah et Kyle se retrouvent dans une nouvelle version du passé. Ils y découvrent un allié inattendu : le Guardian. Ensemble, ils doivent faire face à un nouvel ennemi. La menace a changé de visage.
Critique : avec ces histoires d'allers-retours dans le temps, le film se perd en conjectures et essaie de paraître plus intello qu'il ne l'est. J'ai fini par abandonner l'idée de reconstituer tout ce bazar tellement c'est incohérent. Schwarzy cabotine etSinon, de bons effets spéciaux. En même temps, en 2015, si on faisait pas mieux que le premier film de la franchise... Passez votre chemin. J'ai honteAttention spoiler - cliquez pour afficheron a même pas droit à une seule scène nue de Daenerys.
Les profs 2 avec Pierre-François Martin Laval, Kev Adams
Synopsis : Les pires Profs de France débarquent en Angleterre pour une mission ultra-secrète. Avec Boulard, le Roi des cancres, ils sont parachutés dans le meilleur lycée du pays, et ils vont appliquer leurs célèbres méthodes sur la future élite de la nation. L'enjeu est énorme : de leur réussite dépendra l'avenir du Royaume tout entier... Cette année : aux meilleurs élèves, les pires profs quand même !!!
Critique : même recette que le 1er, même équipe que le premier (sauf Christian Clavier), mais un pays et un lycée autre. La mayonnaise ne prend pas. Entre les gags répétés (réchauffés) que l'on ne veux pas voiret ceux qu'on aurait aimé revoirAttention spoiler - cliquez pour afficherles cours de sport freestyle d'Eric, les cours pseudo-érotiques de français d'Aminatout ça est un gros fourre-tout. Certes, ça n'a ni queue ni tête, comme le premier volet, mais celui-ci au moins m'avait fait marrer. Qui plus est, Bourdon n'est pas à la hauteur pour remplacer Clavier, qui était mon préféré :(Attention spoiler - cliquez pour afficherla philosophie de Maurice traduite par le seul homme capable de le comprendre (Eric) et les cours de glande (de maths ?) de Cutiro/Tirocu
Daddy Cool avec Marc Ruffalo, Zoe Saldana
Synopsis : Entre fous rires et crises de larmes, Cameron Stuart ne sait plus où donner de la tête. Diagnostiqué bipolaire, Cameron suit un traitement dans le but de reconquérir sa femme Maggie et de réintégrer le cocon familial qu’ils forment avec leurs deux filles. Mais lorsque Maggie décide de quitter Boston pour partir à New-York reprendre ses études, la jeune femme n'a pas d'autre choix que de confier la garde de ses enfants à ce père pas tout à fait comme les autres…
Critique : j'ai toujours considéré Marc Ruffalo comme un acteur raté (très moyen dans Le dernier château et trop moyen dans Avengers), mais la bande-annonce m'a amené à voir ce film pour (peut-être) réviser mon jugement. C'est chose faite, il trouve un rôle de composition et l'emporte haut la main, aidé il est vrai par un bon groupe (en particulier les deux jeunes Imogene Wolodarsky et Ashley Aufderheide pleines de talent). A revoir.
Ant-Man avec Paul Rudd et Michael Douglas
Synopsis : Scott Lang, cambrioleur de haut vol, va devoir apprendre à se comporter en héros et aider son mentor, le Dr Hank Pym, à protéger le secret de son spectaculaire costume d’Ant-Man, afin d’affronter une effroyable menace…
Critique : un vrai bol d'air que ce Ant-Man. Après des adaptations mettant en scène des personnes hors du commun (un milliardaire dans la trilogie Dark Knight, un extraterrestre dans Man of Steel), on retrouve enfin à l'écran un homme ordinaire, voire un paria (cambrioleur) dans une adaptation sous forme de comédie. Ça change de tous ces films sérieux, et les combats miniatures sont aussi drôles que les dialogues. Un bon début de franchise avec un Paul Rudd toujours sympathique qui amène évidemment des suites comme en témoignent. A suivre...Attention spoiler - cliquez pour afficherles deux scènes post-générique avec la Guêpe puis Captain America -
lawknight a écrit, le 15/07/2015 22:13 :
Un moment d'égarement avec Vincent Cassel, François Cluzet, Lola Le Lann et Alice Isaaz
Synopsis : Antoine et Laurent, amis de longue date, passent leurs vacances en Corse avec leurs filles respectives : Louna, 17 ans et Marie, 18 ans. Un soir sur la plage, Louna séduit Laurent.
Louna est amoureuse mais pour Laurent ce n'est qu'un moment d'égarement... Sans dévoiler le nom de son amant, Louna se confie à son père qui cherche par tous les moyens à découvrir de qui il s'agit...
Cela me rappelle un film avec Robin Wright et Naomi Watts qui couchent avec leur rejeton respectif. -
Oui mais c'est surtout un remake du film éponyme français des années 70 réalisé par Claude Berri.
lawknight a écrit :
Critique : une bonne comédie, même si l'histoire est un peu culcul. Le film réserve de bons moments de rires, mais si François Cluzet en fait des tonnes. Lola Le Lann semble être ici en raisons de qualités plus physique qu'artistiques et Alice Isaaz est sous-employée (elle est bien meilleure dans La crème de la crème de Kim Chapiron). A voir, sans plus.
J'ai pensé exactement la même chose.
La brune et plus là pour sa plastique, parce que qu'est-ce qu'elle joue mal...
Bon en même temps c'était apparemment son premier film.
La blonde par contre, même avec son second rôle crève l'écran par la justesse de son jeu d'actrice. (+) -
Des gens influents de mon entourage m'ont traine pour aller voir Mission:Impossible 52 Rogue Nation. En version doublee en plus. Autant dire que je trainais les pieds.
Bon ben j'ai trouve ca excellent.
(note de contexte : pour des raisons independantes de ma volonte, enfin bon, je n'ai pas vu de film "normal" (ni dessin anime, ni super-heros, ni adaptation de Tolkien) depuis environ 11 ans, au cinema, le vrai, celui avec les sieges rouges, du coup il n'est pas impossible que le fait que je trouve ca genial soit simplement du au fait que je redecouvre le cinema comme au premier jour (d'ailleurs mon premier film en vrai de la vie au cinema, cetait "4 bassets pour un danois", ce n'est pas un film de boules, mais y'a du poil. He bien j'avais adore aussi, c'etait en reprise au Ritz (je precise pour @inter et @ericcantona qui ont peut-etre connu (j'y ai vu mon premier Chabrol aussi, mais plus tard hein)), alors qu'en fait, c'est une ignoble bouse, ca relativise.)
Bref, le cote je manipule le type qui pense me manipuler mais en fait peut-etre qu'en faisant cela je fais exactement ce qu'il s'attendait a ce que je fasse et du coup il me manipule quand meme (en gros, du John Le Carre fun), ca m'a beaucoup plu.
Ca c'est le cadre, ce qui se passe, c'est des kilotonnes d'action, ce n'est pas un scoop, mais c'est sympa. Les grimpes d'epaules de la gonzesse heroine pour finir la tete du mec coincee entre les jambes, c'est du deja vu, mais l'aspect repetitif du procede rend le truc comique, sympa.
J'ai bien aime les quelques clins d'oeil a des vieux films places ici et la (le plus evident etant tout le truc a l'opera de Vienne, mais pas que), c'est cool pour les vioques.
Le nain scientologue a pris un coup de vieux dans sa face, mais question arteres ca a l'air d'aller. Il se vanterait partout d'avoir fait une grande partie des cascades, bon, admettons. Mais par moments il est ou il joue a etre completement hagard et a la rue, c'est toujours rigolo.
J'aime toutes les apparitions de Simon Pegg du monde, enfin, surtout dans ses propres films, du coup j'ai ete heureusement surpris de le voir la (le placement produit Halo m'a fait marrer). Le mechant est bien et intelligent, avec une armee de sbires tous plus patibulaires les uns que les autres.
Anecdote : sympa de proposer une nouvelle carriere a Alain Soral en premier sbire du grand méchant :
Au depart ca m'a un peu decontenance, et puis finalement, il s'en sort bien le mec. Le boss des mechants n'est pas Dieudonne.
La semaine prochaine, je vous parlerai de Vice-Versa.
Blourg
JPDarky -
La chronique ciné de @jpdarky, plus fort que le Masque et la Plume B-)
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Bien joue Kitl, note que j'ai vu le film cet aprem', et COMME PAR HASARD, ils en parlent ce soir (mais j'avais repere la reference Hitchcock sans eux, en revanche, le prenom de la gonzesse, non, d'ou que j'en parle pas).
Et COMME PAR HASARD, pas un mot sur Alain Soral non plus.
:complot mediatique:
Blourg
JPDarky
PS : tu a des references radiophoniques de qualite
PPS : mais ca ne me surprend pas de ta part. -
Bonsoir,
Aujourd'hui avec mes hools on a decide dans le cadre de notre cine-club a domicile de sortir un DVD de la cave : "Les douze salopards".
Du coup, je vous en parle, parceque finalement on n'a pas regarde "Vice-Versa", vu qu'on n'est pas alles au cinema, mais que bon, je vous avais dit que je vous raconterai.
Par rapport a "Vice-Versa", il y a un certain nombre de differences. D'abord, ce n'est pas un dessin-anime. Ensuite il y a tres peu de filles ou de femmes, et quand il y en a, ce sont soit des periprostiputes emmenees en fourgon militaire pour passer une soiree de reve dans un baraquement precaire ou se trouve les douze salopards, soit ce sont des gonzesses qui seront tondues a la liberation parceque leur seule fonction est d'etre avec des grades allemands dans un chateau de la campagne francaise tout a fait coquet.
Avant d'aller de l'avant dans une analyse profonde des tenants et aboutissants de ce film, je signale l'evidence : le casting. C'est de la folie pure.
Je cite mon plus jeune hool : "ho ! y'a le type a l'harmonica de 'Il etait une fois dans l'ouest' qui est dans 'les 7 mercenaires' ! ", oui, evidemment, il est la. Mais aussi bien sur Lee Marvin, Terry Salavsalasvas (sans sa sucette) que mon plus jeune hool appelera "Thierry" pendant tout le film parcequ'il ressemble a mon copain Thierry, et toute un tripotee d'autres gars, dont Donald Sutherland jeune.
L'histoire, je ne vous la resume pas, vous la connaissez surement, ou alors d'accord : c'est un gars, Lee Marvin, dont il semble bien qu'il ne soye pas hyper discipline comme type mais je n'ai pas compris ce qu'il avait fait avant, mais visiblement une ou deux conneries, qui se voit force d'entrainer douze types, qui sont pas jojos non plus, mais visiblement ils ont fait plus que une ou deux conneries, puisque les mecs sont condamnes a plein de trucs, voire meme pour le personnage joue par Cassavetes, a la peine de mort.
Il doit entrainer les mecs pour faire une mission en France : foutre une ambiance de merde dans un chateau sympatoche de la campagne francaise ou plein de grades allemands font une petite sauterie entre eux et avec des meufs.
On distingue deux grands axes dans ce film :
1/ le recit de la creation d'un groupe constitue au depart d'individualistes forcenes qui pensent qu'a leur gueule pour finalement, a force de technique comportementales, transactionnelles et de PNL tout a fait modernes pour l'epoque, mais furieusement innovantes au moment des faits, devenir un groupe soude comme les 5 doigts de la main de l'homme de l'Atlantide, sauf qu'ils sont douze, mais en realite onze, parceque Terry Salapalavas restera un electron libre fouteur de merde, et d'ailleurs il les mettra bien profond, dans la merde, a cause de sa psychopathie maladive d'illumines qui se sent oblige de tuer des gonzesses, surtout une, parceque Dieu lui parle (oui, le meme etre surnaturel qui dit a d'autres types de se balancer dans des tours, de faire sauter des vestiges antiques irremplacables, de transformer en esclaves sexuelles des fillettes et jeunes femmes, de couper la tete a tour de bras, etc).
2/ un axe assez subversif de ridiculisation de la hierarchie et la discipline militaire. La scene de reception au camp d'entrainement de parachutisme, avec la fanfare qui se lance a chaque fois que le chef du camp sort de sa cahute pour voir si les mecs arrivent et qui se font engueuler a chaque fois par le chef (un pas gentil), et qui du coup, ne demarrent pas la musique quand il sort pour de bon pour recevoir les douze salopards, et que du coup ils se font re-engueuler, c'est tres bon. Puis Donald Sutherland, que Lee Marvin fait passer pour un haut grade venu en toute discretion, faisant la revue des troupes, alors qu'il est tout debraille et mal rase est tres bien dans l'irreverence et le foutage de gueule.
Lee Marvin et toute sa troupe sont clairement en opposition avec la hierarchie (on se demande d'ailleurs pourquoi ils se sont engages au depart, je veux dire, dans le temps, avant meme leurs problemes qui les ont menes a la condamnation).
Les tristes militaires "normaux" ne sauront repondre que par la violence mesquine et inegale par divers coups de putes (tabassage du justicierdanslaville dans les chiottes par deux types en superiorite numerique par exemple).
Les scenes d'action sont fort sympathiques, y'a du matos de guerre, mes hools ont adore les scenes d'assaut du chateau, c'est un gros bordel ou a peu pres tout foire, c'est rejouissant. Et le chaos que l'acte stupide de Terry Salatsipras provoque met la touche finale a un film qui arrive a fusionner le bon film de bande de mecs classique avec le faux film a la gloire des militaires et le vrai film irreverencieux contre la hierarchie, l'ordre et la stupidite *necessaire* de l'obeisssance aveugle.
Un seul detail m'a chiffonne : dans la scene de la visite des periprostiputes, quand Franco/Cassavetes propose a une blonde a sourcils noirs de danser, elle dit "mais y'a pas de musique", il repond "c'est pas grave" et se met a chantonner. Au plan suivant, Lee Marvin et son second qui ont laisse les mecs discuter avec les meufs regardent de loin le baraquement (en se caressant probablement) et la on entend clairement de la musique.
La semaine prochaine, je vous parlerai de "L'annee derniere a Marienbad".
Blourg
JPDarky -
Tout ceci est (peut-être) fort intéressant, mais mon cher Darky, dans ta quête effrénée d'étalage narcissique de ta vie privée, j'ai le regret de t'annoncer que tu t'es fourvoyé, puisqu'il s'agit du topic 'actualités".
En effet cher Darky, le topic idoine est ici: https://racingstub.com/forum/topic/1546 -
Bien vu Iuliu68,
A tous points de vue d'ailleurs.
Voyons combien de temps cet acte involontaire d'insoumission aux règles de l'etiquette du forum restera impuni.
J'y vois une mise en abime tristement petit-bourgeoise du thème de la rébellion contre l'ordre et la règle.
Et tout ça simplement par ignorance (de ma part). C'est fascinant. Et sans intérêt. A la fois.
Bien à toi ma hyène.
Blourg
JPDarky -
Mon Dieu, ils ont fait une suite au mythique Iron Sky, avec cette fois des nazis chevauchants des dinosaures.
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Citation: nazis chevauchants des dinosaures
Bon, j'avoue que j'avais été un peu déçu par le premier, je trouve que les mecs ne sont pas allé au bout du délire. Là, le trailer annonce vraiment du très lourd avec des dinosaures, des reptiliens, des illuminatis, des nazis et des pingouins. -
Bah le premier, ils n'ont pas été a fond dans le nanard et ont fait un vrai film. C'était assez risqué mais au final une comédie assez cynique plutôt réussie. Rien que pour l'USS Georges W Bush....
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C'est ça, vu le scénario, je m'attendais à un nanar assumé, totalement jubilatoire, d'où la déception au premier visionnage. Ça reste un film sympa, mais il y avait sans doute matière à faire un truc mythique.
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Je suis désolé, mélanger les dinosaures et les nazis dans un même film, ce n'est pas du tout original
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Des commentaires sur le dernier Shyamalan, The Visit ? Je l'ai vu non pas par attirance pour les films "d'horreur", mais par respect pour le réalisateur (Incassable, Signes, le Sixième sens ou Le Village sont pour moi de véritables classiques). Pas déçu. Un Shyamalan de la bonne vieille école qui provoque d'indéniables émotions, à l'ancienne ; on rit (beaucoup), on flippe et on en viendrait presque à être ému par moment. Les deux gamins sont impressionnants, une vraie paire d'acteurs talentueux et attachants. Et en bon Shamalan, on encaisse.Attention spoiler - cliquez pour afficherun bon vieux "twist" de derrière les fagots
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Tiens je l'ai vu aujourd'hui. Ce sacré Shyamalan, on ne sait jamais s'il est génial ou s'il se fout de notre gueule. Les trois que tu cites sont énormes, mais il a aussi commis des bouses infâmes comme "Phénomènes".
The Visit, je ne sais pas trop quoi en penser, mais il a des atouts et est assez perturbant. Les deux gamins sont effectivement très bons et en fait, tout le film est assez enfantin et se déroule selon leur point de vue d'ados. Ce qui donne une atmosphère assez légère - inhabituelle chez Shyamalan - à ce film alors qu'il traite d'un sujet assez grave;.Attention spoiler - cliquez pour afficherLa folie
Autre élément qui donne une atmosphère particulière, beaucoup de plans sont filmés par la caméra que les gamins trimballent partout.
Après la fin donne lieu à pas mal d'interprétations et ouvre la porte à pas mal de délires:
Attention spoiler - cliquez pour afficherOn peut considérer que les mômes butent les vieux tarés qui veulent les buter parce qu'ils sont fous. Mais pas mal d'éléments montrent que, malgré le regard assez amusé, voire cruel des ados sur cette folie, eux mêmes ne sont pas tout à fait nets. La fille ne supporte pas les miroirs, le garçon a la phobie des microbes, et c'est en surmontant leur névrose et les utilisant qu'ils trouvent l'énergie pour se sauver et vaincre les deux vieux. La scène du pendu montre également qu'ils ont des hallucinations et qu'ils délirent un peu beaucoup... Et si les vrais fous, c'étaient eux en fait? Il y a aussi un délire ou on peut se demander si les deux vieux, c'est pas l'image des deux mômes dans 60 ans.... Bref faut que je me le remate moi! -
Effectivement @conan, Shyamalan a pondu quelques horreurs dans entre 2006 et 2013 (généralement, l'expression "After Earth" suffit pour faire fuir à peu près tout le monde). Reste que depuis l'an passé et la solide série Wayward Pines (qui n'est pas un chef d'œuvre d'acting, mais une belle surprise scénaristique), j'ai retrouvé un peu d'espoir quant au potentiel du monsieur.
Il ne faut pas oublier qu'au delà de l'art du retournement de situation, Shyamalan est avant tout un conteur qui a toujours joué sur la disjonction et les rapports entre le réel et l'irréel, voire le surnaturel (tous ses films nous baladent dans cette grande contradiction). C'est en cela que The Visit répond (enfin) parfaitement à l'attente de ses admirateurs ; ton analyse sous spoiler sur les sujets balayés par le film est excellente et, effectivement, on ne sait pas à quel saint se vouer. J'ai cru lire que ses prochains projets se feront avec Bruce Willis et Jason Clarke. J'espère vraiment que son grand "retour" (si on peut appeler ça comme ça) se confirmera. -
Vu Elser héros ordinaire, du mec qui a fait la chute. L'histoire d'un type qui a organisé un attentat contre Hitler en 1939.
Le film est intéressant et propose une photographie de l'Allemagne des années 30. On voit comment la période 32-39 a été vécue par les habitants d'un village du fin fond du Wurtemberg. Mine de rien, un pan d'histoire assez méconnu. -
Vu avec beaucoup d'enthousiasme Seul sur Mars, qui est le meilleur truc que j'ai vu au cinéma depuis perpet. Un très grand spectacle, avec une succession d'ingéniosité techniques validées par la NASA et autres spécialistes scientifiques, quelques hérésies scientifiques mais bon... Non seulement c'est intelligent, mais en plus il y a une vraie tension qui se dégage de cette histoire.
Moins d'enthousiasme pour le nouveau stagiaire qui fait tout de suite moins rêver et que j'ai vu accompagné d'un UB90 très célèbre. C'est une comédie vaguement romantique tenu par le tandem De Niro Anne Hathaway. C'est sympathique sans casser des briques non plus. Et puis Anne Hathaway qui pleurniche parce qu'elle ne trouvera jamais l'amour, je veux bien me dévouer, ça ne sera pas la baignoire me concernant. -
Un horrible doute massaï.
Luke aurait il rejoint le côté obscur?
On ne le voit nulle part sur les teasers ou affiches.
Serait ce celui qui promet d'achever l'oeuvre de vador ?
Tin, j'en mouille mon slip.
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