Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

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Flux RSS 7500 messages · 584.749 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par guigues

  • Gindorf : « J'arrête en juin »


    Le président du Racing, qui aura alors 74 ans, passera la main en fin de saison, mais restera au conseil de surveillance. Pierre Schmidt et Philippe Ginestet semblent les seuls à pouvoir lui succéder.
    Le désaccord qui couvait depuis mai (cf le précédent « Alsace Lundi ») entre 6 des 7 actionnaires de « Sportinvest », propriétaire du Racing depuis le rachat à IMG/Mc Cormack au printemps 2003, et le 7e, Sébastien Graeff, porte-parole de son père Bernard, a trouvé son épilogue samedi après-midi. Après avoir longtemps refusé de quitter le club alors qu'ils avaient eux-mêmes annoncé en mai leur intention de partir, Sébastien et Bernard Graeff, actionnaires à 31 % (soit plus que la minorité de blocage fixée à 25 % par les statuts de « Sportinvest »), ont accepté de céder leurs parts au président Egon Gindorf à leur valeur nominale (1,1 million d'euros). Un rachat provisoire pour celui qui sera, une fois l'opération formalisée (« ce n'est pas encore signé », dit Gindorf), à la tête de 76 % du capital de « Sportinvest ». Autrement dit, d'une majorité nécessaire et suffisante pour gouverner comme il l'entend. Mais les intentions de l'industriel allemand sont autres.

    “ Depuis un an et demi, je n'ai plus de vie privée”
    Dans un premier temps, Sébastien Graeff avait menacé de ne vendre ses actions qu'au double de leur prix d'achat. Contre Lens le 18 septembre, Bernard Graeff, présent dans les loges de la Meinau, avait, en fin d'après-midi, « séché » la réunion du conseil de surveillance auquel il appartient pourtant. Et son déjeuner avec Philippe Ginestet, patron de la société immobilière « Eurinvest » et actionnaire à 5,5 %, n'avait débouché sur rien de concret. « Le dialogue entre les autres actionnaires et Bernard Graeff était rompu », indiquait Ginestet mercredi à Caen. « J'ai proposé de jouer les médiateurs pour le renouer. Nous n'avons pas trouvé d'accord, mais nous avons discuté. C'est un premier pas. » Un premier pas qui a « détendu l'atmosphère » (Gindorf) et débouché sur l'accord de samedi. Lequel va permettre d'aborder plus sereinement l'avenir et l'inéluctable transition à la présidence. En mai 2003, Egon Gindorf avait accepté de prendre les rênes du club faute de candidats. « J'avais dit que je resterais deux ans. Je m'y tiendrai. Je vais avoir 74 ans, ça suffit. Depuis un an et demi, je n'ai plus de vie privée. Je ne pense qu'au Racing. En plus, j'habite Monaco et mon éloignement m'amène à être toujours pendu au téléphone. Sans compter la perte de temps que ça peut engendrer dans la prise de décisions. C'est une certitude : je ne serai plus président en juin. Mais je resterai actionnaire et entrerai au conseil de surveillance, comme c'était ma première intention lors du rachat. Il est temps qu'un des jeunes prenne le relais. »

    “ Détenir tout le pouvoir n'est pas sain”
    Ce mardi, Egon Gindorf, qui se livrera dès aujourd'hui à une série d'entretiens téléphoniques, conviera les 5 autres actionnaires (Marc Keller, Patrick Adler, Philippe Ginestet, Pierre Schmidt et Thierry Wendling) à une réunion informelle. « Je ne veux pas garder 76 % des actions. Détenir tout le pouvoir dans un club n'est pas sain. Ce n'est pas ma conception. Maintenant que la situation avec Sébastien et Bernard Graeff est débloquée, les choses vont se décanter. Dans le mois qui vient, nous devrions être fixés. Je vais consulter mes partenaires pour voir qui est intéressé par le rachat d'une partie de mes parts et qui est prêt, également, à participer à l'augmentation de capital à laquelle je souhaite procéder pour doter le club de moyens supérieurs, sachant que la porte n'est pas fermée non plus à Jacky Kientz (Ndlr : l'ex-président candidat à une entrée dans le capital à hauteur de 25 % contre 1,2 million d'euros, à qui les actionnaires actuels ont opposé une fin de non-recevoir le 15 septembre). » Un Kientz qui ne cache pas que si ses associés et lui prennent le contrôle du RCS, la politique actuelle et les hommes en place seront remis en cause. Mais comme le soulignait Philippe Ginestet dans notre édition de vendredi, « rien n'interdit de penser qu'un ou plusieurs des actionnaires de « Sportinvest » puissent s'investir davantage. » Songeait-il déjà à lui ? Des cinq colistiers de Gindorf, il semble le seul, avec Pierre Schmidt (PDG de l'enseigne charcutière éponyme), à disposer de la surface financière indispensable pour s'emparer du gouvernail du bateau – de la galère surtout pour l'instant — Racing.


    source : l'alsace
  • En gros, avec les déclarations de Marc Keller qui dit qu'il n'attendra pas 10 ans pour avoir des résultats, Gindorf qui ne veut plus être président l'an prochain, et le club qui va droit en ligue 2 sportivement, on va droit vers un renouvellement complet de l'organigramme du RCS, avec tous les risques que cela comporte :-&
  • « Ma succession est ouverte... »

    Forcément préoccupé par le cataclysmique début de saison de son équipe, Égon Gindorf se refuse à parler de crise. Même s'il concède que l'une des ultimes chances de maintien se jouera samedi face à Nantes. Il annonce aussi qu'il quittera son poste de président en fin de saison.

    - Samedi soir, après la défaite face à Paris, vous vous êtes dit plus attristé qu'en colère, c'est toujours votre sentiment ?
    - Oui, parce qu'il n'y a aucune colère à avoir. Il y a simplement beaucoup de tristesse. Les gars se sont battus, peut-être maladroitement, mais ils se sont battus et derrière on a été sérieux. En fait, je misais beaucoup sur le déplacement à Caen, mais je ne me faisais pas d'illusion sur ce match au Parc. Même si l'espoir était quand même là face à un PSG faible et crispé. Je me disais que prendre un point était possible. Et c'était possible. On a presque réussi. Une petite erreur a tout gâché.
    - Cette équipe ne va quand même pas bien du tout. Après huit journées, elle est dernière, avec la plus mauvaise défense, la 14e attaque et pratique un jeu d'une pauvreté terrible...
    - Je sais. Maintenant qu'on a fermé derrière et qu'on ne prend plus de but ou plus trop, on ne marque plus. Et le milieu de terrain est faible. Face à Paris, il y a eu des occasions de contres qui ne sont pas allées au bout parce que les ballons ont été mal donnés. Ce n'est pas normal. Encore une fois, il n'y a pas de crise dans l'équipe, les joueurs s'entendent bien, mais c'est sûr que les mauvais résultats pèsent sur le moral et sur la qualité du jeu.

    « Si on perd, on est dans la m... »

    - Vous espériez vraiment terminer aux environs de la 10e place avec cette équipe ?

    - Oui, parce qu'on pensait qu'elle était meilleure que celle de l'an dernier. Et je pense toujours qu'elle l'est, mais c'est difficile de le montrer quand on est au fond. Nous étions optimistes et le budget avait été calculé à partir de cette 10e place. Il faudra plutôt viser la 13e place que la 10e.
    - Vous y croyez ou c'est la méthode Coué ?
    - Non, je le crois sincèrement. Sinon autant arrêter tout de suite. Maintenant, je ne suis pas naïf, c'est vrai qu'il faudra absolument battre Nantes. C'est un match à gagner impérativement ! Si on perd samedi, on sera dans la m... et le maintien sera difficile à accrocher.

    « Kombouaré n'est pas menacé »

    - Justement, si vous perdez, Antoine Kombouaré restera-t-il l'entraîneur du club ?
    - Il n'est pas menacé par une défaite face à Nantes. Je n'ai aucun doute à son sujet. Ce n'est pas lui qui est en question. Mais il faudra agir concrètement, c'est évident.
    - Comment, si vous ne changez pas d'entraîneur ?
    - Je ne peux pas donner de réponse aujourd'hui, mais mardi (demain) nous allons en parler avec les autres actionnaires. Et jeudi, je vois Antoine (Kombouaré). Il faudra prendre des décisions énergiques. Au niveau de l'attaque notamment. Niang par exemple, ce n'est pas la peine de le laisser sur le terrain si c'est pour jouer comme ça. Encore une fois, il va falloir agir. Et vite.
    - Samedi, le public va sans doute gronder. Enfin, s'il se déplace...
    - Je m'y attends, c'est normal. Je comprends que les gens soient déçus. Nous le sommes aussi, mais nous avons plus que jamais besoin du soutien de tout le monde à la Meinau. Il faut que le public soit derrière nous. C'est un match capital pour le club. Il faut vraiment que les gens se mobilisent car avec une victoire face à Nantes, je suis sûr que tout redémarrera. C'est dans les mauvais moments de ce genre qu'on doit avoir du soutien.

    « Je ne serai plus président la saison prochaine »

    - Où en êtes-vous concrètement de l'augmentation de capital annoncée cet été et réaffirmée la semaine dernière ?
    - Nous avons des contacts. Moi, j'écoute tout le monde. Je ne souhaite pas avoir le club pour moi. Le Racing, c'est le club de la ville, de la région. Si des industriels strasbourgeois, alsaciens veulent nous rejoindre, nous les écouteront.
    - Il se murmure d'ailleurs que Jacky Kientz...
    - (Il coupe). J'écoute tout le monde, Jacky Kientz, qui est un vrai amoureux du Racing et quelqu'un de très respectable, comme tous les autres. S'il a quelque chose d'important et d'intéressant à apporter au Racing, il n'y a aucune raison de ne pas l'écouter.
    - Quand vous avez accepté la présidence du club il y a un peu plus d'un an, vous vous disiez partant pour deux saisons maximum. Avez-vous changé d'avis depuis ?
    - Non. Je quitterai mon poste à la fin de cette saison. Je resterai actionnaire du Racing parce que c'est le club de mon coeur, j'occuperai peut-être un siège au Conseil de surveillance, mais je ne serai plus président. Maintenant, ma succession est ouverte, il va falloir trouver mon remplaçant. Il vaut mieux s'y prendre à temps et préparer ça sereinement.

    (Source: DNA)
  • Non seulement l'équipe première nous fait rire jaune sur le terrain et j'ai bien peur que cela perdure ... mais en plus le bordel dans les coulisses recommence ... avec 76% des parts Egon peut faire la pluie et le beau temps ... le temps est plutôt à la pluie c'est temps-ci ... donc si en l'état un nouveau président doit être trouvé 2 solutions :
    1. Egon garde 76% et on a un président sans pouvoir
    2. quelqu'un rachète au moins 50% des parts et là franchement au regard de la situation sportive je sais pas qui va investir avec une équipe plus proche actuellement de la L2 qu'autre chose.
    Pour les joueurs qui n'ont déjà pas un gros mental, on va voir de belle chose sur le terrain !!! Jouer avec le frein à main plus le frein moteur plus .....
    Suis pas trop optimiste malheureusement ...
  • Nous sommes à l'aube d'une nouvelle révolution au Racing et donc d'une nouvelle ère...
  • chris68 a écrit :
    Nous sommes à l'aube d'une nouvelle révolution au Racing et donc d'une nouvelle ère...


    Celle de la re-reconquète ? :p
  • tomaga a écrit :
    1. Egon garde 76% et on a un président sans pouvoir


    Tu rigoles, avec 76% des part Egon à les pleins pouvoirs. Il n'aurait même pas besoin de demander l'avis de quiconque pour mettre quelque chose en place ...

    tomaga a écrit :
    2. quelqu'un rachète au moins 50% des parts et là franchement au regard de la situation sportive je sais pas qui va investir avec une équipe plus proche actuellement de la L2 qu'autre chose.


    Pourquoi 50% ? Egon aimerait sûrement garder 35 - 40% minimum, donc il resterait 36 - 41% pour le(s) nouvel(eaux) actionnaires, sauf si Keller, Ginestet et Schmitt serait prêt à investir d'avantage.
    Et soit disant il y a pas mal de sociétés alsaciennes prêtes à mettre un peu de sous dans le club ;)
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Les deux favoris pour prendre la succession de Egon Gindorf sont Pierre Schmidt (charcutier traiteur d'Alsace) et Philippe Ginestet (société immobilière Eurinvest).
    Source: L'Alsace
  • father-tom a écrit :
    Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Les deux favoris pour prendre la succession de Egon Gindorf sont Pierre Schmidt (charcutier traiteur d'Alsace) et Philippe Ginestet (société immobilière Eurinvest).
    Source: L'Alsace


    vive la charcuterie d'alsace ! :)-
  • samh a écrit :
    father-tom a écrit :
    Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Les deux favoris pour prendre la succession de Egon Gindorf sont Pierre Schmidt (charcutier traiteur d'Alsace) et Philippe Ginestet (société immobilière Eurinvest).
    Source: L'Alsace


    vive la charcuterie d'alsace ! :)-


    Tu parles, on va encore pédaler dans la choucroute... :p
  • boogie a écrit :
    samh a écrit :
    father-tom a écrit :
    Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Les deux favoris pour prendre la succession de Egon Gindorf sont Pierre Schmidt (charcutier traiteur d'Alsace) et Philippe Ginestet (société immobilière Eurinvest).
    Source: L'Alsace


    vive la charcuterie d'alsace ! :)-


    Tu parles, on va encore pédaler dans la choucroute... :p


    Je verrais le directeur de la SDEA car en ce moment on pédale plutôt dans la merde :))
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Gindorf : « J'ai demandé, avec le soutien des actionnaires, à Monsieur Philippe Ginestet d'assurer ma succession au poste de Président [...] qui a demandé de disposer d'un délai de réflexion d'une quinzaine de jours. »
    Source: Communiqué officiel
  • Les actionnaires du Racing ont demandé hier, en fin d'après-midi, à Philippe Ginestet, vice-président du conseil de surveillance, de prendre la succession d'Egon Gindorf à la fin de la saison. Le président d'Eurinvest donnera sa réponse dans 15 jours. Et selon toute vraisemblance, ce sera oui.


    Alors que le club se débat dans les tréfonds du classement, une page est en train de se tourner à la Meinau. Une de plus. La différence avec les précédentes, c'est que celle-ci se tourne sans bruit de déchirure. Sereinement. Ça change !
    Hier soir, un simple communiqué signé Egon Gindorf a ainsi annoncé la nouvelle. « Alors que les résultats sportifs (...) sont au plus bas, l'ensemble des actionnaires historiques a décidé de montrer à l'ensemble du club, et de ses supporters, qu'il croit au futur du Racing (...) en décidant de réaliser un apport financier supplémentaire et significatif », a-t-il été expliqué.
    Avant que ne soit ajouté : « concernant mon départ programmé dès la fin de la saison, j'ai demandé, avec le soutien des actionnaires, à M. Philippe Ginestet d'assurer ma succession au poste de Président. M. Philippe Ginestet, conscient de la responsabilité de la fonction, a demandé à disposer d'un délai de réflexion d'une quinzaine de jours ».


    La fierté d'Adler


    Pas de révolution donc. Pas de nouvelle arrivée non plus dans le pool d'actionnaires, comme cela avait pourtant été envisagé. Un changement dans la continuité comme on dit en politique quand on ne veut pas se mouiller.
    Avec un adoubement en bonne et due forme et l'accord unanime de tous les actionnaires en moins de deux heures. Ceux qui espéraient une nouvelle crise intra-utérine en sont pour leurs frais.
    « Je suis très fier d'appartenir à cette équipe, dira d'ailleurs en soirée un Patrick Adler tout sourire. Il y a entre nous une solidarité sans faille et c'est d'autant plus important en ce moment que les résultats sportifs ne sont pas bons. Nous sommes tous unis dans la difficulté comme dans la victoire ».


    Rassembleur et passionné


    Concrètement, cela signifie évidemment que Philippe Ginestet est désigné comme Dauphin. Injoignable hier soir, ce chef d'entreprise dynamique, à l'aise financièrement, rassembleur et passionné de foot présentait le profil idéal pour devenir le nouveau président du club en fin de saison. Il le sera donc. Alors qu'Egon Gindorf rejoindra selon toute vraisemblance le conseil de surveillance.
    A 36 ans, le patron de la société immobilière Fongip Eurinvest, régulièrement au bord des terrains, sera dans quelques mois l'un des plus jeunes présidents de l'histoire du club. En espérant que ce ne sera pas en L2.


    Augmentation de capital


    Plus matériellement, cela sous-entend aussi qu'il augmentera de façon conséquente sa part dans le capital du club. A la tête de 5,5 % des actions à ce jour, il passera sans doute celle des 50 %, Egon Gindorf réduisant du coup sa voilure personnelle pour lui permettre de devenir actionnaire majoritaire.
    Car il y a évidemment un enjeu financier de taille dans ce remaniement interne. Le club, on le sait, veut augmenter son budget pour le porter à, au moins, 27 M€, contre 24 M€ aujourd'hui.
    La solution de laisser entrer un actionnaire "étranger" au pool d'investisseurs historiques ayant été écartée, il fallait que l'un des membres du « cartel » ouvre son portefeuille. Dans quinze jours, Philippe Ginestet annoncera vraisemblablement qu'il relève le défi.

    DNA

    Ouf, je crois qu'on l'a échappé belle... :-&

    Ptain, il a 36 ans, le gars... :O Dites donc, je pourrais presque être présiédent du racing :))
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Adler:"Je suis très fier d'appartenir à cette équipe (d'actionnaires). Il y a entre nous, une solidarité et c'est d'autant plus important en ce moment que les résultats sportifs ne sont pas bons. Nous sommes tous unis [...] ."
    Source: DNA
  • boogie a écrit :
    Ptain, il a 36 ans, le gars... :O Dites donc, je pourrais presque être présiédent du racing :))


    Je pense qu'il a les reins plus solide que toi l'ami Ginestet ;)

    Lorsque tu as une boîte qui fait 272M€ de CA en 2002 ... Tu peux prévoir le futur paisiblement si toute fois tu gères bien.
  • thelak a écrit :
    [
    Je pense qu'il a les reins plus solide que toi l'ami Ginestet ;)


    Mais ma copine est tout à faite satisfaite par la solidité de mes reins môssieur ! :p
  • boogie a écrit :
    thelak a écrit :
    [
    Je pense qu'il a les reins plus solide que toi l'ami Ginestet ;)


    Mais ma copine est tout à faite satisfaite par la solidité de mes reins môssieur ! :p


    Bah si ta copine le dit ... Moi je dis Boogie Pré-Si-Dent !!! :)-
  • thelak a écrit :
    boogie a écrit :
    thelak a écrit :
    [
    Je pense qu'il a les reins plus solide que toi l'ami Ginestet ;)


    Mais ma copine est tout à faite satisfaite par la solidité de mes reins môssieur ! :p


    Bah si ta copine le dit ... Moi je dis Boogie Pré-Si-Dent !!! :)-


    ...et le racing champion d'europe !!! :))
  • L'actionnariat évolue

    Le président Philippe Ginestet a revendu 7 % de ses parts à Dominique Pignatelli, déjà actionnaire minoritaire, mais reste l'homme fort du RCS avec 70 % du capital.

    Décidément, les choses bougent ces temps-ci au Racing Strasbourg. Entre l'agitation du mercato, la signature récente d'un partenariat de 4 ans (2007-2011) avec l'équipementier danois Hummel (« L'Alsace » de mercredi) et la cession récente par le président Philippe Ginestet d'une – petite – partie de ses actions, le RCS vit à l'heure du changement. Mais un changement dans la continuité si l'on se réfère au capital.
    Petit retour en arrière : Philippe Ginestet est arrivé en mai 2003 lors du rachat du club à IMG/Mc Cormack par Egon Gindorf et son pool d'actionnaires régionaux. A l'époque, il ne détient que 5 % des parts de Sporinvest, la holding qui possède le Racing à 98 %. A l'automne 2004, alors que l'équipe d'Antoine Kombouaré est en souffrance en L 1, il en devient actionnaire majoritaire à 51 %, avec, en filigrane, l'accession à la présidence fin 2004-2005.
    Mais il sort par la petite porte en juin 2005, après un conflit avec Gindorf, Marc Keller et les autres. Il leur cède 31 % (pour n'en garder que 20), avant de revenir par la fenêtre en décembre 2005. Il se porte alors acquéreur de 62 % supplémentaires pour environ 3 millions (2), prenant à 82 % le contrôle d'une holding qu'il rebaptise « EuroRacing ».
    Au printemps dernier, il revend 5 % à Dominique Pignatelli, directeur général autodidacte de l'entreprise Intergraphic, installée à Schiltigheim et spécialisée dans la vente, la rénovation et le rachat de presses offset (1). Coût pour l'entrepreneur schilikois, présenté quelque temps plus tôt au patron du RCS par une connaissance commune : 500000 euros.

    Pignatelli a injecté 1,075 million
    Six mois plus tard – en fait un peu avant Noël - D. Pignatelli a acheté 7 % supplémentaires, moyennant 575000 euros cette fois. Au total, il a injecté 1,075 million, dont la moitié en compte courant d'actionnaire (récupérable en cas de bénéfices). « Depuis plusieurs mois, Dominique insistait pour investir un peu plus», rappelle Philippe Ginestet, « Je lui avais opposé un refus poli parce que je n'étais pas vendeur. Mais j'ai appris, au fil du temps, à connaître l'authentique passionné et le chef d'entreprise performant qu'il est, quelqu'un d'attachant prêt à contribuer à l'essor de son club de coeur. J'ai fini par accéder à sa requête, tout en conservant 70 % des parts. Un coup de main comme celui-là ne se refuse pas. Mais cette vente n'est pas appelée à devenir une tendance. Sauf si une entreprise de très grande envergure, du style Pathé à Lyon il y a quelques années, voulait aider le club à franchir un palier. »
    « L'investissement financier n'est pas négligeable, même si on est loin des montants déboursés pour le rachat de l'OM, mais il vient au second plan », lui fait écho Dominique Pignatelli. «Mon implication est prévue sur du moyen, voire du long terme. A mon petit niveau, je veux aider le Racing à retrouver le lustre qui en a fait l'un des clubs les plus prestigieux de France, à se bâtir dans la stabilité, avec un homme fort à sa tête : Philippe Ginestet. Si j'investis, c'est parce qu'il en est et en reste l'unique patron. »
    Le capital du RCS se répartit désormais comme suit : Philippe Ginestet (70 %), Dominique Pignatelli (12 %), Eurodirect Marketing (la société de Geispolsheim, fondée par l'ex-président Egon Gindorf, 16,31 %), Thierry Wendling (patron de TW formation, 1,06 %) et Pierre Schmidt (le charcutier alsacien, 0,31 %).

    (1) Société dont le chiffre d'affaire a été multiplié par 13 en 10 ans, de 1,5 million à 20 millions d'euros, pour un résultat net annuel d'environ 800000 euros. Ses fonds propres sont environ 4,5 à 5 millions d'euros.
    (2) En fait, 1,5 million, auquel s'ajoute le 1,5 million que devaient lui verser Gindorf et les autres pour ses 31 % et sur lequel il a tiré un trait.

    source : l'Alsace


    Est-ce qu'il serait possible de rebaptiser le topic : "Les actionnaires du Racing" ?
  • Je pense qu'il faudrait rebaptiser
    Car en lisant le titre du sujet, on peut être amener que les pb internes recommencent.
  • La main à la poche

    C'était dans l'air depuis quelque temps. Hier matin lors d'une séance du conseil d'administration, le président du Racing Philippe Ginestet a demandé aux actionnaires minoritaires d'EuroRacing, la holding qu'il contrôle à 70 % et qui possède 78 % de la SASP RCS (Société anonyme sportive professionnelle), de procéder à une avance en compte courant récupérable le 31 octobre.
    Le montant de cette avance consentie au club bas-rhinois par ses propriétaires ? 3 millions d'euros. Les actionnaires d'EuroRacing en ont injecté 2,4 au prorata de leur participation au capital. L'industriel Robert Lohr, qui a acheté l'été passé 20 % de la SASP pour 2 millions, a accepté de remettre la main à la poche et de verser le complément de 600 000 euros.
    Pour les actionnaires d'EuroRacing, les montants investis sont les suivants (entre parenthèses, leur pourcentage d'actions de la holding) :
    1,68 million pour Philippe Ginestet (70 %) ;
    391 440 pour l'ancien président Egon Gindorf (16,31 % via sa société Eurodirect) ;
    288 000 euros pour Dominique Pignatelli (12 %) ;
    25 440 euros pour Thierry Wendling (1,06 %).
    « Le seul à qui je n'ai rien demandé, c'est Pierre Schmidt (patron de l'enseigne éponyme de charcuterie alsacienne, actionnaire à seulement 0,31 % et dont la participation se serait limitée à 7440 euros) », précise le président Ginestet. « L'an dernier, nous avons procédé à un recrutement interne en ne vendant aucun joueur. Cette saison, nous savons qu'une vente sera nécessaire. Nous aurons donc des rentrées ultérieures, mais pour faire le joint en trésorerie, j'ai sollicité les actionnaires. C'est une banale convention de compte courant. »
    Banale ? Sans doute, si le RCS se maintient en L 1. Rappelons tout de même qu'à l'automne (« L'Alsace » du 20 novembre), la direction avait déjà revu son budget 2007-2008 à la hausse, de 28 à 32 millions, sur la base d'une 11e place finale (et non d'une 15e, comme inscrit dans le premier budget prévisionnel). Dans un tel cas de figure et à condition de vendre des joueurs pour 3 millions, le club dégagerait même en juin un bénéfice de 1 million.
    Mais rappelons aussi qu'en matière de droits télé, la 17e place rapporte 3,9 millions de moins que la 11e.

    source : L'Alsace
  • Le Conseil d'Administration de la SASP Racing Club de Strasbourg -Football informe de la démission de l'Administrateur Mr. Egon Gindorf pour raison de santé.

    Site Officiel.
  • Michel Wild nouvel administrateur ?

    Pour remplacer Egon Gindorf, démissionnaire de son poste d'administrateur du RCS, mais toujours actionnaire (pour 16,31 % des parts, via sa société Eurodirect) de la holding EuroRacing qui contrôle le club à 78 %, Philippe Ginestet proposera prochainement la place vacante à Michel Wild, PDG d'Eurodirect.

    source : l'Alsace
  • Est ce intéressant d'être actionnaire d'un club ?
  • Ouais tu peux voir les matches du Racing à l'oeil :)-
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