Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les dérives du football business

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Flux RSS 992 messages · 144.679 lectures · Premier message par luyindula · Dernier message par alcapone

  • je vois un lobe...
  • Tin Paplo, t'as vraiment pas l'âme d'un artiste pour ne pas voir la virgule qui sépare et fait le lien, telle la crème sur le flammekueche qui enrobe et tranche en même temps.
  • paplo a écrit, le 17/01/2017 15:31 :
    "virgule"??? Je pense que c'est tout simplement un "double-J" pour rappeler les rayures du maillot visibles sur tous les anciens logos


    C'est exactement ça c'est un double J.
  • Dire qu'il y a un mec qui a dû être payé chère pour trouver ça, qu'est ce que c'est moche et vide..
  • lulmag a écrit, le 17/01/2017 16:51 :
    Tin Paplo, t'as vraiment pas l'âme d'un artiste


    Désolé... chuis un scientifique :(

    :D
  • Tiens en parlant de vendre son logo pour de l'argent...


    Le Real Madrid modifie son logo pour vendre au Moyen-Orient


    Le Real Madrid va effacer la croix chrétienne du logo du club. Mais seulement sur une partie précise du globe, à la demande du groupe Marka un distributeur spécialisé sur le marché du Moyen-Orient. Marka a signé un accord avec le club merengue l’autorisant à « fabriquer, distribuer et vendre des produits du Real Madrid », principalement en Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis, au Qatar, au Koweït, au Bahreïn et en Oman.

    Interrogé par Reuters, Khaled al-Mheiri, vice-président de Marka a confirmé qu’à la demande de son groupe, le Real Madrid avait accepté de modifier son logo historique trop ancré sur la religion. « Nous devons être très prudent, dans certaines régions du golfe où la sensibilité est parfois forte vis-à-vis des produits portants une croix ». Le changement sera minime, il est simplement question de gommer la toute petite croix qui surmonte la couronne, symbole de la monarchie d’Espagne.

    Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le club le plus titré d’Europe doit modifier son écusson. En 2014, déjà, elle avait été retirée pour permettre la signature d’un partenariat, avec la Banque nationale de Abu Dhabi.

    http://www.atlantico.fr/sites/atlantico.fr/files/styles/une/publi...

    Sportune.fr
  • J'aurais compris que la croix soit retirée pour la vente des maillots en Transylvanie.....
  • Comme quoi dès que des profits sont annoncés on est prêt à tout renier.

    Message édité.
  • Je n'avais jamais remarqué la croix. Après, faut quand même être sacrément idiot pour s'offusquer d'un truc minime sur un logo de club de foot. Mais bon, si ça rapporte des sous à l'ami Pérez...
  • A quand la suppression de la cigogne sur notre logo pour cause de protection des animaux?.... bref, vive le foot business :-&
  • geiss67 a écrit, le 26/01/2017 11:19 :
    J'aurais compris que la croix soit retirée pour la vente des maillots en Transylvanie.....


    très bon :)
  • Le Besiktas a le même soucis depuis un tweet de Trump.

    Vu que la croix rappelle la monarchie, il faut aller jusqu'au bout de la démarche et supprimer le mot real.
  • on a pas fini avec les matches décalés : la ligue étudie avec les chaines la possibilités de mettre des matches à 13h pour pouvoir les téléviser à la bonne heure (le soir) en chine et ainsi valoriser notre championnat et recuperer surtout de la thune en plus
  • La Chine s'en tamponne de la Liguain...
    Déjà que le samedi 15h les stades sont vides, à 13h ça sera pas mieux...
  • treponem a écrit, le 26/01/2017 22:48 :
    Vu que la croix rappelle la monarchie, il faut aller jusqu'au bout de la démarche et supprimer le mot real.

    La croix rappelle le christianisme, pas la monarchie. Dans le Golfe, il y a aussi des monarchies, d'ailleurs. Du coup le "Real" leur convient sans doute très bien ! De même je ne suis pas sûr qu'un symbole franquiste les gène, cf. logo de la Union Española au Chili avec l'Aigle franquiste : http://www.unionespanola.cl/
  • pepito a écrit, le 05/03/2017 08:56 :
    on a pas fini avec les matches décalés : la ligue étudie avec les chaines la possibilités de mettre des matches à 13h pour pouvoir les téléviser à la bonne heure (le soir) en chine et ainsi valoriser notre championnat et recuperer surtout de la thune en plus


    Il va falloir assurer coté buvettes... cette heure-là est aussi concue pour gonfler les recettes restauration. C'est déjà ce qui se passe aux pays-Bas!
  • Cela dit 13h, le weekend, comme c'est le cas en Bundesliga2 -13h30 ou 15- c'est un horaire sympa aussi. Dommage qu'il soit mis sur la table pour des raisons de diffusions et non pour permettre au maximum de spectateurs d'assister à la rencontre.
  • 13h le we oui mais le but c'est d'en téléviser un maximum donc essayer de les répartir (a l’époque la coupe des champions c’était tous les matches le mercredi soir si je me trompe) et maintenant c'est reparti sur 4 jours en deux semaines

    ca nous fera moins kiffer un lundi ou un vendredi à 13h
  • 24 ans après l’arrêt Bosman, la justice belge pourrait bien (encore) révolutionner le business du foot mondial

    Ce matin, devant la 18e chambre de la cour d’appel de Bruxelles, qui traite du droit de la concurrence, s’ouvre le procès qui oppose le petit club de Seraing et l’entité Doyen Sports, face à la Fifa, l’Uefa, l’Union belge et le syndicat mondial des joueurs (FifPro). Le premier juge liégeois avait débouté les demandeurs. C’est ainsi que le club de Seraing a été puni par une interdiction totale de recruter des joueurs, même des enfants.

    Le fond du dossier est la demande formulée par Doyen Sports et Seraing d‘ouvrir l’investissement dans les joueurs de football à des parties tierces comme des banques ou des financiers, ce qui est aujourd’hui interdit. Pour eux, les droits de la concurrence ne peuvent pas interdire l’investissement privé. Et les instances du football mondial.

    En d’autres termes, les demandeurs entendent faire voler en éclat tout le système sur lequel sont basés les transferts de joueurs de foot, en permettant la propriété des droits économiques par des tiers, résumée sous le nom de TPO (Third party ownership). Seraing et Doyen Sports considèrent que cette interdiction est totalement contraire au bon fonctionnement d’une économie capitaliste. Plus précisément, une décision de justice en faveur de Doyen Sports pourrait permettre à une personne privée ou un organisme - comme une banque - d’investir des fonds pour un joueur.

    Cette vision du business du football mondial est totalement opposée notamment à celle de la puissante Uefa. Son précédent président, le Français Michel Platini, avait œuvré pour créer le fair-play financier dont l’objectif final est de ne permettre aux clubs de dépenser plus qu’ils ne possèdent ou ne génèrent.

    Si le club sérésien est insignifiant sur la planète football, son allié de fortune, Doyen Sports, n’est pas un inconnu. Ce sulfureux fonds de placement privé créé par l’ex agent portugais Nélio Lucas ne se caractérise pas par une transparence de tous les instants. Basé à Malte, il s’est fait la spécialité d’achats de joueurs par tranches, via le TPO. C’est ainsi qu’il a prêté de l’argent pour concourir au nébuleux montage financier de la vente du Brésilien star Neymar Jr du Brésil au FC Barcelone. Ou encore pour avoir acquis 33,3 % des droits du Français et ex-Standarman Eliaquim Mangala avant de le transférer de Porto à Manchester City, encaissant une juteuse plus-value.

    En 2015, avant qu’il ne soit débarqué pour une affaire de corruption présumée tout aussi nébuleuse, Michel Platini avait vivement attaqué Doyen Sports, sans le nommer, qualifiant ses actions de "honte" et de "forme d’esclavagisme". "Certains joueurs ne sont tout simplement plus maîtres de leur carrière sportive et sont transférés chaque année pour enrichir ces inconnus avides de l’argent du football", avait-il lancé. Pire, l’enquête Football Leaks a révélé l’existence de plus de 10 millions d’euros de versements de commissions occultes pour le transfert de joueurs tels que les Français Mangala, Kondogbia ou le Colombien Falcao.

    Les défenseurs de Seraing et Doyen Sports considèrent pour leur part que la Fifa et l’Uefa ont mis la justice sportive en coupe réglée et demandent la libéralisation de ce marché, afin de faire valoir, selon eux, la primauté du droit à la concurrence sur le fonctionnement actuel du foot business. Ils veulent porter l’affaire devant la justice européenne.

    Ils plaideront ce matin , tandis que les avocats des parties adverses auront la parole une semaine plus tard. La cour d’appel de Bruxelles aura la lourde tâche de trancher. Avec, peut-être, des conséquences aussi importantes que celles qui ont suivi le prononcé par la Cour de justice des Communautés européennes, de l’arrêt Bosman, en 1995. Cet arrêt avait établi l’illégalité des quotas de nationalités au sein des équipes sportives professionnelles et semi-professionnelles. Engendrant un chambardement international et la naissance du foot mondialisé tel qu’on le connaît. Bosman était alors défendu, entre autres, par un jeune avocat, le Belge Jean-Louis Dupont. 24 ans plus tard, c’est ce même avocat qui défend Doyen Sports et Seraing. Il entend bien ajouter un nouveau scalp à sa collection.

    DHNet.be
  • Pour rebondir sur ce nouveau "risque" qui menace la planète foot (la tierce-propriété des joueurs, voir ci-dessus), Le Temps en Suisse a imaginé un monde où les joueurs sont côtés en bourse et où leurs agents ont pris le pouvoir. Je vous le copie:

    En 2038, la bulle Neymar a explosé


    Neymar Jr Junior s’élance vers le point de penalty. A cet instant, la cote de l’attaquant brésilien est encore à 360 millions d’euros. Le numéro 10 du Qatar Airways Paris – équipe dont son père avait aussi fait les beaux jours – marque un temps d’arrêt dans sa course, puis frappe croisée, ras de terre. Le temps s’arrête, les investisseurs retiennent leur souffle. Les algorithmes financiers sont calés sur la ligne de but.

    Le gardien adverse est sur la trajectoire et repousse le ballon du bout des gants. Le stade n’est plus qu’une seule clameur. Neymar Jr Junior se tient le visage. Il reste 6 minutes dans cette demi-finale de la Wanda League. Et son équipe garde une longueur de retard sur le FC Adidas Munich.

    Plus grave pour le joueur brésilien, sa capitalisation vient de perdre 27%. Il ne le sait pas encore mais ce quatrième penalty manqué de la saison a provoqué un mouvement de panique à la bourse de Hongkong.

    L’OPEP du football

    Nous sommes en 2038, vingt ans après le basculement. Après avoir aveuglément surenchéri pendant des années pour acquérir les droits télévisés des grands championnats européens, les BT, Sky et autres BeIN ont dit stop. Ils forment désormais un cartel surnommé l’OPEP du football. Un regroupement résolu à ouvrir ou couper les vannes financières qui, jusqu’ici, alimentaient les folies des clubs de haut niveau.

    L’origine de la crise remonte à 2017. Au temps de l’argent bon marché, la stratégie de Patrick Drahi, patron d’Altice et propriétaire de SFR, était de s’endetter à bon compte pour faire l’acquisition rapide de concurrents ou de contenus exclusifs. En bref, grossir rapidement et rembourser plus tard grâce aux bénéfices engendrés. Mais la dette d’Altice, qui atteint 50 milliards d’euros à l’automne 2017, commence à effrayer les investisseurs. Le groupe s’effondre en bourse. Face à cette crise de confiance, la direction annonce un frein aux achats de contenus et une priorité sur la réduction de la dette.

    Le groupe de Patrick Drahi est le symbole de ces excès. Mais tous les grands diffuseurs avaient misé des milliards pour acheter des droits TV, souvent à crédit, et ainsi augmenter leur nombre d’abonnés payants.

    La «révolution des canapés»

    Ce que ces groupes avaient sous-estimé, ce sont les effets de la «révolution des canapés». Un peu partout, les téléspectateurs se sont lassés de mettre la main au portefeuille pour regarder le foot.

    Le mouvement est parti d’Argentine. Devant l’inflation et au vu de «l’intérêt public transcendant», le gouvernement local a décidé de mettre en place Fútbol para todos, un programme subventionné de diffusion des grandes compétitions, entièrement gratuit. A son arrivée au pouvoir, même le très néolibéral président Mauricio Macri décide de le prolonger. «O Tévez o Friedman [du nom du fondateur de l’ultralibérale Ecole de Chicago, ndlr]», aurait tranché l’un de ses proches conseillers.

    Le monde du ballon rond allait se souvenir longtemps de ce «moment Macri». Des initiatives similaires sont nées un peu partout. Y compris en Europe ou, peu à peu, les fans de foot n’ont plus voulu «payer pour voir». C’est le début de la fin du modèle pay-per-view – les matchs à la demande ou les paquets vendus à la carte aux abonnés. Du coup, les chaînes n’ont plus surenchéri. Certaines se sont même retirées des enchères. Les conséquences ont été dramatiques pour les clubs, qui ont subitement perdu 40% de leurs revenus.

    Et ce n’était que le début. Ce n’est pas pour rien que le maillot de Neymar Jr Junior n’affiche pas le même sponsor que celui de ses coéquipiers. Le numéro 10 du Qatar Airways Paris FC – le Saint heurtait la sensibilité des investisseurs et le Germain faisait trop «vieille France» – porte les couleurs de Tesla (poitrine), Google (dos) et KFC (épaules et cuissettes).

    Autant «sponsoriser l’Eurovision»


    Puisque les audiences chutaient aussi vite que les stats d’un attaquant brésilien après 27 ans, les grands sponsors ont aussi commencé à réduire les prix. Leur argument était implacable: «Marseille-Paris, c’était mieux avant, plus personne ne veut payer pour voir ça. Autant sponsoriser Amir à l’Eurovision!» a lancé un jour de mars 2019 le patron de Betclic. Certaines marques se sont même retirées du jeu, préférant miser sur un ou quelques joueurs en particulier. L’homme-sandwich redevenait le meilleur pari.

    Les clubs ont mis du temps à saisir l’ampleur du problème. Et pendant la saison 2017-2018, ils ont continué à s’échanger des joueurs à coups de centaines de millions. Six mois après les 222 millions de Paris pour Neymar Jr (père), Liverpool payait 85 millions d’euros pour van Dijk, un défenseur formé au FC Groningen. Le Barça (renommé depuis lors FC Beko-lona) mettait près d’un demi-milliard d’euros sur la table pour se renforcer à coups de joueurs blessés, tels Dembélé ou Coutinho.

    Mais, peu à peu privés de ce qui constituait leur principale ressource financière, les géants d’Europe ont fini par s’y résoudre: ils ne pourraient plus compter sur leurs sponsors et encore moins sur les diffuseurs.

    De la passion et du dégoût

    Pour tenter de maintenir le rythme, les clubs ont voulu, à l’image de l’industrie musicale dans les années 2010, compenser en renchérissant le prix des spectacles en live. Un billet pour cette demi-finale de la Wanda League coûtait entre 2800 et 9700 francs. Pari perdu. Les stades se sont vidés de leurs supporters. Toujours passionnés, mais pas assez riches ou simplement dégoûtés.

    Chose inimaginable jusqu’alors, les clubs ont dû à attendre que les joueurs soient en fin de contrat pour les recruter et ainsi s’épargner les indemnités de transfert. Mais ce sont les Etihad Blues de Manchester – anciennement Manchester City – qui ont été les pionniers de la révolution. D’abord, en louant le nom de leur équipe à la compagnie aérienne émiratie contre 600 millions de livres sterling pour quatre saisons. A peine de quoi s’offrir les services de Kylian Mbappé et d’Harry Kane.

    Quelques mois plus tard, ils sont allés plus loin. Ils décidaient de placer la valeur de l’attaquant anglais en bourse afin de lever de nouveaux fonds et de pouvoir s’offrir le défenseur arthrosé Raphaël Varane. Coût de l’opération: 250 millions d’euros, pour l’arracher aux Merengues du Real Madrid, rebaptisés depuis les Mendes du Real Madrid (à ne pas confondre avec les Mendes de Porto).

    Mendes rachète l’UEFA

    Jorge Mendes, c’est le nom du plus puissant des agents de joueurs. En juin 2022, celui qui a fait fortune en généralisant les TPO (third-party ownership ou tierce propriété) est devenu le patron officiel du club madrilène – les mauvaises langues disent qu’il en était déjà l’officieux depuis des années. Huit ans plus tard, à la veille de la Coupe Coca-Cola du monde 2030 au Vietnam, le Portugais a racheté 62% du capital de UEFA Inc., l’organisation basée à Nyon devenue société anonyme, un an auparavant.

    C’est le président de l’UEFA, le Slovène Aleksander Čeferin, qui a marqué le changement d’ère. En 2025, alors que l’association vient de vendre la Ligue des champions au conglomérat chinois Wanda, il annonce solennellement: «Je m’en vais. Je laisse les rênes à ceux qui s’y connaissent en finance», avant d’entamer un tour d’Europe à motocyclette financé grâce à ses cours de karaté. Après avoir croisé la route de plusieurs footballeurs espagnols en déshérence (depuis la faillite de leurs clubs et la chute de leur cours de bourse à 0), il a consigné leurs témoignages dans un carnet de voyage. Son livre, Remplaçants à vie, est un best-seller.

    Neymar Jr. Junior ne risque pas de l’avoir lu. Au summum de sa capitalisation boursière, jusqu’à ce penalty raté, il ne croit pas à la gloire éphémère. Dans les salles des marchés, on l’a pourtant déjà presque oublié. Les investisseurs s’intéressent de près à une jeune perle de 12 ans et demi du Petrobras Futebol Clube. Juan Gatorade Perez a fini meilleur buteur de la Disney-Lego Star Wars League. Son entrée en bourse est prévue fin octobre.
  • C'est un peu borderline par rapport au topic, mais bon aller! Lâchons-nous :

    A votre avis qui est le footballeur le plus riche au monde?
    La réponse est dans le spoiler ....

  • c'est l'histoire du serpent qui se mord la queue.
    la bulle financière du foot arrive à ses limites, les clubs ne peuvent pas vivre sans les droits tv et les droits tv doivent augmenter sans cesse pour faire prospérer ses clubs, mis a part des club etat ou au mains de richissime propriétaire (as Monaco/ city/psg...) aucun ne peut suivre la cadence sans droits tv,
    le plus idiot dans cette histoire c'est que c'est grâce à ces club richissime que les droits augmentent car seul eux peuvent aligner des vedettes sur le terrain.

    Mais au final le souci est que se sont les clubs les plus riches qui tirent les prix vers le haut avec des salaires qui sont plus élevés annuellement que certains budget de l1 (Neymar vaut à lui tout seul le budget du Racing) et des transferts bien trop élevé .

    je rêve d'une ligue fermé mondiale pour les footix qui se jouerait tous les soirs de la semaine divisé par continent avec des Play off en fin de saison pour designer le club le plus fort du monde et lui décerner le googletrophy.
    Tous les matchs seraient en direct tous les soirs sur la nouvelle chaîne google soccer (a 50 euros par mois) comme ca kevin et dylan pourront suivre leur équipe de cœur le Disney paris à la tv car l'abonnement de 7500 euros du nouveau stade Marvel à disneyland est bien trop chère pour eux .

    et pendant ce temps la les vrais supporter seront dans les stade de l1 avec une vrai ferveur, des fumigènes,des tifos, une l1 ou la lfp aura crée le salary cap et ou les transferts seront interdit car un contrat pro n'a que deux finalité possible, allez jusqu’à son terme ou être résilié, le prêt de joueur lui sera toujours autorisé.
    les clubs de l1 s'autofinancerait grâce à leurs revenus tiré de leur stade et leurs ventes de produits dérivé.

    je sais je rêve mais le foot est devenu bien triste ces dernières années et pour l'instant Notre Racing n'a pas encore succombé aux sirènes du foot business j’espère qu'il sauras grandir dans ce football pourris par le fric en gardant ses valeurs!
  • http://gifimage.net/wp-content/uploads/2017/09/aplause-gif-10-1.gif
  • tikko67 a écrit, le 15/02/2018 13:47 :

    je rêve d'une ligue fermé mondiale pour les footix qui se jouerait tous les soirs de la semaine divisé par continent avec des Play off en fin de saison pour designer le club le plus fort du monde et lui décerner le googletrophy.
    Tous les matchs seraient en direct tous les soirs sur la nouvelle chaîne google soccer (a 50 euros par mois) comme ca kevin et dylan pourront suivre leur équipe de cœur le Disney paris à la tv car l'abonnement de 7500 euros du nouveau stade Marvel à disneyland est bien trop chère pour eux .


    ça existe déjà: NHL, NFL et NBA; des franchises, pas de descente possible, des abonnements à 50euros par mois et du naming d'arena de partout. Aaaah, l'amérique!
  • Je change légèrement le sujet mais toujours à propos des dérives du foot business, l'investissement des capitaux chinois dans le foot et notamment à l'athlético de Madrid.
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