Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Léonard Specht

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Flux RSS 565 messages · 45.556 lectures · Premier message par samh · Dernier message par meinauveritas

  • canto6720 a écrit, le 2009-06-10 20:59:52 :
    vous serez pas decU pour l'entraineur reponse lundi motus et bouche cousu jusquau licenciement de furlan! bravo leonard tu as frappez un gros coup ACHETEZ TOUS LES DNA MARDI :)-


    A côté de ça, le Stub est gratuit :-' Et gageons qu'une brève aussi rapide qu'efficace, viendra satisfaire notre curiosité ;)
  • Ouaaais! Et pis les DNA à Montpellier, mon cher Canto...
  • Il y a bien d'improbables mecs portant un maillot du Racing (sans même savoir ce qu'est le Racing) errant dans certaines rues de la capitale héraultaise, alors pourquoi pas les DNA ? :D
  • jean-marie a écrit, le 2009-06-10 17:36:49 :
    Specht ne pourra rien faire de bon non plus ! avec quels moyens ? #-o acheter des joueurs à 200 ou 300.000 euros !!! c'est risible :(


    A 300 k€ t'avais Hoarau...
    Mais bon, Furlan doutait du rapport qualité-prix. LOL MDR quoi...
  • canto6720 a écrit, le 2009-06-10 20:59:52 :
    vous serez pas decU pour l'entraineur reponse lundi motus et bouche cousu jusquau licenciement de furlan! bravo leonard tu as frappez un gros coup ACHETEZ TOUS LES DNA MARDI :)-


    Stupeur et tremblement...
    On a hâte.

    Heureusement que t'es là, notre "Huggy les bons tuyaux" du Stub.
    Godin n'a qu'à bien se tenir, il a de la concurrence.
  • zeph a écrit, le 2009-06-10 22:58:42 :
    Il y a bien d'improbables mecs portant un maillot du Racing (sans même savoir ce qu'est le Racing) errant dans certaines rues de la capitale héraultaise, alors pourquoi pas les DNA ? :D


    Je ne dois pas fréquenter les bonnes rues montpelliéraines...
    Moi je vois même davantage de maillots marseillais que montpelliérains !

    Sinon pour les DNA, il doit y avoir moyen, mais uniquement en juillet-août et plutôt du côté de la Grande-Motte. Je me souviens que chaque année, les DNA publiaient une liste de revendeurs de toute la France où l'on pouvait trouver les DNA pendant les vacances.

    Mais franchement il y a plus simple, car sur internet, ce type d'articles est gratuit !
  • Evidemment :)

    Quant à l'histoire du mec portant un maillot du Racing à Montpellier, c'était le lendemain du match, dans la rue du Pila Saint-Gély, un mec qui semblait rentrer chez lui...
  • La priorité au sportif

    Se gardant de toute révélation fracassante, le nouveau président du Racing, Léonard Specht, a donné les bases de sa conception du rôle dont il a hérité il y a trois jours. Dans le sillage de la nomination de l'entraîneur, programmée sous huitaine, il souhaite orienter toutes les attentions strasbourgeoises vers le terrain.

    Le théâtre du rendez-vous n'était assurément pas anodin. Léonard Specht, le nouveau président du Racing, a programmé la rencontre loin de la Meinau, loin de Strasbourg, loin de l'agitation qui entoure un club où il se passe toujours quelque chose.
    Il ne compte pas rompre avec ses habitudes. Il est contraint, néanmoins, de constater que rien ne sera exactement comme la semaine passée.

    « Je ne pensais pas devenir un criminel en devenant président »

    On l'a félicité d'avoir accepté la succession de Philippe Ginestet. On l'a aussi pris pour un fou. S'il ne sait « pas bien pourquoi (il) a accepté » le poste, « ça devait être écrit comme ça », il a déjà pu se rendre que le cap franchi « depuis 72 heures » n'a rien d'anodin.
    « Je ne pensais pas qu'on pouvait être harcelé de la sorte, je ne pensais pas devenir criminel en devenant président », lâche-t-il dans un sourire. Le procès n'est toutefois pas pour tout de suite.
    Il n'a pas fait campagne pour s'y retrouver, Léonard Specht a été propulsé en première ligne. Il s'est plongé depuis samedi dans une profonde réflexion. Et le discours qu'elle inspire s'articule autour de deux données : le terrain et les valeurs.
    « On se donnera à fond pour ce club et l'équipe, avec le souci que les gens s'y attachent, martèle le nouveau numéro un. Je suis convaincu que si les joueurs expriment certaines valeurs, comme le respect et le travail, on y arrivera. » Avec ce credo en bandoulière, il s'agit toutefois de se confronter à une réalité sportive guère reluisante.

    « D'autres clubs vivent des situations plus périlleuses »

    Le Racing aura un budget en baisse, de l'ordre de 15 millions d'€. Quatre à cinq joueurs s'en vont et non des moindres comme Kandia Traoré, Harlington Shereni ou James Fanchone. Le président ne s'en alarme pas. « Il y a un bel effectif pour la L 2, il y aura une équipe compétitive, garantit-il. Il faudra la renforcer et l'adapter. D'autres clubs vivent des situations plus périlleuses. »
    Reste que quasiment tous les autres clubs ont un entraîneur. Et il s'agit du dossier le plus épineux, de sa décision la plus attendue. « La priorité, c'est effectivement l'entraîneur, note-t-il. En tant que président, je me considère comme le patron du club, celui qui doit arbitrer. Et le choix de l'entraîneur fait partie de ces arbitrages. »
    Il ne divulguera aucun nom avant d'avoir rencontré les quelques noms qui suscitent l'intérêt dans la liste de cinquante ou soixante techniciens en mal de banc qui l'ont contacté plus ou moins directement. Rien ne sera décidé avant le limogeage officiel de Furlan, programmé vendredi. Le calendrier suggéré renvoie au milieu de semaine prochaine. « J'ai des idées, mais il ne faut pas faire n'importe quoi. »
    Il y a un profil. Le technicien élu « devra faire preuve de caractère », considère l'ancien entraîneur du... Racing, rappelant dans une boutade qu'il avait les diplômes pour coacher. « Tout le monde a dit que l'équipe en manquait. Elle a échoué de peu dans la remontée. Ce qui a fait défaut, il faut le trouver dans l'effectif ou sur le banc. Le problème n'est pas de s'être trompé. L'important est de ne pas commettre les mêmes erreurs. »

    « La désignation se fera avec l'accord de l'actionnaire principal »

    Au regard d'un effectif où neuf jeunes pros* font partie des vingt-trois contrats en vigueur ce matin et que le carnet de chèque ne pourra aligner trop de zéros quand il s'agira de recruter, « l'entraîneur, et éventuellement son adjoint, puisque je ne vois pas un staff de cinq personnes débarquer, devra avoir des idées et travailler avec des jeunes. Il y a des garçons qui ont du talent au centre. La formation est un investissement sur le long terme. Le centre a réintégré la catégorie 1. »
    Le nouveau numéro un considère qu'il aura les coudées franches pour désigner le nouveau technicien. Il n'empêche que l'ombre tutélaire de son devancier plane au-dessus de ses prérogatives. « Philippe Ginestet me fait confiance, poursuit Léonard Specht. La désignation se fera avec l'accord de l'actionnaire principal. »
    Ce dernier fait l'objet d'un vibrant hommage de l'ancien international : « Aucun président n'a mis autant d'argent que lui dans l'histoire du Racing. C'est un président indiscutable. Je n'ai jamais entendu de "Ginestet démission" ou de banderole dans le stade dans ce sens. Le fait qu'il reste au club lui garantit de la stabilité. »

    « Si on ne remonte pas cette saison, ce sera la suivante »

    Le dirigeant, qui opte volontiers pour le consensus dans tout ce qu'il prononce, tire quelques enseignements de la démission de samedi. « Il n'y aura pas une ambiance de révolution, rassure le 16e président de l'histoire du Racing pro. On va travailler sur le fond, à travers un projet sportif, en étant honnête, en donnant la priorité au terrain. Philippe Ginestet l'a admis. Il s'est peut-être éloigné du terrain. »
    Apparaît l'ombre d'un doute dans le ciel strasbourgeois, comme l'esquisse d'une résignation. « Il faut se laisser un peu de temps, conclut Specht. Si on ne remonte pas cette saison, ce sera la suivante. :|s L'important est qu'il n'y a pas aujourd'hui de conflit de personnes. » Il y a, dans l'esprit de Specht, la recherche d'une unanimité. Il y a aussi une conviction : « Le Racing n'est pas moribond. » Il s'agit avant tout de le remettre en marche avant.


    François Namur

    * : Mamadou Bah, Loïc Damour, Jean-Alain Fanchone, Romain Gasmi, Magaye Gueye, David Ledy, Ali Mathlouthi, Quentin Othon, Anthony Weber


    DNA
  • Léonard Specht n'est pas un homme pressé

    Pour la première fois depuis sa prise de fonction samedi, le nouveau président du RCS est sorti de son mutisme. Confiant, Léonard Specht définit ses orientations et affirme qu'aucune décision concernant le futur entraîneur n'a été prise pour le moment.

    D'une voix ferme et posée, Léonard Specht tient immédiatement à rendre un hommage appuyé à Philippe Ginestet, son prédécesseur décrit comme le président qui « s'est le plus investi pour le club. » D'ailleurs, l'investisseur immobilier est encore, à ce jour, administrateur et actionnaire majoritaire du RCS, à la grande satisfaction du nouveau patron. « J'ai confiance en lui, c'est un homme qui aime le Racing. »
    « Je n'ai pas vocation à rester l'actionnaire principal, même si l'arrivée d'un ou plusieurs investisseurs risque de demander plusieurs mois », déclarait pourtant Philippe Ginestet lors du passage de témoin samedi dernier. En attendant l'arrivée d'un nouveau propriétaire, « Léo » Specht souhaite s'investir dans la durée à la tête de son club de coeur : « Je suis plus un marathonien qu'un sprinter, c'est mon caractère. »
    Le quadruple champion de France découvre depuis quelques jours que la position d'homme fort du club strasbourgeois n'est pas de tout repos. « Je sens beaucoup d'attente de la part des gens. Beaucoup me souhaitent bonne chance mais d'autres m'envoient déjà leurs condoléances. C'est un honneur d'être à ce poste. Je vais assumer pleinement, avec honnêteté, mon rôle. Je veux surtout essayer d'apporter toutes mes connaissances du foot et des hommes. »
    Directeur des ressources humaines du groupe Robert Lohr, dont il est le bras droit à Hangenbieten, l'ex-international compte bien conserver un poste qui lui tient à coeur, comme une seconde famille. « Je ne changerai pas ma façon de vivre même si elle est déjà modifiée par la force des choses. Le Racing est ma passion mais il ne faut pas que la présidence menace mon équilibre personnel. »

    « Un entraîneur à poigne »

    Sportivement, l'Alsacien définit dans les grandes lignes ses différents objectifs. Outre la montée en Ligue 1 à « court ou moyen » terme, il souhaite que le RCS développe et s'investisse plus fortement sur la formation des jeunes. « Le centre de formation, qui repasse en catégorie 1, est une de mes priorités. J'ai envie de faire rêver et d'attirer les jeunes Alsaciens pour que la marque Racing soit forte. »
    Avant d'aborder la question du successeur du coach Jean-Marc Furlan, le natif de Mommenheim tient à rassurer les supporters strasbourgeois. « Le club est dans une situation saine malgré l'échec de la montée. Le passage devant la DNCG s'est bien passé alors on aura les moyens de construire une équipe compétitive pour la prochaine saison. » Pourtant, alors que le marché s'ouvre à peine, le Racing n'a pas encore pu avancer sur ses différents dossiers (« L'Alsace » du 9 juin), la faute à un navire, pour l'instant, sans capitaine. Si « Léo » Specht refuse toujours d'évoquer la moindre piste, il assure que le club ne manque pas de propositions et dresse le profil du futur coach, dont le nom devrait être dévoilé d'ici une semaine. « Les précédentes saisons, l'équipe a régulièrement manqué de caractère alors il faut un entraîneur à poigne qui apporte de la force et de la volonté dans les moments difficiles. » Lorsque ce premier point chaud sera résolu, tout pourra alors s'enchaîner.

    l'Alsace
  • J'etais assez mitigé sur Specht en président, mais le fait de se concentrer plus sur la région me plaît. Je ne critique en aucun cas les joueurs non alsaciens ou dirigeants parisiens ou d'ailleurs, mais c'est une chose qui me réjouis.

    Maintenant on verra ce qui va nous faire le Léo! :)-
  • J'aime bien son interview, moi je préfère monter dans deux-trois ans et rester plusieurs année en L1 en ayant construit un bon groupe que de monter cette saison et faire l'ascenseur pendant encore 10 ans.
  • deicide123 a écrit, le 2009-06-11 08:54:45 :
    J'etais assez mitigé sur Specht en président, mais le fait de se concentrer plus sur la région me plaît. Je ne critique en aucun cas les joueurs non alsaciens ou dirigeants parisiens ou d'ailleurs, mais c'est une chose qui me réjouis.

    Maintenant on verra ce qui va nous faire le Léo! :)-


    D'un côté, la proportion d'incompétents est le même qu'on soit alsacien ou pas. Après le fait de connaître la région le patois ou les mentalités, c'est une notion dépassée à mon sens. A une époque c'était vrai, mais maintenant,... :-/
  • nitro a écrit, le 2009-06-11 11:12:08 :
    J'aime bien son interview, moi je préfère monter dans deux-trois ans et rester plusieurs année en L1 en ayant construit un bon groupe que de monter cette saison et faire l'ascenseur pendant encore 10 ans.


    Tu vois, je préfère monter en L1 et y rester plusieurs années ;)
    Je ne vois vraiment pas comment on peut monter un groupe, sur plusieurs saisons en L2, capable de se maintenir en L1 #-o
  • jurisprudence Nancy, Lille, Lorient, Le Mans ou Toulouse pour ne citer qu'eux
  • puertobanus a écrit, le 2009-06-11 12:36:42 :
    nitro a écrit, le 2009-06-11 11:12:08 :
    J'aime bien son interview, moi je préfère monter dans deux-trois ans et rester plusieurs année en L1 en ayant construit un bon groupe que de monter cette saison et faire l'ascenseur pendant encore 10 ans.


    Tu vois, je préfère monter en L1 et y rester plusieurs années ;)
    Je ne vois vraiment pas comment on peut monter un groupe, sur plusieurs saisons en L2, capable de se maintenir en L1 #-o
    Entierement d'accord avec toi ! la L2 est un gouffre et financierement à force d'y rester est une catastrophe ! les belles paroles à Specht ne servent à rien, si c'est pas pour cette année, ce sera pour la suivante #-o il est optimiste :-w
  • puertobanus a écrit, le 2009-06-11 12:36:42 :
    nitro a écrit, le 2009-06-11 11:12:08 :
    J'aime bien son interview, moi je préfère monter dans deux-trois ans et rester plusieurs année en L1 en ayant construit un bon groupe que de monter cette saison et faire l'ascenseur pendant encore 10 ans.


    Tu vois, je préfère monter en L1 et y rester plusieurs années ;)
    Je ne vois vraiment pas comment on peut monter un groupe, sur plusieurs saisons en L2, capable de se maintenir en L1 #-o


    Bah avec des jeunes, qui "grandissent" ensemble (+)
    cf. le message de samh :

    samh a écrit, le 2009-06-11 12:54:39 :
    jurisprudence Nancy, Lille, Lorient, Le Mans ou Toulouse pour ne citer qu'eux
  • Mais avec les jeunes qu'on à cela risque de durer 10 ans :(
  • Si ça peut permettre au Racing, à terme, de revenir au premier plan, je signe des deux mains :)

    A côté de ça, il faut quand même avoir l'ambition de remonter le plus vite possible.
  • samh a écrit, le 2009-06-11 12:54:39 :
    jurisprudence Nancy, Lille, Lorient, Le Mans ou Toulouse pour ne citer qu'eux


    Toulouse est un mauvais exemple pour cette démonstration. Tout comme Valenciennes, ils sont montés en L1 venant de National après juste un an en L2. Il est aussi vrai qu'ils avaient été relégués de L1 en National directement à cause d'une sanction et d'un classement de relégable en L1 (saison 2000/2001). Ces deux équipes n'ont pas patienté en L2 pour reconstruire.
  • Oui et puis Le Mans et Nancy, ils viennent de faire une saison un peu moisie. Il peuvent très bien être dans la charette l'an prochain, signe qu'ils sont loin d'être "durablement" en L1...
  • Se maintenir durablement en L1 ne veut rien dire, cela est reservé au clubs ayant les moyens, par contre les autres courent toujours le risque d'etre relegués en L2, le Racing commence enfin à etre stable en L2 :p il était temps =D
  • Et encore, même des clubs ayant des moyens ne sont pas surs de rester en L1.
    On a bien vu le PSg la saison dernière acquérir son maintien à la dernière journée.
  • Je suis d'accord avec toi NICKY mais c'est tres rare, encore que le PSG s'est maintenu contrairement au Racing, en plus le PSG a quand moins d'argent que dans le temps.
  • " Outre la montée en Ligue 1 à « court ou moyen » terme, il souhaite que le RCS développe et s'investisse plus fortement sur la formation des jeunes. "

    Sa peut paraître précipité, mais j'adhère pas du tout. Et puis à ma connaissance, l'Alsace est loin d'être un vivier de jeunes joueurs talentueux. (Boudebouz, et .... ?)
  • On peut etre un amoureux de l'Alsace comme beaucoup d'entre nous, sans tomber dans ce discours alsaco-alsacien, Specht, enfin un alsacien au pouvoir.
    J'ai déjà posé la question plus haut, resté sans réponse, mais quid de ses activités chez Lohr ? On reprochait à Proisy d'être parisien, mais surtout d'être un président absent. Laissons à Specht organiser son emploi du temps, mais ne faut-il pas un président à plein tps ? Ou alors on laisse les clés de la boutique à Herzog, donc Ginestet. #-o

    Sur la formation : C'est pas un peu populiste de vouloir relancer la formation des jeunes en alsace ? juste comme ça ? il doit sans doute y avoir un vivier de bons jeunes en alsace certes, et il faut bien commencer qque part, mais specht est il lui même convaincu de ça ?
    Ou alors on annonce dès aujourd'hui qu'on suivra le modèle de Bilbao qui joue uniquement avec des joueurs basques. C'est pas comme ça que j'imagine un club de foot.

    En résumé, je préfère un président présent, peu importe d'où qu'il vienne, et des joueurs qui mouillent le maillot, peu importe d'où qu'ils viennent. ça peut paraître évident, mais quand on est à souhaiter le retour de Gilbert Gress...sans doute c'était mieux avant, et sans doute les "cheunes" ils comprennent plus rien au foot !
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