Léonard Specht
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strohteamCobos était dans l'équipe bien avant le retour de Gress. Et Djetou et Dacourt ont surtout explosé après son passage, avec Dugué notamment. Gress a souvent déclaré ne pas voir l'utilité des centres de formation, préférant piocher dans des clubs de rang inférieur. -
La seule chose qu'on sait à l'heure actuelle c'est qu'on a un vrai amoureux du Racing à sa tête et qu'il fera tout l'aider à se relever.
L'avenir nous dira ce que ça donnera mais c'est déjà beaucoup d'avoir une personne de confiance comme monsieur Specht pour diriger la maison. -
Qu'est-ce qui te permet de dire que Specht est une personne de confiance ?
Ginestet aussi est un amoureux du Racing... -
Weller, Gindorf, Ginestet, tous ont été des amoureux du Racing. On n'est pas pour autant champions de France et pourtant je suis convaincu qu'ils ont tous fait ce qu'ils pouvaient.
Après effectivement il y a l'exemple Patrick P, mais lui on ne peut pas vraiment dire qu'il ait dirigé quelque chose... -
Toc, toc toc, y a quelqu'un ??? Les fils de la marionette sont ils déjà cassés ?
Pèriode de transferts, pèriode charnière, j'aimerais bien un peu, voir/entendre notre président
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Ne le reveille pas ! il dort faut pas l'énerver lui :p c'est vrai qu'on le l'entend plus le gaillard
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C'est gilbert qui s'occupe des transferts et je pense qu'à part Rodrigo , ce sera tout . On verra au marché de Noël .
Léo signera le chèque . -
Gress aurait du etre Président entraineur ! au moins lui il parle :) je n'aime pas les présidents qui ne disent rien, qui ne parle pas des ambitions du club, de son avenir, du recrutement, Specht, on ne l'entend plus, c'est la raison que j'aime bien Aulas de Lyon, avec lui on sait tout !
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jean-marie a écrit, le 2009-07-04 19:09:45 : Gress aurait du etre Président entraineur ! au moins lui il parle :) je n'aime pas les présidents qui ne disent rien, qui ne parle pas des ambitions du club, de son avenir, du recrutement, Specht, on ne l'entend plus, c'est la raison que j'aime bien Aulas de Lyon, avec lui on sait tout !
On ne sait pas tout d'Aulas, les supporters demandent toujours pourquoi il a vendu Benzema
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Il ne faut pas confondre information et communication. Aulas, comme tous les dirigeants qui se veulent moderne ignore le sens du premier terme et font un usage abusif du second. Tant mieux pour eux si ça marche, et paut pis pour les gogos qui se font avoir.
pour en revenir à L. Specht, il a toujour été peu expensif, on ne l'entend pas beaucoup, cela ne m'étonne pas. Il est très difficile en revanche de savoir ce qu'il pense vraiment et quels sont au fond l'étendue de ses réels pouvoirs. -
deldongo a écrit, le 2009-07-04 18:59:50 : C'est gilbert qui s'occupe des transferts et je pense qu'à part Rodrigo , ce sera tout . On verra au marché de Noël .
Léo signera le chèque .
Alors là tu te plantes cher ami, jean alain fanchone va partir et c'est surement pas GRESS qui l'a voulu.
Je parle même pas de James Fanchone qui était en fin de contrat et qui n'a même pas été vu par GRESS le 29juin.
Croire que GRESS gère l'effectif est une sacrée erreur. -
samh a écrit, le 2009-06-22 07:10:47 : Qu'est-ce qui te permet de dire que Specht est une personne de confiance ?
Le vieux Léo est respecté de tous et je lui fais entièrement confiance dans ses intentions envers le club.
Son image et sa réputation ne sont pas le fruit du hasard et il fera le maximum pour aider le Racing à se relever en souhaitant qu'il y arrive car le plus difficile commence à présent. -
lenain2jard1 a écrit, le 2009-07-04 18:55:12 : Toc, toc toc, y a quelqu'un ??? Les fils de la marionette sont ils déjà cassés ?
Pèriode de transferts, pèriode charnière, j'aimerais bien un peu, voir/entendre notre président
Et bizarrement, celui qu'on entend en ce moment, notamment sur les transferts, c'est Ginestet ... -
Ah bon ?
Il s'est exprimé à quelle occasion ? -
Je pense qu'il devrait se faire entendre pour rassurer un peu les supporters qui commencent à avoir des doutes vis à vis du recrutement.
De mon côté je lui fais confiance mais j'ai l'impression que certains fans pourraient prendre son silence comme un aveu de faiblesse. -
Présidence à l'Alsacienne ou à ....l'Arlésienne ?????
C'est quand même incroyable qu'on ne l'entende pas en cette periode importante .
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Pour ma part, je ne pense pas qu'il soit important que le Président du Racing se répande dans la presse tout au long de l'année.
Ce n'est pas vraiment son rôle. Je ne me souviens pas avoir souvent lu des interviews des présidents d'Auxerre, Lille ou Sochaux, par exemple. Ca ne les empêche pas de faire du bon boulot par ailleurs. -
Ah ? tout va bien alors ...
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superdou a écrit, le 2009-07-25 12:48:08 : Pour ma part, je ne pense pas qu'il soit important que le Président du Racing se répande dans la presse tout au long de l'année.
Pas toute l'année mais peut être de temps en temps comme lors d'une période délicate que traverse le club.
Beaucoup de supporters se posent des questions sur la Racing version 2009-2010 et ce serait peut être une bonne chose de tenter de les rassurer un peu.
Alors moi son silence ne me dérange pas car je sais qu'il travaille dans l'ombre mais à mon avis ce n'est pas le cas de tout le monde. -
Je viens de voir sur le site du nain que Vencel était aussi de la partie durant ces stages, ainsi que Jean Marc Kuentz (directeur du centre de formation) et présences des 2 formateurs (Keller, Fichaux).
Quand on voit les dates :
Stage n° 1 : du 6 au 11 juillet
Stage n° 2 : du 13 au 18 juillet
Stage n° 3 : du 20 au 25 juillet
Nos gardiens s'entrainent seuls ? Et le centre de formation ?
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Vencel, ne vient que une fois par semaine.
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J'avais un à-priori plutôt négatif sur le bonhomme, allez savoir pourquoi , eh bien je trouve que son parcours s'apparente presqu'à un sans faute pour le moment.
Les recues arrivent - tard et au compte-gouttes - mais avec des moyens réduits et un nouvel entraîneur qui a eu un mois pour se mettre en place. Bien sûr, il sera jugé aussi sur sa capacité à nous trouver un avant-centre digne de ce nom
Par ailleurs, la nomination de Gress me paraît judicieuse, et leurs deux personnalités très contrastées peuvent être gage d'entente.
Pour ceux qui pensent qu'on n'entend pas assez Specht, je rappelle que Léopold était un président très discret... et néanmoins excellent ; par ailleurs il a peut-être autre chose à faire que d'ouvrir un flacon de sels pour des supporters en état pré-comateux :D
Sa déclaration d'intention sur le centre de formation était à mon avis excellente et intelligente, fixant le cap avec des mots justes.
Il laisse plus de latitudes à Hertzog - gars que je ne connais pas - ce qui ne paraît pas malsain dans un organigramme d'entreprise, entre lui-même, l'entraîneur et la cellule de recrutement
Pour le reste, son plus gros challenge sera de gérer les relations Ginestet-Gress qui risquent d'être assez explosives. Eh ben je crois que c'est dans ses cordes ! -
rcsforever a écrit, le 2009-07-23 01:50:33 : Je pense qu'il devrait se faire entendre pour rassurer un peu les supporters qui commencent à avoir des doutes vis à vis du recrutement.
De mon côté je lui fais confiance mais j'ai l'impression que certains fans pourraient prendre son silence comme un aveu de faiblesse.
Il suffisait de demander..
Entretien avec Léonard Specht dans les DNA de ce mercredi. (+) -
« On y arrivera »
Plutôt en retrait depuis sa prise de fonction, le 6 juin dernier, Léonard Specht est sorti de sa réserve pour brosser le portrait du Racing version 2009-2010. Le président reste persuadé que la montée est jouable. Selon lui, seules les vertus du travail, de la rigueur et de l'humilité permettront aux hommes de Gilbert Gress d'arriver à bon port. Entretien.
- A quelques jours de la reprise officielle, ce samedi (19 h) à Istres, dans quel état d'esprit se trouve le président du Racing ?
- Depuis que j'ai pris cette fonction, voilà presque deux mois (au relais de Philippe Ginestet, démissionnaire, ndlr), je me rends compte que je n'ai plus une minute à moi.
« Pour moi, la case Racing reste ouverte en permanence
Dans les années 1980, quand je jouais encore à Bordeaux, le président Claude Bez avait cette image pour évoquer son investissement : il était capable d'ouvrir dans son esprit la case Girondins, de ne penser qu'à ça en laissant toutes les autres fermées. Puis il ouvrait celle du boulot et plus rien d'autre n'existait.
Pour moi, la case Racing est ouverte en permanence. Ce n'est pas évident, car un président doit être capable de prendre du recul, ou plutôt de la hauteur par rapport aux événements quotidiens.
- On ne vous a pourtant guère entendu durant cette période cruciale d'avant-saison, où il s'agit de reconstruire une équipe...
- J'ai laissé parler les autres, en attendant mon tour (il sourit). En premier lieu, je tiens déjà à remercier tous les gens qui, à travers leurs courriers, m'ont apporté leur soutien. Pouvoir se reposer sur cette sincérité est très important pour moi.
« Je ne peux pas laisser dire que cette équipe ne vaut rien »
Ensuite, ce n'est pas parce que je ne m'exprime pas que le club n'avance pas. On m'a demandé de trouver un entraîneur. Je l'ai trouvé. Gilbert Gress est le plus à même de redonner de l'ambition, un fond de jeu à ce groupe. C'est un gagneur. Avec lui, ses adjoints, Jean-Luc Herzog (le directeur général) et la cellule recrutement, on travaille presque jour et nuit pour constituer l'équipe la plus forte possible.
- Justement, de vives inquiétudes entourent le potentiel du Racing aujourd'hui. Partagez-vous les craintes des supporteurs ?
- On est tous conscients que ça va être difficile. On ne se remet pas comme ça d'une relégation puis d'un échec dans la course à la remontée. De 20M €, le budget a pris un coup pour passer à 15 cette saison. Il faut le digérer. Mais toutes les décisions concernant l'effectif ont été prises à l'unanimité, avec intelligence, en se basant sur des critères tactiques et financiers.
Je ne peux pas laisser dire que cette équipe ne vaut rien. Je lutte contre la sinistrose ambiante, parce qu'il n'y a pas lieu de paniquer. L'équipe sera compétitive.
- Qu'est-ce qui vous le garantit ?
- Le ton a changé, mais aussi l'ambition. A écouter les joueurs, ils veulent tous monter ! Eh bien tant mieux.
« Le message de Gilbert, qui a horreur de perdre, est passé »
L'autre jour, Stéphane Cassard m'a appelé pour m'expliquer qu'il fallait à tout prix recruter, sans quoi on n'y arriverait pas. Je lui ai répondu : "Écoute, je suis content que tu t'en soucies, mais on y travaille d'arrache-pied. Maintenant, j'aurais bien voulu te voir aussi déterminé derrière tes défenseurs la saison dernière et voilà deux ans pour les bouger quand ça n'allait pas." Cassard, comme les autres, est ambitieux. Je suis sûr que le message de Gilbert, qui a horreur de perdre, est passé.
- L'exode massif des joueurs, difficilement compensé par les arrivées au compte-gouttes, n'a-t-il pas affaibli le niveau général ?
- Depuis le début, les choses sont claires. Sur la dizaine de joueurs qui nous ont quittés, on ne voulait conserver que Renaud Cohade. Il a préféré s'engager à Valenciennes et retrouver la L 1, et on respecte son choix. Je peux vous dire que d'autres, comme Traoré (le Sochalien qui a rallié Caen), nous ont relancés pour rester au Racing. On n'a pas donné suite, parce que leur profil ne nous convenait pas.
Les priorités du recrutement ont aussi été définies d'entrée. Il fallait un latéral droit : Stéphane Pichot est arrivé. Il fallait un milieu : on a recruté Rodrigo, même si ça a un peu traîné. On comptait sur Paisley, qui est finalement parti : on l'a remplacé par Sikimic, et je ne pense pas que l'on y perde au change.
C'est vrai, il nous manque encore deux attaquants, dont l'avant-centre...
- Où en êtes-vous concernant ce dossier sensible ?
- Toute la France veut un attaquant. Personne n'en trouve ! Sur le fax du club, une centaine de propositions nous sont déjà parvenues, des sérieuses, des farfelues. On aimerait tous que ça aille plus vite, mais il s'agit de ne pas s'engager à la légère. Aujourd'hui, on suit quelques pistes, comme celles qui mènent à ce petit Lyonnais très doué (Yannis Tafer), à un joueur d'Osasuna (le Portugais Dady) et à un Slovène (Klemen Lavric).
« On fera l'effort nécessaire pour avoir un bon attaquant »
Je ne sais pas qui viendra, mais on fera l'effort nécessaire pour avoir un bon attaquant et un ailier droit. En ce qui concerne ce dernier poste, peut-être l'avons-nous déjà, avec Franck Dja Djedje. Mais comme il est tout le temps blessé, on ne peut pas le savoir...
- Pensez-vous toujours que le Racing puisse jouer la montée ?
- On y arrivera. Il faut travailler, encore et toujours, pour donner une bonne image du club. A Strasbourg, le potentiel est énorme. Il suffit d'une petite étincelle pour que l'engouement se propage. J'espère que l'on fera le plein contre Châteauroux.
Il y a déjà 5 500 abonnés, toutes les loges sont louées et de nombreux indicateurs sont au vert.
J'en veux pour preuve la confiance de nos partenaires. Au lendemain de la défaite contre Montpellier (2-1 lors de la dernière journée de la saison écoulée), ils ont confirmé leur engagement. C'est extraordinaire.
« Il faut que les Alsaciens aient confiance en nous »
De manière générale, il faut que l'on puisse s'appuyer sur toute la région. Prenez le centre de formation : il fait partie des douze premiers en France. Même si le budget global diminue depuis trois ans, on n'a pas touché à celui du centre. Au contraire, on investit. 22 % des pros cette saison en sont issus. Et quand j'entends qu'il n'y a pas de gamins d'ici, je m'inscris en faux : 70 % des pensionnaires viennent des clubs de la région. Il faut que les Alsaciens aient confiance en nous.
- Cette confiance ne passera que par les résultats sportifs...
- J'en suis conscient. En cette période, la priorité va naturellement au terrain. Même si nous pouvons nous appuyer sur des signes de développement forts, comme la rénovation de la Meinau ou le projet de construction d'un centre d'entraînement, un peu à l'image du Haillan (à Bordeaux), seuls comptent aujourd'hui les résultats.
- Ces derniers temps, il est aussi question d'une entrée dans le capital d'investisseurs alsaciens, réunis autour de Jacky Kientz (*). Qu'en est-il exactement ?
- L'actionnariat est amené à évoluer. Philippe Ginestet (encore actionnaire majoritaire, à hauteur de 70 % de la holding qui détient 80 % des parts du RCS) ne veut pas être le seul à garantir les finances de la société. C'est quand même grâce à lui que le club a obtenu le feu vert de la DNCG pour la saison 2009-2010.
« C'est une bonne chose que des investisseurs locaux aient envie de revenir »
Maintenant, c'est une bonne chose que des investisseurs locaux aient envie de revenir au club, d'autant que peu de monde s'est manifesté ces dernières années. J'ai entendu parler de Jacky Kientz et de beaucoup d'autres gens. Comme sur le plan sportif, il ne s'agit pas de faire n'importe quoi. Il y a eu trop de dissensions et de querelles de personnes au Racing ces dernières années.
- Quelles sont vos relations avec Philippe Ginestet, que d'aucuns soupçonnent encore de tirer les ficelles du club en sous-main ?
- Il n'intervient pas dans la gestion quotidienne, du moins pas à mon niveau. Le travail se fait en commun, entre Gilbert, le directeur général et moi-même. Mes rapports avec Philippe sont les mêmes que ceux avec tout actionnaire majoritaire dans n'importe quelle société. Il est en droit d'attendre des comptes. On les lui rendra en mai prochain.
« Si on gagne, ce sera tous ensemble. Si on perd, on assumera »
- Avez-vous désormais hâte que la saison commence ?
- Oui, bien sûr, même si on a toujours l'impression que la reprise intervient trop tôt, sans que l'on soit prêt. Il faut partir comme ça. Le Racing est aujourd'hui un vaste chantier, à tous les étages, mais il dispose d'un potentiel énorme. Si on gagne, ça sera tous ensemble. Si on perd, on assumera.
(*) Jacky Kientz, président du Racing de janvier 1990 à septembre 1992, avait été à l'origine du premier retour de Gress au club.
DNA
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