Incidents dans les stades
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etienneComplétement inconscient ! Un coup de gaz en tribune, rien de mieux pour créer un mouvement de foule et provoquer un carnage. -
C'est bien, on interdit de déplacement des supporters de Bâle, on menace les supporters visiteurs anglais avec une bombe lacrymo, l'Europe commence tout doucement à voir à quel point on est à la ramasse. Si seulement on pouvait complètement se planter sur l'organisation de l'Euro et la gestion des supporters
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J'arrive pas à le croire. On va aller jusqu' où?
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C'est gravos... La France devient la nouvelle Amerique ou quoi ? Que de cow-boys et d'hypersecurite emotionnelle plutot que de prevention pragmatique...
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Rassurez-vous, l'UEFA va ouvrir une enquête suite à cette histoire scandaleuse de PSG - Chelsea : il y avait des gens assis dans certains escaliers !!
Pour les fans anglais menacés d'être gazés parce qu'ils sont debout suite à un but, on repassera ! -
Cette vidéo devrait devenir virale. Seulement 300 vues, c'est pas assez. J'incite chacun a diffuser ça sur son fb.
On est en France ou au boukistan ? -
Faut se rendre à l'évidence, la dérive autoritaire de la vie publique est un fait indiscutable qui touche tous les milieux ; on vote des lois (comme celle sur le fichage des supporters) qui ne seraient jamais passées il y a 15-30 ans ; aujourd'hui, ça passe, tranquillement et "normalement", en même temps que des dizaines de projets et propositions foncièrement liberticides - les supporters de foot ne sont donc que des victimes collatérales de cette tendance générale parce que cible facile, revendicative, visible et généralement peu appréciée du grand public. Du coup, l'Euro 2016 approchant, c'est la foire aux exercices et un parfait prétexte pour tester, sur le terrain, les dispositions décidées en amont. Bon courage à ceux qui ont des billets, je sens que ça va être la fête aux abords des stades dans en juin O:)
Quant au fan anglais ayant filmé la scène dégueulasse qui circulait hier, dommage qu'il n'ait pas filmé ses camarades de Chelsea, parce qu'en l'état, on peut toujours dire "oui mais on voit pas les supporters, peut-être qu'ils provoquent les CRS". Donc on peut toujours rêver pour une enquête. -
holicool a écrit, le 17/02/2016 21:56 : C'est gravos... La France devient la nouvelle Amerique ou quoi ? Que de cow-boys et d'hypersecurite emotionnelle plutot que de prevention pragmatique...
Bah à Seattle et à Portland il y a plusieurs milliers d'ultras qui chantent et sont débouts au stade, donc la France est seulement elle-même, ou alors elle a un peu glissé du coté du Qatar plutôt que des USA
Espérons que l'Euro soit un fiasco sur tous les plans, échecs de notre équipe nationale au premier tour, graves incidents dans et aux abords des stades etc.
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La police comme la violence n'a pas sa place dans les stades. Il y a des personnes formées pour cela, ça s'appelle des stadiers et on leur apprend justement à gérer des situations comme celle-ci. La police doit tout au plus avoir un effet dissuasif en étant visible et évidemment prête à intervenir en cas d'incidents sérieux.
Là comme souligne @etienne il y a risque de créer un mouvement de foule aux conséquences qui peuvent être dramatiques. -
Le club de Diyarbakir pris pour cible par la fédération turque de foot
Le Monde.fr | 16.02.2016 à 16h33 • Mis à jour le 16.02.2016 à 16h37 |Par Marie Jégo (Diyarbakir (Turquie), envoyée spéciale)
Des supporteurs d'Amedsport, le club de Diyarbakir, empêchés d'accéder au stade pour le match contre Fenerbahçe, le 9 février.
Lettre de Diyarbakir. Les fans ont cru, l’espace d’un instant, qu’ils pourraient assister au match de leur club préféré, mardi 9 février à Diyarbakir. La partie s’annonçait riche en émotions entre leur équipe, Amedspor, et le géant Fenerbahçe, le plus riche et le plus célèbre des clubs de Turquie, qui plus est le favori du président Recep Tayyip Erdogan, venu d’Istanbul.
Mais ce jour-là, les portes du stade sont restées fermées. La police a même dispersé les supporters d’Amedspor à coups de gaz lacrymogène et de canons à eau. Le match a eu lieu sans spectateurs. Les gradins sont restés vides, en vertu de la sanction infligée quelques semaines plus tôt à Amedspor par la commission de discipline de la Fédération turque de football (TFF), soucieuse de punir le club pour ses positions, jugées« contraires à l’esprit sportif ».
Bien que jouant en troisième division, Amedspor est adulé des Kurdes, surtout depuis que l’attaquant allemand d’origine kurde Deniz Naki l’a rejoint. Tout s’annonçait sous les meilleurs auspices lorsque, à la fin du mois de janvier, les sanctions disciplinaires ont commencé à pleuvoir sur le club et sur son attaquant vedette.
« Propagande idéologique »
A en croire ses détracteurs, Deniz Naki aurait en effet tendance à lever un peu trop souvent l’un de ses bras, doté d’un énorme tatouage en six lettres « Azadi » – « liberté » en kurde. Ce geste, renouvelé lors d’un match contre Bursaspor, le 31 janvier, et l’entretien qu’il a donné par la suite au quotidienEvrensel, dans lequel il appelait à l’arrêt des combats entre les forces de sécurité turques et les rebelles armés du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, interdit en Turquie), lui ont valu une suspension pour douze matchs et une amende de 19 500 livres turques (5 900 euros). « Propagande idéologique », a conclu la commission disciplinaire.
Deniz Naki a bien tenté de se défendre. « Parmi mes tatouages, j’ai Che Guevara, le nom de ma mère, celui de mon père, ceux de mes frères et de mes sœurs et aussi une carte de Dersim [l’ancien nom de la province de Tunceli, région de l’est majoritairement de confession alévie, une branche de l’islam non sunnite). Je ne comprends pas ce manque de culture.“Azadi” veut dire liberté, or si j’avais écrit “freedom” sur mon bras personne n’aurait rien dit », avait-il confié le 3 février à Evrensel. Il y a eu aussi cette prise de position, exprimée sur sa page Facebook, en faveur de« ceux qui luttent dans nos régions ». La goutte de trop pour la Fédération.
Dans la foulée, le club a écopé d’une interdiction de spectateurs pour un match en raison de « vilaines chansons » scandées par ses fans. Et comme un fan avait eu la mauvaise idée de dédier la victoire contre Bursaspor« aux combattants de la guérilla », le siège du club a été perquisitionné.
Le feuilleton ne fait que commencer car, mardi 9 février à Diyarbakir, les joueurs d’Amedspor ont déployé dans les gradins vides de leur stade une banderole en direction de la tribune officielle où étaient assises quelques personnalités triées sur le volet. Leur slogan – « Les enfants ne devraient pas mourir, ils devraient assister au match » – a fortement irrité la TFF, qui a promis de nouvelles sanctions.
Guérilla urbaine
La phrase fait référence aux violents affrontements en cours dans les villes kurdes entre les forces d’Ankara et les rebelles du PKK. Ils durent depuis deux mois à Sur, le centre historique de Diyarbakir, et sont même audibles depuis le stade. Une partie de Sur est à feu et à sang depuis que les rebelles armés du PKK ont déclaré « l’autonomie » du quartier. Deux mois de guérilla urbaine et la riposte des forces spéciales ont fauché les vies de centaines d’insurgés, de dizaines de civils et de soldats turcs. Quelque 24 000 habitants de Sur ont été poussés à l’exode. Les ruelles historiques ne sont plus que ruines. Le dénouement est proche : selon la préfecture de Diyarbakir, les opérations sont pratiquement terminées, la rébellion a été matée.
Les détonations entendues depuis le stade sont celles des engins explosifs enfouis par les rebelles que les démineurs sont en train de désamorcer. Mahmut, la trentaine, qui tient un petit restaurant non loin du stade, assure qu’il sera impossible de reconstruire quoi que ce soit : « Le PKK l’empêchera, ils tueront les ouvriers s’il le faut. » La guérilla a infiltré les rues, les stades, les esprits.
En Turquie, comme partout ailleurs, le football est toujours prétexte aux débordements nationalistes et chauvins, Kurdes contre Turcs, gauchos contre fachos, sunnites contre alévis, islamistes contre laïques. Mais certains slogans sont mieux tolérés que d’autres. C’est ainsi que les fans qui avaient crié « Allahou akbar » et sifflé, à l’occasion du match Turquie-Grèce à Istanbul le 15 novembre 2015, pendant qu’une minute de silence était observée à la mémoire des attentats de Paris n’ont été que légèrement réprimandés. -
Un incident dans les stades assez mythique qui date de 1989 et qui devrait plaire à @guigues. L'affaire a valu à l'Ajax d'Amsterdam un an de suspension de Coupe d'Europe.
Battus à l'aller 1-0 en Autriche, l'Ajax a ouvert le score, mais l'Austria a égalisé suite à une bourde de Stanley Menzo. C'est alors que les Hools locaux ont commencé à lapider le gardien Wolhfart de divers projectiles (dont une barre de fer!). Celui-ci ne s'est pas démonté et a fait une splendide simulation de blessure qui aurait pu lui valoir un Oscar. A noter le public local scandant "Nazi! Nazi! Nazi" quand le gardien Autrichien était à terre.
(l'incident proprement dit est à 2:30 de la vidéo) -
le bon goût hollandais (+)
Sinon au Maroc
Deux personnes ont trouvé la mort samedi 19 mars dans la soirée lors d’affrontements entre des supporteurs de foot à Casablanca, au Maroc. Une cinquantaine de personnes ont été blessées, ont ajouté les autorités locales.
Les échauffourées ont éclaté entre deux groupes de partisans du Raja de Casablanca, à l’issue d’un match ayant opposé leur équipe au Chabab Rif Al Hoceima dans le stade Mohammed V de Casablanca. Le Raja a remporté le match 2-1.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/03/20/maroc-affrontements-meurtriers-entre-supporteurs-de-foot_4886506_3212.html#YHvuED1GfMTuzHxo.99 -
Quand on voit la sécurité dans les stades Marocains cela me surprend même que ca ne soit pas arrivé avant!
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Dans un autre genre du "bon" goût hollandais.....C'est juste pitoyable et abject....
(-)
Ligue des champions : les images de supporters du PSV humiliant des mendiants à Madrid indignent l'Espagne
Des fans néerlandais du PSV se sont "amusés" à voir des mendiants se précipiter pour ramasser les pièces qu'ils leur lançaient. Scandale en Espagne.
Des supporters néerlandais du PSV ont humilié des mendiants en les forçant à ramasser des pièces de monnaie sur le sol, mardi sur une grande place de Madrid, quelques heures avant le 8e de finale retour de Ligue des champions face à l'Atletico (0-0 ap, 8 tab à 7).
Ces images ont suscité l'indignation en Espagne. Le ministre de l'Intérieur Jorge Fernández Díaz a parlé de «honte absolue», tandis que la présidente de la Communauté de Madrid Cristina Cifuentes s'est indignée de ce comportement «lamentable».
«Ce comportement est indigne. Nous voulons clairement nous désolidariser de manière catégorique de la conduite de quelques supporters», a déclaré le président du PSV Toon Gerbrands, sur le site internet du club éliminé de la C1. «Le PSV va prendre les mesures adéquates, qui pourraient inclure des interdictions de stade ou des sanctions plus sévères», a-t-il ajouté. L'ambassade des Pays-Bas à publié de son côté un communiqué dans lequel elle a «profondément déploré» les actes de ses ressortissants. -
Pendant ce temps, en Ecosse.
#plusjamaisça
#livrenoirdusupporter
Blourg
JPDarky -
Cher @jpdarky, tu soulignes avec force, la rouquinophobie qui hante nos tribunes.
Concernant l'incident au Maroc, je crois que c'est un symptôme d'une société bloquée et peu démocratique. Le football sert d'exutoire à des gens qui n'ont pas de perspective d'avenir, hélas...
Je me souviens d'un match à Tunis sous l'ère Ben Ali en 2010. PSG-Marseille dans le cadre du trophée des Champions. Le contexte politique était quasiment le même : un régime autoritaire, le foot comme rare espace de libertés...
J'ai assisté à une bagarre entre un supporter d'un club honni ( Sfax?) qui arborait les couleurs de son club, au coeur d'une tribune de tunisois ....C'était presque un lynchage. Heureusement qu'il avait réussi à prendre la fuite.
Sinon, je m'étais étonné de la désorganisation à Tunis. Les tribunes, à moitié vide dans le 1er quart d'heure...puis totalement pleine au bout de 20 minutes de jeu. Et l'absence de transports en commun pour retourner dans la ville centre... -
Dans le genre incident Old School qui plaira à @guigues, l'histoire de Roberto Rojas, ce gardien Chilien qui était prêt à tout pour jouer la Coupe du Monde, jusqu'à se scarifier le visage avec un bistouri pour obtenir une victoire sur tapis vert.
Récit hallucinant de Brésil-Chili 1989: http://www.cahiersdufootball.net/article-le-coup-du-condor-3688
(Le tacle sur Branco qu'on voit sur la première vidéo, c'est de la boucherie) -
Comment mettre 40 000 Nigérians dans un stade de 16000 places?
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Le procès des supporteurs lensois suite aux incidents au Havre fait pschiiit
http://www.lavoixdunord.fr/region/rc-lens-sept-relaxes-et-un-mois-d-interdiction-de-stade-ia35b54051n3719049 -
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Ce n'était pas sensé être drôle et il ne l'a pas fait pour faire rire, mais ça m'a fait marré en lisant cette brève...
Michaël Youn condamné pour avoir brandi un fumigène
Le tribunal de Bobigny a infligé vendredi à Michaël Youn une interdiction de stade de quatre mois et une amende de 2 000 € pour un fumigène brandi au Stade de France le 21 mai, lors de la finale de la Coupe de France PSG-OM (4-2). Cette peine d’interdiction recoupe la sanction qui avait déjà été infligée au comédien par le club et le tribunal administratif.
Source : lequipe.fr -
Un jour il faudra se débarrasser de toute cette vermine qui traine dans les stades et en fait son exutoire. C'est pitoyable.....
SERBIE
Victime de cris racistes, il sort du terrain en pleurs
Everton Luiz, joueur du Partizan Belgrade, a quitté la pelouse en pleurs, dimanche après avoir subi un flot d'insultes racistes pendant un match du championnat serbe.
Encore une scène qui ne fait pas honneur au football. Quelques semaines après Mario Balotelli, victime de cris racistes lors du déplacement de Nice à Bastia, un autre joueur a connu le même calvaire, dimanche.
Cris de singe
Everton Luiz, milieu de terrain du Partizan Belgrade, a joué toute la rencontre face à Rad, comptant pour le championnat de Serbie, en entendant des cris racistes à son encontre. Chaque fois qu'il touchait le ballon, le Brésilien de 28 ans, essuyait des cris de singe en provenance d'un groupe de supporters de Rad Belgrade.
Le match a dû être interrompu
Peu avant la fin du temps réglementaire, ces "supporters" ont fait encore pire en brandissant une bannière avec un message insultant à l'encontre du joueur, obligeant l'arbitre a interrompre le match brièvement.
Lorsque l'arbitre a sifflé la fin du match, remporté par le Partizan (1-0), Everton Luiz est allé face aux supporteurs de Rad pour leur adresser un doigt d'honneur, selon les images diffusées par une autre chaîne locale. Son geste a provoqué l'ire des joueurs de Rad, qui ont voulu s'en prendre au Brésilien.
On voit ensuite le défenseur de Partizan quitter la pelouse en pleurs, consolé par ses coéquipiers.
"Je n'ai pas pu cacher les larmes parce que j'essuyais des insultes racistes des tribunes pendant les 90 minutes. J'étais davantage bouleversé par l'attitude des joueurs adverses qui, au lieu de calmer le jeu, soutenaient ce comportement", a déploré le joueur, qui est également passé par la Suisse depuis son arrivée en Europe. -
Un match en Croatie qui s'est déroulé dans la convivialité et la bonne humeur...
Quasiment chaque journée de championnat est émaillée de violences, provoquées par les supporteurs des trois grands clubs du pays, le Dinamo Zagreb, le Hajduk Split et Rijeka, qui scandent régulièrement des slogans pro nazis.
Ce week-end, le plus spectaculaire fut l’irruption sur la pelouse du Hajduk Split (sud) d’un supporter masqué, armé d’une barre de fer, qui souhaitait s’en prendre à l’arbitre de la rencontre contre Rijeka, autre grande ville de la côte adriatique croate.
La rencontre, soldée par un nul (1 à 1) s’est déroulée dans une atmosphère houleuse, la Torcida (ultras de Hajduk) et l’Armada (Rijeka) échangeant des insultes. Des slogans racistes ont été scandés contre un joueur gambien du Hajduk, Hamza Barry. Les deux camps ont uni leurs voix pour appeler au meurtre des Serbes et des habitants de Zagreb.
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On peut admirer la rapidité et l'efficacité du service d'ordre. (+) -
Incidents du Parc OL : pas de supporters parisiens à l'extérieur jusqu'au 27 avril
La Ligue s'est prononcée suite aux dégradations commises par les supporters parisiens lors de la finale de la Coupe de la Ligue au Parc OL, le 1er avril dernier. «La Commission décide de placer le dossier en instruction et de fermer à titre conservatoire l'espace visiteur lors des matchs à l'extérieur du Paris Saint-Germain jusqu'à la convocation des dirigeants du club le jeudi 27 avril 2017», a écrit la Commission de discipline de la Ligue (LFP) dans un communiqué. Ce jugement n'est que partiel puisque le dossier est mis en instruction. Mais le PSG a échappé à un huis clos partiel du Parc des Princes.
Le PSG sera donc sans supporter à Angers (14 avril) et à Metz (18 avril). Pour rappel, le PSG devra également «rembourser l'intégralité des très importants dégâts occasionnés», comme indiqué par la Ligue au lendemain des incidents.
L'Equipe.fr -
"Une barrière d'une tribune a cédé et provoqué la chute de spectateurs lors du match Amiens-Lille au stade de la Licorne samedi soir lors de la 8e journée de Ligue 1. L'incident a fait au moins 26 blessés dont quatre grièvement selon la préfecture de la Somme. Le match a été arrêté et sera rejoué."
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