Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Toulouse FC, le TéFéCé

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Flux RSS 611 messages · 136.315 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par guigues

  • Attention, il reste encore un match, donc rien n'est encore fait et il ne faut pas s'enflammer trop tôt ...
  • Surtout qu Angers devrait battre lyon
  • Toulouse, éventuellement, car pour Lyon il va falloir attendre la saison prochaine.
  • Pourquoi j'ai dis Angers...
    Je voulais dire Reims.
  • Quoi qu'il arrivera la semaine prochaine, ils seront bien remontés avec le magicien DUPRAZ (un mec simple, qui sait dégonfler les melons si nécessaire) aux manettes. Bravo les violets !
  • Le plus dur reste à faire malgré tout, le TFC ayant à présent tout à... perdre.
  • Que Toulouse tombe cette saison ou la prochaine, cela ne change finalement que les affaires de Dudu. Quant à Saint Dupraz ... ouais les missions commandos maintien et les melons ça doit le connaître, pour le reste.
  • uso45 a écrit, le 08/05/2016 12:53 :
    Surtout que Reims devrait battre Lyon


    Ne pas oublier Ajaccio (en déplacement à Lorient) car c'est une course à trois.
  • A priori il y a une très forte mobilisation des supporters du Téf pour aller soutenir en nombre l'équipe a Angers.
    Il y a une Duprazmania incroyable ici !
    Sans être un fervent du TFC je dois reconnaître que quelque part je souhaiterai aussi maintenant que le club se maintienne en L1, même si au fond de moi, ça me ferait chier de ne pas voir le Racing ici la saison prochaine...
    Au final, peu importe le résultat du dernier match, je serai satisfait d'un coté et déçu de l'autre...franchement, je ne pensais pas être aussi partagé il y a seulement quelques semaines !
  • La Dépêche.

    Pascal Dupraz : «J'y crois plus que jamais»
    Toulouse Football Club

    Un match pour entrer dans l'Histoire. Ja- mais aucune équipe n'a réussi à se maintenir en Ligue 1 après avoir accusé 10 points de handicap sur le 17e et 1er non-relégable à 10 journées de la fin. Le Toulouse Football-Club, notre Téfécé, est en passe de le faire. Grâce – même si l'intéressé refuse de tirer la couverture à lui tout seul – à un homme : Pascal Dupraz, 53 ans.

    «Dieupraz» pour le peuple violet. Débarqué sur l'île du Ramier avec un contrat de 2 ans et demi, le 1er mars, pour succéder à Dominique Ar- ribagé et ressusciter une équipe plongée en eaux troubles depuis le 23 octobre et un revers à Lyon (0-3, 11eJ). Beau traquenard, avancent d'aucuns. Résultat : 2 mois et demi après avoir refusé de «parler L2» avec le président toulousain Olivier Sadran lors de leur première rencontre, l'ex-entraîneur d'évian/Thonon-Gaillard (qu'il aura hissé de DHR en L1 en l'espace de 20 ans !), a ranimé la flamme au Stadium. Un stade incandescent samedi soir lors de la «demi-finale du maintien» et la victoire au forceps face à la lanterne rouge Troyes (1-0, 37eJ).

    «On exerce ce métier pour vivre de pareilles émotions.» Lui en a connu une sacrée, dès son arrivée sur les bords de Garonne : le Savoyard tombe en syncope, lors du dernier entraînement la veille du déplacement à l'OM (1-1, 6 mars/29eJ). «Issa (Diop) se penche sur moi, je ne sais plus où j'habite ; je pense qu'il y a un déclic avec le groupe à cet instant-là.»

    En témoigne l'embrassade de celui qu'il appelle «bonbon», le buteur Wissam Ben Yedder, en guise de célébration de son ouverture du score devant Bordeaux (4-0, 12 mars/30eJ).

    Avec 4 succès et 3 nuls en 9 matches, voilà les Haut-Garonnais sortis de la zone rouge et maîtres de leur destin par rapport aux 2 autres candidats à la descente : Reims et Ajaccio. Mieux, sur ces 9 dernières journées, le TFC de Dupraz se classe 6e. «Je suis persuadé que dès la saison prochaine avec un effectif légèrement retouché, promet l'entraîneur entraînant, on peut tutoyer l'Europe.»

    Y'a plus qu'à valider le miracle, samedi à Angers. Pascal Dupraz nous l'a répété à l'envi, hier après-midi, entre deux cafés au côté de sa compagne. Morceaux choisis.



    La finale du maintien

    «Ne pas être les François Pignon du foot»
    Ce serait trop bête de buter sur la dernière marche, non ?

    Forcément… Mais on va le faire, soyez-en sûrs ! J'y crois plus que jamais. Là que tout le monde nous donne comme sauvés, il ne manquerait plus qu'on passe pour les François Pignon* du foot ! C'est ce que j'ai dit aux joueurs pas plus tard que ce matin… Je rappelle qu'on a même de l'avance puisqu'on a rattrapé notre retard à une journée de la fin. Suffit de rester la tête hors de l'eau 7 jours de plus. J'ai la foi, je suis bourré d'optimisme.

    Ou de suffisance…

    Pas du tout. Angers voudra l'emporter également pour sa dernière à la maison. Notre adversaire va nous respecter. Nous aussi, on va le respecter. Il va falloir que l'on soit agressifs mais pas trop, qu'on joue ensemble – samedi dernier, beaucoup n'ont pas été assez altruistes. Le but est d'avoir la tête fraîche et les idées claires. Ma mission est d'amener les joueurs au top le Jour J à 21 heures pile-poil. Le risque, dans ces situations-là, restant de jouer la rencontre avant, dans sa tête. Cependant je vous assure qu'aucun Toulousain ne sera moins motivé qu'un Angevin !

    Ne craignez-vous pas, justement, la pression qui a inhibé votre troupe contre Troyes ?

    Quand vous achetez une voiture, vous avez peur de l'accrocher. Donc vous êtes crispé et c'est là que vous risquez le plus de la cogner. Alors que vous avez l'habitude de conduire. Mes joueurs, c'est pareil : ils savent faire.

    On insiste : ce n'est pas gagné d'avance !

    Cette dernière échéance au Stadium était la plus délicate à négocier. Angers est un autre sommet à gravir, je vous l'accorde. On ne doit rien laisser au hasard. C'est bien pour ça que j'ai écrit pour tous les membres du staff un mot d'excuses à remettre à leurs épouses. Il n'est pas question de se relâcher. Redoublons d'efforts, étudions tous les coups de pied arrêtés angevins, disséquons leurs circuits préférentiels dans le jeu, etc. Notre état d'esprit doit être conquérant. Tiens, c'est aussi pour cela que j'ai demandé aux garçons de sacrifier à un long tour d'honneur du Stadium samedi passé. Ce n'était pas pour faire les coqs, on se devait d'emmagasiner de l'énergie. Eh oui, j'ai été ému ce week-end lorsqu'après 5 minutes de jeu seulement, le public a scandé mon nom parce que je manifestais mon mécontentement vis à vis du corps arbitral… L'ambiance m'a donné la chair de poule.

    Comme ce fameux relais féminin du 4x400m au Championnat d'Europe-2014 d'athlétisme que vous passez dans le vestiaire avant chaque match.Absolument, à 8 minutes du coup d'envoi, en cercle bras-dessus bras-dessous devant l'écran TV. Le retournement de vestes des commentateurs vu le finish incroyable des Bleues m'amuse beaucoup. Il me fait penser à notre situation : il y a près de 3 mois on nous avait enterrés, à J-1 on est revenus du Diable-Vauvert. Reims et Ajaccio ne nous regardaient pas hier, ils ont senti le souffle chaud sur leur nuque depuis. (*) Personnage de fiction du cinéma français, caractérisé par sa naïveté voire son idiotie.

    L'homme

    «J'essaie d'être humble»
    Vous avez su fédérer toute une ville autour du club depuis votre arrivée, quel est votre secret ?

    Je pense que ça vient de ma personnalité et donc de mon histoire. Je suis issu d'une famille simple, une famille modeste qui m'a donné le goût du travail, de l'effort. Mes parents m'ont, je pense, bien élevé. Malheureusement, ils nous ont quittés. Je les pleure tous les jours.

    Comment se passe votre vie en dehors du terrain ?

    J'essaie d'être gentil et humble. Quand on m'aborde, qu'on me demande une photo, même si je suis en train de faire autre chose ou que je suis à la terrasse d'un café, je prends le temps de répondre. C'est important. Si on envoie de mauvaises choses, on en reçoit en retour. J'ai donné tellement de survêtements depuis mon arrivée que l'intendant (Jacqui Teulières) m'a d'ailleurs dit qu'il finirait par en manquer(il sourit). Je ne sais pas… Peut-être que je les donne parce que je ne les paie pas.

    Oui, il paraît que le Savoyard est radin…(toujours souriant) Alors là, je suis tout sauf radin.

    Vous semblez en tout cas habité de croyances presque mystiques.

    J'ai mes croyances. Mais je ne suis pas né dans un pot de miel. Je suis quelqu'un de réaliste, de pragmatique.

    L'entraîneur

    «Le premier critère, c'est l'état d'esprit»
    Une des premières choses que vous avez faites en arrivant est de rouvrir l'accès aux entraînements, pourquoi ?

    Je l'ai proposé, mais c'est le président qui décide. Je pense que c'est important que les gens puissent venir nous voir. On n'a rien à cacher, au contraire : si on se cache, c'est qu'on n'a pas confiance. Les adversaires connaissent déjà tous nos schémas, de toute façon, ils les ont étudiés. Pardon, mais je trouve ça complètement débile de fermer l'accès au stade. Et même quand ça se passe mal, si les supporters sont vindicatifs, ça me permet de savoir quel joueur est solide, sur qui je peux compter…

    Certains éléments sont sortis du XI titulaire, d'autres sont au contraire revenus alors qu'on ne les voyait plus. Sur quels critères avez-vous fait vos choix ?

    Le premier critère, c'est la discipline et l'état d'esprit. Les supporters peuvent comprendre la défaite, mais pas le manque d'investissement. On ne peut pas faire de résultats sans ça. Si tu prouves

    que tu ne l'as pas, tu sors du groupe et tu n'y reviendras pas. Après, d'un point de vue sportif, j'ai une tactique très énergivore. Il me faut des joueurs rapides et qui courent beaucoup parce que j'aime exercer un pressing haut.

    C'est avec ce genre de profils que vous comptez bâtir votre futur groupe ?

    Oui. J'estime avoir besoin de 3 ou 4 joueurs de ce style. Je compte m'appuyer sur un noyau dur de 16 à 18 joueurs. Pour impliquer tout le monde, rien ne sert d'être plus de 21. En plus, tu t'offres la paix sociale. Et je compte intégrer beaucoup de jeunes du centre de formation, parce qu'ils font du bon boulot ici. Et que les jeunes, si tu ne leur offres pas une place stable, ils se découragent ; c'est normal.

    Le Toulousain

    «Me perdre dans les ruelles»
    Avez-vous eu l'occasion de vous balader en ville ?

    Pas assez à mon goût. En attendant, je trouve Toulouse jolie, agréable, les gens avenants… D'ailleurs, je ne sais pas s'il y en a cependant je n'ai pas encore croisé de personnes méchantes. Même si on m'a prévenu que les Sudistes accueillent à bras ouverts mais, parfois, ont du mal à les refermer… J'aime vraiment flâner et me perdre dans le dédale des ruelles ou boire un coup place du Capitole, naturellement. Ah, si, un petit bémol : le soleil, pas assez généreux ! On m'avait annoncé de grands rayons, pourtant (sourire). Sinon, je n'ai pas tardé à comprendre pourquoi on l'appelle Ville rose. Pas besoin de dessin : c'est la couleur des briques. Avec la lumière, c'est splendide, j'avoue. J'y suis sensible.

    On vous a déjà aperçu au Stade Toulousain…

    J'adore tous les sports, le rugby en particulier. J'ai assisté à Toulouse – Union Bordeaux-Bègles (13-13, 11 mars) : un régal. Il y a deux semaines, je suis aussi al- lé voir Colomiers face à Lyon (27-16) et, pareillement, j'ai kiffé comme disent les jeunes. Je suis entré dans les vestiaires à la fin du combat, que du bonheur ! Le foot devrait s'en inspirer… Puis j'aimerais bien rencontrer Jean-Luc Sadourny qui reste mon joueur préféré. Quelle élégance ! Mes rêves se nourrissaient de ses chevauchées.

    Les chevaux, c'est votre autre dada.

    Les trotteurs à La Cépière. Oui, un de mes rendez-vous.

    «La Dépêche» en journal supporter
    Après l'entraînement de 11 heures et un rapide déjeuner, Pascal Dupraz est ponctuel au rendez-vous de La Dépêche. Bienvenue au coach-miracle de cette fin de saison ! Il est accueilli à la rédaction par (de droite à gauche sur la photo) José Biosca, directeur de l'information, Éric Laffont, directeur des relations extérieures, et Jean-Claude Souléry, rédacteur en chef. Pendant plus de deux heures, il répond aux questions de nos journalistes Jean-Pierre Oyarsabal, coordonnateur du service des Sports, et Patrick Desprez qui suit fidèlement le TFC. Très disponible, Pascal Dupraz répond aussi à Baptiste Bril (interview vidéo visible sur le site ladepeche.fr). Et tous nos vœux accompagnent son TFC !

    Recueilli par Patrick Desprez et Lucas Serdic
  • Mouais le Dupraz!... Faut savoir qu'il traîte les Alsaciens de "casques à pointe" X-(
  • Je ne suis pas sûr que le plus dur soit fait pour Toulouse. Pour la première fois ils ont leur destin entre leurs pieds. Ils peuvent aussi flancher. Aujourd'hui c'est Ajaccio et Reims qui n'ont plus rien à perdre et qui seront morts de faim.
  • Assez d'accord avec toi.
    Le Téf a tout a perdre a Angers et ils vont avoir une pression de dingue...
    Ils peuvent effectivement se prendre les pieds dans le tapis.
  • paplo a écrit, le 10/05/2016 11:08 :
    Mouais le Dupraz!... Faut savoir qu'il traîte les Alsaciens de "casques à pointe" X-(

    Lors de son passage mulhousien ?

    Disons que le Toulouse actuel a tout de même plus de chance de faire un résultat à Angers, que Reims de battre Lyon ou le Gaz de prendre des points à Lorient.
  • paplo a écrit, le 10/05/2016 11:08 :
    Mouais le Dupraz!... Faut savoir qu'il traîte les Alsaciens de "casques à pointe" X-(


    Et là évidemment pas de SOS racisme, silence radio, 0 polémique.
  • Ce n'est pas parce que personne réagit qu'il faut en déduire que tout le monde s'en fout !
    En attendant, ce n'est pas au rugby qu'on entendrait ce genre de propos ...:-'
  • chris68 a écrit, le 10/05/2016 14:47 :
    paplo a écrit, le 10/05/2016 11:08 :
    Mouais le Dupraz!... Faut savoir qu'il traîte les Alsaciens de "casques à pointe" X-(


    Et là évidemment pas de SOS racisme, silence radio, 0 polémique.


    parce que ce faire traiter d'allemand c'est du racisme pour toi ? on doit pas avoir la même conception de racisme ... parce que perso, j'assume totalement la partie germanique de mon éducation
  • D'ailleurs vous savez le comment du pourquoi des casques à pointes ?

    Je ne pense pas que Dupraz soit raciste, simplement idiot.
  • C'est en rapport à ses propos envers Fabrice Ehret quand il évoluait à Evian.

    https://racingstub.com/forum/comment/1354333
  • Effectivement, les propos de Dupraz ne sont pas acceptables et je ne connaissais pas cet épisode, du moins remis dans son contexte réel.
    Dupraz est un mec très controversé et on comprend pourquoi !
    Par contre et dans le contexte actuel Toulousain, il est évident qu'il a endossé le rôle de sauveur et donc de star comme il semble aimer a l'être...
    En arrivant au Téf, il avait tellement de certitudes concernant le maintien qu'il a réussi a transmettre son état d'esprit, donc pas étonnant qu'il fait figure de dieu dans le microcosme de la ville rose.
    Si le TFC se sauve, bien entendu qu'il aura réussi un truc de dingue mais il faudra surtout le voir a l'oeuvre une saison entière ici.
  • L'incroyable mobilisation des supporters toulousains

    «On veut l'exploit comme Dupraz. On va gagner ! On y va ! On y croit», s'enthousiasme Yannick, un supporter hier après-midi venu assister au dernier entraînement de la saison du TFC. Malgré une météo bien maussade, ils étaient plus d'une centaine à venir encourager une dernière fois leur équipe. Tous les clubs de supporters étaient représentés autour du stade : Visca Tolosa, Supporters des Violets, Fan Club, Viola Club, Forza Viola Football Club et bien entendu les Indians se sont retrouvés pour cette ultime revue des troupes. «C'est vendredi 13… ça porte bonheur les gars !» lance un vétéran amusé en jogging. Car de mémoire de supporter, au Toulouse Football-Club, on n'avait jamais vu ça ! Ces derniers jours, l'espoir est revenu. Toulouse a repris ses couleurs «Violets», et s'est laissée gagner par la fièvre des grands matches…

    Alors ce matin à 8 heures, les Indians, Visca Tolosa, West Eagle… ils seront prêts pour le départ. Sur le bitume du parking du Stadium. Dans les bus qui les mèneront à Angers, pour aller chercher cette victoire pour le maintien. Onze bus ont été affrétés au départ du Stadium de Toulouse pour rejoindre le Stade Jean-Bouin. Un autre autocar s‘élancera de bonne heure aussi de Paris, avec le club des «expatriés» de la capitale : les Occifans. Au total un millier de supporters font le déplacement en bus, tandis que le covoiturage entre Toulouse et Angers a fait aussi le plein sur «Blablacar» et entre copains. Les Toulousains ont aujourd'hui leur destin en main. «Le coach Dupraz l'avait annoncé cette finale. Nous nous sommes battus contre Saint-étienne, contre Lyon, contre Troyes ça a été un peu plus difficile, à Angers, ce sera un peu pareil, mais je pense que l'équipe va se maintenir. Ils n'ont pas fait tout ça pour descendre», raconte Benji qui a pris son billet, son sac à dos, son écharpe, et le maillot des Violets. Pour Adrien, un autre supporter venu applaudir son équipe et qui sera dans les tribunes à Angers : «Le jeu est plus cohérent, les joueurs ont confiance dans le nouveau coach. Le moteur de l'équipe, il n'y a pas de secret, c'est l'envie de gagner. Il était incompréhensible que des joueurs comme Ben Yedder et autres restent sur le banc de touche, sous la gouverne Arribagé. » Philippe de son côté estime que si l'on peut mettre des cartons jaunes aux entraîneurs, c'est avant tout les joueurs qui courent sur la pelouse. «Je suis certain que Ben Yedder voudra augmenter son capital de buts. De la même manière, je suis sûr que le TFC sera en L1 l'an prochain.» En ville, au café du commerce, le TFC est revenu sur le comptoir ces derniers jours. Jean-Marc, supporter de la première heure : «Pas besoin de sondage pour savoir si Toulouse va gagner. Même si l'enjeu pour Angers est important, la motivation de Toulouse sera la plus forte ! Allez le TFC !»

    Thierry Gausserand
  • Le TFC est mal barré et je suis un peu déçu (mais pas trop quand même !)....
  • Ouais je pense c'est mort...

    Edit : Bravo Pascal Dupraz
  • Impossible n'est plus.. toulousain ce soir. Que l'on apprécie ou non Dupraz (et sa grande g.....) , son pari fou est gagné.
  • Il avait déjà la cote ici mais alors la, ça va être la folie !
    Au fond, je suis vraiment content pour le Téf.
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