Toulouse FC, le TéFéCé
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Oui bon il va être encensé, va continuer l'an prochain, va réaliser un mauvais début de saison puis sera viré au mercato, on la connaît tous l'histoire :) allez avec un peu de chance il terminera quand même la saison.
L'histoire éternelle des entraîneurs français. -
Tu as peut être raison sur certains points mais la qualité que je reconnais a Dupraz, c'est de savoir motiver ses joueurs, d'avoir un réel talent de meneur d'hommes, de galvaniser tout son entourage, le tout pour une mission sauvetage.
Après, sur une saison entière et sur ses qualités d’entraîneur, je suis effectivement moins convaincu.
C'est pour cela que je suis curieux de le voir a l'oeuvre ici et avec ses choix pour les recrues.de la saison prochaine.
C'est une grande gueule avec un sacré charisme et c'est tout ce qui plait ici dans cet esprit rugby et ou la faconde est importante.
Mais quand même, il a réussi un sacré pari en réussissant ce maintien et peut être que Toulouse est la ville et le club ou il peut se révéler pourquoi pas ? -
Il est plus c.. que méchant le père Dupraz dans certaines de ses déclarations. Derrière son côté provocateur je ne pense pas que ce soit un mauvais gars.
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zvain a écrit, le 14/05/2016 23:06 : Oui bon il va être encensé, va continuer l'an prochain, va réaliser un mauvais début de saison puis sera viré au mercato, on la connaît tous l'histoire :) allez avec un peu de chance il terminera quand même la saison.
L'histoire éternelle des entraîneurs français.
Des entraîneurs... tout court. -
Ce qui est certain et surtout nouveau ici a Toulouse, c'est qu'il y a un engouement et surtout un capital sympathie très important autour du TFC et de Pascal Dupraz.
Si le club arrive a capitaliser autour de cela, et bien l'indifférence habituelle autour du Téf peut se transformer en un intérêt tout a fait nouveau.
Pour peu que le mercato soit cohérent et que les premiers résultats en championnat démontrent que les valeurs affichées sur ces dernières semaines sont encore présentes et bien il peut vraiment se passer quelque chose au TFC.
Les toulousains sont a fond derrière le Stade Toulousain car en rugby l'esprit de sacrifice et du don de soi est présent a chaque rencontre.
L’intérêt du public Toulousain pour le TFC ces derniers matchs et depuis l'arrivée de Dupraz, c'est uniquement parce qu'ils ont retrouvés ces valeurs et l'état d'esprit de révolte et du refus de sombrer qui ont su séduire un nouveau public et qui jusqu’a présent ils ne retrouvaient pas dans leur équipe de foot.
Après il y a bien entendu le personnage Dupraz qu'on aime ou déteste, mais ici il a su apporter sa gouaille, sa capacité a fédérer autour de lui et surtout sa rage de s'en sortir avec son groupe, et ici, ça plait beaucoup. -
Quel reportage sur le TFC dans J+1 !
Je croyais avoir entendu la causerie la plus forte avec Jaquet en CDM 98, mais celle de Dupraz contre Angers, c'est du très lourd et ça fout vraiment des frissons...
En plus ce mec est un visionnaire car son sentiment en faisant rentrer Bodiger avec sa patte gauche et sa certitude qu'il va marquer le but décisif c'est vraiment bluffant. -
Heureusement que Braithwaite égalise car son pénoche à la Beckham...
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+1 Dudu ! Quel beau reportage, Dupraz est vraiment un entraineur attachant. Son discours est vraiment beau et sincère, c'est aussi très fort car il a vraiment créer une unité avant ce match, notamment avec le discours + les vidéos des familles des joueurs. De vivre un truc fort émotionnellement tous ensemble ça aide beaucoup pour le genre d'exploit accomplis contre Angers !
Et oui vraiment surprenant cette sensation qu'il a avec Bodiger juste avant sa rentrée ! -
Je n'étais pas jusqu’à présent un fan de Dupraz loin de la, et lors du mano a mano avec le Sochaux de Renard, j'avais vraiment pris fait et cause pour ce dernier.
Je n'aimais pas ce coté caliméro et grande gueule de Dupraz mais depuis sa prise de fonction au TFC et son discours plein de certitudes et ce final incroyable, j'ai vraiment revu ma copie car il ressort un coté au final sympathique et mystique même si je suis curieux de le voir a l'oeuvre la saison prochaine, d'ailleurs il vient de signer un contrat jusqu'en 2019 au Téf...
Ce qui est sur c'est qu'il est devenu une icone ici et surtout, il a complètement réveillé un club a qui il fallait ce genre d'exploit et surtout de coach, pour créer un déclic et une identité proche de l'esprit rugby si cher aux Toulousains. -
Perso j'ai toujours était fan du personnage, quand il a quelque chose à dire il le dit, c'est pas comme L. Blanc (qui a du talent et que j’apprécie aussi) mais qui prend les journalistes pour des c***. Alors certes Dupraz ne gagnera aucun titre majeur, mais ce qu'il a fait (avec Evian) ou avec le Tef' c'est quand même quelque chose d'extraordinaire. Et se reportage, qu'il est magnifique...
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Je viens de voir le reportage J+1. Dupraz me fait penser à Philippe Etchebest, même genre de caractère, des mecs qui savent jouer avec la TV, l'émotion, le pathos et la grande gueule. Pour des missions de ce genre il a montré que c'était très efficace. À voir sur le long terme.
L'extrait où il sent l'intuition de faire entrer en jeu Bodiger et sa patte gauche, qui marquera le coup franc décisif, est remarquable, il faut l'avouer.
Il est quand même pas passé loin d'une grosse déconvenue sur ce dernier match mais la performance globale de Dupraz et ses joueurs est belle, c'est clair. -
Dupraz raconte les dessous de l'exploit
Toulouse Football Club - Ligue 1. 7 e journée. Vendredi soir, dans un Stadium aux anges, le TFC a fait tomber le PSG. Une première toulousaine contre le Paris qatari après 13 échecs.
Une victoire sur l'ogre du Championnat n'est jamais le fruit du hasard. Le technicien savoyard n'en était pas à son coup d'essai. Il dévoile, à La Dépêche, ses petits secrets.
P ascal Dupraz aime la pêche aux gros. à la tê- te de l'évian/Thonon-Gaillard, l'entraîneur avait terrassé le Paris-SG à deux reprises – la même année civile 2013, en Coupe de France au mois d'avril et en Championnat au mois de décembre. Avant-hier, il a donc récidivé offrant sur un plateau à son président Olivier Sadran le premier succès du Téfécé contre le Paris-SG qatarien. Après, toutes compétitions confondues, la bagatelle de 12 défaites et 1 nul (il y a deux saisons : 1-1, 8eJ de L1) ! «Ce n'est pas difficile, plaisante le gourou haut-garonnais, j'ai très souvent rencontré des équipes supérieures… à l'ETG, j'étais arrivé sur le banc pompier de service ; à Toulouse, j'ai repris le club à la 19e place.» Plus sérieusement ? «C'est vrai que trois fois, ce n'est pas neutre. Mais n'allez pas vous imaginer que j'ai une recette miracle.» Du bon sens et un plan de jeu bien précis, si.
Explication de texte.
«La technique de la salade»
«Contre les Parisiens, il faut, à mon avis, être réaliste. Si tu essayes de jouer à leur jeu, tu perds. Tu ne peux pas avoir la possession, donc tu pars du principe que tu n'auras pas le ballon. Tu te passes du ballon (23 vs 77% au quart d'heure, 30-70 à la pause, 35-65 à l'arrivée). Le but est de les faire déjouer avant de jouer – même si je nous ai trouvés trop fébriles en première mi-temps. Cela suppose déjà d'avoir une condition physique qui tienne la route. Je l'ai déclaré la semaine dernière : on essore l'adversaire avant de porter l'estocade. Notre méthode est basée sur le harcèlement. Défendre en avançant. Finalement, selon une expression méridionale de mon épouse, c'est la technique de la salade : tu la fatigues en la brassant, puis tu la manges.»
«Double dose de latéraux»
«Je le répète, face à Paris il s'agit d'abandonner le monopole de la balle. D'où deux lignes très proches, afin de boucher les espaces, et des côtés verrouillés à double-tour. Pour ce faire, j'avais opté pour un binôme de chaque côté (Yago + Michelin sur le flanc droit, Moubandjé + Sylla à gauche). Soit une composition d'équipe à quatre arrières en plus des centraux. Double dose de latéraux, quoi. Vous allez me répondre qu'il est toujours facile de parler après-coup, cependant l'idée était vraiment sinon de les mettre à mal sur les ailes, du moins les empêcher d'évoluer à leur guise. Il faut aussi un brin de réussite, en attendant on a eu le mérite de tenter et le PSG ne nous a jamais quasiment pris en défaut sur les extérieurs. Une seule fois, de mémoire (centre de Maxwell décalé par Matuidi et tête à bout-portant de Cavani, sortie par Lafont / 41e). J'avais imaginé qu'on serait en difficulté une heure durant… ça a duré un peu moins en raison de l'expulsion d'Aurier.»
«Paire de potes au milieu»
«Blin / Bodiger ? C'est une paire qui fonctionne. En plus, ils sont potes. Dans l'ordre, Alexis confirme tout le bien qu'on pensait de lui : c'est assurément mon défenseur le plus pur au milieu. Quant à Yann, il est en train de montrer ce que j'espérais de lui. Une technique sobre au service d'un jeu simple. Il gomme tous les gestes i-nappropriés à une situation donnée. Il choisit aussi la bonne surface de contact du pied.»
«Acteurs de fin de film»
«Ils apparaissent pour le meilleur, c'est-à-dire le dénouement. à l'image du terme ''adjoints'' que je n'aime pas pour désigner les belles personnes qui bossent avec moi au sein du staff, le nom ''remplaçants'' ne me satisfait pas. Parce que cela ne reflète pas l'importance qu'ils ont. Le coaching est primordial : Jimmy (Durmaz) n'a-vait pas encore trois matches d'affilée dans les jambes.»
«S'enivrer»
«J'avais invité les garçons à aller danser et s'enivrer de musique, évidemment ; j'ai fait de même pour ainsi dire avec le président. On était partis pour boire un coup. Puis verre après verre, bordeaux après bordeaux, bourgogne après bourgogne, j'ai laissé le volant à ma femme.»
La veille : apéro, vin et repas indien !
A match exceptionnel, préparation exceptionnelle. «Je voulais rompre avec le traditionnel repas de veille de rencontre, nous révèle Pascal Dupraz. Alors j'ai décidé de défier les lois de mon ami Michel Martino, diététicien au club. On ne l'a pas écouté. Et tous ensemble on a mangé indien. On a même bu l'apéro puis du rouge et du rosé. Attention, les joueurs ne se sont pas emplâtrés : sur la table des 20 convoqués, il y avait une bouteille de rouge et une autre de rosé. A chacun sa méthode. Pour une fois, on avait laissé les GPS de côté… En résumé, on avait choisi un autre carburant bien qu'on n'avait par ailleurs que des féculents. Tel a toujours été mon management : il faut qu'il y ait du bien-être dans un vestiaire. Résultat, sur le terrain, on est une équipe.»
«Ma causerie ? Je suis fou»
Cette fois, le mentor des Violets ne divulguera pas son propos d'avant-match. «Cela doit rester dans l'intimité du groupe. Mais elle était spéciale, car chaque causerie est unique. Sinon, ça dépend ce qui me passe par la tête. Ce n'est pas à moi de me juger ; mes adjoints me disent que je suis un peu fou, des fois…»
La Dépéche. -
Décidément ce Pascal Dupraz fait vraiment bouger les choses au TFC et surtout il ne fait rien comme les autres !
A Toulouse il plait et s'y plait beaucoup car il a un état d'esprit très proche de celui du Rugby...
Pascal Dupraz a interdit le port du casque. (F. Lancelot/L'Equipe)
Dès sa prise de fonction à Toulouse, le 1er mars, Pascal Dupraz a imposé de nouvelles règles. Il a mis fin aux entraînements à huis clos, a ouvert son vestiaire aux médias et a demandé à ses joueurs d’enlever leur casque quand ils descendent du bus. «Je leur ai expliqué cette décision. Moi aussi j’adore la musique, mais j’ai envie qu’ils vivent des émotions, nous explique le coach du TFC. Un enfant qui est avec son père et qui sollicite un autographe à un joueur, c’est un moment de partage, d’émotion. Le père est fier de voir que la promesse qu’il a faite à son fils, de lui obtenir un autographe, il a pu la tenir. Le gamin a du rêve plein les yeux. Et le joueur s’aperçoit qu’il est digne d’intérêt. C’est bénéfique pour tout le monde.»
Comment Canal+ a transformé Pascal Dupraz
Une règle totalement acceptée par le groupe. La preuve : désormais, il n’a plus besoin de faire passer le message, c’est le groupe qui s’en occupe. «Quand un nouveau arrive, si j’oublie de lui dire qu’on ne met pas de casque chez nous, c’est un autre joueur qui va le rattraper avant de descendre du bus pour lui dire : "Enlève ton casque, ici on descend du bus sans. Et range le dans ton sac, on ne le met pas autour du cou". Est-ce qu’on va me critiquer parce que je vais dans ce sens-là ? Je ne comprendrais pas, franchement.» L’interdiction se prolonge dans les vestiaires. «La musique on l’écoute dans le vestiaire, ensemble, et en plus la même. Je ne vois pas pourquoi on devrait écouter une musique différente, les uns les autres. On va jouer une partition tous ensemble sur le terrain, on espère qu’elle sera à l’unisson. C’est de la pure logique.»
Le tour d'honneur contre le PSG
L’entraîneur nous a également expliqué pourquoi il avait participé au tour d’honneur avec ses joueurs après la victoire contre le PSG (2-0). «Je sais très bien qu’on n’a pas gagné la Coupe du monde en battant les Parisiens, mais les joueurs vont saluer nos spectateurs après tous les matches. Pourquoi je n’irai pas avec eux ? En faisant ça, je respecte mes supporters. Je montre ce respect à mes joueurs. Ça contribue à une certaine forme d’ouverture, plutôt que de rentrer directement au vestiaire sans parler, comme si j’étais une autruche.»
Alexis Danjon -
Le TFC qui tape Paris puis Monaco à domicile, soit 2 représentants français en C1 cette saison.
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J'avoue que je suis bluffé de ce que fait le TFC en ce début de saison.
L'effet Dupraz ne s'estompe pas et au contraire, il donne une confiance incroyable a cette équipe.
Franchement, je pensais que le soufflé allait retombé assez vite mais il perdure et ici, c'est presque un demi dieu ! -
2 points sur les 5 derniers matchs
Tout doucement il rentre dans le rang et retrouve une place plus conforme au vue de son effectif -
C'est vrai que le TFC semblait en surrégime depuis le début de la saison.
C'est maintenant qu'on va voir si Dupraz peut se révéler un coach sur la durée et non pas un pompier de service avec des coups d'éclats sur de courtes périodes....
En ce qui le concerne, cela a toujours été mon interrogation. -
Même si il rentre dans le rang il a l'équipe la plus jeune des 5 grands championnat donc même finir 10eme en fin de saison avec un effectif super jeune c'est plutôt prometteur.
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3 défaites consécutives en championnat et 2 éliminations en Coupe(s) , méfiance tout de même car l'avance sur la zone rouge commence à fondre et que la dynamique de la fin de saison dernière semble s'être inversée.
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C'est effectivement un peu inquiétant pour le TFC et surtout confirme les interrogations que j'avais en début de saison, a savoir si le style commando de Dupraz pouvait tenir sur toute une saison....
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Ils n'ont qu'à prendre Arribagé à 5 matchs de la fin pour une mission commando...:))
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Après conçeicao hier à Nantes,aujourd'hui c'est Dupraz qui envisage de quitter le TFC
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Je ne sais pas ou tu as lu cela mais ici, personne n'en parle....
Ces joueurs sans contrat ont tout pour séduire le TFC
À la recherche de joueurs expérimentés capables d'encadrer ses jeunes, le Toulouse Football-Club est à l'affût d'une bonne affaire lors du prochain mercato. Le montant de l'enveloppe des transferts sera fixé en fonction des ventes du club pendant l'intersaison. Plusieurs Violets ne seront pas retenus en cas d'offres jugées satisfaisantes (lire notre édition du 29/05). En attendant que cela se décante, le Tèf pourrait se tourner vers des joueurs sans contrat, donc «gratuits». Ils sont nombreux, en effet, chaque été à attendre un coup de téléphone…
À ce jour, plus de 200 footballeurs sont inscrits dans la catégorie «libre» (1) du site de l'Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP), la référence pour les clubs pros. Nous nous sommes donc «amusés» à concocter «le meilleur onze de départ» possible à partir de cette liste.
Gardien >
Dans les buts, le TFC pourrait s'attacher les services de Cédric Carrasso. On ne présente plus celui qui a déjà porté les couleurs toulousaines (2008-2009), avec une belle 4e place à la clé. Arrivé au bout de son aventure avec les Girondins, l'ancien international (35 ans) ne serait pas contre un retour à Toulouse… Sadran doit avoir son numéro.
Défense >
Benoît Assou-Ekotto, l'ancien de Tottenham, qui défendait les couleurs messines cette année (20 matches), serait une bonne alternative à gauche. Il possède une solide expérience, et garde, malgré son âge (33 ans), une belle cote de popularité.
Dans l'axe Kader Mangane (34 ans) a prouvé qu'il en avait encore sous la semelle (19 rencontres avec Strasbourg, et un titre de champion de L2). Il pourrait former une paire solide avec Mickael Ciani, 33 ans, et capitaine de Lorient relégué en Ligue 2. Il a été l'un des rares à maintenir le cap chez les Merlus (25 apparitions), et pourrait endosser ce fameux rôle de numéro 3 dans la hiérarchie des arrières centraux toulousains.
Florian Marange (31 ans) enfin ne sera pas conservé par Bastia, malgré une saison correcte.
Milieu >
Cheikh Ndoye, c'est la bonne affaire. Celui qui porte le brassard de capitaine à Angers est libre d'aller où il souhaite. Il possède toutes les qualités recherchées par Dupraz et n'a «que» 29 ans. À ne manquer sous aucun prétexte.
Pour l'accompagner, pourquoi pas Plasil, le Bordelais. Il est attaché à la région, et vient de terminer un bon exercice 2016/2017. Malgré ses 35 ans, le Tchèque est capable d'apporter un vrai plus au Téfécé grâce à son savoir-faire.
Quitte à piocher chez nos voisins, autant récupérer Nicolas Maurice-Belay (32 ans). Même s'il n'a pas joué cette saison, il a l'avantage de bien connaître la Ligue 1.
Sylvain Marveaux (31), le Merlus, est lui aussi une bonne affaire. Il peut jouer au milieu comme sur les ailes et possède des statistiques intéressantes (5 buts ; 6 passes décisives en 2016-2017).
Attaque >
Auteur de 12 buts et 6 «passes», Jimmy Briand (31 ans) est l'avant-centre à saisir. L'ancien international ne serait pas contre un nouveau défi dans l'hexagone. Une attaque Briand-Delort, ça aurait de l'allure !
Enfin Issiar Dia (29 ans), le buteur de Nancy serait également un super renfort. Malgré l'année difficile de son équipe, il a scoré à 8 reprises…
(1) : certains sont peut-être déjà en négociation de contrat.
Et aussi…
Gardien : Cros (Red Star), Pionnier (Montpellier).
Défenseur : Bourillon (Angers), Filippi (Tours), Fortes (Havre), Signorino (Metz), Squillaci (Bastia), Tacalfred (Auxerre), Loties (Dijon), Mangane (Strasbourg).
Milieu : Ait Fana (ex-Montpellier), Danic (Bastia), Alou Diarra (Nancy), Obraniak (Auxerre), Giresse (Guingamp), Maurice Belay (Bordeaux).
Attaquant : Madri (AC Ajaccio)…
Rémi Buhagiar La Dépéche
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