Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le foot africain

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Flux RSS 68 messages · 8.443 lectures · Premier message par rachmaninov · Dernier message par superdou

  • rachmaninov a écrit :
    Voilà, je me permets d'ouvrir un topic sur le foot africain...

    Je viens de lire cette info qui m'a sidérée !
    Le Cameroun commencera les prochains éliminatoires de la CM 2006 avec 6 points de pénalité à cause de ses maillots fantaisistes ! Hallucinant (-)
    lien vers la dépeche Reuters
  • Cameroun : appel rejeté

    La commission d'appel de la FIFA a rejeté l'appel de la Fédération camerounaise contre la décision, prise par la Fédération internationale, de retirer 6 points au Cameroun lors des qualifications pour la Coupe du monde 2006 (en plus d'une amende de 200 000 francs suisses, soit 128 000 euros). Dans un communiqué publié mercredi, la FIFA a indiqué qu'elle avait annoncé la décision à la Fédération camerounaise.

    La FIFA avait sanctionné le Cameroun le 16 avril pour avoir porté une tenue une-pièce (maillot et short d'un seul tenant) lors de Coupe d'Afrique, en Tunisie. Cette tenue a été jugée non conforme au règlement. La FIFA avait d'abord prévenu le Cameroun qu'il encourait des sanctions s'il conservait cette tenue après le premier tour. Ce que les "Lions indomptables" ont fait en la portant contre le Nigeria en quarts de finale.

    Sportivement, la sanction de la FIFA est lourde de conséquences pour le Cameroun. Pour la zone Afrique, seuls les vainqueurs des groupes de qualifications seront qualifiés pour la phase finale. Or, le groupe 3, celui des Camerounais, est particulièrement relevé, avec notamment l'Egypte et la Côte d'Ivoire. La sévérité de la FIFA est généralement interprétée comme étant motivée par le non-respect de la parole donnée.

    Au Cameroun, certains commentateurs avaient attribué cette sanction à une conséquence de la rivalité entre le président de la FIFA Joseph Blatter et celui de la Confédération africaine (CAF) Issa Hayatou, de nationalité camerounaise, concurrents pour la présidence de la FIFA en 2002. D'autres y avaient vu une lutte «commerciale» entre l'équipementier du Cameroun (Puma) et celui de la FIFA (Adidas).

    (Source: L'Equipe.fr)
  • 6 points c'est abuse surtout que je ne vois pas le probleme de ces maillots X-(
  • samh a écrit :
    6 points c'est abuse surtout que je ne vois pas le probleme de ces maillots X-(

    C'est pourtant simple, la sanction est surtout dûe au fait que les Camerounais ont désobéi à la FIFA qui les avait prévenu de ne pas utiliser un équipement non règlementaire.

    Si ton patron te dis de ne pas venir habillé d'une certaine façon le lendemain au boulot, pour une raison ou pour une autre, et que tu ne suis pas la directive, tu verras si tu n'es pas sanctionné :-&
  • oui mais est-ce que c'est ecrit noir sur blanc ??? :-/
  • samh a écrit :
    oui mais est-ce que c'est ecrit noir sur blanc ??? :-/

    Oui, la FIFA a rajouté une clause juste avant cette compétition indiquant que l'équipement devait avoir un short et un maillot séparés.
    De plus, la FIFA avait donné une dérogation au Cameroun pour le 1er tour de la CAN, afin qu'ils aient le temps pour rapatrier des maillots "normaux".
    Or, ils ne l'ont pas fait ...
  • ok d'accord ;)
  • N'empêche que je ne vois pas trop l'interêt d'avoir un maillo et un short séparé ... Au contraire si tout le monde avait un équipement de ce type, le tirage de maillot ne serait p'tet plus :)
  • thelak a écrit :
    N'empêche que je ne vois pas trop l'interêt d'avoir un maillo et un short séparé ... Au contraire si tout le monde avait un équipement de ce type, le tirage de maillot ne serait p'tet plus :)

    Ben, un exxample, un joueur est blessé à la hache , comment faire pour le soigner ?
    Déchirer le maillot, ou le faire souffrir en le deshabillant, qui plus est devant le public :-/
  • superdou a écrit :
    thelak a écrit :
    N'empêche que je ne vois pas trop l'interêt d'avoir un maillo et un short séparé ... Au contraire si tout le monde avait un équipement de ce type, le tirage de maillot ne serait p'tet plus :)

    Ben, un exxample, un joueur est blessé à la hache , comment faire pour le soigner ?
    Déchirer le maillot, ou le faire souffrir en le deshabillant, qui plus est devant le public :-/


    Qu'ils mettent une tirette :))
  • superdou a écrit :
    thelak a écrit :
    N'empêche que je ne vois pas trop l'interêt d'avoir un maillo et un short séparé ... Au contraire si tout le monde avait un équipement de ce type, le tirage de maillot ne serait p'tet plus :)

    Ben, un exxample, un joueur est blessé à la hache , comment faire pour le soigner ?
    Déchirer le maillot, ou le faire souffrir en le deshabillant, qui plus est devant le public :-/


    "blessé à la hache" c'est un beau lapsus je trouve :)) :)) :))
    un hanche passe...
  • Le Cameroun abattu

    L'ancien gardien de but de l'équipe nationale du Cameroun, Joseph Antoine Bell, s'est dit hier « abattu » comme « tous les Camerounais », par la confirmation la veille des sanctions de la FIFA contre les « Lions indomptables ». La Commission de discipline de la FIFA a retiré le 16 avril six points à l'équipe du Cameroun pour les qualifications communes au Mondial 2006 et à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2006), qui débutent en juin, pour avoir utilisé un équipement jugé non conforme lors de la CAN 2004. « Cette sanction frappe l'ensemble du football camerounais et on est très triste, parce que la mission qui attend nos joueurs pour une éventuelle participation à la CAN et à la Coupe du monde devient trop compliquée, presque impossible », a ajouté Joseph Antoine Bell.

    source : l'alsace
  • aragon a écrit :
    superdou a écrit :

    Ben, un exxample, un joueur est blessé à la hache , comment faire pour le soigner ?
    Déchirer le maillot, ou le faire souffrir en le deshabillant, qui plus est devant le public :-/


    "blessé à la hache" c'est un beau lapsus je trouve :)) :)) :))
    un hanche passe...

    J'espère qu'on ne prendra pas ça pour un lapsus révélateur :))
  • CM2006 : Le Cameroun récupère ses points

    Le 54e congrès de la FIFA, réuni vendredi à Paris, a décidé de lever la sanction de six points de pénalités infligée au Cameroun pour les qualifications du Mondial 2006 pour avoir porté un maillot une-pièce au cours de la CAN 2004. La proposition soumise par le président Joseph Blatter a été approuvée à l'unanimité, même si la sanction financière reste applicable.

    La veille, les 52 pays membres de la Confédération africaine de football (CAF) avaient décidé de demander une grâce présidentielle après avoir entendu les arguments du président de la Fédération camerounaise Iya Mohamed. M. Blatter a précisé vendredi qu'une grâce présidentielle n'était pas prévue par les statuts de la FIFA, et que seul le congrès pouvait prendre une telle mesure.

    La commission de discipline de la FIFA avait sanctionné l'équipe du Cameroun de six points, le 16 avril, pour avec une amende de 200 000 francs suisses (128 900 euros) pour avoir porté une tenue une-pièce durant la CAN, tenue jugée non conforme. Cette sanction avait été confirmée le 12 mai par la Commission d'appel de la FIFA. Pour les qualifications au Mondial 2006, communes à la CAN-2006, le Cameroun figure dans le groupe 3 avec l'Egypte, la Côte d'Ivoire, la Libye, le Soudan et le Bénin. Seul le premier du groupe sera qualifié pour la Coupe du monde 2006 en Allemagne.


    (Source: L'Equipe)
  • 18 mois de suspension pour A. Coulibaly

    Amadou Coulibaly, défenseur du Burkina Faso - à ne pas confondre avec le défenseur malien du RC Lens - a été suspendu 18 mois pour avoir craché sur un arbitre à l'issue d'un match contre la RD Congo comptant pour les éliminatoires de la CAN et de la Coupe du monde 2006. La décision de la commission de discipline de la FIFA remonte au 8 juillet dernier mais a été rendue publique mardi matin par la presse burkinabè.

    Amadou Coulibaly aurait craché sur l'arbitre togolais Claude Kokou Djaoupé lors du match le 20 juin dernier à Kinshasa (défaite du Burkina Faso 2-3). En plus de sa suspension, le joueur a été condamné à verser une amende de 10 000 francs suisse (6 500 euros). Lundi soir, un dirigeant de la Fédération burkinabè de football (FBF) a confirmé l'information en précisant que la FBF avait fait appel de la sanction, le 23 juillet.

    Amadou Coulibaly, ex-sociétaire du Racing club de Bobo-Dioulasso, vient de signer un contrat avec Rennes.

    (Source: L'Equipe)
  • J'ai cru entendre qu'Habib Beye a été élu meilleur joueur africain 2004 et j'ai pensé que ce petit clin d'oeil à un ancien du Racing ferait plaisir à certains. ;)

    Pouvez-vous confirmer cette info ?
  • La traite des jeunes Africains du foot

    Comme tous les deux ans, la Coupe d'Afrique des nations (CAN), qui débute vendredi 20 janvier, au Caire, va célébrer les vertus du football africain : la spontanéité de son jeu et la ferveur de ses supporteurs. L'Ivoirien de Chelsea, Didier Drogba, ou le Camerounais de Barcelone, Samuel Eto'o : ses stars mondiales seront à l'honneur.

    Mais à des milliers de kilomètres de la capitale égyptienne, en bordure du périphérique parisien, l'esprit est moins à la fête. Chaque jour, sauf le dimanche, entre 11 heures et 14 heures, une cinquantaine de jeunes Africains bravent le froid de l'hiver pour s'entraîner sur un terrain synthétique. Ils sont Maliens, Sénégalais, Béninois, Guinéens, Ivoiriens, Camerounais. Ils ont entre 15 et 30 ans. Ils sont sans club, évoluent au niveau amateur en banlieue parisienne ou dans le nord de la France. Tous caressent l'espoir qu'un club professionnel les embauchera.

    Au bord du terrain, un "agent" qui "travaille avec la Grèce et la Moldavie" s'intéresse à un gardien de but camerounais qui a écumé la première division portugaise et slovaque. "Ici, on est sûr de trouver son bonheur", se félicite l'intermédiaire. Un jeune Camerounais apprenti-agent explique revenir du bled avec plusieurs joueurs de 15 et 16 ans. "Ils sont sans papiers, mais ça ne pose pas de problème lorsqu'ils sont jeunes", assure-t-il.

    Jean — un pseudonyme —, qui aura 18 ans en mai, passe des jours difficiles depuis qu'un agent peu scrupuleux est allé le chercher dans son Cameroun natal, en 2001. "Si je n'avais écouté que moi, j'aurais commis l'irréparable depuis longtemps", témoigne l'adolescent. Sans papiers, sans famille, il se démène dans la banlieue de Lyon. Par peur du "regard des autres" — et de "votre cher ministre de l'intérieur"—, il n'a parlé de sa situation ni aux professeurs de son lycée — où il est en terminale STT (sciences et technologies tertiaires) — ni aux dirigeants de son club de football —, où il joue en division régionale.

    A 12 ans, Jean quitte son village natal pour la capitale, Yaoundé. Cours le matin, petit commerce l'après-midi, Jean tape dans le ballon quand il a un peu de temps libre. Le gamin est doué. A 14 ans, il est présélectionné en équipe nationale des moins de 17 ans. "Un jour, un agent portugais vient me voir au stade, raconte-t-il. Il me dit que j'ai des bonnes qualités et me demande si je suis partant pour une expérience européenne. J'avais vu une émission sur TV5 qui montrait comment des footballeurs camerounais galéraient en Europe, je lui ai dit : 'Si ce n'est pas sérieux, ce n'est pas la peine.' Il m'a assuré que ça l'était." Quelque temps après, une blessure à la cheville empêche l'adolescent de participer à la Coupe d'Afrique des nations des moins de 17 ans. "Ça n'allait pas dans ma tête, se souvient l'intéressé. Mon avenir était bloqué au Cameroun. J'ai décidé d'accepter la proposition de l'agent : partir en Europe, c'est le rêve de tous les jeunes footballeurs Africains !" Avant le départ, ledit agent lui réclame tout de même 600 000 francs CFA (environ 1 000 euros) "pour contribuer à l'achat du billet d'avion". Ses "tuteurs" prennent une "tontine" (prêt associatif) pour rassembler la somme. Rejoint par trois autres footballeurs de son âge, Jean embarque pour l'Europe. Dans l'avion, l'agent explique que le programme a changé : ils ne vont plus au Portugal mais à Paris "participer à un tournoi avec des Français pour vous acclimater et vous mettre en jambes". Avec ses coéquipiers venus du Cameroun, mais aussi du Mali et de Guinée, Jean remporte les premiers matches. Et puis il se blesse à nouveau la cheville. Jean l'ignore, mais l'agent va s'en débarrasser. "Le Portugais m'a dit : 'Tu vas faire un essai à l'Olympique lyonnais. Un monsieur avec le survêtement de l'OL t'attendra à la gare'." Vingt euros en poche, le jeune homme file à Lyon. Le "monsieur de l'OL" n'y paraîtra jamais...

    Des témoignages de jeunes footballeurs africains trompés, abandonnés, naufragés en France, Jean-Claude Mbvoumin en a recueilli plus de 600 depuis qu'il a fondé l'association Culture foot solidaire en 2000. "Rien qu'en Ile-de-France, ils sont des milliers, en situation irrégulière, à jouer pour se payer une carte orange, explique l'ancien international camerounais. Souvent, ils n'ont qu'un kebab pour seul repas mais ils continuent à s'entraîner."

    "Il faut que la FIFA (Fédération internationale de football) et l'UEFA (Union européenne de football) se saisissent des vrais sujets, exhorte M. Mbvoumin. Notre problème, ce n'est pas le racisme, c'est l'exploitation pure d'enfants par des mercenaires." Selon l'UEFA elle-même, des "agents véreux" opérant pour des clubs européens de division inférieure se livreraient à de véritables trafics d'enfants. De jeunes africains d'à peine 10 ans seraient envoyés illégalement dans des "camps d'entraînement" au sud de l'Italie, de l'Espagne et du Portugal pendant des mois avant d'être revendus à des grands clubs. "Nous sommes prêts à sanctionner les agents ou les clubs qui seraient impliqués dans ces trafics, assure-t-on à l'UEFA. Mais c'est aux Etats, que nous avons alertés, de mener des enquêtes contre les canaux d'immigration clandestine."

    Pour le géographe Raffaele Poli, chercheur au Centre international d'étude du sport (CIES) de l'université de Neuchâtel, en Suisse, et spécialiste des migrations internationales des footballeurs, les joueurs africains sont victimes d'un système purement spéculatif. "Le footballeur africain est une matière première qu'on va chercher dans l'espoir de la qualifier pour la revendre plus cher, explique le chercheur. Pour accroître leur valeur, poursuit-il, on fait d'abord transiter les footballeurs africains par des championnats de troisième (Roumanie, Albanie, Chypre, Malte) puis de seconde zone (Suisse, Belgique ou Pays-Bas) avant de les revendre aux grands clubs professionnels." Le géographe note par exemple que les Ghanéens sont surreprésentés en Roumanie et les Nigérians en Albanie. En 2003, les joueurs africains représentaient 20 % des 5 000 étrangers évoluant dans des clubs professionnels ou semi-professionnels européens. "Au niveau européen, les joueurs sont utilisés comme une main-d'oeuvre bon marché et subalterne." Récemment, le club de l'Ajax Amsterdam a été condamné à une amende de 10 000 euros par l'inspection du travail : il payait ses joueurs africains en dessous du salaire minimum.
    Jean-Claude Mbvoumin parle, lui, d'une "sorte de blanchiment des joueurs". Financier, mais aussi administratif. Pour détourner les règles de la FIFA — qui interdisent les transferts internationaux des joueurs de moins de 18 ans et prévoient des indemnités pour les clubs formateurs — les agents ou les clubs prédateurs changent le nom ou l'âge des joueurs. "Le football consacre le rêve migratoire africain", analyse Raffaele Poli.

    Lors d'un stage de préparation à Abidjan, le chercheur a demandé aux 24 membres de l'équipe de Côte d'Ivoire des moins de 17 ans lesquels d'entre eux seraient disposés à partir en Europe sans être payés. Tous, sans exception, se sont portés volontaires. Vingt-trois ont précisé qu'ils seraient même prêts à payer pour tenter l'aventure. "On utilise même le mirage du football pour organiser de véritables traites", ajoute le chercheur. Le géographe a ainsi observé que des enfants à qui on promettait des carrières de footballeur en Europe se retrouvaient parfois domestiques en Côte d'Ivoire, au Cameroun ou au Maroc, victimes de réseaux plus ou moins mafieux.

    La difficulté est que le sentiment de culpabilité est très fort chez les victimes des marchands de footballeurs. Les intermédiaires ont souvent honte de leur échec et les familles ont souvent sollicité cet exode. En Côte d'Ivoire, raconte Raffaele Poli, si le jeune n'a pas réussi, c'est qu'il a été paresseux et n'a pas tout mis en oeuvre pour réussir. "Mes tuteurs se sont saignés pour que je parte en étant persuadé que je reviendrais avec le triple d'argent, témoigne Jean. Si je retournais dans mon pays les mains vides, je me ferais lyncher, et ils ne croiraient pas à mon histoire."

    Avec le soutien du directeur technique national (DTN) du football français, Aimé Jacquet, Culture foot solidaire essaie de sensibiliser les clubs au sort des jeunes footballeurs africains pour faciliter leur intégration dans les centres de formation. Mais pour le président de l'association, "c'est prioritairement aux familles qu'il s'agit de s'adresser. Il faut les sensibiliser pour qu'elles cessent de confier leurs gosses à des agents sans scrupule", explique Jean-Claude Mbvoumin. " Pour convaincre une famille africaine de laisser filer leur progéniture, 3 000 à 4 000 euros suffisent", estime l'ancien "Lyon indomptable ".

    Depuis 2001, l'Académie culture foot de Kribi, au sud-ouest du Cameroun, offre des activités sociales et civiques à une centaine de garçons et filles âgés de 8 à 18 ans et passionnés de football. L'association projette de développer des maisons des jeunes footballeurs (MJF), des centres de ressources destinés à informer jeunes, parents et éducateurs des clubs africains des dangers de l'exil européen. Une MJF est prête à sortir de terre au Cameroun et des pays comme la Tunisie, la Côte d'Ivoire, la Guinée ou le Gabon manifestent leur intérêt pour le projet.

    Jean, qui rêve, sans trop y croire, à une régularisation de sa situation, est pessimiste : "Tant que les autorités africaines laisseront sévir les pseudo-agents, les choses ne changeront pas. Mais comme ils soudoient tout le monde, elles continueront à les laisser faire leur traite."

    Le Monde du 19/01/2006
  • Y a un article dans le France-Football de ce mardi où le Glaude ramene sa science sur le foot africain. :-&
  • Oui, d'ailleurs, j'ai particulièrement aimé certains passages :D

    Le Roy: Même quand tu pars avec ton meilleur ami dans un club, tu peux te faire dégager. Cela m'est arrivé à Strasbourg !

    Le Roy: Les joueurs locaux, ce qui leur manque, c'est souvent la qualité du tir. Il n'y a jamais de séances de frappe à l'entraînement, parce que les 3 ou 4 ballons qui sont là partent en brousse à chaque fois qu'on tire au but, et il faut 10 minutes pour aller les récupérer.

    Le Roy: Il ne faut pas avoir peur d'ajouter beaucoup de talents sur le terrain. Le danger, dans le football d'aujourd'hui, c'est que les milieux de terrain défensifs sont devenus les joueurs les mieux payés au Monde. :o)

    Le Roy: Moi, je déteste ce qu'on appelle des joueurs de couloir. Je les appelle plutôt des joueurs de tunnel parce qu'ils courent souvent tout droit.
  • Z'avez-vu ce qui s'est passé dans le championnat sud africain ?

  • c'est pas la premiere fois qu'il arrive ce genre de truc...y a 8 ans, il y a déjà la foudre en plein match!
  • Ca fait peur quand meme !! :O
  • tu vas en rigoler après avoir vu ça :

    http://www.youtube.com/watch?v=CpxKEGdfDxI&mode=related&search=
  • Ghana : Abedi Pelé accusé de corruption !

    Abedi Pelé l'ancien milieu de terrain de l'OM entre autres, a été sanctionné par la fédération du Ghana d'un an de suspension de toutes fonctions dirigeantes. Les instances locales l'accuse de corruption

    L'affaire secoue tout le pays et concerne le championnat de deuxième division locale. Le mois dernier deux rencontres opposaient le FC Nania (qui appartient à Abedi Pelé et dont il en est également le président), à Okwawu United et une autre le Great Mariners face au Tudu Mighty Jets. Pour le Nania et les Mariners au coude à coude pour la montée, la victoire était impérative pour monter mais il s'agissait de soigner sa différence de but. Le FC Nania l'a emporté 31-0 ! pendant que son concurrent direct s'imposait "seulement" 29-0 !. Un peut trop voyant. La fédération locale a bien sûr ouvert une enquête et a conclu rapidement à la magouille. Les quatres clubs concernés ont immédiatement été rétrogradés en quatrième division et tout les joueurs qui ont participé aux rencontres ont été suspendus un an de toutes compétitions.

    Concernant les dirigeants, tout ceux qui figuraient sur la feuille de match, dont Abedi Pelé, ont été suspendus pour un an de toutes fonctions officielles rapporte ce mardi le magazine France Football.



    31-0 et 29-0 ! c'est se foutre de la gueule du monde, faut vraiment être débile pour penser que ça ne se verrait pas. Il y en qui méritent vraiment d'être suspendus, ne serait-ce que pour se faire greffer un cerveau ... :o)

    Ça prouve aussi hélas, que quand on parle de revaloriser l'attaque en accordant de l'importance au goal average, toutes les dérives sont possibles ...
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