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Trop faible pour espérer mieux que le nul, le RCS a fini par céder logiquement face au PSG. Tandis que le spectacle médiatique autour du club parisien va se poursuivre, l'information principale de la soirée est pourtant bien la situation critique du R
Paris dans l'allure
Jamais victorieux au Parc des Princes, Strasbourg avait bien plus que trois points à chercher ce soir sur les terres parisiennes. Sans succès depuis huit rencontres, le PSG pouvait en effet en cas de revers se retrouver dans une situation catastrophique au classement et ainsi donner de l'air aux Strasbourgeois. Malheureusement, la finale de la Coupe de la Ligue est passée par là et avec elle le retour de la confiance dans les rangs des joueurs du PSG.
Très en jambes dès les premières minutes de la rencontre, c'est essentiellement par l'intermédiaire d'un [lien=https://racingstub.com/persons/1789/]JérôM. Rothen[/lien] intenable que les Parisiens se montrent dangereux. Centres, corners, coups francs, l'ancien monégasque parvient régulièrement à servir ses attaquants qui mettent à contribution Stéphane Cassard.
Peu après le quart d'heure de jeu, le PSG parvient même à ouvrir le score : Rothen côté gauche centre pour Pauleta qui trompe du droit le gardien alsacien. Le but est cependant refusé pour un hors-jeu limite.
L'occasion de Gameiro
Suite à cette chaude alerte, le RCS réagit enfin sur un contre côté gauche. Gameiro s'échappe et parvient à centrer au second poteau vers Mouloungui qui reprend de volée un ballon terminant sa course de peu à côté des buts de Landreau. Si les Parisiens restent dominateurs tout au long de la première demi-heure, le Racing enchaîne cependant quelques minutes plus tard avec son occasion la plus nette du match : Ducrocq centre de la droite pour la tête de Gameiro. La tête puissante de l'international espoir prend la direction du but mais Landreau s'interpose et claque le ballon au dessus de ses cages (22ème minute).
Le PSG pousse
C'est ensuite au tour du Paris Saint Germain de se montrer dangereux, toujours grâce à Rothen. A la 34ème minute, son corner trouve la tête de Camara : Cassard est battu mais Johansen dégage sur la ligne de but. Trois minutes plus tard, un nouveau centre de qui-vous-savez trouve Chantôme au second poteau : le ballon frôle le poteau gauche de Cassard.
Si Strasbourg réplique par une frappe de Johansen dans la minute suivante, c'est bien le PSG qui se crée la dernière grosse occasion de la première mi-temps. Sur un énième corner parfait de Rothen, Pauleta place sa tête et oblige Cassard à sortir un arrêt réflexe (45ème minute).
Les esprits s'échauffent
La seconde période reprend sur un rythme moins soutenu tandis que les esprits s'échauffent. Pauleta enchaîne les protestations auprès de l'arbitre et laisse traîner son pied sur la tête de Cassard à la 63ème minute : Ducrocq intervient chaudement et on frôle la bagarre entre les deux camps.
Les occasions se font plus rares mais la plus nette d'entre elles va finir dans les filets strasbourgeois : à la 73ème minute, Bernard Mendy - entré en début de seconde mi-temps - s'échappe côté droit et s'infiltre dans la surface de réparation. Son centre en retrait trouve Amara Diané - l'ancien strasbourgeois également entré en cours de match - qui trompe sans difficulté Cassard. La domination du PSG et le coaching de Le Guen sont récompensés.
Strasbourg s'enfonce
Si ce n'est sur une frappe de Renteria bien détournée par Landreau, le Racing n'aura une nouvelle fois pas les moyens de revenir au score et s'incline donc encore, restant sur une série catastrophique de cinq revers en six rencontres. Au classement, Paris revient à la hauteur de son adversaire du soir et se relance totalement dans la course au maintien, à l'image de Sochaux et Toulouse.
Le Racing, en totale perte de vitesse, fait désormais figure de favori à l'une des deux places restantes pour la descente en L2.
Pourtant le maintien reste encore tout à fait envisageable, même s'il semble désormais passer nécessairement par une victoire ce samedi au stade de la Meinau face à Monaco, autre équipe en grande difficulté. Une victoire face aux Monégasques de Marc Keller, pour continuer à croire qu'après une première partie de saison réussie, le RCS n'est pas en train de se faire hara-kiri en silence.
Jamais victorieux au Parc des Princes, Strasbourg avait bien plus que trois points à chercher ce soir sur les terres parisiennes. Sans succès depuis huit rencontres, le PSG pouvait en effet en cas de revers se retrouver dans une situation catastrophique au classement et ainsi donner de l'air aux Strasbourgeois. Malheureusement, la finale de la Coupe de la Ligue est passée par là et avec elle le retour de la confiance dans les rangs des joueurs du PSG.
Très en jambes dès les premières minutes de la rencontre, c'est essentiellement par l'intermédiaire d'un [lien=https://racingstub.com/persons/1789/]JérôM. Rothen[/lien] intenable que les Parisiens se montrent dangereux. Centres, corners, coups francs, l'ancien monégasque parvient régulièrement à servir ses attaquants qui mettent à contribution Stéphane Cassard.
Peu après le quart d'heure de jeu, le PSG parvient même à ouvrir le score : Rothen côté gauche centre pour Pauleta qui trompe du droit le gardien alsacien. Le but est cependant refusé pour un hors-jeu limite.
L'occasion de Gameiro
Suite à cette chaude alerte, le RCS réagit enfin sur un contre côté gauche. Gameiro s'échappe et parvient à centrer au second poteau vers Mouloungui qui reprend de volée un ballon terminant sa course de peu à côté des buts de Landreau. Si les Parisiens restent dominateurs tout au long de la première demi-heure, le Racing enchaîne cependant quelques minutes plus tard avec son occasion la plus nette du match : Ducrocq centre de la droite pour la tête de Gameiro. La tête puissante de l'international espoir prend la direction du but mais Landreau s'interpose et claque le ballon au dessus de ses cages (22ème minute).
Le PSG pousse
C'est ensuite au tour du Paris Saint Germain de se montrer dangereux, toujours grâce à Rothen. A la 34ème minute, son corner trouve la tête de Camara : Cassard est battu mais Johansen dégage sur la ligne de but. Trois minutes plus tard, un nouveau centre de qui-vous-savez trouve Chantôme au second poteau : le ballon frôle le poteau gauche de Cassard.
Si Strasbourg réplique par une frappe de Johansen dans la minute suivante, c'est bien le PSG qui se crée la dernière grosse occasion de la première mi-temps. Sur un énième corner parfait de Rothen, Pauleta place sa tête et oblige Cassard à sortir un arrêt réflexe (45ème minute).
Les esprits s'échauffent
La seconde période reprend sur un rythme moins soutenu tandis que les esprits s'échauffent. Pauleta enchaîne les protestations auprès de l'arbitre et laisse traîner son pied sur la tête de Cassard à la 63ème minute : Ducrocq intervient chaudement et on frôle la bagarre entre les deux camps.
Les occasions se font plus rares mais la plus nette d'entre elles va finir dans les filets strasbourgeois : à la 73ème minute, Bernard Mendy - entré en début de seconde mi-temps - s'échappe côté droit et s'infiltre dans la surface de réparation. Son centre en retrait trouve Amara Diané - l'ancien strasbourgeois également entré en cours de match - qui trompe sans difficulté Cassard. La domination du PSG et le coaching de Le Guen sont récompensés.
Strasbourg s'enfonce
Si ce n'est sur une frappe de Renteria bien détournée par Landreau, le Racing n'aura une nouvelle fois pas les moyens de revenir au score et s'incline donc encore, restant sur une série catastrophique de cinq revers en six rencontres. Au classement, Paris revient à la hauteur de son adversaire du soir et se relance totalement dans la course au maintien, à l'image de Sochaux et Toulouse.
Le Racing, en totale perte de vitesse, fait désormais figure de favori à l'une des deux places restantes pour la descente en L2.
Pourtant le maintien reste encore tout à fait envisageable, même s'il semble désormais passer nécessairement par une victoire ce samedi au stade de la Meinau face à Monaco, autre équipe en grande difficulté. Une victoire face aux Monégasques de Marc Keller, pour continuer à croire qu'après une première partie de saison réussie, le RCS n'est pas en train de se faire hara-kiri en silence.
