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- Après-match
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- Par vrombimiki
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En ce samedi 12 octobre 2013, le club aux couleurs royales et pures avait rendez-vous dans l'outre-forêt alsacienne pour un 5e tour de Coupe de France qui avait tout du piège.
C'est dans le pittoresque et forestier stade municipal de Schoenenbourg que le Racing entame sa route dans la compétition quasi centenaire qu'est la Coupe de France.
Dès le tirage au sort effectué, beaucoup de supporters étaient déjà certains de voir un 6e tour avec une affiche incluant le Racing. Il ne fallait pas pour autant ne pas se méfier. La rencontre avait tout du traquenard bien organisé. Un petit club transcendé à la fois par l'enjeu mais surtout par l'adversaire.
Et comme si sportivement cela ne ressemblait pas assez à un bourbier, la météo s'était chargé quelques instants avant le match de transformer le parking en un réel bourbier.
C'est une équipe remaniée qui apparaît sur la pelouse à l'entame de match. En effet, l'opportunité de relancer les joueurs en manque de temps de jeu est idéale et coach Keller ne s'en est pas privé. C'est donc la composition suivante qui entame le match :
La rencontre commence de manière assez logique avec une pression très haute de la part des strasbourgeois et une défense très très basse côté schoenenbourgeois. Les frappes fusent mais les filets ne tremblent pas. Il y a toujours un défenseur ou le gardien sur la trajectoire du ballon. Alors que les tirs ne cessent de tomber sur la défense rouge et blanche, le supporter strasbourgeois commence à s'impatienter et se demander si la magie de la Coupe de France ne va pas agir en faveur des locaux. Heureusement, à la 25e minute de jeu le jeune Robin Binder trouve enfin le chemin des filets et ouvre la marque (0-1). A la fois la joie et la déception sont palpables autour de la main courante tant les deux clubs sont équitablement représentés.
Lors des 20 dernières minutes de cette première période, les spectateurs peuvent apprécier la débauche d'énergie de l'attaquant de pointe local et du défenseur strasbourgeois Jacques Momha. En effet durant une longue phase d'attaque strasbourgeois, les deux joueurs sont debout l'un à côté de l'autre, immobiles dans le rond central à regarder leurs coéquipier en découdre.
La première période s'achève sans évolution au score.
La seconde mi-temps reprend sur le même modèle : une attaque-défense dans le camp de l'entente Schoenenbourg-Memmelshoffen. On notera le premier changement de la partie avec la sortie de Belhameur et l'entrée de David Ledy qui faisait son retour après une blessure qui l'avait éloigné des terrains pendant 3 semaines. Et son entrée n'aura pas mis longtemps à être remarquée. Comme s'il se vengeait des 3 semaines d'inactivité, il enquilla 3 buts en l'espace de 10 petites minutes (47', 53', 55'). Suite à cette averse de buts les derniers espoirs locaux sont définitivement douchés. A peine le temps de souffler que François Keller choisit d'effectuer le second changement avec la sortie du premier buteur Robin Binder et l'entrée en jeu de Yann Benedick. Six minutes seulement après, la pluie de buts reprend par l'intermédiaire d'Anthony Sichi qui porte le score à 5-0.
Enfin, l'entrant en jeu profitera des 10 dernières minutes de jeu pour s'illustrer et inscrire un doublé pour clore la marque à 7-0 pour les bleus et blancs qui, pour la première fois de la saison, jouait en bleu et blanc.
Sur toute la durée du match, Vauvenargues Kéhi, titulaire pour l'occasion, n'aura eu à s'employer que deux petites fois en seconde période et aura su montrer qu'il sait rester vigilant même dans un match aussi soporifique pour lui.
Le Racing Club de Strasbourg se retrouve donc qualifié pour le 6e tour de la Coupe de France et signe par la même occasion deux belles réussites à savoir son premier but à l'extérieur et sa première victoire à l'extérieur cette saison. Le prochain tour se jouera au Mars Bischheim le 26 octobre à 17h. Espérons que l'aventure continue et que le Racing continue à nous faire rêver !
Dès le tirage au sort effectué, beaucoup de supporters étaient déjà certains de voir un 6e tour avec une affiche incluant le Racing. Il ne fallait pas pour autant ne pas se méfier. La rencontre avait tout du traquenard bien organisé. Un petit club transcendé à la fois par l'enjeu mais surtout par l'adversaire.
Et comme si sportivement cela ne ressemblait pas assez à un bourbier, la météo s'était chargé quelques instants avant le match de transformer le parking en un réel bourbier.
Acte 1
C'est une équipe remaniée qui apparaît sur la pelouse à l'entame de match. En effet, l'opportunité de relancer les joueurs en manque de temps de jeu est idéale et coach Keller ne s'en est pas privé. C'est donc la composition suivante qui entame le match :
La rencontre commence de manière assez logique avec une pression très haute de la part des strasbourgeois et une défense très très basse côté schoenenbourgeois. Les frappes fusent mais les filets ne tremblent pas. Il y a toujours un défenseur ou le gardien sur la trajectoire du ballon. Alors que les tirs ne cessent de tomber sur la défense rouge et blanche, le supporter strasbourgeois commence à s'impatienter et se demander si la magie de la Coupe de France ne va pas agir en faveur des locaux. Heureusement, à la 25e minute de jeu le jeune Robin Binder trouve enfin le chemin des filets et ouvre la marque (0-1). A la fois la joie et la déception sont palpables autour de la main courante tant les deux clubs sont équitablement représentés.
Lors des 20 dernières minutes de cette première période, les spectateurs peuvent apprécier la débauche d'énergie de l'attaquant de pointe local et du défenseur strasbourgeois Jacques Momha. En effet durant une longue phase d'attaque strasbourgeois, les deux joueurs sont debout l'un à côté de l'autre, immobiles dans le rond central à regarder leurs coéquipier en découdre.
La première période s'achève sans évolution au score.
Acte 2
La seconde mi-temps reprend sur le même modèle : une attaque-défense dans le camp de l'entente Schoenenbourg-Memmelshoffen. On notera le premier changement de la partie avec la sortie de Belhameur et l'entrée de David Ledy qui faisait son retour après une blessure qui l'avait éloigné des terrains pendant 3 semaines. Et son entrée n'aura pas mis longtemps à être remarquée. Comme s'il se vengeait des 3 semaines d'inactivité, il enquilla 3 buts en l'espace de 10 petites minutes (47', 53', 55'). Suite à cette averse de buts les derniers espoirs locaux sont définitivement douchés. A peine le temps de souffler que François Keller choisit d'effectuer le second changement avec la sortie du premier buteur Robin Binder et l'entrée en jeu de Yann Benedick. Six minutes seulement après, la pluie de buts reprend par l'intermédiaire d'Anthony Sichi qui porte le score à 5-0.
Enfin, l'entrant en jeu profitera des 10 dernières minutes de jeu pour s'illustrer et inscrire un doublé pour clore la marque à 7-0 pour les bleus et blancs qui, pour la première fois de la saison, jouait en bleu et blanc.
Sur toute la durée du match, Vauvenargues Kéhi, titulaire pour l'occasion, n'aura eu à s'employer que deux petites fois en seconde période et aura su montrer qu'il sait rester vigilant même dans un match aussi soporifique pour lui.
Le Racing Club de Strasbourg se retrouve donc qualifié pour le 6e tour de la Coupe de France et signe par la même occasion deux belles réussites à savoir son premier but à l'extérieur et sa première victoire à l'extérieur cette saison. Le prochain tour se jouera au Mars Bischheim le 26 octobre à 17h. Espérons que l'aventure continue et que le Racing continue à nous faire rêver !
