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- Par alinou286
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Après une saison dernière plutôt encourageante et un recrutement excellent sur le papier, le TFC affichait de solides ambitions à l'entame de cette saison mais les débuts sont loin d'être conformes à ces attentes.
Des ambitions affichées
Le recrutement du Toulouse Football Club, cet été, a été certainement le plus impressionnant du championnat de France si l'on excepte celui de Lyon. Avec les arrivées de Santos et Matthieu en provenance de Sochaux, de Laurent Battles, du Strasbourgeois Yacine Abdessadki et du jeune espoir lyonnais Bryan Bergougnoux et avec aucun départ majeur, le TFC semblait alors devoir jouer les premiers rôles au classement d'autant plus que les Toulousains peuvent s'appuyer sur de nombreux jeunes issus de leur centre de formation.
Les ambitions affichées par l'entraîneur fin juin étaient claires : « Nous avons toujours cette volonté de faire mieux, de progresser dans la hiérarchie de ce championnat. Cela passe par la constance dans les performances et la volonté de mieux jouer, et même de produire un jeu léché. C'est la quête du Graal, n'est-ce pas... Nous nous étions fixés de finir entre la 8e et la 12e place la saison dernière, et d'atteindre les 50 points. Nous voulons faire mieux cette saison, mais en équilibrant cette quête des points. Faire 26 points, à plus ou moins 2, sur la phase aller puis la phase retour, ce serait très intéressant. Et puis, on va peut-être essayer de jouer les coupes... »
Un début de saison catastrophe
Si le TFC a remporté son premier match contre Sochaux 1-0 grâce à un but de l'ancien Doubiste Santos, la suite est du même acabit que la fin de saison dernière où les Toulousains avaient terminé leur saison par une série impressionnante de 8 défaites consécutives.
En effet les hommes d'Erik Mombaerts n'ont ramené que deux petits points lors des 6 journées suivantes (matchs nuls contre Saint-Étienne et Lille) souffrant principalement de leur attaque qui n'arrive pas, à l'image de celle des Strasbourgeois, à se montrer réaliste devant le but adverse. En plus de cette inefficacité offensive, la défense toulousaine est souvent prise de vitesse et craque très facilement face aux attaques adverses (9 buts encaissés)
Pourtant malgré ce début de saison calamiteux pour le club de la ville rose, l'entraîneur Erik Mombaerts « ne veut pas céder à l'affolement, car la saison reste longue ». Même son de cloche au niveau de la présidence du club qui a confirmé son coach dans ses fonctions en début de semaine.
Des raisons d'espérer
Pourtant tout n'est pas noir à Toulouse en effet la qualité du jeu est loin d'être médiocre notamment grâce à la qualité de leur milieu de terrain. De plus le coach des violets aime à souligner l'état d'esprit excellent et le mental de ses joueurs.
Tout cela s'est concrétisé lors du dernier match des Toulousains, mercredi contre l'Olympique de Marseille (victoire 1-0) durant lequel les violets réduits à 10 dès la 20ème minute se sont accrochés devant les attaques marseillaises et on fait preuve de solidarité pour arracher leur deuxième victoire de la saison.
Une équipe pourtant séduisante
Mombaerts peut compter sur un groupe de qualité, mélange de joueurs expérimentés et de jeunes espoirs. La défense s'appuie sur les « vieux » Revault et Arribagé et sur trois jeunes formés au club : Lucien Aubey, Albien Ebondo et Daniel Congre. De plus, Stéphane Lièvre (incertain pour le match de demain. Au club depuis l'an 2000 comme Revault) peut toujours apporter occasionnellement son expérience dans ce secteur.
Au milieu le jeune Achille Emana se charge de la récupération et est en train de montrer de plus en plus son énorme potentiel au point que l'Olympique Lyonnais avait songé à le recruter pour combler le départ d'Essien à Chelsea ! A leurs côtés, le coach toulousain fait tourner plusieurs joueurs tels que l'ancien Marseillais Laurent Battles, Julien Cardy, Thibault Giresse, Nicolas Dieuze, François Siriex ou encore Yacine Abdessadki qui peine à s'imposer en ce début de saison.
Au niveau de l'attaque les joueurs ne sont plus à présenter : Daniel Moreira l'international français, l'ancien lyonnais Bryan Bergougnoux et l'international tunisien Santos en sont les figures de proue. Mais le TFC possède également de jeunes espoirs tel que Benjamin Psaume et Xavier Pentecote.
L'équipe du TFC est certainement l'une des plus séduisantes du championnat sur le papier mais l'alchimie entre les recrues et les anciens a du mal à prendre et cela est certainement la cause du début de saison raté des violets. A moins que le mal soit ailleurs comme pourrait le laisser penser la fin de saison passée catastrophique...
L'équipe type
Le recrutement du Toulouse Football Club, cet été, a été certainement le plus impressionnant du championnat de France si l'on excepte celui de Lyon. Avec les arrivées de Santos et Matthieu en provenance de Sochaux, de Laurent Battles, du Strasbourgeois Yacine Abdessadki et du jeune espoir lyonnais Bryan Bergougnoux et avec aucun départ majeur, le TFC semblait alors devoir jouer les premiers rôles au classement d'autant plus que les Toulousains peuvent s'appuyer sur de nombreux jeunes issus de leur centre de formation.
Les ambitions affichées par l'entraîneur fin juin étaient claires : « Nous avons toujours cette volonté de faire mieux, de progresser dans la hiérarchie de ce championnat. Cela passe par la constance dans les performances et la volonté de mieux jouer, et même de produire un jeu léché. C'est la quête du Graal, n'est-ce pas... Nous nous étions fixés de finir entre la 8e et la 12e place la saison dernière, et d'atteindre les 50 points. Nous voulons faire mieux cette saison, mais en équilibrant cette quête des points. Faire 26 points, à plus ou moins 2, sur la phase aller puis la phase retour, ce serait très intéressant. Et puis, on va peut-être essayer de jouer les coupes... »
Un début de saison catastrophe
Si le TFC a remporté son premier match contre Sochaux 1-0 grâce à un but de l'ancien Doubiste Santos, la suite est du même acabit que la fin de saison dernière où les Toulousains avaient terminé leur saison par une série impressionnante de 8 défaites consécutives.
En effet les hommes d'Erik Mombaerts n'ont ramené que deux petits points lors des 6 journées suivantes (matchs nuls contre Saint-Étienne et Lille) souffrant principalement de leur attaque qui n'arrive pas, à l'image de celle des Strasbourgeois, à se montrer réaliste devant le but adverse. En plus de cette inefficacité offensive, la défense toulousaine est souvent prise de vitesse et craque très facilement face aux attaques adverses (9 buts encaissés)
Pourtant malgré ce début de saison calamiteux pour le club de la ville rose, l'entraîneur Erik Mombaerts « ne veut pas céder à l'affolement, car la saison reste longue ». Même son de cloche au niveau de la présidence du club qui a confirmé son coach dans ses fonctions en début de semaine.
Des raisons d'espérer
Pourtant tout n'est pas noir à Toulouse en effet la qualité du jeu est loin d'être médiocre notamment grâce à la qualité de leur milieu de terrain. De plus le coach des violets aime à souligner l'état d'esprit excellent et le mental de ses joueurs.
Tout cela s'est concrétisé lors du dernier match des Toulousains, mercredi contre l'Olympique de Marseille (victoire 1-0) durant lequel les violets réduits à 10 dès la 20ème minute se sont accrochés devant les attaques marseillaises et on fait preuve de solidarité pour arracher leur deuxième victoire de la saison.
Une équipe pourtant séduisante
Mombaerts peut compter sur un groupe de qualité, mélange de joueurs expérimentés et de jeunes espoirs. La défense s'appuie sur les « vieux » Revault et Arribagé et sur trois jeunes formés au club : Lucien Aubey, Albien Ebondo et Daniel Congre. De plus, Stéphane Lièvre (incertain pour le match de demain. Au club depuis l'an 2000 comme Revault) peut toujours apporter occasionnellement son expérience dans ce secteur.
Au milieu le jeune Achille Emana se charge de la récupération et est en train de montrer de plus en plus son énorme potentiel au point que l'Olympique Lyonnais avait songé à le recruter pour combler le départ d'Essien à Chelsea ! A leurs côtés, le coach toulousain fait tourner plusieurs joueurs tels que l'ancien Marseillais Laurent Battles, Julien Cardy, Thibault Giresse, Nicolas Dieuze, François Siriex ou encore Yacine Abdessadki qui peine à s'imposer en ce début de saison.
Au niveau de l'attaque les joueurs ne sont plus à présenter : Daniel Moreira l'international français, l'ancien lyonnais Bryan Bergougnoux et l'international tunisien Santos en sont les figures de proue. Mais le TFC possède également de jeunes espoirs tel que Benjamin Psaume et Xavier Pentecote.
L'équipe du TFC est certainement l'une des plus séduisantes du championnat sur le papier mais l'alchimie entre les recrues et les anciens a du mal à prendre et cela est certainement la cause du début de saison raté des violets. A moins que le mal soit ailleurs comme pourrait le laisser penser la fin de saison passée catastrophique...
L'équipe type
