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- Par sioudaqui
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Le Racing affronte samedi un OGC Nice orphelin de son capitaine emblématique José Cobos et qui peine en ce début de saison. C'est sioudaqui, supporter niçois et stubiste convaincu, qui présente son club à 3 jours de la rencontre.
Un premier tiers de championnat mitigé pour l'OGCNice qui change ses habitudes en lâchant des points à domicile et qui les récupère à l'extérieur. Avec deux victoires (Toulouse, PSG), 3 nuls (Monaco, Lens, Nancy) et une défaite (Lille), les aiglons viennent une nouvelle fois de perdre trois points sur leur terrain contre Bordeaux (0-1)
C'est une toute autre équipe niçoise que les Strasbourgeois affronteront ce samedi à la Meinau. Exit Gernot Rohr et son catenaccio, bonjour Frédéric Antonetti qui est plus réputé pour le beau jeu (SC Bastia, St Etienne).
Au revoir « Capitaine Cobos », guerrier valeureux arborant fièrement les couleurs et les valeurs du Gym, désormais entraîneur adjoint. Adieu le mal-aimé Agali dont les 6 buts ont fait de lui le meilleur buteur niçois de l'année dernière et, n'en déplaise à beaucoup, le sauveur du GYM contre Auxerre lors de l'avant-dernière journée de championnat. Adieu aussi à Poussin Meslin parti renforcer Bastia dans sa course à la remontée en compagnie de Malek Cherrad. Au revoir aussi à Serge Dié parti en Turquie et Georges Ba qui a signé à l'ESTAC en compagnie de Florian Boucansaud prêté.
Bonjour donc aux nouveaux avec :
- Un prêt nantais et une vieille connaissance strasbourgeoise en la personne de Mamadou Bagayoko actuel meilleur buteur du club.
- La venue de Cyril Rool traînant malheureusement une réputation de casseur qu'il n'est plus.
- Un retour aux sources avec la signature de Bill Tchato en arrière gauche. Antar Yahia, l'ex défenseur de Bastia et Rod Fanni ont rejoint la défense niçoise.
Pour couronner cela, on rajoutera l'engagement du meilleur buteur de Ligue 2 de la saison dernière en la personne de l'Ivoirien Bakary Koné, petit gabarit au grand talent venant de Lorient.
Mais voilà, si l'effectif et les intentions de jeu sont présents, le résultat n'est pas au rendez-vous.
Les excuses sont alors de sortie : l'arbitre, les poteaux, les gardiens adverses qui sortent leur grande classe (Landreau et Janot noté 8 dans L'Equipe...) , la malchance, les « on mérite mieux » « on est tombé sur de très bons adversaires »...
Alors volte-face de l'entraîneur qui retourne aux amours Rohriennes en instaurant une défense de tous les instants et en misant sur la vivacité de Baky relayé par la technique de Bagayoko, les dribbles de Roudet et/ou de Vahirua.
Et malheureusement les résultats se font toujours attendre... L'équipe perd confiance au fil des matchs et il suffit de museler son milieu de terrain pour qu'elle baisse les bras. Ce qui n'est pas chose aisée pour autant.
L'équipe pointe désormais à une quatorzième place avec la quinzième attaque (11 buts) et la onzième défense (14 buts encaissés). Le supporter niçois doit donc prendre son mal en patience et attendre des jours meilleurs. Il espère le fameux déclic et devra, dixit la direction technique, patienter trois ans pour que son équipe devienne enfin compétitive. « Patience et longueur de temps font plus que force, ni que rage » dit le dicton. Pas facile d'inculquer cela à des spectateurs latins au sang chaud..
Ce déplacement à Strasbourg se devait d'être une formalité, mais une spécialité niçoise est de relancer les mal lotis. De plus, l'équipe devra se passer de deux éléments clefs avec Cyril Rool et Rod Fanni qui sont suspendus.
On n'oublie pas que, l'année dernière, nous avions offert une bonne bouffée d'oxygène au RCS en leur offrant une victoire méritée sur le score sans appel de 3-1.
Bis repetita ?
C'est une toute autre équipe niçoise que les Strasbourgeois affronteront ce samedi à la Meinau. Exit Gernot Rohr et son catenaccio, bonjour Frédéric Antonetti qui est plus réputé pour le beau jeu (SC Bastia, St Etienne).
Au revoir « Capitaine Cobos », guerrier valeureux arborant fièrement les couleurs et les valeurs du Gym, désormais entraîneur adjoint. Adieu le mal-aimé Agali dont les 6 buts ont fait de lui le meilleur buteur niçois de l'année dernière et, n'en déplaise à beaucoup, le sauveur du GYM contre Auxerre lors de l'avant-dernière journée de championnat. Adieu aussi à Poussin Meslin parti renforcer Bastia dans sa course à la remontée en compagnie de Malek Cherrad. Au revoir aussi à Serge Dié parti en Turquie et Georges Ba qui a signé à l'ESTAC en compagnie de Florian Boucansaud prêté.
Bonjour donc aux nouveaux avec :
- Un prêt nantais et une vieille connaissance strasbourgeoise en la personne de Mamadou Bagayoko actuel meilleur buteur du club.
- La venue de Cyril Rool traînant malheureusement une réputation de casseur qu'il n'est plus.
- Un retour aux sources avec la signature de Bill Tchato en arrière gauche. Antar Yahia, l'ex défenseur de Bastia et Rod Fanni ont rejoint la défense niçoise.
Pour couronner cela, on rajoutera l'engagement du meilleur buteur de Ligue 2 de la saison dernière en la personne de l'Ivoirien Bakary Koné, petit gabarit au grand talent venant de Lorient.
Mais voilà, si l'effectif et les intentions de jeu sont présents, le résultat n'est pas au rendez-vous.
Les excuses sont alors de sortie : l'arbitre, les poteaux, les gardiens adverses qui sortent leur grande classe (Landreau et Janot noté 8 dans L'Equipe...) , la malchance, les « on mérite mieux » « on est tombé sur de très bons adversaires »...
Alors volte-face de l'entraîneur qui retourne aux amours Rohriennes en instaurant une défense de tous les instants et en misant sur la vivacité de Baky relayé par la technique de Bagayoko, les dribbles de Roudet et/ou de Vahirua.
Et malheureusement les résultats se font toujours attendre... L'équipe perd confiance au fil des matchs et il suffit de museler son milieu de terrain pour qu'elle baisse les bras. Ce qui n'est pas chose aisée pour autant.
L'équipe pointe désormais à une quatorzième place avec la quinzième attaque (11 buts) et la onzième défense (14 buts encaissés). Le supporter niçois doit donc prendre son mal en patience et attendre des jours meilleurs. Il espère le fameux déclic et devra, dixit la direction technique, patienter trois ans pour que son équipe devienne enfin compétitive. « Patience et longueur de temps font plus que force, ni que rage » dit le dicton. Pas facile d'inculquer cela à des spectateurs latins au sang chaud..
Ce déplacement à Strasbourg se devait d'être une formalité, mais une spécialité niçoise est de relancer les mal lotis. De plus, l'équipe devra se passer de deux éléments clefs avec Cyril Rool et Rod Fanni qui sont suspendus.
On n'oublie pas que, l'année dernière, nous avions offert une bonne bouffée d'oxygène au RCS en leur offrant une victoire méritée sur le score sans appel de 3-1.
Bis repetita ?
