Montpellier Hérault SC
Flux RSS 655 messages · 96.527 lectures · Premier message par nivek · Dernier message par steven
-
spiskopat@ spoutnik
Je me suis peut-être mal exprimé. Quand je dis que je ne parle pas du sportif, c'est parce que à aucun moment je ne comparais le niveau purement sportif, acquis sur le terrain, des différents équipes des deux villes, hors c'est ce point qui était au centre de ton message précédent.
Je ne parle que de "public potentiel". Chose totalement subjective ou presque, je te l'accorde. Je peux résumer mon avis en une seule phrase, grosso-modo : je pense qu'à niveau de performance égale, il y aurait plus de monde près à payer pour assister à des rencontres sportives à Strasbourg qu'à Montpellier, que ce soit en football, ou en faisant la "somme" des spectateurs des 3/4/5/6 sports phare des villes concernés. (je suis pas sur que ça soit vraiment plus clair, mais j'aurais essayé
). Hop, deuxième phrase : je pense que même à niveau de performance inférieur (comme c'est le cas actuellement), Strasbourg est au dessus.
Lorsque tu dis "le seul potentiel que je connaisse est chiffrable sous forme de sièges disponibles", je trouve ça très simpliste. Il y a quand même d'autres manières, je crois, de jauger, toutefois sans certitudes c'est vrai, le nombre de personnes que l'ont "pourrait" attirer.
Sur le foot en particulier : tu parles de l'état du stade, de sa situation géographique, de la proximité d'un autre club plus attirant. Mis à part l'absence de club(s) performant aux alentours, le Racing souffre à peu près des mêmes problèmes (je peux me tromper, mais c'est mon impression).
Sur l'idée de comparer 6 sports différents, ça ne me dérange pas. Si tu prends en compte 6 sports à Montpellier pour étayer tes propos, fais en de même sur Strasbourg, et prends les 6 sports qui drainent le plus de spectateurs (même si on risque rapidement de tomber dans le concours de Belote du Neuhof vu le niveau global du sport strasbourgeois, mais au moins on sera d'égal à égal sur la ligne de départ et la comparaison sera "juste"). -
Historique des affluences à la Mosson.
-
Montpellier, c'est huilé
Après quelques semaines difficiles, marquées par une élimination en Coupe de France, Montpellier a repris sa marche en avant le week-end dernier face à Sochaux (2-1). Mercredi face à l'OM (1-3), les Héraultais ont confirmé leurs bonnes dispositions en s'imposant au Vélodrome. Malgré quelques approximations, ils ont largement fait montre de leur supériorité sur leurs adversaires. Décryptage du système montpelliérain, plus que jamais en course pour aller chercher le titre.
Sans le ballon : duels et compensations
Toujours organisés en 4-2-3-1, les Héraultais se sont calqués, comme au Parc des Princes, sur le système de jeu de leurs adversaires, le pressing haut en moins. Installés des deux côtés du rond central, Belhanda et la paire Saihi-Estrada se sont partagés le marquage des trois milieux de terrain marseillais. L'international marocain était la plupart du temps dans la zone de Diarra, les deux autres s'opposaient à Cheyrou et Kaboré. Quelque soit la position de leur adversaire direct, les trois Montpelliérains les suivaient. Ainsi, quand Kaboré ou Cheyrou décrochaient à hauteur de Diarra pour aider à la remontée des ballons, ils étaient suivis par Saihi ou Estrada.
Les milieux adverses pris, les Montpelliérains devaient ensuite composer avec les déplacements des attaquants de l'OM entre leurs lignes. Brandao étant au combat avec la défense centrale Hilton-Yanga Mbiwa, Ayew et Gignac étaient censés offrir des solutions dans le dos des milieux montpelliérains. Saihi et Estrada sortant régulièrement de leur moitié de terrain pour suivre Cheyrou ou Kaboré, des espaces se sont en effet crées dans la moitié de terrain du MHSC. Et ce sont les latéraux qui se sont chargés de les combler. Ainsi, Bocaly et Bedimo ont suivi Gignac et Ayew lorsque ceux-ci tentaient de rentrer à l'intérieur du terrain pour se rapprocher de Brandao.
Pour compléter cette organisation défensive, qui a fait la part belle au marquage individuel, il fallait aussi prendre en compte le comportement des deux ailiers héraultais, Camara et Utaka. Dès que leur équipe n'était plus en possession du ballon, les deux hommes se replaçaient devant leurs adversaires directs. L'objectif ici était de faire en sorte qu'ils ne puissent pas être pris dans leur dos par la montée d'un latéral adverse, de manière à couvrir le couloir en cas de déplacement de leur latéral à l'intérieur du terrain pour couvrir les mouvements de Ayew ou Gignac.
Bien évidemment, ce système défensif, misant beaucoup sur les duels quand d'autres misent sur le surnombre, n'a pas non plus été sans faille. Montpellier a ainsi connu quelques difficultés à composer avec les permutations des attaquants adverses. Lorsque ces derniers pesaient sur la même aile, les décalages devenaient par exemple possibles. Marseille a aussi réussi à se montrer dangereux lorsque ses attaquants décrochaient, non pas entre les lignes où ils étaient marqués par les latéraux, mais à hauteur de la ligne Saihi-Estrada. Par ces déplacements, ils ont pu perturber le marquage montpelliérain et offrir une solution de relance supplémentaire à leurs défenseurs, qui étaient eux en surnombre (trois contre deux : Nkoulou, Mbia, Diarra contre Giroud et Belhanda).
Avec le ballon : relance "sud-am" et meneur avancé
De tricard à l'OM, Hilton est redevenu l'un des meilleurs défenseurs de Ligue 1 sous les couleurs du MHSC. Le Brésilien l'a encore prouvé dans son ancien jardin où, non content de tenir le choc défensivement, il a encore été très bon dans l'exercice de la relance. Avec Estrada positionné devant lui, il a formé un duo qui explique la tendance des Héraultais à attaquer via leur côté gauche : de Hilton jusqu'à Utaka via, si besoin, les relais d'Estrada. Recevant le ballon entre la ligne médiane et les 40 mètres marseillais, le Nigérian était ensuite rejoint par Bedimo. Beaucoup plus actif que Bocaly, le Camerounais a souvent profité du mauvais repli défensif de Ayew pour trouver des espaces et créer des décalages dans le bloc défensif marseillais (Kaboré étant obligé de venir compenser l'absence du Ghanéen).
Au-delà des remontées de balle construites via les couloirs, Montpellier a aussi pu compter sur l'activité de Giroud à la pointe de l'attaque. Là encore, Hilton et Estrada ont été les premiers passeurs privilégiés par leurs partenaires. Que ce soit au sol ou via des longs ballons, les deux Sud-Américains ont ensuite fait de leur attaquant la cible prioritaire dès lors qu'il s'agissait de sauter les relais offerts par Utaka ou Camara. Tout s'est ensuite joué sur la capacité des soutiens (Belhanda, Utaka, Camara) à l'international français à se montrer plus prompt sur les seconds ballons. Néanmoins, Giroud a eu fort à faire face à Mbia et Nkoulou. Une situation qui a poussé Montpellier à relancer court via les couloirs, ce qui l'a parfois contraint à prendre des risques dès lors que les Marseillais pressaient en équipe sur la zone entre Hilton-Estrada (ce qui n'est que très rarement arrivé).
Et Belhanda dans tout ça ? L'international marocain est tout simplement celui qui tire le plus profit de l'animation offensive de l'équipe. Face à l'OM, il n'a pas quasiment pas touché de ballons dans son camp, évoluant en véritable neuf et demi derrière Giroud. Mieux, Montpellier initiant ses mouvements offensifs sur les côtés, Belhanda était presque tout le temps servi dans le sens du jeu (via une passe latérale venant des couloirs par exemple, ou directement dans la profondeur). La donne était la même sur les longs ballons remis par Giroud : le meneur s'est retrouvé à chaque fois les épaules tournées vers le but adverse et a alors pu faire parler ses qualités de dribbles ou sa vision du jeu. Le troisième but montpelliérain face à l'OM a lui révélé un autre circuit de passes qui deviendra peut-être une habitude l'année prochaine, avec l'énorme travail de Stambouli capable de fixer plusieurs adversaires dans l'entrejeu, se défaire du pressing et libérer le ballon -là encore- à un Belhanda dans le sens du jeu...
Conclusion :
Tout en étant loin de leur meilleur niveau, les Héraultais ont récité leurs gammes pour aller chercher cette victoire à Marseille, très précieuse dans la course au titre. Défensivement, ce match a permis de voir une fois de plus la qualité des joueurs dans les un-contre-un et la cohérence du bloc-équipe dans sa moitié de terrain. Offensivement, il a particulièrement mis en lumière le travail de toute l'équipe au service de Belhanda, afin de le mettre dans les meilleures conditions possibles. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que sa partition entraînera certainement quelques regrets pour Laurent Blanc, toujours à la recherche du joueur à placer derrière son attaquant de pointe...
Florent TONIUTTI (Eurosport.com) -
On notera la réaction de Sirigu après la défaite du PSG à Lille:
"Le titre est à oublier. Si Montpellier le laisse échapper, c'est qu'il sont cons ! La déception est énorme."
Et dire que pour ce club tout a commencé un soir de mai en 2009.. -
C'est magnifique ce qui leur arrive . Bon le titre n'est pas gagné mais cela sent bon .
Cela montre que tout est possible . -
Tout cela met d'autant plus les boules quand on repense a ce match contre le Racing...comme quoi la destinée d'un club tient a peu de choses en fait.
-
Après ce n'est pas certain qu'en ayant été du bon côté en 2009 le Racing aurait été capable de grandir de la sorte par la suite.
-
Je pense que si c'était le Racing qui était monté, il serait redescendu directement l'année suivante tellement tout ce qui environne le club, mis à part les supporters, est malsain.
A Montpellier y a tout qui est bien huilé, sauf qu'ils n'ont pas de public.
Décidemment, on a vraiment pas le club qu'on mérite... -
Montpellier c'est tellement bien huilé qu'ils ont passé 9 ans en D2 dans l'anonymat le plus complet. Le club surfe sur la dynamique de sa remontée, ils ont des bons joueurs, un président qui a les moyens. Dans 5 ans ils seront peut être - surement - en D2.
L'herbe n'est pas plus verte ailleurs. Le Racing aurait très bien pu être à la place de Montpellier, et inversement. -
6 ans et pas 9.
N'empêche qu'aujourd'hui à Montpellier y a tout qui roule.
Et si, je pense que l'herbe est bien plus verte là-bas.
Ils ont de la chance d'avoir un Nicollin, un gars du cru qui est pas aussi con que beaucoup de médias le laissent penser.
Même s'il n'a pas toujours privilégié les intérêts de son club, et fait de grosses erreurs (Michel Mézy entraîneur, c'était quand même une bonne blague !).
Mais à Strasbourg, j'ai pas l'impression qu'un mec comme ça existe, vu comment on fustige à longueur de temps "les alsaciens". -
Voilà tellement dans l'anonymat que l'on ne sait même plus combien de temps ils ont passé au purgatoire.
Tout qui roule, c'est essentiellement une équipe qui joue & qui gagne. Le reste, on n'en parle que lorsque cela ne marche pas sur le terrain. Au Racing on nous bassine à longueur de temps avec les coulisses mais tant que l'équipe tourne et que quelqu'un fait le chèque à la fin du moins il n y a pas de problèmes de coulisses ou plutôt personne n'en parle.
Le seul truc que je laisseau MHSC, en dehors d'être assez punk pour avoir de l'orange sur les maillots, c'est d'avoir un président à l'ancienne, qui met du fric pour se faire plaisir. Un anachronisme dont la prochaine déconvenue annoncée pourrait bien avoir raison. Parce que les meilleurs joueurs partiront, les nouveaux seront mieux payés & moins bons, Nicollin s'énervera et ils tomberont en D2. -
Et ?
Ce que tu dis est valable pour n'importe quel club.
Risquer de tomber en L2, ça guette tous les clubs de L1 par définition. Et vu qu'il s'agit de sport, que les matchs ne sont jamais gagnés à l'avance, ça peut arriver à n'importe quel équipe de perdre, et donc de descendre.
Ce qui reste, c'est les titres. Et Montpellier va en avoir un. -
En même temps, vu leurs matchs, je pense que Giroud et Belhanda pourraient partir au prix fort.
S'il arrive à les baratiner pour qu'ils restent briller en Ligue des champions puis leur donner un bon de sortie après, c'est même défendable.
Aprés tout Lille l'a fait avec Hazard.
Avec l'argent de transferts et une ligue de champion au bout, je pense que tous les clubs ont des arguments pour faire venir de bons joueurs. Faut juste que tous se barrent pas. Evidemment quand je dis bons joueurs, ça signifie pas forcément des supers stars mondiales. -
D'une certaine manière, je préfère les voir eux champions plutôt que Paris. Au moins ça prouve qu'avec quelques joueurs talentueux et des moyens loin d'être pharaoniques on peut arriver à quelque chose.
Et pour tout ceux qui auraient des regrets sur le match de mai 2009 en pensant que ça y est si nous on avait été foutu de ne pas perdre ce match on serait sur le point d'être champion de France, faut pas rêver. La grosse différence c'est les dirigeants : Nicollin c'est autre chose que Ginestet, aussi bien en terme de portefeuille que de personnage. L'année qui suivait la montée on aurait à nouveau eu droit à des conflits internes. Si on veut un jour jouer les premiers rôles quelque part, il faudra non seulement un actionnaire principal qui a du pognon, mais aussi qui a une grande gueule pour que les parasites se la ferment. -
Montpellier est un club comme tous les autres, avec actuellement une équipe qui tourne. Mon point c'est qu'il ne faut pas croire qu'au RCS nous sommes des idiots et qu'à Montpellier tout fonctionne comme par magie. Même le club le mieux gérer n'est pas à l'abri de se casser la gueule, même le plus mal géré peut finir champion.
-
Ben dans l'absolu, moi je me dis surtout que le racing a perdu 2-1 là bas en les ayant battu ( je crois ) à domicile. Ce qui au regard de l'équipe qu'ils avaient était pas franchement une honte.
Mais bon, à coté de ça Furlan est un entraineur de merde il parait. On a quand même faillit le faire
finalement je me souviens plus si c'était Fufu l'entraineur lol -
Quand on voit ce que sont devenus les 2 autres clubs qui étaient montés cette saison là (Lens 1er, Boulogne 3e à égalité de points avec MHSC), il ne faut pas forcément se comparer à Montpellier.
Ce que je veux dire, c'est que OK on a perdu là où le nul nous aurait suffit, et grâce à ça Montpellier est monté et aujourd'hui ils sont quasi champions. Mais les 2 autres équipes qui sont montées sont aujourd'hui à la lutte pour le maintien... en LIGUE 2. Tout n'est pas histoire d'un match, la gestion qui suit l'accession est importante et il faut le reconnaître, Montpellier a bien géré le truc tandis que les autres se sont plantés.
Aurions nous réussi à bien gérer la montée ? On ne le saura jamais. Mais on a le droit d'avoir son avis, et le mien c'est que non. -
guigues a écrit, le 2012-04-30 11:33:09 : Voilà tellement dans l'anonymat que l'on ne sait même plus combien de temps ils ont passé au purgatoire.
Tout qui roule, c'est essentiellement une équipe qui joue & qui gagne. Le reste, on n'en parle que lorsque cela ne marche pas sur le terrain. Au Racing on nous bassine à longueur de temps avec les coulisses mais tant que l'équipe tourne et que quelqu'un fait le chèque à la fin du moins il n y a pas de problèmes de coulisses ou plutôt personne n'en parle.
Le seul truc que je laisseau MHSC, en dehors d'être assez punk pour avoir de l'orange sur les maillots, c'est d'avoir un président à l'ancienne, qui met du fric pour se faire plaisir. Un anachronisme dont la prochaine déconvenue annoncée pourrait bien avoir raison. Parce que les meilleurs joueurs partiront, les nouveaux seront mieux payés & moins bons, Nicollin s'énervera et ils tomberont en D2.
Montpellier a su faire les bons choix au bon moment, ils ont pris le temps de se reconstruire durant toutes ces saisons en D2, en axant leur politique sur la formation, c'est pas pour rien qu'on cite des Belhanda comme étant des cracks de L1 aujourd'hui !
En D2, ils ont su dénicher des Tino Costa, aujourd'hui à Valence alors qu'il était parti de Sète en National !
En D1, ils ont su être malins et prendre quelques risques en recrutant Giroud et des joueurs comme Dernis, Jeunechamp ou Pitau, qui étaient peut-être gourmands en salaire.
Ils ont réussi à reconduire des jeunes prometteurs comme Bocaly, et aujourd'hui encore ils continuent à recruter intelligement avec Bedimo par exemple.
Si on ne parle pas de problèmes en coulisse à Montpellier, c'est parce qu'il n'y en a pas depuis plusieurs années.
Qu'est ce que tu voulais qu'on foute en L1 en 2009 au Racing ?
Furlan aura honoré sa troisième année de contrat au club et Ginestet serait encore président.
On aurait continué notre politique de vendre les meilleurs pour prendre plusieurs branquignoles pour compenser.
Et quand il s'agit de mettre 1,5M€ au lieu d'1,2M€ sur un Julien Féret, déjà très bon à Reims à l'époque, aujourd'hui cadre du Stade Rennais et déjà présélectionné en Equipe de France, alors là y a plus personne.
Strasbourg et Montpellier sont incomparables, tout simplement parce qu'ils sont partis du même point sauf qu'on a deux clubs qui ont été géré différemment.
On en voit le résultat aujourd'hui, les deux clubs remportent un titre.
De L1 pour Montpellier, de CFA2 pour le Racing.
Bravo les artistes ! -
hammerfitz a écrit, le 2012-04-30 11:39:00 : Aprés tout Lille l'a fait avec Hazard.
Ca c'est complètement faux.
C'est Hazard lui-même qui ne voulait pas partir.
Il a même déclaré vouloir jouer dans le grand stade.
Bon c'est raté puisqu'il va partir cet été. -
Montpellier a aussi un staff stable .
Mais ce sera bien qu'il devienne champion . La saison prochaine les meilleurs partiront , ce sera plus difficile . -
hammerfitz a écrit, le 2012-04-30 11:44:55 : Mais bon, à coté de ça Furlan est un entraineur de merde il parait. On a quand même faillit le faire
C'est donc l'heure de la fameuse citation:
Attention spoiler - cliquez pour afficherLens 4 - 1 RCS
Montpellier 2 - 1 RCS
Boulogne 1 - 0 RCS
Metz 3 - 2 RCS
Tours 2 - 0 RCS
Angers 3 - 0 RCS
1 Lens 68 38 20 8 10 47 35 +12 2 Montpellier 66 38 19 9 10 61 36 +25 - Boulogne 66 38 20 6 12 51 36 +15 4 RCS 65 38 18 11 9 57 45 +12 5 Metz 63 38 17 12 9 48 35 +13 6 Tours 61 38 17 10 11 50 41 +9 7 Angers 53 38 13 14 11 46 42 +4 -
@rcsforever
Oui et ?
@Knaki
Que je sache Giroud et Belhanda ont pas dit que l'année prochaine ils seraient dans un autre club. donc tous les espoirs sont encore permis.
Cela dit j'appelle garder au club toute stratégie qui aboutit au fait qu'un joueur reste au club. Vaudrait mieux qu'il le veuille parce que sinon ils peuvent aller tout droit à un destin à la Sochaux avec Anin Maiga and co. -
Et ??
La montée est loin de s'être uniquement jouée à Montpellier pour le Racing,notre bilan loin de la Meinau face à nos adversaires directs étant indigne d'un prétendant à l'élite. -
Le gros pari réussi, c'est quand même l'ex-coach du RCS René Girard.
Rappelons que l'entraîneur de la remontée (le pote à Jafar) n'a pu poursuivre sa mission pour cause de zonzon et que le nom de son successeur qui n'avait pas prouvé grand chose ailleurs laissait plutôt dubitatif.
Sinon, rien que pour la crise au PSG, un grand merci au gros et à son équipe
-
Dubitatif ? Nan mais le critère c'est les couilles, c'est tout
Aux joueurs :
«Vous êtes nuls. Regardez-vous ! On dirait ma manade qui part à l'abattoir ! Il faut y aller avec les couilles et le moral. Et puis ces joueurs qui "pètent" dans tous les coins, ce n'est pas normal. Dans cinq matchs, il y aura des problèmes à régler et ce sera de ma faute. Alors dites-moi tout ! Vous voulez le garder votre entraîneur ou vous voulez vous autogérer?»
A Domergue et Baills :
«Vous n'êtes pas des meneurs d'hommes, c'est tout. Dans la vie, il faut se battre, c'est comme ça».
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
