Incidents dans les stades
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fremen-bleuCombien de victimes ce jour là ? -
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Appel pour le huis clos
Les dirigeants de Saint-Etienne ont décidé de faire appel de la sanction prise le 22 mars dernier par la Commission de discipline de la LFP d'un match à huis clos ferme. «Cette sanction paraît disproportionnée au regard des éléments d'appréciation soumis à la commission», fait savoir l'ASSE dans un communiqué.
Le club a par ailleurs annoncé des mesures pour empêcher l'usage des fumigènes à Geoffroy-Guichard. «Depuis plusieurs mois, les agissement de certains individus laissent en effet planer un sentiment d'insécurité sur tous les matches de l'ASSE.» Une première réunion s'est notamment tenue lundi entre les dirigeants de l'AS Saint-Etienne et la préfecture de la Loire. C'est l'usage de fumugènes lors de la réception de Rennes le 19 février qui a motivé la décision de la commission.
L'Equipe.fr -
g.raphael67 a écrit, le 2012-03-26 23:57:32 : Appel pour le huis clos
Les dirigeants de Saint-Etienne ont décidé de faire appel de la sanction prise le 22 mars dernier par la Commission de discipline de la LFP d'un match à huis clos ferme. «Cette sanction paraît disproportionnée au regard des éléments d'appréciation soumis à la commission», fait savoir l'ASSE dans un communiqué.
Le club a par ailleurs annoncé des mesures pour empêcher l'usage des fumigènes à Geoffroy-Guichard. «Depuis plusieurs mois, les agissement de certains individus laissent en effet planer un sentiment d'insécurité sur tous les matches de l'ASSE.» Une première réunion s'est notamment tenue lundi entre les dirigeants de l'AS Saint-Etienne et la préfecture de la Loire. C'est l'usage de fumugènes lors de la réception de Rennes le 19 février qui a motivé la décision de la commission.
L'Equipe.fr
Je vois ce que les fumigènes ont de dangereux au contraire je trouve ça magnifique :) -
Bon dans ce cas-là c'est en dehors du stade...
Brésil: Un mort et des blessés lors d'affrontements entre hooligans après un match de foot
FOOTBALL - Le match entre Palmeiras et les Corinthians s'est mal terminé...
La police a procédé mardi à l'arrestation de sept hooligans, supporters des clubs brésiliens de Palmeiras et des Corinthians, après les affrontements qui ont fait, dimanche à Sao Paulo, un mort et plusieurs blessés, dont un en état de mort cérébrale. Le Secrétariat à la Sécurité de l'Etat de Sao Paulo a indiqué que six des personnes arrêtées appartenaient à la Mancha Alviverde (groupe de supporters de Palmeiras) et la dernière aux Gavioes da Fiel (groupe de supporters des Corinthians).
«La police enquête sur l'identité d'autres personnes impliquées dans cette affaire. D'autres arrestations sont possibles au cours des prochaines heures», a expliqué Jorge Carrasco, membre du département des homicides. Ces affrontements, qui ont opposé quelque 300 hooligans, ont eu lieu dans une rue du nord de la ville, cinq heures avant le début du derby pauliste entre les deux équipes du Championnat de l'Etat de Sao Paulo. La police cherchait encore à savoir s'ils s'étaient donné rendez-vous par internet.
Mortellement touché par un tir à la tête
Un supporter de Palmeiras âgé de 21 ans a été mortellement touché par un tir à la tête et un autre se trouvait mardi en état de «mort cérébrale», selon un bulletin de santé de l'hôpital Sao Camilo où il a été admis. Deux autres hooligans étaient toujours hospitalisés mardi, l'un pour un traumatisme crânien et des fractures aux mains et l'autre après avoir été touché par un tir d'arme à feu. Dans un communiqué, la Mancha Alviverde a indiqué être tombée dans un guet-apens.
De son côté, la Fédération de football de l'Etat de Sao Paulo (FPF) a décidé d'interdire l'accès aux stades aux deux groupes de supporters s'ils sont vêtus du maillot de leur équipe. «Etant donné qu'il est de son devoir de préserver la sécurité dans les tribunes, la FPF s'est résolue à leur interdire l'entrée des stades, jusqu'à ce que l'enquête ait abouti et que les responsables aient été punis selon la législation en vigueur», a souligné la fédération dans un communiqué.
20min
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Guéant veut mettre fin aux groupes ultras.
Citation: Six clubs de Ligue 1, ont été convoqués pour se présenter le jeudi 4 avril prochain au Ministère de l'Intérieur en raison du comportement de leurs supporters respectifs depuis le début de la saison. Et certaines associations risquent une dissolution.
A travers cette réunion, les autorités de l'Etat souhaitent rappeler à l'ordre les clubs concernés en raison du mauvais comportement de certains de leurs supporters : Nice, Saint-Etienne, Lyon, Bordeaux, Montpellier et le PSG. Même si pour ce dernier, il s'agit avant tout de faire le point sur la situation de ses supporters dans le cadre du plan sécurité entré en vigueur à l'été 2010 précise le quotidien Le Parisien.
En revanche le Ministère de l'Intérieur devrait évoquer avec les dirigeants de l'ASSE, le groupe de supporters, les Green Angels. Ces derniers sont dans le viseur des autorités publiques pour une utilisation répétée et massive d'engins pyrotechniques précise le journal. Une dissolution est même évoquée ou alors une suspension administrative à l'image du groupe de supporters de Montpellier, La Butte Paillade. Plus que jamais, la sécurité dans les stades est l'une des préoccupations majeures de l'Etat.
http://www.parolesdefoot.com/france/ligue-1/44818/asse-dissolution-ou-suspension-pour-les-green-angels/ -
foot-france67 a écrit, le 2012-03-29 14:40:34 : Guéant veut mettre fin aux groupes ultras.
Citation: Six clubs de Ligue 1, ont été convoqués pour se présenter le jeudi 4 avril prochain au Ministère de l’Intérieur en raison du comportement de leurs supporters respectifs depuis le début de la saison. Et certaines associations risquent une dissolution.
A travers cette réunion, les autorités de l’Etat souhaitent rappeler à l’ordre les clubs concernés en raison du mauvais comportement de certains de leurs supporters : Nice, Saint-Etienne, Lyon, Bordeaux, Montpellier et le PSG. Même si pour ce dernier, il s’agit avant tout de faire le point sur la situation de ses supporters dans le cadre du plan sécurité entré en vigueur à l’été 2010 précise le quotidien Le Parisien.
En revanche le Ministère de l’Intérieur devrait évoquer avec les dirigeants de l’ASSE, le groupe de supporters, les Green Angels. Ces derniers sont dans le viseur des autorités publiques pour une utilisation répétée et massive d’engins pyrotechniques précise le journal. Une dissolution est même évoquée ou alors une suspension administrative à l’image du groupe de supporters de Montpellier, La Butte Paillade. Plus que jamais, la sécurité dans les stades est l’une des préoccupations majeures de l’Etat.
http://www.parolesdefoot.com/france/ligue-1/44818/asse-dissolution-ou-suspension-pour-les-green-angels/
Et voila, maintenant que l'Angleterre a virer ces "ultras " la France veut faire pareil
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L'Angleterre a peu etre virer ses hooligans, mais pas ses ultras, vu que ce mouvement n'existe pas chez eux !
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Presque pas :)
Il y a quelques jeunes qui se revendiquent ultras ( ex à Hull city
) mais cela reste limité à une dizaine d'ados & cela n'a pas grand chose à voir avec ce que l'on peut voir en Italie ou même en Allemagne ou en France.
En Ecosse il y a également quelques groupes dit Ultras, beaucoup plus actif dont notamment la Green Brigade au Celtic qui est en train de s'imposer au stade. Aberdeen a eu le premier groupe ultra du Royaume Uni, aujourd'hui dissous. Saint Mirren a également son groupe ultra : les Ultras Paisley.
Enfin sur le fameux modèle anglais, censé faire disparaître le hooliganisme, il a surtout permis d'augmenter le prix des places, de mobiliser un nombre incroyable de policier tous les weekends et de faire qu'il vaut mieux que 2 alcooliques se battent dans un pub que dans un stade. -
Gomis a «reçu une banane»
Bafetimbi Gomis a été victime de cris de singe et d'un jet de banane face au Gazélec Ajaccio.
Buteur contre le Gazélec Ajaccio mardi soir (4-0), Bafé Gomis est allé chambrer les supporters corses et a écopé d'un carton jaune. Mais pourquoi une telle réaction ? «Après mon but, j'ai mis mes mains derrières les oreilles car j'avais entendu des cris de singe pendant le match, nous a expliqué l'attaquant international. J'ai même reçu une banane. Je me suis laissé emporter. J'ai pensé à mes frères de couleur, alors que j'aurais dû me retenir.»
lequipe.fr
Toujours aussi intelligents les supporters corses...
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Enième incidents de la sorte en Corse et aucune sanction ne suivra, cette acte résultant d'un surplus de passion mais en aucun cas de racisme
.... le supp strasbourgeois et/ou parsiens étant nettement "plus vendeur" en terme de supp raciste 
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Par contre le carton jaune apres le but de Gomis pour provocation. (+)
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Plus de supporter stéphanois dans les tribunes jusqu'à la fin de saison
28e journée : AS Saint-Etienne Olympique Lyonnais du 17 mars 2012
Comportement des supporters de l'AS Saint-Etienne : Réunie le 22 mars 2012, suite à l'utilisation de 16 d'engins pyrotechniques et au jet d'un pétard sur la pelouse à proximité des joueurs, la Commission avait décidé de placer le dossier en instruction. Après audition de l'instructeur désigné et de M. Franck Beneston, Directeur de l'Organisation et de la Sécurité de l'AS Saint-Etienne, assisté de Me Olivier Martin, avocat, la Commission décide la fermeture jusqu'à la fin de la saison de la tribune Jean Snella et du secteur 34 de la tribune Henri Point du stade Geoffroy-Guichard. La sanction prend effet le lundi 23 avril à 0h00.
http://www.lfp.fr/corporate/article/les-decisions-du-19-avril-2012.htm -
Rarement un match de CFA 2 aura été aussi tendu en tribunes. En effet, plusieurs dizaines d'Ultras et d'indépendants lyonnais se sont rendus ce samedi à Saint-Priest pour perturber la rencontre face à Grenoble (0-1).
Selon le quotidien L'Equipe, les pseudo-supporters du club rhodanien auraient lancé des fumigènes, des bombes artisanales et des bouteilles de bière sur les dizaines d'Ultras grenoblois qui avaient fait le déplacement pour supporter leur équipe.
Les échauffourées ont duré au total plusieurs minutes et la rencontre a dû être interrompue momentanément avant l'arrivée des forces de l'ordre qui ont ramené le calme. Le GF 38 a d'ores et déjà annoncé son intention de porter plainte contre plusieurs groupes de supporters lyonnais. (maxifoot) -
Incidents rigolos à Séville pour protester contre les horaires de matchs...
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Impossible que ce soit des supporteurs du PSG. Le parc a été pacifié, familiser, dératisé
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La FFF enquête sur GFCO Ajaccio-Paris FC
La commission de discipline de la FFF va examiner mercredi les premiers éléments concernant les incidents survenus pendant et après le match entre le GFCO Ajaccio et le Paris FC (1-0), vendredi, en National. Après les révélations du Parisien lundi, Alain Mboma, l'entraîneur du PFC agressé à l'issue de la rencontre, a donné des précisions ce mardi dans L'Equipe. Des révélations qui font froid dans le dos, mêlant injures racistes, agression physique et menaces avec armes.
Selon Mboma, Christophe Ettori, directeur sportif du Gazélec, par ailleurs suspendu de toutes fonctions officielles, aurait déjà insulté les Parisiens au cocktail d'après-match, puis devant l'hôtel, avant une empoignade avec le coach parisien. «Mon adjoint et le dirigeant me disent que, lorsque j'étais au sol, ils ont voulu nous séparer, raconte Mboma dans L'Equipe, mais il y a deux gars avec des armes à la main qui ont dit "Ne bougez pas"...»
L'instance disciplinaire de la FFF décidera mercredi de lancer ou non une procédure en instruction. Elle s'appuiera sur les rapports des arbitres, des délégués, des officiels du match et le courrier du club parisien narrant les faits. Le staff du PFC a effectivement déclaré que des incidents avec Ettori ont bien eu lieu pendant le match. «Mon problème n'a rien à voir avec le Gazélec, c'est avec Ettori», a bien précisé Mboma. Du côté du Gazelec, le club se dégage de toute responsabilité dans cette altercation «d'ordre privé à l'extérieur du stade». Leader du Championnat et favori pour la montée en Ligue 2, le GFCO a déjà écopé de deux points de pénalité, plus deux avec sursis.
FF -
C'est drôle tout de même le football en Corse.
Faudra peut être y remédier un jour.
Commission Fédérale de Discipline Jeudi 14 Juin 2012
CHAMPIONNAT NATIONAL
3598.2 MATCH GFC AJACCIO / PARIS FC DU 11/05/2012 UTILISATION D'UN ARTICLE
PYROTECHNIQUE PAR LES SUPPORTERS DU CLUB RECEVANT PROPOS AGRESSIFS
DU DIRIGEANT ETTORI CHRISTOPHE DU CLUB DU GFCA AJACCIO, EN ETAT DE
SUSPENSION, A L'ENCONTRE DE L'ENTRAINEUR ALAIN MBOMA PEHN DU CLUB DU
PARIS FC COURRIER DU PARIS FC.
CHAMPIONNAT DE FRANCE AMATEUR
1557.2 MATCH CA BASTIA / JA DRANCY DU 23/05/2012 UTILISATION D'UN ARTICLE
PYROTECHNIQUE PAR DES SUPPORTERS DU CLUB RECEVANT.
CHAMPIONNAT DE FRANCE AMATEUR 2
2535.2 MATCH AS FURIANI AGLIANI / EVIAN THONON GAILLARD FC DU 02/06/2012
EXPULSION DU JOUEUR CASALE CARLU ANTONE DU CLUB DE L'AS FURIANI AGLIANI
POUR ACTE DE BRUTALITE.
CHAMPIONNAT DE FRANCE AMATEUR 2
2538.2 MATCH SO CHAMBERY / CA PROPRIANO DU 02/06/2012 MATCH ARRETE -
EXPULSION DU JOUEUR WARTON KEVIN DU CLUB DU CA PROPRIANO POUR 2
ND
AVERTISSEMENT DURANT LA RENCONTRE, TENTATIVE DE COUP REPETEE ET PROPOS
INJURIEUX ET MENACANTS A L'ENCONTRE D'UN OFFICIEL LORS DE SA SORTIE
EXPULSION DU JOUEUR CORTICCHIATO PIERRE PAUL DU CLUB DU CA PROPRIANO
POUR PROPOS GROSSIERS A L'ENCONTRE D'UN OFFICIEL ET PROPOS MENACANTS A
L'ENCONTRE D'UN OFFICIEL LORS DE SA SORTIE EXPULSION DU JOUEUR DEGORTES
PATRICE DU CLUB DU CA PROPRIANO POUR GESTES BLESSANTS ET PROPOS
INJURIEUX A L'ENCONTRE D'UN OFFICIEL ET ACTE DE BRUTALITE ENVERS
L'ENTRAINEUR MALOD CHRISTIAN DU CLUB DU SO CHAMBERY APRES LA RENCONTRE -
EXCLUSION DU BANC DE TOUCHE DU DIRIGEANT PAOLI ANGE MARIE DU CLUB DU CA
PROPRIANO POUR COMPORTEMENT EXCESSIF A L'ENCONTRE DES OFFICIELS
EXCLUSION DU BANC DE TOUCHE DE L'ENTRAINEUR EL OUARDANI NORADINE DU CLUB
DU CA PROPRIANO POUR ACTE D'INTIMIDATION REPETE A L'ENCONTRE D'UN
OFFICIEL DURANT ET APRES LA RENCONTRE EXCLUSION DU BANC DE TOUCHE DU
DIRIGEANT MORESCHI PASCAL DU CLUB DU CA PROPRIANO POUR PROPOS
INJURIEUX ET MENACANTS A L'ENCONTRE D'UN OFFICIEL, REFUS DE QUITTER L'AIRE
DE JEU, TENTATIVES DE COUPS A L'ENCONTRE DES OFFICIELS ET ACTE DE BRUTALITE
ENVERS L'ENTRAINEUR MALOD CHRISTIAN DU CLUB DU SO CHAMBERY APRES LA
RENCONTRE. -
Football
Pas d'amicaux d'équipes turques en Allemagne
La Fédération allemande de football (DFB) a décidé d'interdire des matches amicaux d'équipes du championnat turc pour des raisons de sécurité, a annoncé son secrétaire général, Helmut Sandrock, dans un quotidien allemand.
"Notre décision concerne toutes les équipes et fédérations où il y a eu par le passé des perturbations", a-t-il indiqué au journal Express de Cologne (ouest). "Il s'agit d'exclure toute menace potentielle et des contraintes supplémentaires pour la police", a-t-il ajouté.
La DFB a ainsi refusé de donner son autorisation à un match prévu le 25 juillet à Cologne entre le club de 1re division turque Fenerbahce et le club espagnol Getafe. Deuxième du championnat turc, Fenerbahce devait aussi rencontrer le Real Majorque le 21 juillet à Krefeld (ouest) et St. Pauli le 23 juillet.
Un match amical du Galatasaray à Rosenheim (sud) a également été interdit
Eurosport.fr -
Six « supporters » du FC Sochaux interpellés à Reims
Un peu à l'image de leur équipe qui accumule les défaites, les supporters Ultras sochaliens n'ont pas marqué non plus de points lors du déplacement à Reims. Photo d'archives Lionel Vadam
En marge de la rencontre de Ligue 1 de football, samedi soir entre Reims et le FC Sochaux, six « supporters » ont été interpellés pour des dégradations et des actes de violences.
Pierre Schlatter, le responsable de la sécurité du stade Bonal, ne décolère pas : « Pour le premier déplacement des supporters sochaliens à Reims, nous n'avons pas laissé une belle image ».
Samedi soir, les supporters « Ultras » des groupes Joyriders et Val 70 se seraient en effet défavorablement fait remarquer. Avant le match de football, devant le stade Auguste-Delaune, des affrontements ont commencé avec les Ultras de Reims. Bloquant carrément l'arrivée de deux bus du « supporters club » officiel. Durant cette bagarre, un Sochalien aurait jeté un projectile, en l'occurrence une bouteille, sur un CRS venu au contact des deux groupes pour ramener l'ordre. Il a été interpellé et placé en garde à vue.
Renforcés par des anciens supporters indélicats du Servette de Genève en Suisse, les fans sochaliens se seraient ensuite conduits « de façon ignoble », d'après Pierre Schlatter. « Déjà sous le coup d'une procédure d'interdiction de stade, l'un de ces éléments a lancé un fumigène dans une propriété privée occasionnant des dégâts importants », raconte le responsable de la sécurité. L'auteur a été attrapé par les policiers.
Sept sièges arrachés
Durant la rencontre, une jeune fille et trois garçons auraient continué à se déchaîner, cette fois-ci, sur les sièges de la tribune « visiteurs ». En arrachant un durant le match puis six autres après le but encaissé par Sochaux dans les arrêts de jeu. « La vidéosurveillance était braquée sur eux et les quatre individus ont également été interpellés, puis emmenés au commissariat central. Ils devraient faire l'objet de procédures d'interdiction de stade. Ces gens-là n'ont rien à faire dans une enceinte sportive », martèle Pierre Schlatter.
L'Alsace -
Je suis extrêmement inquiet pour ce club vu la situation de leur tutelle que nous connaissons.J espère me tromper mais....
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Par contre Reims 2 matchs à domicile, 2 fois des incidents ou ce sont les visiteurs qui prennent - 3 marseillais jugés en comparution immédiate avec IDS à la clé -. Déjà l'an dernier les Montpellierains avaient goûté à l'hospitalité champenoise en coupe de France il me semble. On pourra en tirer les conclusions que l'on veut :)
Quant à Pierre Schlatter, un robert à Noël pour chercher la définition du mot ignoble. -
a-l-ombre-pour-un-fumigene
Citation:
Bastia qui reçoit Saint-Étienne, au-delà de l'aspect sportif, c'est l'un des meilleurs publics à domicile celui de Furiani emmené par la tribune Petrignani qui se mesure à l'une des plus importantes armadas de supporters à l'extérieur, celle des Verts, promettant au moins autant de spectacle en tribunes que sur le pré. Mais pour les pouvoirs publics, c'était avant tout la rencontre de supporters « connus de la Ligue de Football Professionnel (LFP) pour être assez turbulents » selon Dominique Alzeari, le procureur de Bastia, joint par So Foot.
« J'ai témoigné en disant que ce n'était pas lui »
Alors forcément, lorsque quelques fumigènes sont allumés dans la tribune visiteur, occupée par les supporters stéphanois, la machine à identifier et condamner les fauteurs de trouble se met en branle. A la sortie de la tribune, des policiers cherchent photo et déclinaison très précise de l'identité en main un membre des Green Angels, groupe de supporter du Kop Sud de Saint-Étienne, qu'ils soupçonnent d'avoir allumé et jeté un fumigène sur le terrain.
« Le membre de notre groupe s'est rendu de bonne foi parce que ce n'était pas lui qui avait allumé le fumigène, je l'ai accompagné au commissariat et j'ai fait la déposition d'un témoignage sur l'honneur disant que j'étais à deux mètres et que ce n'était pas lui », déclare Nicolas, responsable des Green Angels qui précise également qu'aucun fumigène n'a été jeté sur le terrain. Commencent alors 48 heures éprouvantes de garde à vue pour ce jeune supporter de 24 ans. « Comme partout, il existe un système de vidéosurveillance assez performant lorsque des fumigènes sont déclenchés. Et il y a eu une collaboration entre les responsables de la sécurité de l'ASSE et le PC sécurité du stade de Bastia qui a permis l'identification de la personne », assure Dominique Alzeari.
Un supporter en état de récidive selon le Parquet
Sauf que, selon Nicolas, les preuves à charge avancées par le procureur changent à mesure que la garde à vue se prolonge : « Au départ, ils nous avaient dit l'avoir identifié grâce à la vidéosurveillance, puis on apprend que les photos et la vidéo ne sont pas exploitables et qu'ils se fondent en fait uniquement sur le témoignage d'un stadier. » Le supporter des Verts est finalement déféré lundi matin devant le tribunal de Bastia où il passe en comparution immédiate. Trois témoignages de supporters présents en tribune s'ajoutent alors à celui de Nicolas et maintiennent que le supporter n'a pas allumé de fumigène. En vain. Les réquisitions du procureur sont suivies par le juge. Le supporter écope de 15 jours de prison ferme, sous le régime du bracelet électronique, de 500 euros d'amende et d'un an d'interdiction de stade.
« Le fait d'introduire des fumigènes dans une enceinte sportive est interdit. C'est un délit puni d'emprisonnement, d'amende et éventuellement à titre complémentaire d'une interdiction de fréquenter des stades. Sans compter que l'année dernière, l'ASSE était connue de la Ligue de Football Professionnel pour être assez turbulente au niveau de ses supporters. Il y a donc une politique pénale au plan local très stricte. Valable pour les Bastiais comme pour les visiteurs », explique le procureur de Bastia. Les supporters stéphanois, eux, sont sous le choc : « C'est complétement disproportionné ! C'est quelqu'un qui a un boulot respectable et qui sortait d'une interdiction administrative de stade (IAS) donc qui n'aurait jamais pris le risque d'allumer un fumigène... » proteste Nicolas.
« L'ASSE met la pression sur les stadiers en réponse à la pression que la LFP exerce sur le club »
Car voilà, la raison qui a motivé les réquisitions du Parquet réside dans la récidive : « Il se trouve que ce supporter était récidiviste. Il a déjà été condamné en 2007 pour exactement les mêmes faits, il était sous le coup d'une interdiction administrative de stade jusqu'au 19 août dernier. Lors du match Bastia Saint-Étienne, il a à nouveau introduit un fumigène et l'a utilisé. Comme il était en récidive, il a directement été déféré et est passé en comparution immédiate, et une peine d'emprisonnement a été prononcée et qui va s'exécuter à Saint-Étienne par le biais d'un bracelet électronique. »
Outre l'ampleur de la condamnation, Nicolas ne cache pas son amertume à l'égard de son club de coeur : « On est complétement sidérés et dégoûtés par l'attitude de l'ASSE qui par le biais de son avocat a enfoncé notre membre. Je ne pense pas que le stadier qui l'a identifié soit de mauvaise foi mais je crois qu'il s'agit d'une méprise de sa part, favorisée par la pression que met l'ASSE sur les stadiers, en réponse à la pression qu'exerce la LFP sur le club. » La LFP, par la voix de Pascal Garibian, président de la commission de discipline de la Ligue, n'a en effet pas caché sa volonté de tolérance zéro au début de la saison. Et de la clémence dont elle pourrait faire preuve en termes d'amende à l'égard des clubs qui poursuivraient leurs supporters interpellés pour usage d'engins pyrotechniques.
Les fumi pas plus dangereux que les briquets
Les fumigènes continuent d'être la priorité de la lutte contre le hooliganisme. Et ceux qui en font usage sont qualifiés sans concessions de « pseudos supporters qui sont en fait des délinquants » par Pascal Garibian, dans les colonnes de L'Equipe du 20 août. Quant à ceux qui ont encore le malheur de voir derrière les volutes rouges incandescents, une forme de folklore ou pire l'expression d'une culture supporter, ils sont renvoyés dans le carcan inflexible de la loi : « La réponse de l'individu sur le côté festif est un peu effacée par l'interdiction légale d'une part et les questions de sécurité d'autre part. Ces engins peuvent être dangereux », justifie ainsi le procureur. Eu égard à la proportion de fumigènes allumés depuis plus de vingt ans dans les tribunes françaises et au nombre d'incidents qu'ils ont causés, ils sont à peine plus dangereux que les briquets . Qui sont eux aussi désormais interdits dans certaines tribunes...
Témoignage édifiant sur la justice française. D'autant plus flippant qu'il a failli arriver la même chose à un supporteur strasbourgeois il y a quelques années Metz. -
15jours de ferme
alors que certains pour vol ou autre ressorte libre carrément honteux
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