Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Kavala ( Club Grec )

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Flux RSS 57 messages · 4.143 lectures · Premier message par hammerfitz · Dernier message par superdou

  • Bonjour

    Je me pose quelques questions à propos de ce club. Certes ils font pas une grande affaire avec notre Dudu mais les autres joueurs tiennent la route à l'image de Calvet, apperemment ils visent encore Bergougnioux.

    Si quelqu'un a plus de précisions sur ce club je serais assez intéressé. Ils ont l'air d'aime le championnat de France.

    ça serait marrant qu'on se mette à suivre le championnat Grec dans l'équipe du dimanche sous prétexte qu'ils ont des équipes composés de nombreux français.
  • Qui plus je crois savoir que c'est c'est un tout nouveau promu en D1 grecque. Donc leur recrutement est assez énorme pour un tel club !
  • A croire que le joueur Français est plutot pas cher, mercenaire et qu'il aime bien s'installer au chaud :))
  • Ben mercenaire exagérons rien.

    Pas cher, oui, même en Bulgarie ou à Chypre ils engagent des français.
    Bientôt ce sera comme les anciens joueurs de l'ex yougoslavie qui formaient l'élite du mercenaire lol.

    Ils ont l'air de monter une sacré équipe parce que Calvé, Rippert, bergougnoux, c'est pas du n'importe quoi quand même à défaut d'être dans les premiers rôles de L1.
    Bon Dudu ressemble u peu à l'erreur de casting, mais bon ça ..
  • Sur le site de l'équipe, ils viennent d'annoncer que Calvé refuse d'aller là-bas!
  • d'un certain coté j'aurais trouvé que c'était du gachis
  • Ben mercenaire exagérons rien.

    Pas cher, oui, même en Bulgarie ou à Chypre ils engagent des français.
    Bientôt ce sera comme les anciens joueurs de l'ex yougoslavie qui formaient l'élite du mercenaire lol.

    Ils ont l'air de monter une sacré équipe parce que Calvé, Rippert, bergougnoux, c'est pas du n'importe quoi quand même à défaut d'être dans les premiers rôles de L1.
    Bon Dudu ressemble u peu à l'erreur de casting, mais bon ça ..
  • Ma main à couper qu'y aura un reportage sur ce club dans stade 2 courant de l'année.
  • Calvé refuse Kavala

    Le défenseur nancéien Jean Calvé, sur qui Pablo Correia ne compte pas cette saison ne jouera pas à Kavala (Grèce). "Les Grecs se sont renseignés pour obtenir un prêt, mais le joueur ne veut pas aller là-bas" a expliqué Nicolas Holveck, le directeur général de l'ASNL.

    L'Equipe.fr
  • Kavala veut recruter Français

    L'Equipe annonce ce mercredi que le club grec de Kavala regarder attentivement en France. L'équipe héllène courtise Matt Moussilou, attaquant de Nice qui négocie une résiliation à l'amiable de son bail. Kavala souhaite également enrôler Sébastien Heitzmann (attaquant d'Amiens âgé de 29 ans) et le défenseur latéral Jérémy Hénin (ex-Havre).

    --> Ils vont nous monter une vraie colonie là-bas! :)
  • Kavala, l'Arsenal grec ! :p
  • Les moyens en moins, car bien souvent se sont des joueurs en fin de contrat ou ne coûtant que fort peu en indemnités de transfert ;)
  • Ce club grecque est vraiment plus attractif pour les joueurs qu'un club de haut de tableau de L2 française comme le nôtre?

    Ils ont quand même quelques noms que j'aurai bien aimé voir chez nous (même tout simplement circuler).
  • killi a écrit, le 2009-08-12 18:39:22 :
    Ce club grecque est vraiment plus attractif pour les joueurs qu'un club de haut de tableau de L2 française comme le nôtre?

    Ils ont quand même quelques noms que j'aurai bien aimé voir chez nous (même tout simplement circuler).



    "qu'un club de haut de tableau de L2 française comme le nôtre"j espere que tu déconne la??
  • killi a écrit, le 2009-08-12 18:39:22 :
    Ce club grecque est vraiment plus attractif pour les joueurs qu'un club de haut de tableau de L2 française comme le nôtre?

    Ils ont quand même quelques noms que j'aurai bien aimé voir chez nous (même tout simplement circuler).


    Moussilou, Hénin et Heitzmann?

    Punaise, même en circulation j'aurais pas aimé les voir. Avec encore Ducrocq, ils vont s'en payer une bonne tranche... Sans rire, on peut se réjouir d'avoir des asiles footballistiques pour joueurs cramés en France, sans intervention du contribuable, en plus au soleil et avec de l'uzo... que demande le peuple?
  • Je pensais plus à Rippert, Calvé, Oruma, Fred Mendy et Bergougnoux en fait :p
  • Football – Kavala
    Guillaume Rippert quitte Kavala

    La rédaction - Le Grand After - RMC.fr, le 13/08/2009
    L'ancien défenseur du FC Metz, Guillaume Rippert, a quitté le club grec de Kavala avec lequel il s'était engagé à l'intersaison.
    Après deux semaines houleuses passées sur les bords de la mer Egée, Guillaume Rippert s'est rendu compte, à l'aide de l'UNFP (syndicat des joueurs professionnels), que – d'après ses dires - le contrat qu'il avait signé n'avait jamais été enregistré. De plus, il n'a jamais vu l'ombre des voitures et autres maisons de fonction promises à son arrivée. Lorsqu'il en a fait part à ses dirigeants (notamment le sulfureux président Makis Psomiadis), il aurait, toujours selon lui, été victime de menaces et d'intimidations. « Les premiers jours se sont pourtant très bien passés, nous a expliqué Guillaume Rippert. On a trouvé un accord le mercredi, et le lendemain je devais rentrer sur Metz pour régler les derniers détails. Je suis retourné le vendredi à Kavala et les problèmes ont commencé le samedi, quand j'ai demandé un rendez-vous avec le président pour lui dire que je n'avais pas touché la prime de signature (environ 30% de mon salaire annuel), qui aurait normalement dû être virée le jour de la signature de mon contrat. Le plus inquiétant, c'est que les jours défilaient et je n'avais toujours aucune nouvelle de la validation de mon contrat. »
    Après ces mésaventures, Guillaume Rippert a donc préféré rentrer en France. Désormais, il compte attaquer Kavala en justice afin d'être dédommagé pour le préjudice subi.
  • De la grosse arnaque ce club ! :))
    Peut-être que Ducrocq reviendra aussi ! :|s
  • Foot - Transferts
    Douglao rejoint Kavala

    Comme l'annonçait L'Équipe à la fin du mois de juillet, l'ancien Nantais Douglao s'est engagé pour 3 ans avec le club grec de Kavala. Le défenseur brésilien, âgé de 23 ans, n'entrait pas dans les plans du nouvel entraîneur des Canaris Gernot Rohr. Il rejoint chez le promu grec d'anciens pensionnaires de Ligue 1, tels que Wilson Oruma et Pierre Ducrocq.
  • Un paradis pour les Français nommé Kavala ! O:)

    http://www.latribune.fr/img/25-974168-150x9999-0/248477-img-20786...

    De retour en 1re division grecque, l'AO Kavala a décidé de se renforcer en misant sur des joueurs issus de clubs de l'Hexagone.
    Kavala est souvent dépeinte comme une sorte de Monaco, l'opulence en moins. À une heure de route de Thessalonique, cette charmante ville portuaire se dresse face à la mer Égée, au nord de la Grèce. Depuis quelques semaines, un déferlement francophone trouble la quiétude ambiante.

    À l'origine de cet afflux inattendu?: l'AO Kavala, le club de football local, fraîchement promu en première division. Convaincus par le savoir-faire à la française, ses dirigeants se sont mis en tête de prospecter dans l'Hexagone. Et ils s'en donnent les moyens. Pierre­ Ducrocq, Frédéric Mendy, Guillaume Rippert et Wilson Oruma ont déjà été recrutés. « Lorsqu'ils ont pris contact avec moi, je ne connaissais pas ce club, reconnaît Ducrocq. J'ai pris pas mal de renseignements et il a fallu une dizaine de jours pour qu'on trouve un accord. » L'ancien joueur du PSG a ensuite pu découvrir son nouvel environnement. « C'est une ville très méridionale, avec ses petites criques et ses plages de sable. Il fait très chaud. Les gens vivent à leur rythme, c'est agréable », savoure l'ex-milieu de Strasbourg. Il pourra en discuter bientôt avec de nouveaux compatriotes puisque Itandje, Bergounoux ou Mody Traoré ont été approchés.

    bronzage et trophées

    Pour établir le contact, des agents ont été spécialement mandatés. Outre le cadre de vie idyllique et le défi sportif, ils proposent aux pensionnaires de Ligue 1 des conditions salariales attrayantes. Sur le bureau du président Makis Psomiadis, les CV et DVD de prétendants s'entassent allégrement. Après un passage à la tête de l'AEK Athènes, le sulfureux et richissime homme d'affaires a repris le club dans les années 1990.

    Avec sa carrure imposante et son cigare interminable, il semble tout droit sorti d'un film de Quentin Tarantino. « Quand il lève le doigt, c'est tout juste si les gens ne se mettent pas à genoux?! » plaisante à peine Rippert. Présent à l'entraînement tous les jours « Big Mike » (son surnom) veille sur sa colonie française. Grâce à elle, il entend concurrencer à moyen terme les grosses cylindrées grecques que sont le Panathinaïkos ou l'Olympiakos. Dans un championnat décrit comme « une sorte de Premier League aux faux airs latins », les joueurs tricolores vont être attendus au tournant. L'an passé, 8.000 supporteurs en moyenne gonflaient les gradins du Stadium. Dès la reprise de la Super League, le 22 août, ils devraient être deux fois plus nombreux. De quoi motiver les nouveaux expatriés, histoire que leur bronzage puisse être assorti de trophées.

    Source : latribune.fr
  • Faut arreter de cavaler vers Kavala... (-)
  • Ilias Ioannou (Olympiakos Volou), Guillaume Rippert (FC Metz), Dario Dabac (HNK Rijeka), Pierre Ducroq (Strasbourg), Enoc Perez (loan return from AO Kalamata), Sotiris Leontiou (on loan from Panathinaikos), Sinisa Dobrasinovic (Anorthosis Famagusta), Stefanos Siontis (Panathinaikos), Manolis Psomas (Asteras Tripolis), Dimitrios Skliopidis (Agrotikos Asteras), Frederic Mendy (SC Bastia), Wilson Oruma (EA Guingamp), Vasilis Lakis (PAOK), Diogo Rinco (Dynamo Kiev), Apostolis Giannou (Apollon Kalamarias), Robert Stambolziev (Panathinaikos).

    Un joli recrutement. Ducroq bientôt en champion's league?
    M'enfin l'argent qui coule à flot dans ce petit coin de Grèce me laisse dubitatif. Ca ne sera pas le première fois que l'on verra un club disparaitre à force de fricoter avec la mafia albanaise ou turque. (suspicion complètement gratuite mais le précédent Posidon NP existe)
  • Ca ne date pas d'hier qu'en Grèce les salaires ne sont pas toujours payés et que ça pue l'arnaque... Pauvre Ducrocq :( :))
  • shmoldrukt a écrit, le 2009-08-17 18:39:35 :
    M'enfin l'argent qui coule à flot dans ce petit coin de Grèce me laisse dubitatif. Ca ne sera pas le première fois que l'on verra un club disparaitre à force de fricoter avec la mafia albanaise ou turque. (suspicion complètement gratuite mais le précédent Posidon NP existe)


    N'empêche j'allais poster le même genre de remarque. Il y a quand même une ambiance sacrément mafieuse qui règne autour de ce club. Un club qui attire plein de joueurs étrangers soi-disant séduits par les millions du richissime président, mais qui d'un autre coté ne paie même pas certains de ces joueurs b-(
    Avec la mafia, ya pas que le club qui risque de disparaitre :o) (ou pas :o) )
  • Ah ouais quand même !!! :O :|s

    Rippert, du mystère à l'enfer:

    http://www.football365.fr/medias/foot/Football365_664x376/83779_R...

    Séduit par le challenge proposé par le petit club grec de Kavala, promu en L1, Guillaume Rippert avait décidé de tout quitter pour partir dans l'inconnu. Mais, sur place, les choses se sont gâtées. Et l'ancien Messin, marqué, a été contraint de rentrer en France. Il nous raconte.

    Rappelez-vous. Il y a une dizaine de jours, nous vous racontions dans ces mêmes colonnes l'aventure de Guillaume Rippert, parti de Metz pour tenter de relever l'insolite pari Kavala. Une aventure qui s'est vite transformée en mésaventure dans les jours qui ont suivi. Contrat de trois ans jamais validé par les instances officielles, obligation de s'entraîner à l'écart en raison des risques encourus puis tentatives multiples et par tous les moyens d'acheter le silence du joueur, bien décidé à ne pas s'éterniser sur place, Rippert a tout connu en seulement trois semaines passées à Kavala. « Je pourrais écrire un livre tellement j'ai vécu de rebondissements, de mensonges, de trahisons et même de menaces. » Bien décidé à porter l'affaire devant la justice, l'ancien joueur de Valenciennes, en exclusivité pour Football365, revient en détails sur son calvaire.

    Lendemain de la signature du contrat
    « C'est là que les problèmes ont commencé. Moi, j'ai eu la puce à l'oreille au bout du deuxième jour lorsque j'ai demandé un rendez-vous avec le président pour qu'il me donne ma prime à la signature. Il l'a mal pris et m'a dit que j'étais venu là pour l'argent, que je ne lui faisais pas confiance et, que si je réclamais mon argent, c'est que j'avais un doute. Il m'a même dit que si je n'étais pas content, je n'avais qu'à retourner en France. Pourtant, je ne leur demandais pas d'argent en plus, j'étais dans mon droit. C'est vraiment là que j'ai senti que c'était un peu bizarre. »

    Trois jours plus tard
    « Sans nouvelles de personne, j'ai demandé à l'agent qui m'a fait signer là-bas de se renseigner pour savoir si mon contrat avait été vraiment homologué. Il a appelé le président, qui lui a dit qu'il n'y avait pas de soucis à se faire, qu'ils allaient recevoir la carte du transfert dans les deux jours, que tout serait donc officialisé et que je pourrais toucher mon argent. En fait, il a expliqué que ça prenait un peu plus de temps que pour les autres car il fallait attendre que je sois officiellement libre pour recevoir la carte. Je n'ai jamais su si c'était la réelle raison. En tout cas, même si je faisais comme si de rien n'était, j'étais inquiet.

    Une semaine après signature du contrat
    Nous avions un match amical de prévu. Entre temps, avec l'aide de l'UNFP, j'avais appelé les fédérations qui m'avaient dit qu'elles n'avaient encore rien reçu. J'étais prêt à prendre des mesures si ça traînait trop et j'avais dit aux dirigeants que je ne jouerai pas ce match si mon contrat n'était pas validé avant. Le jour du match, le fils du président m'a rassuré en me disant qu'il pouvait, si je le souhaitais, signer de nouveau le contrat et y mettre un mot certifiant que tout était en ordre. Je me suis donc préparé pour le match et j'ai joué une mi-temps.

    Trois jours après le match
    Comme après le match, je n'ai revu personne. Pas de nouvelles. Pas même du président, qui venait pourtant à tous les entraînements. J'ai laissé un message au traducteur pour lui dire que j'allais partir le lendemain si les choses n'étaient toujours pas réglées. Alors qu'il était lui aussi injoignable depuis plusieurs jours, il m'a rappelé deux minutes plus tard pour me dire qu'il allait en parler avec le président. Mais quand le président a su que je voulais rentrer en France et que j'allais mettre tout le monde au courant, y compris la presse, il a dit qu'il était hors de questions que je parte. Il voulait que j'aille à Athènes, que l'on trouve une solution, et était même prêt à me donner de l'argent pour étouffer l'histoire. Dès le deuxième jour, quand j'avais réclamé ma prime à la signature, il m'avait déjà proposé dix ou vingt mille euros pour que je me taise et fasse comme si je ne les avais jamais vus. Quand je leur ai dit que je ne voulais pas aller à Athènes, où se trouvent les bureaux du président, ils m'ont rappelé plusieurs fois dans la journée pour me redire qu'il fallait absolument que je reste. Ils m'ont même dit qu'ils me donneraient beaucoup d'argent s'il le fallait. Mais j'ai toujours dit non. A ce moment-là, ils craignaient surtout que je rentre en France, que j'explique tout ce qu'il s'était passé et que je leur fasse une sale pub auprès de joueurs que je connaissais et avec lesquels ils étaient en contacts.

    Dans la nuit
    A deux heures et demi du matin, ils sont venus frapper dans ma chambre pour récupérer la voiture qu'il m'avait prêtée et encore me répéter le même message : « Ne pars pas, on va trouver une solution. » Ils m'ont repris la voiture et m'ont dit qu'ils me commanderaient un taxi pour me rendre à l'aéroport le lendemain matin. Comme je n'avais pas trop confiance, je les ai fait appeler le taxi devant moi. Mais ils ont dû immédiatement le décommander et, le lendemain matin, je n'ai vu aucun taxi. Sachant qu'il y a 170 km de Kavala à l'aéroport, ils espéraient que je rate mon avion. Mais j'ai pris moi-même un taxi et j'ai pu rentrer. En France, j'ai appris que mon contrat n'avait jamais été validé. Pourtant, le président avait bien signé tous les documents sous mes yeux, et nous avions même fait une photo de bienvenue.

    Son sentiment
    Il y a beaucoup de questions auxquelles je n'ai pas de réponse, car c'est quand même Kavala qui m'a contacté alors que j'étais à Metz. Ils avaient demandé à Ducrocq de me convaincre de venir. J'étais loin de m'imaginer qu'ils allaient me faire un coup comme ça, et je n'en voyais pas l'intérêt surtout, car s'ils ne voulaient pas de moi, pourquoi m'avoir contacté ? Peut-être qu'ils voulaient juste me faire faire un essai, et ne valider le contrat plus tard que si ça marche bien. Peut-être ont-ils eu aussi la possibilité de prendre un autre joueur libre deux jours après mon arrivée.

    Menaces
    Même s'ils n'ont pas été jusqu'à me menacer avec un couteau ou une arme, ils ont essayé plusieurs fois de m'impressionner avec leurs gardes du corps bodybuildés qui font deux mètres. Notamment un jour où ils ont tenté de me mettre la pression dans une petite salle en me disant que si je n'acceptais pas leur somme d'argent, « la vie pourrait me devenir hostile », pour reprendre leur expression. Ils ont vu que ça ne marchait pas, donc ils ont tenté d'autres choses. Le lendemain d'un soir où j'étais allé boire un verre dans un bar avec un ami, le président m'a même dit qu'il avait une photo de moi prise lors de cette soirée et qu'il la ferait publier si je n'acceptais pas son deal. Il voulait me faire passer pour un mec qui sort et qui salit l'image du club, alors que la photo n'avait rien d'extraordinaire : j'étais assis à une table avec un ami, sans alcool ni cigarette, rien du tout. Quand ça a commencé à chauffer, ils m'ont aussi retiré de mon hôtel pour me mettre dans un hôtel dix fois moins bien. Bref, ils ont tout fait pour me pourrir la vie.

    Ses séquelles
    J'avais du mal à trouver le sommeil, je dormais mal, quand je racontais à ma famille ce que je vivais, elle pleurait presque. Ils se sont fait beaucoup de soucis, ce n'est pas facile. Quand je suis revenu, je suis même allé voir un médecin pour essayer de mieux dormir. J'ai été marqué, maintenant pas de là non plus à aller à l'hôpital. Heureusement que je n'étais pas tout seul là-bas car j'aurais peut-être pété un câble.

    Source: football365.fr
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