(NDLR : cet artikle fait partie d'une série d'artikles au ton dékalé et résolument katrième degré élitiste. Achtung lire avec ultra prékaution et sans humour ultra)
Qu'on dénigre tes choix tu refuseras, mais des intérêts des autres tu t'amuseras.
La liberté d'expression tu revendiqueras, sauf quand contre toi elle s'appliquera.
Derrière l'ironie tu te réfugieras, quand des remarques tu récolteras.
Mais l'ironie des autres tu condamneras, car seule la tienne comptera.
Jamais de la majorité tu ne divergeras, sinon d'élitiste on te traitera.
L'équipe du site tu fustigeras, ceux qui travaillent pour les autres sont des scélérats.
Aucun article pour le stub tu n'écriras, des articles contre des stubistes tu rédigeras.
Avec plein de sourires aimer les autres tu diras, plus facilement sur eux tu cracheras.
Sur un autre site tu n'iras pas, il pourrait arriver qu'ici on ne te regrette pas.
Et sur le stub tu resteras, preuve qu'on n'y est pas si mal que ça.
:):-B:p
"A traffic jam when you're already late
A no-smoking sign on your cigarette break
It's like ten thousand spoons when all you need is a knife
It's meeting the man of my dreams
And then meeting his beautiful wife
And isn't it ironic... don't you think
A little too ironic... and yeah I really do think..."
Commentaires (20)
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· Premier message par superdou
· Dernier message par kibitz
J'espère que je n'étais pas l'unique inspirateur de cet artikle qui m'a fait sourire. Les konseils de films de kibitz tu suivras, même si kibitz chier tu feras.
Ce passage: "Derrière l'ironie tu te réfugieras, quand des remarques tu récolteras.
Mais l'ironie des autres tu condamneras, car seule la tienne comptera."
est particulièrement amusant quand on pense que tu écris ceci: "La liberté d'expression tu revendiqueras, sauf quand contre toi elle s'appliquera."
Si suite à ton billet ça peut te rassurer de deviser sur l'ego des autres...
Moi ça m'amuse ce que tu dis, toi ça t'amuse que ce que tu dis m'amuse, tout le monde est content :)
J'en ai trouvé une sympa aussi :
"Ce qui rapproche, ce n'est pas la communauté des opinions, c'est la consanguinité des esprits".
Ce n'est pas une banderole parisienne, mais du Proust qui, comme le Racing et ses supporters, recherche le temps perdu.