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- Après-match
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- Par athor
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Fidèle a son habitude, le Racing a débuté sa saison des matchs amicaux contre une sélection. Devant plusieurs centaines de personnes, les hommes de JPP se sont facilement imposés 3-0 ...
L'AS Erstein a de quoi se frotter les mains, l'effet JPP a fonctionné à plein et la tribune ainsi que la main courante autour du petit stade municipal ont vite été pris d'assaut pour tenter d'entr'apercevoir le Ballon d'or 1991. Mais l'intérêt de cette rencontre était évidemment ailleurs. Il s'agissait de mettre à profit les longues séances de préparation ainsi que le stage de Combloux. Mais comme prévu, ce travail physique éprouvant s'est ressenti sur les organismes et les enseignements à tirer de cette confrontation sont finalement peu nombreux.
En première période, Jean-Pierre Papin avait aligné une équipe à caractère offensif, avec 3 vrais attaquants et un milieu récupérateur solide :
Les premières minutes furent à mettre à l'actif d'une sélection régionale, bien décidée à remuer leur « prestigieux » adversaire. Mais rapidement, c'est le Racing qui prend la direction des opérations avec notamment un Rangelov très remuant aux avants postes, bien aidé par quelques percées d'Idangar ou des bonnes montées de Celestini. Cette domination est vite récompensée dès la 24ème minute, quand Johansen d'un coup franc coté gauche offre à un Loué, bien affûté et débarrassé de ses kilos superflus, l'ouverture du score. « Gronaldinho » comme le surnomme ses camarades de jeu gratifiera même le public d'une célébration pour le moins originale. Sur l'action suivante, Leyti N'Diaye, auteur d'une bonne mi temps, est tout proche de doubler la mise mais sa tête passe au dessus. Sur le banc, les sourires et le chambrage sont de mise, avec un Gameiro très en forme dans son rôle de joyeux drille. Du coté de la sélection, on note quelques belles séquences de jeu, mais les rares actions dangereuses sont souvent annihilées par le déchet dans la dernière passe. La défense strasbourgeoise, emmenée par Locatteli et Bellaïd n'a donc pas eu grand-chose à réaliser. Quelques instants avant la pause, Idangar sur une nouvelle accélération coté gauche tente de servir Rangelov, encore bien placé, mais c'est le malheureux Ghenzy, défenseur de Bischheim, qui dévie le ballon dans son propre but. L'arbitre siffle la mi temps sur ce score de 2-0 et déjà les enfants et même les plus grands se précipitent sur les joueurs, dans l'espoir de recueillir un autographe ou une photo. Tous les joueurs s'y prêtent avec le sourire.
En seconde période, JPP fait tourner son effectif, mis à part Schneider, Loué, Idangar et Perbet. La composition fut la suivante :
Changements effectués:
60': Perbet par Zenke
63': Idangar par Rangelov
69': Loué par Bah
Moins d'occasions franches à noter durant cette période coté Racing. On remarquera les belles accélérations d'Abou, la technique balle au pied de Gasmi, la percussion de De Gea ou encore la vitesse de pointe assez phénoménale du jeune Zenke (sur une action, il parvient à griller la politesse à toute la défense). Mais c'est la sélection régionale qui s'illustre en premier avec ce tir de Ernst, l'attaquant de Vauban, que Cassard détourne de belle manière, sous les applaudissements du public. En fin de match, c'est Simon Zenke qui voit son activité récompensée par un but après un face à face gagné contre le gardien de la sélection.
Fin du match, le public et les joueurs se hâtent afin d'éviter l'orage qui s'annonce. Sur le plan du jeu, peu d'enseignement à tirer car, comme le dit Jean Pierre Papin, ce ne fut rien d'autre qu'un entraînement ...
En première période, Jean-Pierre Papin avait aligné une équipe à caractère offensif, avec 3 vrais attaquants et un milieu récupérateur solide :
Les premières minutes furent à mettre à l'actif d'une sélection régionale, bien décidée à remuer leur « prestigieux » adversaire. Mais rapidement, c'est le Racing qui prend la direction des opérations avec notamment un Rangelov très remuant aux avants postes, bien aidé par quelques percées d'Idangar ou des bonnes montées de Celestini. Cette domination est vite récompensée dès la 24ème minute, quand Johansen d'un coup franc coté gauche offre à un Loué, bien affûté et débarrassé de ses kilos superflus, l'ouverture du score. « Gronaldinho » comme le surnomme ses camarades de jeu gratifiera même le public d'une célébration pour le moins originale. Sur l'action suivante, Leyti N'Diaye, auteur d'une bonne mi temps, est tout proche de doubler la mise mais sa tête passe au dessus. Sur le banc, les sourires et le chambrage sont de mise, avec un Gameiro très en forme dans son rôle de joyeux drille. Du coté de la sélection, on note quelques belles séquences de jeu, mais les rares actions dangereuses sont souvent annihilées par le déchet dans la dernière passe. La défense strasbourgeoise, emmenée par Locatteli et Bellaïd n'a donc pas eu grand-chose à réaliser. Quelques instants avant la pause, Idangar sur une nouvelle accélération coté gauche tente de servir Rangelov, encore bien placé, mais c'est le malheureux Ghenzy, défenseur de Bischheim, qui dévie le ballon dans son propre but. L'arbitre siffle la mi temps sur ce score de 2-0 et déjà les enfants et même les plus grands se précipitent sur les joueurs, dans l'espoir de recueillir un autographe ou une photo. Tous les joueurs s'y prêtent avec le sourire.
En seconde période, JPP fait tourner son effectif, mis à part Schneider, Loué, Idangar et Perbet. La composition fut la suivante :
Changements effectués:
60': Perbet par Zenke
63': Idangar par Rangelov
69': Loué par Bah
Moins d'occasions franches à noter durant cette période coté Racing. On remarquera les belles accélérations d'Abou, la technique balle au pied de Gasmi, la percussion de De Gea ou encore la vitesse de pointe assez phénoménale du jeune Zenke (sur une action, il parvient à griller la politesse à toute la défense). Mais c'est la sélection régionale qui s'illustre en premier avec ce tir de Ernst, l'attaquant de Vauban, que Cassard détourne de belle manière, sous les applaudissements du public. En fin de match, c'est Simon Zenke qui voit son activité récompensée par un but après un face à face gagné contre le gardien de la sélection.
Fin du match, le public et les joueurs se hâtent afin d'éviter l'orage qui s'annonce. Sur le plan du jeu, peu d'enseignement à tirer car, comme le dit Jean Pierre Papin, ce ne fut rien d'autre qu'un entraînement ...