Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

La FFF

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Flux RSS 211 messages · 17.647 lectures · Premier message par bouquenom · Dernier message par superdou

  • fuchsi a écrit, le 2010-06-28 22:08:34 :
    J'avoue que cela me laisse dubitatif.


    Ne t'inquiètes pas, la FIFA ne fera strictement rien à ce sujet, sinon qu'elle aille voir comment est dirigée la fédération de Corée du Nord.
  • Je ne suis pas inquiet, je suis simplement curieux de connaitre de quelles voies de recours la FIFA dispose réellement si elle souhaite mettre ses menaces à éxécution (Ce qui n'arrivera bien entendu pas. Pour le Togo et le Timor Oriental, cela passe, mais la France est un trop gros poisson).
    O:)
  • A part suspendre notre participation aux compétitions qu'elle organise, je ne vois pas en quoi elle pourrait nous imposer quoique ce soit, par exemple au niveau financier. :))
  • Pour quel motif légal ? :-/


    Bon apparemment, pas besoin de motif, c'est comme dans une dictature (+)

    lequipe.fr a écrit :
    Valcke : «Ni menace ni conseil»


    Monté au créneau dans la matinée pour rappeler ses prérogatives au gouvernement français, suite à l'échec retentissant des Bleus au premier tour du Mondial, mais surtout suite aux propos tenus dans la foulée par sa ministre des Sports, Roseline Bachelot, à l'égard du président de la Fédération française, Jean-Pierre Escalettes («sa démission est inéluctable», avait-elle déclaré sur RTL), Jérôme Valcke a précisé samedi soir le fond de sa pensée. Interrogé dans l'émission Mondial & Co, en direct sur L'Equipe TV, le secrétaire général de la Fifa a expliqué qu'il ne s'agissait «ni d'une menace ni d'un conseil». «La Fifa a seulement rappelé un certain nombre de règles, à savoir pas de mélange des pouvoirs et pas de mélange entre le monde politique et sportif, a-t-il déclaré. Que le sport garde son autonomie de gestion, c'est un principe fondamental.»


    Alors qu'il n'était pas rentré dans les détails, plus tôt en conférence de presse, Valcke a ensuite précisé la nature de «l'intervention assez simple», selon lui, que la Fifa pourrait entreprendre si besoin. «Du moment où il y a une preuve, qu'il y a eu une quelconque interférence politique, la première décision est de suspendre, a-t-il rappelé. Ensuite, quand la suspension est active, il faut voir comment les choses peuvent évoluer. Mais pendant la suspension, ce qui est sûr, ce qu'il n'y a plus aucune capacité pour ce pays de jouer dans aucune compétition internationale».


    Concernant en revanche les incidents à répétition qui sont survenus au sein du groupe France, durant la compétition, et notamment la grève des joueurs, Jérôme Valcke s'est montré moins strict, mais tout aussi explicite. «Ce n'est pas l'image qu'on veut faire passer à travers le foot», a-t-il reconnu. Pour autant, «il n'y a pas de sanction possible, a-t-il assuré. Aucun règlement, aucun article ne prévoit des sanctions pour ce genre d'incidents».
  • Qui pour succéder à Escalettes ?

    Jean-Pierre Escalettes démissionnaire, c'est de sa succession dont il va être question dans les prochaines heures. Les noms de Fernand Duchaussoy et de Bernard Désumer circulent en coulisses. Celui de l'ancien président du PSG, Alain Cayzac, également.

    Les textes sont clairs. En cas de « vacance » de la plus haute marche de l'exécutif fédéral, un nouveau président par intérim doit être nommé jusqu'à l'Assemblée générale élective suivante. On peut donc en déduire que le véritable nouveau patron du foot français sera connu le 18 décembre prochain, date prévue de cette AG. En attendant, le président par intérim devra forcément être issu du Bureau fédéral de la FFF, composé de huit membres : Frédéric Thiriez, Fernand Duchaussoy, Noël Le Graët, Christian Teinturier, Gervais Martel, Jacques Léger, Bernard Désumer et Henri Monteil.
    Ensuite ? Tout est possible. Le big-bang provoqué par l'équipe de France au coeur de l'hiver austral a glacé les ambitions de certains. A contrario, Noël le Graët se verrait bien en vengeur masqué, soutenu par la toute puissante machine du monde professionnel. En fin stratège, le Breton, roi de la tirelire, sait qu'il peut compter sur des soutiens de poids tels que Thiriez ou Houllier. Le DTN serait d'ailleurs tenté par l'aventure. En revanche, le football amateur pourrait être le grand perdant de l'affaire. L'élection de Duchaussoy ou Désumer marqueraient une stagnation, voire un retour en arrière dans la quête d'un professionnalisme accru à la FFF.

    Cayzac, l'autre alternative

    Reste une option, inédite. Celle d'un candidat indépendant. Selon nos informations, une piste, loin d'être utopique, mène à Alain Cayzac, proche de Gérard Houllier et Nicolas Sarkozy. Vu le contexte, cela peut être utile. Publicitaire de renom, dirigeant historique du PSG, Cayzac aurait sans doute aimé conseiller Escalettes. Le désormais ex-président de la FFF n'aura donc pas bénéficié de l'expérience de celui qui dispose sans doute du meilleur carnet d'adresses de la place parisienne. Fin psychologue, on l'écoute. Sa voix posée fait mouche. Le football français pourrait avoir besoin d'un tel CV. Prendre du recul, réfléchir, compter sur le soutien indéfectible de ses pairs, voilà ce qu'on attend du successeur d'Escalettes. Se comporter en patron également. Des qualités que l'on prête volontiers à Cayzac.

    RMC
  • Le GRaet est déja le président de Guimgamp
    Il risquerait pas un moment donné de plus etre totalement neutre ?
  • Il n'avait pas déjà été président de la Ligue ?
  • Si, entre 1991 et 2000.
  • Je commence déjà à le regretter Escalette à la vue du Putsch du foot pro sur la fédé ...

    Un pays ou le président nomme le président de la télé et le président des fédérations sportives. Vous appelez ça comment :-/
  • Un Etat Providence ? :'>
  • Un Exécutif dynamique ? L'hyper-présidence ? La France du général De Gaulle ? O:)
  • samh a écrit, le 2010-06-29 06:13:15 :
    Pour quel motif légal ? :-/


    Bon apparemment, pas besoin de motif, c'est comme dans une dictature (+)




    C'est assez connu, la Fifa ne supporte pas que d'autres instances viennent interférer avec son fonctionnement. Il me semble d'ailleurs que si un club venait à outre passer les règlements et les instances de la Fifa, en cherchant un recours par voie juridique (sans l'accord de la Fifa), le pays du club pouvait se voir exclure quelques années...
  • comme ce qui est arrivé au togo
  • La FIFA n'a rien à voir avec ce qui est arrivé au Togo [-X
  • Il faudrait mener l'enquête, si la Fifa lorgne sur des mines d'or et de diamant dans la région...
  • En tout cas, factuellement parlant, la FIFA avait bel et bien suspendu la sélection du Togo des compétitions internationales pour un cas d'ingérence.
    Tout comme elle avait privé provisoirement de toutes compétitions internationales la sélection du Pérou, alors que les éliminatoires du Mondial 2010 avaient démarré, en raison du fait que le président de la Fédération péruvienne de football n'avait pas été reconnu par le gouvernement local en novembre 2008. :-B
  • Le foot français, du premier remplaçant au dernier journaliste c'est que des imbéciles, la Fifa a raison de mettre le holà, parce que si les députés s'en mêlent, ça fait un sacré sac de tocards.
  • fuchsi a écrit, le 2010-06-29 12:13:53 :
    En tout cas, factuellement parlant, la FIFA avait bel et bien suspendu la sélection du Togo des compétitions internationales pour un cas d'ingérence.


    Faux, c'est la CAF qui avait suspendu le Togo pour les 2 prochaines CAN avant (il me semble) d'annuler cette suspension.
    La FIFA n'a pas géré ce dossier. :-B
  • Exact, c'est bel et bien la CAF qui avait suspendu le Togo avant de revenir sur sa décision.
  • "La confédération africaine de football, également connue sous le nom de CAF, est l'organisme qui regroupe, sous l'égide de la FIFA, les fédérations de football du continent africain."(Wiki)


    Vous vous imaginez bien que pour une décision aussi importante, la FIFA a eu son mot à dire.
  • Oui peut-être et c'est bien pour ça qu'ils ont sans doute retiré la suspension. :)
  • Depuis, quand une organisation internationnale ne peut-elle pas revenir sur sa décision en raison de l'évolution de la situation ?
    Elle avait procédé exactement de la même manière en 2008 avec le Pérou, par l'intermédiare de la CONMEBOL.
  • Tu as raison.

    Et sinon la FFF ?
  • Ben, c'est pas le Pérou. :D
  • Le monde

    Petit lien vers ce que je prédisais sur le post de l'EDF
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