Que des villas "futuristes" surgissent de la terre aride, que des voitures rutilantes dament le macadam, que les deniers publics soient pillés, que le patrimoine national soit bradé, que l'impunité ait pignon sur rue, "moi ça m'en fout" comme le dit la chanson populaire !
paru dans le Bendré, hebdomadaire d'information et de réflexion burkinabè, le 16.12.2002
"De ses propres mains, Pierre Rabhi a transmis la Vie au sable du désert... Cet homme très simplement saint, d'un esprit net et clair, dont la beauté poétique du langage révèle une ardente passion, a fécondé des terres poussiéreuses avec sa sueur, par un travail qui rétablit la chaîne de vie que nous interrompons continuellement".