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- Par k-nar
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Cet après-midi (15h30) le Racing se déplace chez le PFC Litex Lovech afin de poursuivre son parcours en coupe UEFA. Un 16e de finale qui s'annonce plus compliqué qu'il n'y parait, chez un adversaire qui tentera de vaincre avant de venir à la Meinau.
C'est par un temps glacial que le Racing s'emploiera à poursuivre sa belle aventure européenne, chez un adversaire solide, régulièrement placé en championnat (4e à la trêve), capable même de jouer les premiers rôles comme le confirme ses deux titres de 1998 et 99.
Lovech doit sa qualification en 16e de finale à deux belles victoires sur les Grasshopper de Zurich ainsi que sur Dienpropetrovsk, deux clubs habitués aux joutes continentales.
Contrairement au Racing, qui telle une abeille affolée pilonne en vain la fenêtre du maintien, Lovech est une équipe qui fait preuve de stabilité, une stabilité qui risque de poser bien des problèmes, mais qui ne doit pas effrayer les Strasbourgeois jusqu'ici brillants en coupe d'europe.
Quel schéma tactique ?
Le principal point d'interrogation concerne la stratégie avec laquelle le Racing abordera la rencontre, sachant qu'il aura le bénéfice de recevoir au match retour. Si Lovech risque fort de jouer avec ses deux attaquants de pointe que sont Novakovic et Sandrinho (tous deux buteurs face au Grasshoppers) dans un 4-4-2 classique, on peut penser que le Racing jouera la prudence en vue du match retour, dans quel cas Jacky Duguépéroux pourrait opter pour un schéma avec un seul attaquant de pointe, qui devrait logiquement être Kévin Gameiro, épaulé d'ailiers rapides qui pourraient bien être Ulrich Le Pen et Amara Diané dans un 4-1-4-1 déjà vu à Bordeaux qui condamnerait Alexander Farnerud à s'asseoir sur le banc. Un schéma qui permettrait au Racing de gérer sa rencontre de manière à ne pas prendre de but, en espérant pouvoir placer quelques contres qu'on espère assassins.
La défense en question
Alors que le Racing éprouvait un mal fou à marquer des buts pendant des mois, voilà qu'il rencontre des carences défensives qui ont connu leur apogée au cours du match face à Ajaccio, malgré le retour dans l'axe de Karim Haggui. Carences dues notamment à des erreurs individuelles qui on fait dire à Jacky Duguépéroux que jamais l'équipe n'a été au diapason cette saison.
Face à une équipe en phase de reprise ayant réussi de bons matches amicaux (victoire sur l'Etoile Rouge de Belgrade ainsi que sur le Rapid Bucarest), doté de joueurs « très techniques » comme le rappelle l'ex-Messin Caillet, il faudra faire preuve d'autrement plus de concentration, d'autant plus que le club bulgare, auteur du meilleur parcours de son histoire en UEFA, aura bien l'intention d'intimider une équipe qui a maintes fois prouvé sa frilosité en déplacement cette saison. En revanche, du côté de Lovech, la défense ne semble pas poser de problème, n'ayant encaissé que 10 buts en 14 matches de championnat, alors que l'attaque est pour le moins efficace avec 25 buts à son actif grâce notamment à son buteur slovaque Novakovic auteur de 5 réalisations en dix matches de championnat, mais aussi de 2 buts en UEFA.
Un défi physique
Outre la température encore plus fraîche dans ces contrées qu'aux abords du Krimmeri, les Strasbourgeois devront faire face à un véritable défi physique, puisqu'en face d'eux ce sont des gaillards d'une moyenne de 185 cm pour 76 kilos qui leur feront face ! Un combat dans lequel Edgar Loué ne sera pas de trop ; pour mémoire l'équipe strasbourgeoise a une moyenne de 180cm pour 74 kilos.
Les équipes probables
Strasbourg:
Lovech:
Lovech doit sa qualification en 16e de finale à deux belles victoires sur les Grasshopper de Zurich ainsi que sur Dienpropetrovsk, deux clubs habitués aux joutes continentales.
Contrairement au Racing, qui telle une abeille affolée pilonne en vain la fenêtre du maintien, Lovech est une équipe qui fait preuve de stabilité, une stabilité qui risque de poser bien des problèmes, mais qui ne doit pas effrayer les Strasbourgeois jusqu'ici brillants en coupe d'europe.
Quel schéma tactique ?
Le principal point d'interrogation concerne la stratégie avec laquelle le Racing abordera la rencontre, sachant qu'il aura le bénéfice de recevoir au match retour. Si Lovech risque fort de jouer avec ses deux attaquants de pointe que sont Novakovic et Sandrinho (tous deux buteurs face au Grasshoppers) dans un 4-4-2 classique, on peut penser que le Racing jouera la prudence en vue du match retour, dans quel cas Jacky Duguépéroux pourrait opter pour un schéma avec un seul attaquant de pointe, qui devrait logiquement être Kévin Gameiro, épaulé d'ailiers rapides qui pourraient bien être Ulrich Le Pen et Amara Diané dans un 4-1-4-1 déjà vu à Bordeaux qui condamnerait Alexander Farnerud à s'asseoir sur le banc. Un schéma qui permettrait au Racing de gérer sa rencontre de manière à ne pas prendre de but, en espérant pouvoir placer quelques contres qu'on espère assassins.
La défense en question
Alors que le Racing éprouvait un mal fou à marquer des buts pendant des mois, voilà qu'il rencontre des carences défensives qui ont connu leur apogée au cours du match face à Ajaccio, malgré le retour dans l'axe de Karim Haggui. Carences dues notamment à des erreurs individuelles qui on fait dire à Jacky Duguépéroux que jamais l'équipe n'a été au diapason cette saison.
Face à une équipe en phase de reprise ayant réussi de bons matches amicaux (victoire sur l'Etoile Rouge de Belgrade ainsi que sur le Rapid Bucarest), doté de joueurs « très techniques » comme le rappelle l'ex-Messin Caillet, il faudra faire preuve d'autrement plus de concentration, d'autant plus que le club bulgare, auteur du meilleur parcours de son histoire en UEFA, aura bien l'intention d'intimider une équipe qui a maintes fois prouvé sa frilosité en déplacement cette saison. En revanche, du côté de Lovech, la défense ne semble pas poser de problème, n'ayant encaissé que 10 buts en 14 matches de championnat, alors que l'attaque est pour le moins efficace avec 25 buts à son actif grâce notamment à son buteur slovaque Novakovic auteur de 5 réalisations en dix matches de championnat, mais aussi de 2 buts en UEFA.
Un défi physique
Outre la température encore plus fraîche dans ces contrées qu'aux abords du Krimmeri, les Strasbourgeois devront faire face à un véritable défi physique, puisqu'en face d'eux ce sont des gaillards d'une moyenne de 185 cm pour 76 kilos qui leur feront face ! Un combat dans lequel Edgar Loué ne sera pas de trop ; pour mémoire l'équipe strasbourgeoise a une moyenne de 180cm pour 74 kilos.
Les équipes probables
Strasbourg:
Lovech:
