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- Côté tribunes
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Ce second match de la saison à la Meinau face à Troyes, laisse le supporteur du Racing avec des sentiments mitigés. Récit de la rencontre dominicale.
Qui dit retour au stade, dit présentation obligatoire du pass sanitaire. Les équipes sont maintenant rodées et la formalité ne prend que quelques secondes. Le beau temps snobe l’Alsace ce qui fait que les abords du stade sont moins animés qu’il y a deux semaines. D’ailleurs, les tribunes sont le bon endroit pour se protéger de la pluie qui accompagnera toute l’après-midi.
Un peu plus de 22 000 spectateurs ce qui semble la jauge cette saison en attendant une affiche alléchante. Coté Troyen, le parcage est rempli d’une bonne centaine de supporteurs visiteurs. Ils seront actifs pendant tout le match, deux bâches étant posées. Magic Troyes 1997 et 1986 reprenant l’année de création du club.
Le kop est évidemment plein comme à son habitude. Pas d’animations particulières au coup d’envoi mais une invitation des capos à brandir les drapeaux qui sont répartis un peu partout ou tout simplement à tendre son écharpe pour mettre un peu de bleu dans les yeux des joueurs. C’est toujours sympa, surtout quand l’ambiance décolle rapidement. On sent la motivation du public comme des joueurs même si c’est Troyes qui domine la première mi-temps sur le terrain. Cela n’empêche pas une partie des ultras de faire tomber la chemise et de chanter à pleins poumons. Le capo propose de reprendre le fameux chant sur l’air de vive le vent d’hiver, pensant peut-être que nous sommes déjà dans la saison de Noël avec une telle météo.
Le but troyen ne fait pas faiblir les chants, au contraire le peuple bleu semble décidé à peser sur le rectangle vert afin de permettre au Racing d’ouvrir son compteur point en championnat. Il sera récompensé en fin de match par un but d’Adrien Thomasson. Les cœurs sont soulagés et les chœurs peuvent s’enflammer, les tribunes poussent avec notamment un puissant « aux armes » repris aux 4 coins du stade. Un peuple uni et fidèle essaie de faire basculer la rencontre sur l’air des lacs du Connemara, mais cette ferveur retrouvée ne sera pas suffisante. Malgré une bonne seconde période les bleus pêchent dans finition et resteront à égalité avec les roses troyens.
On fait donc contre mauvaise fortune bon cœur en se contentant du point du match nul, même si pour beaucoup il est temps de refaire le match devant une tarte flambée et une boisson fraiche. Qu’importe la température, chanter pendant 90 minutes donnent toujours soif à la Meinau.
Un peu plus de 22 000 spectateurs ce qui semble la jauge cette saison en attendant une affiche alléchante. Coté Troyen, le parcage est rempli d’une bonne centaine de supporteurs visiteurs. Ils seront actifs pendant tout le match, deux bâches étant posées. Magic Troyes 1997 et 1986 reprenant l’année de création du club.
Le kop est évidemment plein comme à son habitude. Pas d’animations particulières au coup d’envoi mais une invitation des capos à brandir les drapeaux qui sont répartis un peu partout ou tout simplement à tendre son écharpe pour mettre un peu de bleu dans les yeux des joueurs. C’est toujours sympa, surtout quand l’ambiance décolle rapidement. On sent la motivation du public comme des joueurs même si c’est Troyes qui domine la première mi-temps sur le terrain. Cela n’empêche pas une partie des ultras de faire tomber la chemise et de chanter à pleins poumons. Le capo propose de reprendre le fameux chant sur l’air de vive le vent d’hiver, pensant peut-être que nous sommes déjà dans la saison de Noël avec une telle météo.
Le but troyen ne fait pas faiblir les chants, au contraire le peuple bleu semble décidé à peser sur le rectangle vert afin de permettre au Racing d’ouvrir son compteur point en championnat. Il sera récompensé en fin de match par un but d’Adrien Thomasson. Les cœurs sont soulagés et les chœurs peuvent s’enflammer, les tribunes poussent avec notamment un puissant « aux armes » repris aux 4 coins du stade. Un peuple uni et fidèle essaie de faire basculer la rencontre sur l’air des lacs du Connemara, mais cette ferveur retrouvée ne sera pas suffisante. Malgré une bonne seconde période les bleus pêchent dans finition et resteront à égalité avec les roses troyens.
On fait donc contre mauvaise fortune bon cœur en se contentant du point du match nul, même si pour beaucoup il est temps de refaire le match devant une tarte flambée et une boisson fraiche. Qu’importe la température, chanter pendant 90 minutes donnent toujours soif à la Meinau.
