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- Après-match
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- Par marc
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Face à un insipide FC Metz, le Racing n'a pas su concrétiser ses multiples occasions. Il laisse la victoire à son adversaire par le plus petit des scores. Le derby de l'Est est encore grenat et le gâchis strasbourgeois.
1000 Strasbourgeois, un temps glacial, un terrain presque gelé, deux équipes en difficulté, l'un au niveau de son jeu, l'autre au niveau du classement... le deuxième derby du Racing en ce début décembre avait tout pour plaire au coup d'envoi ! Au final, alors que toute l'Alsace était confiante sur un bon résultat du RCS chez son voisin malade, c'est la Lorraine qui sourit après la victoire du FC Metz ce soir, sur le plus petit des scores.
Pourtant, le début de match était assez équilibré avant de tourner à l'avantage des Strasbourgeois (les 11 même que face à Sochaux). Meilleurs à la récupération (avec un bon Bassila), meilleurs dans la circulation du ballon, meilleurs dans le pressing, les Racingmen dominent les Grenats dans ce début de match. Toujours à la peine à domicile où ils n'arrivent pas à développer leur jeu, les Messins ne donnent pas l'impression d'avoir les armes pour inquiéter le RCS avec le seul Gueye en attaque, complètement abandonné par ses coéquipiers et notamment par Sébastien Renouard.
Peu d'occasions de but en ce début de match mais quelques offensives notamment avec un tir contré de Johansen, un déboulé de Niang ou encore une offensive de Gueye pour Metz qui est trop court face à Cassard. A la 17ème minute, Salim Arrache adresse une excellente bonne frappe que Wimbée repousse après une belle envolée. Quelques minutes plus tard, c'est le premier événement de la rencontre : Mickaël Pagis, très bon jusque là, sort sur blessure se plaignant des côtés (on craignait une fracture mais les résultats sont finalement rassurants). Il est remplacé par Alexander Farnerud. Ainsi, le Racing découvre peut être au plus mauvais moment à quoi ressemble la vie sans son meilleur buteur, véritable métronome de l'équipe depuis le début de championnat.
Malgré ce coup dur, le Racing prend de plus en plus le match à son compte avec notamment un Mamadou Niang qui pose beaucoup de problèmes à la défense lorraine. A l'approche de la demi heure de jeu, le Racing se crée une énorme occasion avec un coup franc astucieusement joué par Mamadou Niang qui ne le tire pas directement mais qui décale Boka sur la gauche, le centre du petit Ivoirien trouve Farnerud au point de pénalty, le Suédois manque malheureusement de panache et ne place son ballon que Wimbée peut capter sereinement.
Jusque là, les Messins n'ont pas montré grand chose. Babacar Gueye ne peut rien faire seul en pointe tandis que Franck Ribéry est inexistant. Toutefois, les Messins vont connaître 5 minutes de folie en cette fin de première mi-temps avec Gueye qui bute d'abord sur Cassard, uis Ribéry qu'on voit enfin et qui tergiverse avant d'être contré par Cassard encore lui. La poussée collective messine finit cependant par payer puisqu'à la 41ème minute, Sébastien Renouard profite d'une remise de la tête de Gueye pour adresser un tir précis du gauche qui fait mouche avec l'aide du poteau. Pour ce qui est quasiment sa première occasion du match, les Grenats ouvrent la marque alors qu'à l'origine de l'action, les Strasbourgeois jouaient une remise en touche. Gros coup derrière la tête pour les Bleus et blancs qui tenaient bien la barre lors de la première demi heure de jeu. La mi-temps est sifflée et le Racing ne peut que regretter d'avoir levé le pied pendant un court instant.
Après un bon début des Messins, ce sont les Strasbourgeois qui reprennent le jeu à leur compte. Les occasions se multiplient avec notamment ce décalage de Farnerud pour Abdessadki qui tire au but depuis l'angle de la surface de réparation malgré le retour de Signorino. Son tir meurt quelques centimètres au dessus des cages de Wimbée. Quelques instants plus tard, on retrouve Abdessadki suite à un excellent centre de Salim Arrache en direction du deuxième poteau, le Franco Marocain reprend le ballon de la tête mais Wimbée s'impose superbement.
A la 63ème minute, M. Vileo ferme les yeux sur une charge très dure de Medhi Meniri sur Alexander Farnerud. Le penalty aurait pu être sifflé, mais l'arbitre en a décidé autrement. Les Strasbourgeois continuent d'attaquer avec notamment Niang qui multiplie les offensives tout en puissance. Dans un festival de fautes, le match se poursuit de la même façon mais rien ne se passe avant les arrêts de jeu où Devaux puis Niang sont à deux doigts de marquer sur des coups francs d'Arrache à gauche puis d'Abdessadki à droite. Le Sénégalais aurait pu égaliser mais son tir en pivot passe juste à côté.
Le Racing peut s'en vouloir, il avait de quoi faire mieux ce soir mais par la faute à un manque d'efficacité (comme à Marseille) mais aussi d'orgueil, il n'a su concrétiser ses occasions de but. Face à des Messins mauvais pendant quasiment tout le match, le Racing n'aurait jamais du perdre mais comme les cinq autres derniers au classement de la Ligue 1, il concède les trois points. Strasbourg a donc raté le coche de prendre l'air mais finalement, perdre à St-Symphorien devient une habitude pour les Racingmen...
Dans sa position, Strasbourg a brûlé son joker et il n'a pas le droit à un autre résultat qu'une victoire face à des Rennais (victorieux ce soir) le week end prochain. On risque de regretter tôt ou tard ces points lâchés...
Pourtant, le début de match était assez équilibré avant de tourner à l'avantage des Strasbourgeois (les 11 même que face à Sochaux). Meilleurs à la récupération (avec un bon Bassila), meilleurs dans la circulation du ballon, meilleurs dans le pressing, les Racingmen dominent les Grenats dans ce début de match. Toujours à la peine à domicile où ils n'arrivent pas à développer leur jeu, les Messins ne donnent pas l'impression d'avoir les armes pour inquiéter le RCS avec le seul Gueye en attaque, complètement abandonné par ses coéquipiers et notamment par Sébastien Renouard.
Peu d'occasions de but en ce début de match mais quelques offensives notamment avec un tir contré de Johansen, un déboulé de Niang ou encore une offensive de Gueye pour Metz qui est trop court face à Cassard. A la 17ème minute, Salim Arrache adresse une excellente bonne frappe que Wimbée repousse après une belle envolée. Quelques minutes plus tard, c'est le premier événement de la rencontre : Mickaël Pagis, très bon jusque là, sort sur blessure se plaignant des côtés (on craignait une fracture mais les résultats sont finalement rassurants). Il est remplacé par Alexander Farnerud. Ainsi, le Racing découvre peut être au plus mauvais moment à quoi ressemble la vie sans son meilleur buteur, véritable métronome de l'équipe depuis le début de championnat.
Malgré ce coup dur, le Racing prend de plus en plus le match à son compte avec notamment un Mamadou Niang qui pose beaucoup de problèmes à la défense lorraine. A l'approche de la demi heure de jeu, le Racing se crée une énorme occasion avec un coup franc astucieusement joué par Mamadou Niang qui ne le tire pas directement mais qui décale Boka sur la gauche, le centre du petit Ivoirien trouve Farnerud au point de pénalty, le Suédois manque malheureusement de panache et ne place son ballon que Wimbée peut capter sereinement.
Jusque là, les Messins n'ont pas montré grand chose. Babacar Gueye ne peut rien faire seul en pointe tandis que Franck Ribéry est inexistant. Toutefois, les Messins vont connaître 5 minutes de folie en cette fin de première mi-temps avec Gueye qui bute d'abord sur Cassard, uis Ribéry qu'on voit enfin et qui tergiverse avant d'être contré par Cassard encore lui. La poussée collective messine finit cependant par payer puisqu'à la 41ème minute, Sébastien Renouard profite d'une remise de la tête de Gueye pour adresser un tir précis du gauche qui fait mouche avec l'aide du poteau. Pour ce qui est quasiment sa première occasion du match, les Grenats ouvrent la marque alors qu'à l'origine de l'action, les Strasbourgeois jouaient une remise en touche. Gros coup derrière la tête pour les Bleus et blancs qui tenaient bien la barre lors de la première demi heure de jeu. La mi-temps est sifflée et le Racing ne peut que regretter d'avoir levé le pied pendant un court instant.
Après un bon début des Messins, ce sont les Strasbourgeois qui reprennent le jeu à leur compte. Les occasions se multiplient avec notamment ce décalage de Farnerud pour Abdessadki qui tire au but depuis l'angle de la surface de réparation malgré le retour de Signorino. Son tir meurt quelques centimètres au dessus des cages de Wimbée. Quelques instants plus tard, on retrouve Abdessadki suite à un excellent centre de Salim Arrache en direction du deuxième poteau, le Franco Marocain reprend le ballon de la tête mais Wimbée s'impose superbement.
A la 63ème minute, M. Vileo ferme les yeux sur une charge très dure de Medhi Meniri sur Alexander Farnerud. Le penalty aurait pu être sifflé, mais l'arbitre en a décidé autrement. Les Strasbourgeois continuent d'attaquer avec notamment Niang qui multiplie les offensives tout en puissance. Dans un festival de fautes, le match se poursuit de la même façon mais rien ne se passe avant les arrêts de jeu où Devaux puis Niang sont à deux doigts de marquer sur des coups francs d'Arrache à gauche puis d'Abdessadki à droite. Le Sénégalais aurait pu égaliser mais son tir en pivot passe juste à côté.
Le Racing peut s'en vouloir, il avait de quoi faire mieux ce soir mais par la faute à un manque d'efficacité (comme à Marseille) mais aussi d'orgueil, il n'a su concrétiser ses occasions de but. Face à des Messins mauvais pendant quasiment tout le match, le Racing n'aurait jamais du perdre mais comme les cinq autres derniers au classement de la Ligue 1, il concède les trois points. Strasbourg a donc raté le coche de prendre l'air mais finalement, perdre à St-Symphorien devient une habitude pour les Racingmen...
Dans sa position, Strasbourg a brûlé son joker et il n'a pas le droit à un autre résultat qu'une victoire face à des Rennais (victorieux ce soir) le week end prochain. On risque de regretter tôt ou tard ces points lâchés...
