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- Par marc
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Les jeunes du Racing se sont brillamment qualifiés pour les 16ème de finale de la Gambardella en disposant du Red Star 93 sur le score sans appel de 4 à 1. Après la finale l'an dernier, le Racing semble à nouveau capable d'aller loin dans la compéti
Une chose est sûre, le centre de formation du Racing commence à porter ses fruits. Les -18 ans qui se sont rendus à Saint Ouen ont montré de belles choses même si la première mi-temps fut plutôt d'un faible niveau. Sous les ordres d'un François Keller très présent auprès de ses protégés, les espoirs du Racing ont largement dominé leurs adversaires du jour.
Sous les yeux d'environ 150 spectateurs dont une grande partie était acquis à la cause strasbourgeoise, les Alsaciens se montrent les premiers dangereux avec un coup franc qui passe au ras des buts des locaux (10ème minute). Sidi Yaya Keita se distingue grâce à sa bonne vision du jeu au poste meneur en posant bien la ballon. Devant, Rudy Carlier occupe bien la terrain et multiplie les appels. Derrière, Habib Bellaïd, le capitaine du Racing, se distingue par une classe naturelle et sauve même son camp à la 18ème minute sur une grosse erreur de Vergerolle, au marquage très lâche sur l'ailier des Verts.
C'est à ce moment que des « Allez Strasbourg » commencent à s'élever des tribunes, Ricardo Faty ou encore Jean-Christophe Vergerolle faisant bénéficier leur équipe du soutien de leurs copains d'enfance venus des banlieues proches. Visiblement, ce soutien spontané ne rassure pas l'arrière garde alsacienne, Bellaïd et Régis Gurtner, le portier strasbourgeois, étant sur le point d'offrir un but gag sur une mésentente malvenue. Les Verts ont des facilités à rentrer dans la surface strasbourgeoise mais ne parviennent pas à trouver le chemin des filets, Anis Bouziane n'étant pas très à l'aise au poste de stoppeur.
A la 34ème, Celestini adresse une bonne frappe après avoir percer la défense francilienne mais le ballon passe au dessus. A la 43ème, Yannick Imbs, très en vue lors de ce match, déborde sur le côté droit mais son centre en retrait pour Carlier est malheureusement capté par le gardien. Sur la contre attaque, Bellaïd montre toute sa classe en réalisant un retourné acrobatique de toute beauté en défense.
L'arbitre s'apprête à siffler la mi-temps mais suite à une charge limite sur Carlier, il désigne le point de pénalty. Carlier se fait justice lui-même et prend à contre pied le portier parisien. Les équipes rentrent aux vestiaires sous les « Merci l'arbitre » ironiques des partisans du Red Star.
Le Racing est supérieur à son adversaire mais aurait pu se faire prendre à plusieurs reprises sur des erreurs défensives visiblement pas réservées aux pros de Ligue 1. Le match reprend et la physionomie est toute autre, François Keller ayant sans doute dû resserrer les boulons pendant la pause.
L'ambiance est toujours aussi chaude dans ce stade Bauer délabré et visiblement cela inspire Yannick Imbs qui adresse une lointaine frappe enroulée du gauche de toute beauté, frappe que le portier parisien ne peut repousser (47ème). 2-0 pour le Racing. Strasbourg commence maintenant son festival et, dans la minute qui suit le but, Comande, le numéro 11 alsacien, perd un face à face avec la gardien. Dans la foulée, Carlier s'échappe sur la droite et adresse un centre ajusté sur la tête de Faty, le frère du Rennais Jacques Faty, tête qui passe juste au dessus des buts du Red Star. Ricardo Faty, le géant strasbourgeois, a permuté en deuxième mi-temps avec Keita et son apport au milieu de terrain a dynamisé l'attaque strasbourgeoise. A la 53ème, après un festival de Faty justement, Vergerolle essaye sa lourde frappe qui n'est pas loin de faire mouche. Dans la foulée, Comande perd un nouveau face à face suite à une récupération de l'éternel Faty, soutenu par sa famille venue d'Epernay sur Seine.
La montée en puissance des jeunes Bleus se poursuit en deuxième mi-temps et le Racing semble serein. D'autant plus serein que Faty alourdit le score d'une frappe des 16mètres (69ème). Deux minutes plus tard, Carlier s'amuse de son défenseur en mutlipliant les grisgris, il réussit à centrer pour Comande dont la lourde reprise passe juste au dessus. Sur l'occasion suivante, Kyvelidis qui vient de faire son entrée part en face à face et gagne son duel avec le gardien (en deux fois) pour inscrire le quatrième but alsacien, sur son premier ballon (78ème).
Le public lance des « Olé olé » qui poussent les Racingmen à jouer à la passe à dix. Le Racing est maintenant sûr de gagner et déroule son jeu. Dans les arrêts de jeu, le Red Star parviendra tout de même à réduire le score d'une frappe croisée que Gurtner ne peut repousser (92ème).
Les espoirs, malgré une première période un peu brouillon, ont montré d'excellentes qualités en deuxième période. Nul doute, qu'ils sont capables d'aller loin dans la compétition. François Keller se montra satisfait de la performance de ses joueurs même s'il admet avoir bénéficié de l'apport de certains joueurs de la CFA Tout ça est de bon augure pour un Racing en plein renouveau qui peut maintenant compter sur sa classe biberon pour l'avenir.
Composition du RCS : Gurtner - Celestini, Bellaid, Bouziane, Vergerolle - Imbs, Faty, Keita, Alimli - Carlier, Comande. Comande, Alimli et Imbs ont laissé leur place à Binet, Kyvelidis et Schneider au cours de la seconde période.
Sous les yeux d'environ 150 spectateurs dont une grande partie était acquis à la cause strasbourgeoise, les Alsaciens se montrent les premiers dangereux avec un coup franc qui passe au ras des buts des locaux (10ème minute). Sidi Yaya Keita se distingue grâce à sa bonne vision du jeu au poste meneur en posant bien la ballon. Devant, Rudy Carlier occupe bien la terrain et multiplie les appels. Derrière, Habib Bellaïd, le capitaine du Racing, se distingue par une classe naturelle et sauve même son camp à la 18ème minute sur une grosse erreur de Vergerolle, au marquage très lâche sur l'ailier des Verts.
C'est à ce moment que des « Allez Strasbourg » commencent à s'élever des tribunes, Ricardo Faty ou encore Jean-Christophe Vergerolle faisant bénéficier leur équipe du soutien de leurs copains d'enfance venus des banlieues proches. Visiblement, ce soutien spontané ne rassure pas l'arrière garde alsacienne, Bellaïd et Régis Gurtner, le portier strasbourgeois, étant sur le point d'offrir un but gag sur une mésentente malvenue. Les Verts ont des facilités à rentrer dans la surface strasbourgeoise mais ne parviennent pas à trouver le chemin des filets, Anis Bouziane n'étant pas très à l'aise au poste de stoppeur.
A la 34ème, Celestini adresse une bonne frappe après avoir percer la défense francilienne mais le ballon passe au dessus. A la 43ème, Yannick Imbs, très en vue lors de ce match, déborde sur le côté droit mais son centre en retrait pour Carlier est malheureusement capté par le gardien. Sur la contre attaque, Bellaïd montre toute sa classe en réalisant un retourné acrobatique de toute beauté en défense.
L'arbitre s'apprête à siffler la mi-temps mais suite à une charge limite sur Carlier, il désigne le point de pénalty. Carlier se fait justice lui-même et prend à contre pied le portier parisien. Les équipes rentrent aux vestiaires sous les « Merci l'arbitre » ironiques des partisans du Red Star.
Le Racing est supérieur à son adversaire mais aurait pu se faire prendre à plusieurs reprises sur des erreurs défensives visiblement pas réservées aux pros de Ligue 1. Le match reprend et la physionomie est toute autre, François Keller ayant sans doute dû resserrer les boulons pendant la pause.
L'ambiance est toujours aussi chaude dans ce stade Bauer délabré et visiblement cela inspire Yannick Imbs qui adresse une lointaine frappe enroulée du gauche de toute beauté, frappe que le portier parisien ne peut repousser (47ème). 2-0 pour le Racing. Strasbourg commence maintenant son festival et, dans la minute qui suit le but, Comande, le numéro 11 alsacien, perd un face à face avec la gardien. Dans la foulée, Carlier s'échappe sur la droite et adresse un centre ajusté sur la tête de Faty, le frère du Rennais Jacques Faty, tête qui passe juste au dessus des buts du Red Star. Ricardo Faty, le géant strasbourgeois, a permuté en deuxième mi-temps avec Keita et son apport au milieu de terrain a dynamisé l'attaque strasbourgeoise. A la 53ème, après un festival de Faty justement, Vergerolle essaye sa lourde frappe qui n'est pas loin de faire mouche. Dans la foulée, Comande perd un nouveau face à face suite à une récupération de l'éternel Faty, soutenu par sa famille venue d'Epernay sur Seine.
La montée en puissance des jeunes Bleus se poursuit en deuxième mi-temps et le Racing semble serein. D'autant plus serein que Faty alourdit le score d'une frappe des 16mètres (69ème). Deux minutes plus tard, Carlier s'amuse de son défenseur en mutlipliant les grisgris, il réussit à centrer pour Comande dont la lourde reprise passe juste au dessus. Sur l'occasion suivante, Kyvelidis qui vient de faire son entrée part en face à face et gagne son duel avec le gardien (en deux fois) pour inscrire le quatrième but alsacien, sur son premier ballon (78ème).
Le public lance des « Olé olé » qui poussent les Racingmen à jouer à la passe à dix. Le Racing est maintenant sûr de gagner et déroule son jeu. Dans les arrêts de jeu, le Red Star parviendra tout de même à réduire le score d'une frappe croisée que Gurtner ne peut repousser (92ème).
Les espoirs, malgré une première période un peu brouillon, ont montré d'excellentes qualités en deuxième période. Nul doute, qu'ils sont capables d'aller loin dans la compétition. François Keller se montra satisfait de la performance de ses joueurs même s'il admet avoir bénéficié de l'apport de certains joueurs de la CFA Tout ça est de bon augure pour un Racing en plein renouveau qui peut maintenant compter sur sa classe biberon pour l'avenir.
Composition du RCS : Gurtner - Celestini, Bellaid, Bouziane, Vergerolle - Imbs, Faty, Keita, Alimli - Carlier, Comande. Comande, Alimli et Imbs ont laissé leur place à Binet, Kyvelidis et Schneider au cours de la seconde période.
