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- Après-match
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- Par superdou
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Un match nul, dans tous les sens du terme, dont la seule chose à retenir est ce point précieux ramené de Corse, après une bagarre surtout tactique, au cours de laquelle les défenses ont pris le pas sur les attaques.
C'est un match qui s'annonçait comme capital ce soir. Le Racing aurait en effet pu se retrouver dans une situation inconfortable en cas de défaite sur l'Île de Beauté. Réceptions des grosses équipes à la Meinau, déplacements chez les équipes moyennes, les matchs à venir sont plutôt délicats à gérer. Une victoire en Corse aurait pu permettre aux Strasbourgeois de retrouver confiance, mais aussi un nombre de points nécessaires pour passer une fin de saison tranquille.
Dès le départ pour Ajaccio, une mauvaise surprise attend Antoine Kombouaré. Vincent Fernandez, victime d'une gastro, a déclaré forfait. Benjamin Delin a donc été rappelé, et Nicolas Bonis en profite pour jouer son premier match de la saison en tant que titulaire.
Pour ce match en Corse, le coach alsacien a décidé d'aligner un 4-4-2 devenu classique où, hormis la titularisation de Bonis, seule la présence de Camadini était inattendue. Le régional de l'étape a été préféré à Guillaume Lacour. Le joueur du mois de janvier selon les Stubistes a pris place sur le banc et n'est pas entré en jeu.
Le terrain très bosselé ne permet pas au Racing de développer son beau jeu habituel. Dommage pour la trentaine d'UB90 ayant fait le lointain déplacement.
Le match commence sur un bon rythme, dès la 3ème minute, Chapuis, tout seul, se retrouve face à face avec Trévisan, mais il manque le cadre à la suite d'un tir trop croisé. Les deux équipes font jeu égal, et les occasions sont rares. A la 16ème minute, une action rapide menée par Robin et Bagayoko permet à ce dernier de s'infiltrer dans la surface et de frapper de peu à côté alors que Bonis semblait en grande difficulté. Le Racing recule légèrement, ce qui permet à Ajaccio de se créer quelques occasions, pour la plupart anodines. A noter tout de même un corner très bien frappé par Diomède qui dépose le cuir sur le crâne de Bagayoko contré in-extrémis. Le Racing se fait de plus en plus dominer, et à la 41ème minute, Loko, dos au but, remise de la poitrine pour Diomède qui feinte puis frappe des vingt mètres. La balle passe de peu au-dessus du cadre. La mi-temps arrive, l'impression moyenne reste très mitigée, le Racing étant dominé, et les contres étant rares.
La deuxième mi-temps reprend hélas sur le même faux rythme. Au point que Mouloungui est remplacé par Alexander Farnerud à la 54ème minute, afin de provoquer une réaction alsacienne. Camadini est lui remplacé par Abdessadki à la 57ème minute. Pourtant, aucune occasion n'est à signaler, ni d'un coté, ni de l'autre, le Racing semblant se contenter d'un point ce soir.
Il faut attendre la 65ème minute pour voir la première occasion de cette mi-temps, et elle est Strasbourgeoise. Alexander Farnerud tourne son défenseur en bourrique sur le coté gauche, puis arrive à centrer en retrait sur Abdessadki, qui envoie un boulet de canon directement sur Trévisan, hélas. Le coaching de Kombouaré a failli être plus que payant sur ce coup là. Le match n'est pas vraiment dur, contrairement au match aller, pourtant, l'arbitre Jean-Marc Bonnin a tout de même réussi à avertir Devaux, Ehret, Abdessadki et Bassila coté Strasbourgeois, Danjou et Terrier coté ajaccien. Strasbourg décide enfin de pousser un peu dans les dix dernières minutes, mais aucune occasion n'est à signaler.
C'est ainsi que s'achève le match. Le Racing était venu pour prendre un point, et a parfaitement rempli sa mission, même s'il y avait la place pour faire mieux. Le Racing reste à la 12ème place, 8 points devant le premier relégable, Montpellier, et à 7 points du groupe d'équipes visant l'Europe, actuellement emmené par Nantes.
Dès le départ pour Ajaccio, une mauvaise surprise attend Antoine Kombouaré. Vincent Fernandez, victime d'une gastro, a déclaré forfait. Benjamin Delin a donc été rappelé, et Nicolas Bonis en profite pour jouer son premier match de la saison en tant que titulaire.
Pour ce match en Corse, le coach alsacien a décidé d'aligner un 4-4-2 devenu classique où, hormis la titularisation de Bonis, seule la présence de Camadini était inattendue. Le régional de l'étape a été préféré à Guillaume Lacour. Le joueur du mois de janvier selon les Stubistes a pris place sur le banc et n'est pas entré en jeu.
Le terrain très bosselé ne permet pas au Racing de développer son beau jeu habituel. Dommage pour la trentaine d'UB90 ayant fait le lointain déplacement.
Le match commence sur un bon rythme, dès la 3ème minute, Chapuis, tout seul, se retrouve face à face avec Trévisan, mais il manque le cadre à la suite d'un tir trop croisé. Les deux équipes font jeu égal, et les occasions sont rares. A la 16ème minute, une action rapide menée par Robin et Bagayoko permet à ce dernier de s'infiltrer dans la surface et de frapper de peu à côté alors que Bonis semblait en grande difficulté. Le Racing recule légèrement, ce qui permet à Ajaccio de se créer quelques occasions, pour la plupart anodines. A noter tout de même un corner très bien frappé par Diomède qui dépose le cuir sur le crâne de Bagayoko contré in-extrémis. Le Racing se fait de plus en plus dominer, et à la 41ème minute, Loko, dos au but, remise de la poitrine pour Diomède qui feinte puis frappe des vingt mètres. La balle passe de peu au-dessus du cadre. La mi-temps arrive, l'impression moyenne reste très mitigée, le Racing étant dominé, et les contres étant rares.
La deuxième mi-temps reprend hélas sur le même faux rythme. Au point que Mouloungui est remplacé par Alexander Farnerud à la 54ème minute, afin de provoquer une réaction alsacienne. Camadini est lui remplacé par Abdessadki à la 57ème minute. Pourtant, aucune occasion n'est à signaler, ni d'un coté, ni de l'autre, le Racing semblant se contenter d'un point ce soir.
Il faut attendre la 65ème minute pour voir la première occasion de cette mi-temps, et elle est Strasbourgeoise. Alexander Farnerud tourne son défenseur en bourrique sur le coté gauche, puis arrive à centrer en retrait sur Abdessadki, qui envoie un boulet de canon directement sur Trévisan, hélas. Le coaching de Kombouaré a failli être plus que payant sur ce coup là. Le match n'est pas vraiment dur, contrairement au match aller, pourtant, l'arbitre Jean-Marc Bonnin a tout de même réussi à avertir Devaux, Ehret, Abdessadki et Bassila coté Strasbourgeois, Danjou et Terrier coté ajaccien. Strasbourg décide enfin de pousser un peu dans les dix dernières minutes, mais aucune occasion n'est à signaler.
C'est ainsi que s'achève le match. Le Racing était venu pour prendre un point, et a parfaitement rempli sa mission, même s'il y avait la place pour faire mieux. Le Racing reste à la 12ème place, 8 points devant le premier relégable, Montpellier, et à 7 points du groupe d'équipes visant l'Europe, actuellement emmené par Nantes.
