Notre belle Alsace
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kitlOn dénonce inlassablement le nombre de parlementaires comme scandale absolu, cela relève pourtant de la même logique arithmétique simpliste que la réduction du nombre de régions.
Pourquoi tant de députés ? Parce que les Nordistes ou Parisiens (départements les plus peuplés) doivent être davantage représentés que les citoyens résidant en Lozère ou en Creuse. Il y a toute une proportionnalité dans le calcul, on peut le modifier mais on risque de perdre en représentativité.
Pourquoi le Sénat existe ? Il représente les collectivités territoriales et sert de contrepoids appréciable parfois. Il est censé incarner une forme de continuité, mais qui vire plutôt à l'immobilisme certes. -
Voilà ce que deviendrait l'Europe si toutes les régions en quête d'indépendance l'obtenaient:
(cliquer pour agrandir) -
Ah, parce que l'Alsace est "une région en quête d'indépendance" ? On parle des 0,8 % qui votent Alsace d'abord ? La bonne blague. Idem pour la Bretagne au passage, ou la Savoie, l'ancien comté de Nice, etc. L'identité alsacienne, c'est des panneaux en alsacien, des noms de rues traduits, des micro-brasseries et des rayons "alsatiques" dans les librairies. Il faut être lucide, le dire franchement, à part 2-3 mecs sur le stub ici, un ou deux au Racing une fois par mois, le militantisme autonomiste ou indépendantiste n'est même pas minoritaire, il est quasi-inexistant.
Elle est un peu forte de café cette carte, et je ne parle pas du Schleswig-Holstein.. -
En même temps sur le coup de réduire le nombre d'élus, c'est un peu peanuts comme économies globalement.
Et puis comme si on était les seuls au monde à avoir deux chambres parlementaires.
On peut repenser la république pour une meilleure efficacité, pourquoi pas mais question gabegie on a vu pire. Bizarrement quand il s'agit de construire des trucs qui servent à rien pour plaire à Bouygues ça pose moins de problèmes. -
originalcrew a écrit, le 17/09/2014 14:31 : Ah, parce que l'Alsace est "une région en quête d'indépendance" ? On parle des 0,8 % qui votent Alsace d'abord ? La bonne blague. Idem pour la Bretagne au passage, ou la Savoie, l'ancien comté de Nice, etc. L'identité alsacienne, c'est des panneaux en alsacien, des noms de rues traduits, des micro-brasseries et des rayons "alsatiques" dans les librairies. Il faut être lucide, le dire franchement, à part 2-3 mecs sur le stub ici, un ou deux au Racing une fois par mois, le militantisme autonomiste ou indépendantiste n'est même pas minoritaire, il est quasi-inexistant.
Elle est un peu forte de café cette carte, et je ne parle pas du Schleswig-Holstein..
Il y a quelques mois j'aurai été d'accord avec toi, mais le contexte actuel fait que l'indépendance est "tendance" en Europe. La malchance de l'Alsace, c'est de ne pas avoir de personnalité forte pour incarner le mouvement autonomiste, car entre l'ex FN et maigretiste Cordonnier ou l'ex bobo-ecolo Munchenbach, il y a peu de prétendants sérieux. -
Une grande manifestation se prépare pour le samedi 11 octobre
La décision est prise : samedi 11 octobre, une grande manifestation réunira les partisans du Conseil d’Alsace pour peser sur la réforme territoriale engagée par le gouvernement.
Un collectif appellera à cette manifestation, collectif où se retrouveront les présidents des grandes collectivités (conseils régional et généraux), les parlementaires de la majorité alsacienne (UMP, UDI), les responsables des chambres consulaires notamment.
Le lieu de la manifestation n’est pas encore choisi. Mais la date a été fixée
http://www.dna.fr/politique/2014/09/07/une-grande-manifestation-se-prepare-pour-le-samedi-11-octobre -
" parce que l'Alsace est "une région en quête d'indépendance" ?"
Comment expliquer qu'une région, à la frontière de pays à l'économie florissante, se retrouve dans un tel marasme économique ?
C'est une situation anormale et intolérable. Et je l'affirme sans complexe, oui l'Alsace a besoin d'indépendance. C'est au delà des questions culturelles et ethniques. Rien à voir avec l'identité alsacienne, c'est tout faux ce discours.
L'Alsace doit pouvoir s'ouvrir à l'Europe et au monde.
La politique "générale" de Paris est un repli sur soi. Regardez, par exemple, le nombre de gamins germanophones aujourd'hui. C'est illogique. Les postes à pourvoir en Suisse ou en Allemagne par des français ne sont même plus pris par nos jeunes mais par les fils à papa "de l'intérieur" ayant fait Erasmus.
Enfin, à mes yeux, on aurait voulu tuer l'Alsace, on ne s'y serait pris autrement. Alors, une manière de sortir de la crise, c'est peut être s'affranchir d'un Etat centralisé et de Régions "vassalisées". -
Réforme territoriale : l’Alsace prépare sa riposte contre la fusion avec Champagne-Ardenne (Les Echos)
Avant la rencontre que leur a promis François Hollande, probablement début octobre, plusieurs élus, dont Philippe Richert, ont déposé ce mercredi matin à l’Elysée une pétition des Alsaciens contre « le mariage forcé avec Champagne-Ardenne ».
http://www.lesechos.fr/politique-societe/regions/0203783308447-lalsace-prepare-sa-riposte-contre-la-fusion-avec-champagne-ardenne-1043747.php -
L’Alsace relance son projet de collectivité unique contre la future “mégarégion”
23 sept. 2014,
L’Alsace ranime le projet d’une fusion de ses départements et de la région, pourtant rejeté dans les urnes en 2013. C’est la “seule alternative” à une fusion imposée avec la Lorraine et la Champagne-Ardenne, plaide la droite locale.
Largement dominées par l’UMP, les assemblées des conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin et celle du conseil régional ont adopté, lundi 22 septembre, un texte sonnant comme un message pour Paris, à moins d’une semaine des élections sénatoriales.
Il demande “au président de la République, au gouvernement et au Parlement d’abandonner la création d’une grande région” Champagne-Ardenne-Alsace-Lorraine. Et de “créer” à la place une collectivité unique en Alsace, issue d’une réunion des trois collectivités existantes, avec “une seule assemblée, un seul exécutif et un seul budget”.
Une grande région à trois, telle qu’elle a été votée par l’Assemblée nationale dans le cadre de la réforme territoriale, “est deux fois grande comme la Belgique. C’est insensé, ingérable”, a martelé le président UMP de la région, l’ancien ministre Philippe Richert. “Nous proposons une alternative à l’Alsace, mais aussi au gouvernement”, a-t-il fait valoir, en présence des présidents des deux conseils généraux, réunis symboliquement après les votes dans un petit village d’Alsace centrale, Saint-Hippolyte.
Lors d’un référendum organisé le 7 avril 2013, le projet de Conseil d’Alsace avait pourtant subi un revers, malgré les promesses d’un renforcement du poids de la plus petite région de France et de la réalisation d’économies par la mise en commun des moyens. Le “oui”, bien que majoritaire dans les suffrages exprimés au niveau régional, n’avait pas dépassé le seuil requis de 25 % des inscrits. Une majorité d’électeurs avait rejeté le projet dans le Haut-Rhin, où la droite était divisée.
Plan B
“Le contexte aujourd’hui est différent”, a souligné Guy-Dominique Kennel, le président UMP du conseil général du Bas-Rhin, qui verrait l’imposition d’une “mégarégion” comme un “déni de démocratie”. “Mais l’évolution institutionnelle est indispensable, c’est un constat ni de gauche ni de droite”, a-t-il affirmé, appelant le gouvernement à considérer “la proposition constructive des Alsaciens”. “Le sentiment d’injustice est un puissant moteur”, a mis en garde le patron UMP du conseil général du Haut-Rhin, Charles Buttner, refusant que l’Alsace soit la “variable d’ajustement” de la nouvelle carte des régions.
Sur les 122 élus des trois assemblées, 101 ont voté lundi en faveur du texte préparé par les trois présidents. La droite et le centre ont fait bloc, mettant les querelles intestines en sourdine, avec le soutien des écologistes. Les socialistes ont pour la plupart refusé de prendre part au vote, tenant une position d’équilibristes : ils n’ont pas fermé la porte au Conseil d’Alsace, mais uniquement comme plan B si le projet d’une grande région avec la Champagne-Ardenne n’était pas abandonné au profit d’une région Alsace-Lorraine, qu’ils appellent de leurs vœux.
Manifestation le 11 octobre
“Philippe Richert avait pris une position courageuse en se prononçant pour l’Alsace-Lorraine, mais là, il abandonne Jean-Pierre Masseret [le président PS de la région Lorraine, ndlr] en rase campagne pour des raisons politiques”, a déploré Pernelle Richardot, conseillère régionale PS.
“Un vote a eu lieu, l’Alsace-Lorraine a été balayée par les socialistes”, a estimé de son côté Philippe Richert. La seule alternative désormais, c’est le Conseil d’Alsace.”
Il n’est pas question pour les partisans du Conseil d’Alsace d’envisager un nouveau référendum, “pas possible matériellement” étant donné “l’urgence” de la situation, selon Philippe Richert. Alors que la réforme territoriale doit revenir au Sénat avant la fin de l’année, il estime que la balle est désormais dans le camp des sénateurs.
“Je ne vois pas comment ils pourraient ne pas se saisir du dossier” et voter un amendement favorable au Conseil d’Alsace, a estimé Philippe Richert. Le député PS strasbourgeois Philippe Bies a qualifié la relance de la collectivité unique de “pantalonnade” et de “jeu politicien”, sans chance d’aboutir. Les partisans de la collectivité unique appellent à une grande manifestation à Strasbourg le 11 octobre pour montrer leur détermination
PAR Xavier Sidaner (Source : Acteurs publics : http://www.acteurspublics.com/2014/09/23/l-alsace-relance-son-projet-de-collectivite-unique-contre-la-future-megaregion -
Manifestation contre la fusion Alsace-Lorraine samedi 11 octobre Source RUE89 : http://www.rue89strasbourg.com/index.php/2014/09/30/breve/nouvelle-manifestation-de-non-la-fusion-alsace-lorraine-le-20-septembre/
Le « mouvement citoyen d’opposition à la réforme territoriale » appelé « Non à la fusion Alsace Lorraine » s’est rallié à celui mené par des élus alsaciens de différentes sensibilités politiques mais majoritairement UMP pour organiser une manifestation, le samedi 11 octobre à 14h30, place de Bordeaux à Strasbourg. Le collectif citoyen avait déjà battu, seul, le pavé le samedi 28 juin. Environ 500 personnes avaient fait le déplacement à Strasbourg et à Colmar. Un regroupement avec la Lorraine était alors envisagé. Depuis, la Champagne-Ardenne a été intégrée à ce projet de regroupement de régions par les députés socialistes.
Parmi les élus opposés à cette réforme, on trouve les présidents des collectivités territoriales (département et région), les parlementaires de la majorité alsacienne (UMP) et du centre (UDI), ainsi que des élus locaux, en majorité de droite, d’extrême-droite, mais aussi quelques écologistes (Antoine Waechter et Jacques Fernique, conseiller régionaux EELV) et socialistes (dont Olivier Bitz, adjoint au maire de Strasbourg).
Lundi 22 septembre, 101 élus sur les 122 qui composent les trois assemblées territoriales alsaciennes ont adopté une délibération qui demande l’abandon du projet de création d’une grande région comprenant la Champagne-Ardenne, la Lorraine et l’Alsace, au profit d’un Conseil unique d’Alsace né de la fusion des deux départements et du Conseil régional.
Le Conseil unique d’Alsace, de nouveau à la mode
Plusieurs élus opposés au projet initial de conseil unique y sont devenus subitement favorables depuis le projet de réforme territoriale. C’est le cas par exemple de ceux du Front national, le conseiller municipal strasbourgeois et député européen (FN) Jean-Luc Schaffhauser ayant déjà annoncé sa présence. Une majorité d’électeurs alsaciens avaient voté oui (57,65% des suffrages exprimés) en avril 2013 lors du référendum sur le conseil unique, mais le Haut-Rhin s’était prononcé contre (55,74%) et le seuil nécessaire des 25% des inscrits n’avait pas été franchi dans le Bas-Rhin.
Plusieurs institutions ont aussi apporté leur soutien à ce rassemblement : la Chambre de Commerce et de l’Industrie, la Chambre des Métiers d’Alsace, la Chambre d’Agriculture d’Alsace et, plus étonnant, l’Office pour la Langue et la Culture d’Alsace (OLCA). Aucun collectif favorable à la fusion des régions n’est connu à ce jour. -
En fait, ça s'annonce tout pourri cette "manif" : un concert d'artistes régionaux assez ringards, entrecoupé de speechs outragés des édiles. Un bon vieux défilé aurait eu plus de gueule...
On aura plus d'écharpes tricolores et de cheveux gris-lunettes de presbytes-cravate au mètre carré que de quidams.
Un mois de préparation, des institutions (chambres consulaires, associations...) mobilisées pour un raout moisi.
Pardon si je singe le style Nostrad@chris68 ! :)) -
Effectivement, la manifestation ressemblera plus à quelques discours politiques entrecoupés de chansons de Jean-Claude Bader. Un vrai défilé aurait sans doute eu plus d'impact, même si la préfecture ne l'aurait probablement pas autorisé.
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La révolution des geraniums :D
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Très belle manifestation sous un beau soleil, du monde, tous les âges représentés, tous les coins de l'Alsace représentés, de nombreux drapeaux et même quelques maillots du Racing entr'aperçus. L'idée d'une scène était une très bonne idée, bien mieux qu'un défilé classique.
Vive le Racing, vive l'Alsace. -
Monsieur Buttner a-t-il poussé l'indécence jusqu'à être présent ?
Ou a-t-il poussé la tartufferie jusqu'à être absent ? -
Buttner était bien présent, avec la "majorité alsacienne" au grand complet.
On a eu droit à des concerts gratuits de JC Bader et Kansas, des harangues des présidents des chambres consulaires qui craignent de se faire absorber et quelques diatribes anti-parisiennes faciles.
Le soleil est venu à point nommé, l'ambiance bon enfant fut à peine agitée par quelques garnements ignares sifflant l'hymne national.
Mon a priori négatif a mis du temps à se dissiper, mais c'était finalement rigolo.
Je ne saurais donner d'estimation quant au nombre de personnes présentes. J'attends de voir FR3 Alsace pour avoir un avis ! -
Tiens visiblement il y avait aussi sur scène, le groupe des frères de @notresupporteurduracingderiodejaneiro
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matteo a écrit, le 11/10/2014 18:01 : Monsieur Buttner a-t-il poussé l'indécence jusqu'à être présent ?
Ou a-t-il poussé la tartufferie jusqu'à être absent ?
Bon on a évité Gilbert...c'est déjà pas mal sur les photos des DN on pouvait voir son principal rival Colmarien Bertrand Burger... -
kitl a écrit, le 11/10/2014 18:45 : J'attends de voir FR3 Alsace pour avoir un avis !
Comme beaucoup ! -
kitl a écrit, le 11/10/2014 11:09 : En fait, ça s'annonce tout pourri cette "manif" : un concert d'artistes régionaux assez ringards, entrecoupé de speechs outragés des édiles. Un bon vieux défilé aurait eu plus de gueule...
On aura plus d'écharpes tricolores et de cheveux gris-lunettes de presbytes-cravate au mètre carré que de quidams.
Un mois de préparation, des institutions (chambres consulaires, associations...) mobilisées pour un raout moisi.
Pardon si je singe le style Nostrad@chris68 ! :))
J'ai lu ton message avant de partir pour la manif et il m'a bien fait sourire, car au final, c'est ce qui est arrivé. Je trouvais que le concert de Kansas était vraiment décalé par rapport aux personnes présentes. Les discours ont été plus ou moins préparés ou alors nos chèrs édiles orateurs n'ont pas de prestance ou carrure, j'ai trouvé ça mou dans la forme et moyen dans le fond :(
Il manque vraiment un ou des leaders régionaux dans la culture et dans la politique, c'est l'article sur Germain Muller qui souligne cela encore plus. -
Ce sont les mêmes qui n'ont su porter le referendum de l'année passée, des mous du bulbe sans aucun fond. Il n'y a rien d'étonnant, ça en est triste. Pour ma part, si c'est pour gérer des lycées ou inaugurer des oeuvres d'art, des alsaciens ou des lorrains ça ne changera pas grand chose.
Le regret c'est de ne pas développer les forces de l'Alsace, de parler d'humanisme et ce qui a fait l'Alsace depuis des siècles. Le dernier grand politique "alsacien" était Zeller. Les élus d'aujourd'hui n'ont juste pas envie de partager leur pouvoir. -
Je n'apporte pas beaucoup de crédit à la classe politique en générale mais c'est sur que de rester chez soi et râler c'est facile.
Le fait qu'il n'y ai aucun vrai leader pour ce mouvement est regrettable mais nom de Dieu, c'est notre région, notre "Pays". L'organisation est ce qu'elle est, pourtant faire descendre dans la rue une dizaine de milliers d'Alsaciens est une belle performance quand même !
On va se laisser marcher sur la gueule encore combien de temps ?
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Je suis d'accord avec toi fer-de-lance, puisque j'y étais hier, mais là où je suis aussi d'accord avec Mediasoc, c'est que si on avait cette personnalité politique avec de la carrure, type Zeller, il y aurait encore plus de monde et un élan plus soutenu.
Un truc marquant encore, c'est la présence assez impressionnante d'élu, je ne parle pas des grands pontes qui étaient sur scène, mais des maires ou élus de beaucoup de communes. -
Cette manif n'a rien de spontané malheureusement. Elle a été portée sur les fonds baptismaux de la région (oh ironie) et organisée par la clique de l'UMP et d'employés territoriaux. Je trouve bien triste d'utiliser l'Alsace pour faire un meeting de campagne.
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L'Alsacien est légaliste - c'est comme çà - et il ne manifestera pas en-dehors d'un cadre juridique. D'ailleurs, jusqu'à présent, toute la protestation alsacienne a été très institutionnelle (motion des conseils généraux et régionaux, motion des communes, discussions des élus avec Hollande ou Valls, ...).
Pour ce qui est de "la clique" , est-ce de sa faute si les élus socialistes sont d'un avis différent sur la question (et un peu contradictoire d'ailleurs) ?
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