Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Association RC Strasbourg

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  • Il y a aussi eu le "Strasbourg Football depuis 1906" durant quelques mois en 2003. Un nom magnifique. :x
  • inutile de refaire le débat sur le changement de nom & de logo. Il y a les pour, les contres, mais 1 seul & unique Racing.
  • Je ne trouve pas ca inutile, c'est juste que c'est pas forcement le bon topic... O:)
  • Le RPSM est bien le seul changement de nom effectif depuis 1919, je l'ai bien précisé, comme j'ai bien précisé que durant la période sous l'annexion, tout a été fait pour conserver le sigle RCS.

    Concernant les changements successifs de noms durant l'année 1919, et le passage entre le FC Neudorf et le Racing Club de Strasbourg, il s'agit d'une péripétie (le club attirant au-delà du Neudorf, il décida à inclure Strasbourg dans son nom), puisque dès la fin de la Guerre, et pour marquer l'attachement de l'Alsace à la France, il a été décidé d'utiliser le nom du club du club le plus populaire en France, le RC Paris, et la couleur bleue, symbole national.

    Le nom Racing Club de Strasbourg est donc le symbole de cette Histoire tourmentée, un élément illustrant l'attachement de la Région toute entière à la France. Y ajouter Alsace est pour moi une négation de ce symbole, de cette Histoire, et au contraire, l'illustration d'un certain repli régionaliste, alors qu'au contraire, le Racing aspire à nouveau briller sur la scène nationale. Je passe sur l'indécente explication financière (argent contre saccage des symboles du club).

    Pardon pour le HS.
  • C'est doublement inutile puisque les protagonistes campent sur leur point de vue façon drôle de guerre ou chemins des dames & surtout car la décision est arrêtée pour à minima 2 saisons. A ce moment il sera intéressant de tirer 1 bilan de cette opération & de rediscuter sérieusement d'un retour au RCS.
  • athor a écrit, le 2013-03-21 10:55:39 :
    Le RPSM est bien le seul changement de nom effectif depuis 1919, je l'ai bien précisé, comme j'ai bien précisé que durant la période sous l'annexion, tout a été fait pour conserver le sigle RCS.

    Concernant les changements successifs de noms durant l'année 1919, et le passage entre le FC Neudorf et le Racing Club de Strasbourg, il s'agit d'une péripétie (le club attirant au-delà du Neudorf, il décida à inclure Strasbourg dans son nom), puisque dès la fin de la Guerre, et pour marquer l'attachement de l'Alsace à la France, il a été décidé d'utiliser le nom du club du club le plus populaire en France, le RC Paris, et la couleur bleue, symbole national.

    Le nom Racing Club de Strasbourg est donc le symbole de cette Histoire tourmentée, un élément illustrant l'attachement de la Région toute entière à la France. Y ajouter Alsace est pour moi une négation de ce symbole, de cette Histoire, et au contraire, l'illustration d'un certain repli régionaliste, alors qu'au contraire, le Racing aspire à nouveau briller sur la scène nationale. Je passe sur l'indécente explication financière (argent contre saccage des symboles du club).

    Pardon pour le HS.


    Je me fait l'avocat du diable Richert mais si on a ajouté Strasbourg car le club attirait au delà du Neudorf, la logique voudrait que l'on ajoute Alsace car le club attire au delà de Strasbourg. Ce n'est pas une négation mais un prolongement.

    Cela dit ma position sur le changement de nom & de logo est toujours la même : inutile, grossière et irrespectueuse.
  • Le Racing attire également au-delà de la Région, et même au-delà de France. On pourrait donc rebaptiser le Racing Club de Strasbourg Alsace France Europe Monde ? En 1919, les dirigeants ont remplacé Neudorf par Strasbourg. Là, on a simplement juxtaposé le nom de la Région (encore heureux, imaginez le Racing Club Alsace), et encore, pas pour les motifs que tu cites, mais pour des raisons financières.
  • Et je dirais politiquement incorrect B-)
  • La période durant laquelle il est né et s'est appelé Fussball-club Neudorf avec ses différentes variantes et son passage en Racing club de Strasbourg n'ont rien d'une péripétie), est aussi l'histoire du club. La période 1906-1919 appartient autant à l'histoire du club que celle qui est postérieure à 1919.

    Et je souscris à ton passage sur le fait que le changement de nom traduisait l'attachement de l'Alsace à la France et le fait que le modèle était celui RC Paris. A ce propos, de manière similaire, c'est pour cette raison que la couleur bleu ciel - RC Strasbourg sur le modèle du RC Paris - fait autant partie de l'histoire du club que le bleu roy.

    Et, en effet, à bien y réfléchir, c'est précisément parce que la France n'a en rien été reconnaissante aux alsaciens de l'attachement qu'elle leur a témoigné que les alsaciens ont compris qu'ils ne pouvaient compter que sur eux-même et qu'il n'avait qu'un seul vrai Heimat, l'Alsace. Je pense en effet que cette demande n'aurait jamais germé dans l'esprit des élus alsaciens en 2012 sans ce lourd passif.

    D'ailleurs, petite parenthèse, le football à Strasbourg a commencé avant même l'existence du Racing : le premier club de football à Strasbourg n'était pas le Racing (malheureusement), mais précisément un certain :
    « Football Club de Strasbourg » fondé fin 1892, début 1893.
  • echouafni a écrit, le 2013-03-21 10:10:20 :
    Le Racing a incarné la résistance face aux allemands nazis en jouant un jour avec des bas rouges (de sorte que les ciels et blancs devenaient le temps d'un match tricolores) et que le Racing a été pendant cette même guerre champion de... Dordogne !!! comme beaucoup d'alsaciens partis là-bas.

    Attention à préciser "comme beaucoup de Bas-Rhinois" (les Haut-Rhinois ayant été évacués dans le Gers et les Landes), sinon on va t'accuser de promouvoir le Grand-Bas-Rhin et de vouloir t'accaparer les subventions de Richert !
  • echouafni a écrit, le 2013-03-21 11:39:12 :
    La période durant laquelle il est né et s'est appelé Fussball-club Neudorf avec ses différentes variantes et son passage en Racing club de Strasbourg n'ont rien d'une péripétie),


    Ce n'est pas du tout ce que j'ai dit !
    Tu avances que le Racing a changé 6 fois de nom, dont 3 fois en 1919. C'est ce fait là que je qualifie de péripétie, puisque le FC Neudorf a changé de nom de nom pour le RC Neudorf le 19 janvier 1919, puis pour le RC Strasbourg-Neudorf, et enfin le Racing Club de Strasbourg le 23 septembre 1919. 3 changements en 9 mois donc...
  • Pourquoi pas, mais, dans ce cas-là, le passage du "Racing club de Strasbourg" à "Racing club de Strasbourg Alsace" n'est qu'une péripétie, une de plus. Rien de bien grave, donc. ;)
  • C'est effectivement une péripétie dans la longue et glorieuse Histoire du Racing Club de Strasbourg, mais une péripétie qui fait tâche et qui est irrespectueuse.

    (fin du HS pour moi)
  • Pour en revenir à la question initiale, des objets ont été rapatriés au centre avant le grand nettoyage ;)
  • alfredo71 ne va plus rien comprendre. Avez vous les trophées?

    Réponses:
    • Grand Bas-Rhin
    • Evacutation en Dordogne
    • Dans le Gers et les Landes aussi.
    • Champion de Dordogne (il va se demander ce que nous fumons)
    • Nazis!
    • Rasensport (c'est quoi ça?) Si je le lui dis sport de gazon il va se demander si Rasensport est la traduction allemande de cunilingus.
    • Neudorf
    • Subventions
    • Trophées à la poubelle sur ordre de Gardon (Non, ce n'est ni une truite, ni un perche, ni un brochet)
    • Pouliquen les a sauvés.
    • Changements de nom avec date.
    • Changement de nom peut mener à la disparition du club


    Il ne va plus oser revenir. :D :D :D

    Allez alfredo71, nous ne sommes pas méchants.
  • RCSA : l'union à l'association

    http://www.lalsace.fr/fr/images/8B59DA33-E6E8-48F1-AC15-E99B43D2A...

    Réunie jeudi dernier en assemblée générale, l'association amateur RCSA a enfin retrouvé la sérénité et le rôle obscur qu'elle n'aurait jamais quitté sans le comportement navrant et funeste des précédents hommes forts de la Société Anonyme propriétaire du club.

    En des temps pas si lointains, quand l'indélicatesse – au moins intellectuelle – des dirigeants de la Société Anonyme gestionnaire de l'équipe première générait des conflits sans précédent, l'événement aurait fait les gros titres de la presse dès le lendemain. Là, rien. Pourtant, l'assemblée générale de l'association amateur RCSA s'est bien déroulée – c'est le cas de le dire – jeudi à la Meinau.

    Pas de déclaration tapageuse à la sortie, ni de règlements de comptes : l'asso est retournée dans l'ombre dans laquelle elle a presque toujours vécu depuis sa création dans les années 1990. Une ombre qu'a aussi retrouvée son président Patrick Spielmann, accusé par Jafar Hilali d'abord, Frédéric Sitterlé ensuite – de façon plus virulente encore -, d'être l'empêcheur de tourner en rond.

    Depuis qu'il oeuvre en parfaite intelligence avec le nouveau et seul véritable patron du club, Marc Keller, il n'apparaît plus dans la lumière. Et l'association support, qui, rappelons-le, fait tourner le centre de formation (1), est redevenue ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : une chambre d'enregistrement de la politique impulsée par la section professionnelle qui, si elle en a perdu le statut en 2011, en a gardé le fonctionnement.

    Un symbolique pot de l'amitié

    Jeudi, toutes les décisions ont d'ailleurs été votées à l'unanimité. L'AG n'a pas duré plus d'une heure, hors questions diverses. Hors, aussi, le pot de l'amitié servi en clôture. Une tradition empreinte de convivialité qui avait disparu à l'époque où Spielmann, par moments isolé dans son propre camp, ferraillait pour sauver ce qui pouvait l'être.

    Aujourd'hui, le Racing consacre environ 20 % de son budget au centre, soit un peu plus de 900000 euros. C'est à la louche le montant du déficit de l'association à la clôture des comptes 2011-2012, après le départ de Sitterlé par une porte dérobée. « Avant la vente en 2009, la Société Anonyme finançait l'association à hauteur de 1,7 million d'euros par an » , rappelle P. Spielmann, « Hilali, puis Sitterlé ont cessé de l'alimenter. Nous sommes passés de 1,7 million annuel à zéro. Heureusement, grâce au reliquat de trésorerie de 600000 euros dont nous disposions après la vente du centre de formation à la Ville de Strasbourg en 2010, mais aussi à la réduction de certaines charges, nous avions en partie amorti la perte et limité le déficit 2011-2012 à 936000 euros. »

    Depuis, Marc Keller et ses actionnaires ont entrepris une cure d'assainissement des comptes de l'association. Fin juin, ils ont abandonné leur compte courant pour 800000 euros, dont 236000 dans la structure présidée par Patrick Spielmann (2). Avec clause de retour à meilleure fortune, c'est vrai. Mais l'histoire récente a prouvé que cette notion de ''meilleure fortune'' était plus qu'abstraite et aléatoire au Racing.

    241000 euros de solde positif en 2012-2013

    L'asso, qui aurait en principe dû clore le précédent exercice sur un gain infime de 5000 euros, affiche ainsi un solde positif de 241000 euros. Par ricochet, son déficit cumulé ne s'élève plus ''qu'à'' 695000 euros. Le budget 2013-2014 prévoit, lui, un excédent de 142000 euros. « En juin 2014, le trou sera donc ramené à 553000 euros » , détaille P. Spielmann, « Le chemin pour revenir à l'équilibre est encore long, mais nous le faisons main dans la main avec Marc. » La SAS a en effet repris le rôle de financeur de l'association que Sitterlé avait refusé de jouer en 2011-2012, après avoir publiquement affirmé le contraire. Avec les désastreuses conséquences que l'on sait.

    « Souvent, on me demande comment va le club » , raconte un Spielmann à qui sa mission bénévole procure de nouveau du plaisir. « Je réponds que sportivement, nous avons eu pas mal de scoumoune, que plus de la moitié de notre masse salariale est actuellement à l'infirmerie et que ça n'aide pas l'équipe, mais je souligne surtout que les coulisses sont pacifiées. »

    Avant l'arrivée de Marc Keller et son équipe, la paix était elle aussi devenue une notion abstraite et aléatoire. Depuis qu'elle est revenue, on n'en parle plus guère, à l'instar des trains qui arrivent à l'heure et n'intéressent personne. Mais après avoir si souvent défrayé la chronique lorsqu'elle était rompue, elle méritait bien ce ponctuel coup de projecteur.
    (1) Qu'on continue à appeler ainsi par commodité, même s'il n'en a plus le label.

    (2) Pour être précis, c'est la SAS (société par actions simplifiée) qui a abandonné 236000 euros dans l'association. Mais elle-même a bénéficié d'un abandon de 800000 euros de ses actionnaires.

    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par athor, via Site Officiel :
    L'ancien dirigeant et président d'honneur de l'association RC Strasbourg, René Guérard, est décédé à l'âge de 90 ans.
  • Son fils Daniel était pro au Racing à la fin des années 60.
  • Ce message est une brève publiée par athor, via Site officiel :
    Léonard Specht a été nommé président de l'Association support du club, en remplacement de Patrick Spielmann.
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