Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Ils viennent de nous quitter

Chargement...

Flux RSS 2393 messages · 457.833 lectures · Premier message par rcsforever · Dernier message par iuliu68

  • L'acteur britannique Bob Hoskins, célèbre pour son rôle dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, est mort mardi soir à l'âge de 71 ans, à la suite d'une pneumonie, a annoncé mercredi sa famille dans un communiqué transmis par son agent.
    Le Londonien rond et débonnaire, qui a commencé sa carrière cinématographique dans les années 1970, «s'est éteint paisiblement à l'hôpital la nuit dernière entouré de sa famille», selon le communiqué. «Nous sommes dévastés par la disparition de notre cher Bob», écrivent ses quatre enfants et sa deuxième femme Linda.

    Atteint de la maladie de Parkinson, il avait annoncé en 2012 qu'il mettait un terme à sa carrière. Dans son dernier rôle, Bob Hoskins jouait l'un des sept nains dans Blanche-Neige et le chasseur aux côtés de l'actrice américaine Kristen Stewart, sorti en 2012.

    Le Britannique s'est fait connaître du grand public avec son interprétation du détective Eddie Valiant en 1988 dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ? mêlant film et animation. Il a tourné pour les plus grands réalisateurs dans près de 70 films, dont Hook ou la revanche du Capitaine Crochet de Steven Spielberg, Super Mario Bros. ou, dans un tout autre registre, Le voyage de Félicia (Felicia's Journey) d'Atom Egoyan.
  • Le baron noir, un champion de 3 ans, décédé aujourd"hui à Auteuil :

    http://www.canalturf.com/interface/photosinfo/Scoop_065441_016_LE...

    RIP
  • pas vu le Grand Steeple-Chase de Paris :( :( :(
  • Le voici avec son final exceptionnel :



    Sinon, plus tôt dans la seconde on voit la chute fatale du baron noir à 30 secondes dans cette vidéo :

    Impossible d'afficher la vidéo YouTube _Pabe572M-Q via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=_Pabe572M-Q&format=json` resulted in a `403 Forbidden` response:
    Forbidden
    ]



    L'entraineur du gagnant du steeple est également l'entraîneur du baron noir. De la tristesse à la joie en quelques minutes.
  • Jack Brabham, légende de la formule 1, est mort

    L'ancien champion du monde de formule 1 Jack Brabham est décédé à 88 ans des suites d'une longue maladie du foie, ont annoncé lundi 19 mai sa famille et la Fédération automobile australienne.

    « C'est un jour très triste pour nous tous. Mon père est décédé paisiblement à la maison ce matin à l'âge de 88 ans. Il a eu une vie incroyable, accomplissant plus de rêves que n'importe qui d'autre », a déclaré l'un de ses trois fils, David Brabham, dans un communiqué.

    PREMIER CHAMPION AUSTRALIEN

    Au total, Jack Brabham a participé à 126 Grand Prix de 1955 à 1970, remportant 14 victoires, réussissant 31 podiums et 13 pole positions.

    Le pilote australien avait remporté le titre de champion du monde de formule 1 à trois reprises, en 1959 et 1960 avec l'écurie Cooper et en 1966 au volant d'une monoplace de sa propre écurie.

    Il devint ainsi le premier pilote à remporter un titre de champion du monde dans une voiture construite par ses soins, la Brabham BT19. La performance lui permet de remporter aussi le titre des constructeurs, en 1966, et à nouveau l'année suivante.

    http://www.ina.fr/video/AFE86000964/jack-brabham-enleve-le-grand-prix-de-l-acf-video.html

    L'un des épisodes fameux de sa carrrière a eu lieu en 1959, lorsque, à court de carburant, pendant le Grand Prix des Etats-Unis, il était parvenu à pousser sa Cooper Climax jusqu'à la ligne d'arrivée et décrocher ainsi la quatrième place. Elle lui a permis de remporter le titre de champion du monde F1, une première pour un Australien.

    « Ma voiture n'avait plus de carburant à environ 800 mètres de la ligne d'arrivée. Je ne pouvais rien faire d'autre que de la pousser jusqu'à ce qu'elle s'arrête. (...) Ç'a été une immense joie de découvrir, alors que j'étais allongé sur le sol, épuisé, que j'avais en fait gagné le championnat. C'était fantastique », racontait-il à l'Australian Broadcasting Corporation.

    La scène est visible à la fin de la vidéo ci-dessous.



    Le Monde
  • Mort de Wojciech Jaruzelski hier, à l'âge de 90 ans.
    Je reproduis l'article du Monde:


    Citation:
    Le général Wojciech Jaruzelski est mort dimanche 25 mai à l'âge de 90 ans, dans l'après-midi, à l'hôpital militaire de Varsovie. Hospitalisé à la mi-décembre 2012 pour une hémorragie dans les voies respiratoires, il connaissait des ennuis de santé depuis plusieurs années.

    Un homme se résume-t-il à un acte, aussi politique, aussi dramatique soit-il, accompli il y a trente-deux ans ? La réponse est oui, dans le cas du général Jaruzelski. Le 13 décembre 1981 est la date emblématique de sa vie, celle par laquelle il est entré dans l'Histoire, celle qui l'a hanté, aussi, jusqu'au seuil de son existence. Ce 13 décembre, à la tête du Conseil militaire de salut national (WRON), le général a proclamé l'« état de guerre » en Pologne, qui ne sera suspendu qu'en juillet 1983.
    « Notre terre natale est au bord du gouffre », dit-il alors dans son adresse célèbre aux Polonais, lors d'une allocution à la radio et à la télévision. « Chaos », « désespoir », « démoralisation », « terreur », « vendetta morale » figuraient parmi ses mots choisis, destinés à accuser le syndicat Solidarnosc, qui montait en puissance depuis près de deux ans, de tous les maux du pays.

    « Combien de temps la main tendue doit-elle rencontrer le poing serré ? », demandait-il, d'une voix terne, caché derrière ses lunettes épaisses, pour justifier la loi martiale. Une procédure pénale sommaire est mise en place. Les libertés de réunion, d'association, de manifestation sont suspendues. Les liaisons téléphoniques sont coupées, les frontières, fermées. La police a les pleins pouvoirs. Des milliers d'opposants, parmi les ouvriers, les sympathisants de Solidarnosc et les intellectuels engagés, sont alors incarcérés.

    Le général Jaruzelski a prétendu pendant plus de trente ans que le 13 décembre avait été un « mal nécessaire ». Il assurait que les troupes soviétiques seraient entrées en Pologne s'il n'avait pas adopté une mesure aussi radicale, face à une opposition devenue selon lui déraisonnable. Malgré les avertissements réels et les rappels à l'ordre formulés à l'époque par Moscou à l'égard de Varsovie, cette analyse a toujours été très contestée, que ce soit par les historiens ou les dirigeants de Solidarnosc.

    Wojciech Jaruzelski est né le 6 juillet 1923 à Kurow, près de Lublin, dans l'est de la Pologne, au sein d'une famille d'origine aristocratique, catholique et très antirusse. L'adolescent fait ses études chez les jésuites. Avec ses parents, il est déporté en Sibérie pendant la seconde guerre mondiale. Il doit couper du bois dans la neige épaisse, sous une lumière aveuglante, qui lui abîma ses yeux et le poussa par la suite à porter ses fameuses lunettes fumées. Malgré ces épreuves, il va servir la main qui l'a éreinté. « A l'époque, je détestais la Russie. Mais lorsque j'ai découvert le simple Russe, le Sibérien, qui partageait avec nous un quignon de pain, lorsque je l'ai vu souffrir comme nous, combattant au front jusqu'au sacrifice, j'ai révisé mon attitude à leur égard », expliqua le général dans une interview fleuve, accordée au quotidien Gazeta Wyborcza en 2004.

    En 1942, Wojciech Jaruzelski s'engage aux côtés de l'Armée rouge, contre les nazis. La carrière militaire de ce serviteur zélé de la cause communiste va s'accélérer après la guerre. Apparatchik en uniforme, il s'élève à chaque crise majeure subie par le régime, démontrant une loyauté sans faille. Il devient le plus jeune général du pays à 33 ans, en 1956, alors que des dizaines de manifestants sont tués à Poznan. En 1967 et 1968, il participe à l'offensive antisémite du pouvoir, menée en raison de l'hostilité du bloc soviétique à la guerre des Six-Jours. Des purges dans l'armée laissent des dizaines d'officiers de haut rang sur le carreau. Le général Jaruzelski exprimera plus tard ses regrets, évoquant son devoir d'obéissance envers Wladyslaw Gomulka, le premier secrétaire. En 1970, la répression contre les grévistes à Gdansk et Szczecin fait 45 morts et un millier de blessés, alors qu'il est ministre de la défense.

    Premier militaire de carrière à prendre la tête du parti communiste de son pays, en 1981, le général Jaruzelski est alors une figure peu connue des Polonais, même s'il était déjà membre du bureau politique depuis 1971. L'instauration de la loi martiale va le ranger aux yeux des Polonais et dans l'opinion internationale dans la catégorie des dictateurs. Il sera souvent comparé à Pinochet, un parallèle qui l'irritera au plus haut point par la suite.


    Figure paradoxale, Wojciech Jaruzelski a été à la fois l'incarnation du régime communiste – premier comptable de son appareil répressif et des violations des droits de l'homme – et l'un des principaux acteurs de la démocratisation pacifique de la Pologne. Dans le miracle historique que fut la table ronde, lancée au printemps 1989 entre le pouvoir et l'opposition, autour du syndicat Solidarnosc, le général ne fit pas obstacle. Au contraire, il initia le mouvement, dialoguant et trouvant un compromis avec ceux-là même qu'il avait auparavant pourchassés et emprisonnés. Preuve que rien n'est simple : l'un des principaux avocats du général Jaruzelski a été par la suite l'ancien dissident Adam Michnik, patron du quotidien Gazeta Wyborcza, scandalisé par les poursuites judiciaires lancées contre lui.

    Le général Jaruzelski n'a pas été invité à la cérémonie d'investiture de son successeur, Lech Walesa, en décembre 1990. Mais cette sortie par la petite porte n'était qu'un préambule. Comme dans tous les pays postcommunistes en transition, la question de la responsabilité morale et pénale des piliers de l'ancien régime s'est posée. Avec plus ou moins de vigueur, en fonction des majorités au pouvoir.

    Une première enquête parlementaire, conduite entre 1991 et 1995, n'a pas abouti. En 1996, la majorité de gauche, ex-communiste, a refusé de passer à la phase pénale, invoquant la « haute nécessité » dans laquelle s'était trouvé le général en décembre 1981. Mais en 2006, les frères Kaczynski sont au pouvoir. Ils lancent une « lustration » sévère contre les anciens collaborateurs de la police communiste et les cadres de l'ancien régime. C'est alors que l'Institut de la mémoire nationale, organisme très politisé qui gère toutes les archives et les dossiers individuels, accuse le général Jaruzelski d'avoir dirigé une association criminelle, responsable de la loi martiale.

    Une humiliation juridique et politique insupportable, pour cet homme ayant toujours porté son patriotisme en bandoulière. Les fronts judiciaires se sont ensuite multipliés contre le général, l'obligeant à répéter ses excuses, ses regrets, sa vision de l'histoire, au fil de ses livres et de mille entretiens à la presse internationale. Pour raisons médicales, il a été exempté du procès sur la loi martiale. Nous l'avions rencontré pour la dernière fois en octobre 2011, dans une chambre de l'hôpital militaire de Varsovie. Malgré sa grande faiblesse générale, il poursuivait sans relâche la plaidoirie de sa vie, pour son honneur. Les Polonais, eux, en particulier les nouvelles générations, ne savent plus ou si peu de quelles peines le communisme fut le nom. L'indifférence est une forme douce de condamnation.

    Piotr Smolar
  • L'état de guerre en 81 et la répression a Gdansk, je m'en souviens, c'était quelque chose... Je me souviens également de la comparaison avec Pinochet.

    Le paradoxe, c'est que vu de l'occident, il était le plus dur et le plus détesté des leaders des pays de l'est (Ceausescu était par exemple considéré comme modéré et moderne) et paradoxalement il est peut être celui qui s'est le mieux sortit de la chute du mur.
  • Décès de Jean-Pierre Haeberlin à 89 ans

    http://s-www.lalsace.fr/images/AFEF59E4-14D4-47F6-905D-719AACF3A3...

    Le célèbre restaurant étoilé l'Auberge de l'Ill à Illhaeusern a annoncé ce jeudi le décès de Jean-Pierre Haeberlin, 89 ans, cofondateur de cette institution avec son frère le chef Paul Haeberlin, décédé en 2008.

    «C'est avec beaucoup de tristesse que nous vous annonçons le décès de Jean-Pierre Haeberlin ce matin, grand homme de la gastronomie alsacienne qui a hissé l'Auberge de l'Ill au rang des 3 étoiles Michelin depuis 1967», a indiqué le restaurant dans un communiqué.

    Jean-Pierre Haeberlin, paysagiste et peintre de formation, a notamment construit avec son frère Paul au lendemain de la guerre le bâtiment de l'Auberge de l'Ill, et réalisé le jardin qui l'entoure.

    Tandis que son frère aîné était aux fourneaux, il a longtemps joué le rôle de directeur de salle.

    Aussi extraverti que son frère Paul était taiseux, Jean-Pierre formait avec lui un tandem inattendu.

    «C'est lui qui a étudié les Arts déco, c'était un artiste, un aiguillon pour mon père, sans lui il n'y serait jamais arrivé», a confié à l'AFP Marc Haeberlin, qui a repris le flambeau de son père Paul Haeberlin en cuisine.

    «Mon oncle faisait encore des tours en salle il y a quelques mois à peine», a raconté Marc Haeberlin. Mais son état s'est rapidement dégradé depuis, à la suite d'une maladie, a-t-il déploré.

    Le restaurant, temple incontesté de la gastronomie alsacienne et française, avait décroché sa première étoile au Guide rouge en 1952, puis sa deuxième en 1957.

    L'Auberge de l'Ill a gardé depuis 1967 ses trois étoiles de manière ininterrompue, performance très rare dans la gastronomie française.

    L'établissement, fréquenté par des têtes couronnées et des chefs d'Etats, mélange tradition et modernité. Ses plats fétiches sont la Mousseline de Grenouille «Paul Haeberlin» ou le Saumon Soufflé.

    Parmi les autres grandes créations du restaurant figurent la Truffe Souvarov, qui inspira Paul Bocuse, ami de toujours de la famille, la Brioche de Foie Gras ou encore la Pêche Haeberlin, une pêche pochée avec sabayon de champagne et glace pistache.

    Une place des frères Haeberlin

    Depuis sa création, Jean-Pierre était un pilier de l'histoire du célèbre restaurant. En 2012, la place principale d'Illhaeusern a pris le nom des deux frères, Paul et Jean-Pierre Haeberlin. Lors de l'inauguration, une plaque avait été dévoilée, en leur honneur, faisant référence aux talents de cuisinier de Paul et d'artiste peintre de Jean-Pierre. Le projet, à l'initiative du conseil municipal, consacre le rayonnement international de l'Auberge de l'Ill, devenue un véritable symbole pour le village et l'Alsace tout entière.

    Même à plus de 85 ans, Jean-Pierre Haeberlin continuait à faire le tour des tables, témoignant d'un amour des gens exceptionnel et d'une grande simplicité.

    L'Alsace
  • Le journaliste TV Benoît Duquesne est mort

    http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/file...

    Le journaliste de télévision Benoît Duquesne est mort à l'âge de 56 ans, a annoncé vendredi à l'AFP la chaîne France 2.

    Il a été retrouvé sans vie par un collègue dans sa péniche de l'île Saint-Denis, en banlieue parisienne, vers 12H30 et une autopsie doit être pratiquée, a-t-on appris de source policière.

    Diplomé de l'Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille, il avait longtemps travaillé à TF1, puis avait gagné France 2 où il animait le magazine d'informations "Complément d'enquête", après avoir été présentateur du journal de la chaîne publique.

    Pour des millions de téléspectateurs, il est resté célèbre pour avoir suivi en moto Jacques Chirac dans les rues de Paris le soir de son élection à la présidence de la République en 1995.

    Benoît Duquesne était né le 19 juillet 1957 à Roubaix (Nord). Titulaire d'une licence de droit, il obtient en 1983 le diplôme de l'Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille.

    Il entre ensuite à Europe 1 au service des informations générales.

    De 1988 à 1994, il est reporter à TF1 et couvre notamment la guerre du Golfe, le conflit en Bosnie et l'écroulement du régime communiste roumain pour le compte d'émissions comme "Le droit de savoir" et "Reportages".

    En 1994, il passe à France 2 et devient chef du service des informations générales jusqu'en août 1995. Cet été-là, il fait son entrée parmi les présentateurs des journaux télévisés (13 heures et 20 heures), comme remplaçant, jusqu'en 1997.

    Pendant dix ans (1997-2007), il est rédacteur-en-chef à France 2.

    A partir de 2001, il présente le magazine d'investigation "Complément d'enquête".

    En 2005, à la suite de la démission surprise de Christophe Hondelatte, il prend brièvement en charge la présentation du JT de la chaîne publique.

    En août 2007, il retrouve Europe 1, cette fois-ci au poste de directeur de la rédaction, tout en continuant d'assurer la présentation de "Complément d'enquête". En juillet 2008, la nouvelle direction de la radio le remercie.

    Depuis 2005, il animait également une émission sur la chaîne Public Sénat.

    Marié, Benoît Duquesne était le père de quatre enfants.

    (Orange)
  • Merde! Je l'ai encore vu hier soir (je sais!... c'est enregistré!) dans son excellent complément d'enquête.
  • Idem, j'avais entendu sa voix jeudi soir, sans imaginer qu'il s'agissait de sa dernière émission :(
  • Alfredo Di Stefano est décédé

    Alfredo Di Stefano, ancien joueur et président d'honneur du Real Madrid, est décédé ce lundi, deux jours après sa crise cardiaque, à l'âge de 88 ans.

    http://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/di-stefano-alfredo/1500000...

    Victime d'une crise cardiaque samedi et dans le coma depuis, Alfredo Di Stefano est décédé ce lundi. Le président d'honneur du Real Madrid était âgé de 88 ans. Double Ballon d'Or (1957, 1959), l'attaquant avait porté les couleurs du Real Madrid de 1953 à 1964 et y était devenu une légende en marquant plus de 300 buts. Il avait aussi soulevé cinq fois consécutivement la Coupe des clubs champions européens (1956, 1957, 1958, 1959, 1960) avec le club madrilène et a été champion d'Espagne huit fois. Né en Argentine, à Buenos Aires en 1926, il avait été naturalisé espagnol par la suite et avait porté les couleurs des deux pays sur la scène internationale (6 sélections avec l'Argentine, 31 avec l'Espagne). Il a aussi disputé deux matches avec la Colombie quand il évoluait aux Millionarios de Bogotá, mais la FIFA n'en a jamais tenu compte. Après sa carrière, il avait embrassé une carrière d'entraîneur, remportant notamment la Coupe des Coupes en 1980 avec Valence. Coach du Real de 1982 à 1984, il a aussi été à l'origine des débuts de la fameuse «Quinta del Buitre», génération dorée de joueurs formés au club composée de Butragueno, Pardeza, Sanchis, Michel et Vazquez.
    Florentino Perez s'exprimera à 19h00
    Dimanche, le Real Madrid avait annoncé que Di Stefano était dans «un état stable», mais qui demeurait «sérieux». Ce lundi, le club merengue a confirmé le décès annoncé par les médias espagnols, Marca et AS en tête, dans un communiqué intitulé : «Alfredo Di Stefano, le meilleur joueur de tous les temps qui a fait du Real le meilleur club du monde». «Le Real Madrid communique que son président d'honneur, Alfredo Di Stefano, est décédé à 17h15 à l'hôpital General Universitario Gregorio Marañón de Madrid. Le président du Real Madrid, Florentino Perez, et le comité directeur du club tiennent à exprimer leurs plus sincères condoléances ainsi que son amour et son affection à sa famille et ses amis. Le Real Madrid étend ces condoléances à tous les madridistas du monde et à ceux qui ressentent l'émotion de perdre le meilleur joueur de tous les temps.» Le club ajoute que Florentino Perez tiendra une conférence de presse à 19h00 ce lundi.

    Sur les réseaux sociaux, l'annonce du décès de Di Stefano a immédiatement provoqué une vague d'hommages.

    L'Equipe
  • Une légende s'en est allée... :(
  • Décès de Thierry Redler :(
    https://fbcdn-sphotos-c-a.akamaihd.net/hphotos-ak-xpa1/v/t1.0-9/p...
  • Une légende s'en est allée... :(
  • @pepito ne va pas s'en remettre...
  • et oui c'est jour de deuil...
  • Ouch! Il était "jeune" non?
  • 56 ans.
  • Robin Williams se serait suicidé...

    http://www.marlerblog.com/uploads/image/SNN0103RW-280_602539a.jpg
  • Albert Ebossé tué par un jet de pierre de ses propres supporters

    Drame en Algérie ! Selon les médias locaux, Albert Ebossé est décédé ce samedi soir. L'attaquant camerounais de 26 ans, meilleur buteur de la première division algérienne la saison passée avec 17 buts, a reçu un projectile sur la tête (provenant de la tribune des fans de son club) lors de la rencontre entre la JSK et l'USMA (1-2). Il souffrait d'un traumatisme cranien et n'a pas survécu après son transfert à l'hôpital.

    source: http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Un-joueur-tue-sur-le-terrain/492881
  • C'est révoltant !
    Mais visiblement "normal" en Algérie de balancer des trucs sur les joueurs de son propre club s'ils perdent des matchs.
    http://www.lagazettedufennec.com/actu/championnat/2462
  • Vivement un plan Leproux dans les stades algériens
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives