La SIG
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rcsforeverJe pense que le problème est mental pour les anciens, qui se fragilisent un peu plus à chaque défaite en finale, tel un cercle vicieux. Aussi vrai qu'un éventuel titre pourrait en appeler d'autres, une fois cette peur de l'échec disparue. -
En attendant, la défaite appelle la défaite
Ce problème mental concerne également le coach, dramatiquement inerte alors que son équipe prend l'eau et n'arrive même plus à remonter le ballon (!). Scène vue et revue depuis 2013... Cette faille de Collet est clairement identifiée mais chut, il est intouchable vu ses états de service.
Je persiste à croire qu'une saison caviardée dans les grandes largeurs aurait permis de crever l'abcès et d'arrêter cette spirale de l'échec. Mieux vaut faire 12ème ou un seul tour de playoffs que de se ridiculiser une fois de plus. -
La défaite (comme la victoire) est collective, personne ne dit le contraire. On perd d'un point au buzzer après avoir eu le tir de la gagne, la frontière entre l'échec et la gloire étant si mince que ça en est presque effrayant, te faisant passer du statut de héros à celui de zéro en une seconde. En cas d'égalisation de la SIG, comment avoir la certitude que ces petits détails qui font l'histoire du sport, ne nous seront pas favorables cette fois ?
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Absolument, rien n'est fini, il reste 2 matchs.
Ils l'ont fait contre l'Asvel, ils peuvent parfaitement le refaire contre Châlon.
Et si cela ne devait pas être le cas, merci de nous faire vivre de tels moments à l'heure où Monaco, Nanterre, Limoges, Pau et d'autres sont depuis un moment en vacances...
Et que Nancy est en Pro B ce qui aurait parfaitement pu nous arriver sans le retour de Collet...
Allez la Sig ! -
Kitl, j'aimerais que tu m'expliques quelque chose. Tu dis le coach dramatiquement inerte.
Ma question, si le coach avait fait un saut cabri, un monwalk, ou autres, ça aurait changé quoi ? -
Certains commentaires sont affligeants de méconnaissance du basket......il y a effectivement eu de mauvais choix sur les dernières minutes où on aurait pu davantage chercher les fautes et les lancers mais critiquer bêtement collet en disant que c'est un looser....arriver jusqu'en finale en partant de la dernière place c'est que le coach y est aussi pour quelque chose.. La série n'est pas finie, à une possession près la sig aurait parfaitement géré son match donc il faut rester mesuré dans son analyse....rdv à la fin pour tirer les conclusions....
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Je suis entièrement d'accord avec to.
En attendant l entraineur providentiel qui nous ferais gagner 5 titres de suite, je suis très bien avec collet qui envoie la sig tous les ans en final.
Même perdues ces finales constituent un palmarès impressionnant qui fait grandir le club et le pérennise.
Dans le cadre d'un dvt a long terme c'est un très beau parcours et des bases sont posées.
Comment penser qu'il serait plus profitable a la sig de gagner un titre tous les dix ans et terminer 12 eme le reste du temps ?
Attention à ne pas reproduire la même posture d'enfants gâtés des sup du Racing. -
C'est surtout le côté incompréhensible de cette situation qui rend un peu fou..
On parle des échecs consécutifs en finale, on remet en cause les choix du coach, on critique les joueurs mais comment expliquer que la SIG puisse avoir 100% de réussite en 1/4 puis en 1/2 des PO depuis 2013, ce qui énorme sur une si longue période, si nos hommes ne sont pas ceux de la situation ? La peur de gagner à mon avis tant que ce fameux déclic mental.. n'arrivera pas, en forçant son destin. -
chris3fr a écrit, le 18/06/2017 11:34 : Absolument, rien n'est fini, il reste 2 matchs.
Ils l'ont fait contre l'Asvel, ils peuvent parfaitement le refaire contre Châlon
Et le scénario aurait pu être pire avec une SIG gagnant le match 3 puis perdant le 4e, ce qui pour le coup aurait peut-être achevé définitivement notre équipe, si proche du sacre. Alors que si victoire il doit y avoir demain, on retournerait à Chalon avec un moral à la hausse et on mettrait une pression énorme sur l'adversaire, obligé de vaincre devant son public. Extérieur ou pas, avec une série à 2-2 lundi ce serait à nouveau du 50/50 selon moi, pour un éventuel match 5 avec une SIG bien plus inspirée loin du Rhenus (4 victoires en 5 déplacements) depuis le début des PO. -
rcsforever a écrit, le 18/06/2017 11:08 : On perd d'un point au buzzer après avoir eu le tir de la gagne, la frontière entre l'échec et la gloire étant si mince que ça en est presque effrayant, te faisant passer du statut de héros à celui de zéro en une seconde.
En l'occurence, même si au final la victoire de Chalon est cruelle car pleine de réussite (tir raté du strasbourgeois, rebond favorable, course solitaire et panier au buzzer), la SIG n'aurait jamais dû se retrouver dans cette situation sur ce match, vu les 10 points d'avance à 4 minutes de la fin. Donc c'est même pas la gestion de cette dernière minute qui pose soucis mais la façon dont la SIG s'est fait rejoindre au score alors qu'elle maitrisait le match jusque-là. -
C'est aussi le basket qui veut ça. Il fut un temps, lors d'un match décisif de PO face au SLUC, la SIG remontait un handicap d'une quinzaine de points en toute fin de match, sauf qu'à l'époque on trouvait ça merveilleux.
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Ce que je constate sauf erreur, c'est que, en-dehors de la première défaite à Chalon, depuis l'ASVEL, tous les matchs se sont terminés entre 1 et 4 points d'écart. Ces équipes sont donc d'un niveau quasi équivalent. Après, comme dit rcsforever, ça se joue aux détails et au mental. A la SIG d'être meilleure que Chalon sur ces deux points lors des deux derniers matchs. A Collet de trouver ce qui a manqué aux 4 finales précédentes et aux joueurs de rester concentrés jusqu'au bout, surtout dans les 3 dernières minutes... Bon sang, pas de 5e finale d'affilée perdue, svp!
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3 balles perdues dans les 3 dernières minutes, qui ont permis à Chalon de revenir , il me semble.
C'est là qu'il y a un problème ! -
Sinon il semblerait que Nzeulie a récupéré une balle qui venait de rebondir sur la ligne de sortie au départ de son action.
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En effet, une erreur d'arbitrage lourde de conséquences. Et même si ça ne justifie pas notre relâchement, ça offre tout de même la victoire à Chalon au final. Enfin c'est déjà du passé et il est préférable de se concentrer sur le match suivant dont l'histoire reste à écrire.
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Ce ne sont que des paroles mais elles font du bien..
"Je sais l'histoire des dernières finales de ce club et il est hors de question que je ne fasse pas partie de l'équipe qui ramènera le trophée à Strasbourg." (Slaughter) -
Par contre on sent de la rancoeur dans les propos du coach adverse vis à vis du Rhenus..
"Là, c’est un juste retour des choses. Peut-être que Strasbourg sera champion de France mais on ne voulait surtout pas qu’ils célèbrent ici" (Choulet) -
Pas de verbatim de la décla en conférence de presse de Collet visant la presse ?
geiss67 a écrit, le 18/06/2017 12:09 : Kitl, j'aimerais que tu m'expliques quelque chose. Tu dis le coach dramatiquement inerte.
Ma question, si le coach avait fait un saut cabri, un monwalk, ou autres, ça aurait changé quoi ?
Au basket, il existe les temps morts, qui permettent autant de couper le rythme, que de mettre une gueulante aux joueurs ou de recadrer les choses. Or, tu peux être certain que Collet ne gâchera jamais un temps mort pour ça et c'est bien dommage.
Ces trois balles perdues sont d'autre part calamiteuses, puisqu'elles ont offert trois paniers tout cuits à Chalon. Quelle fut la réaction de Collet alors que ses arrières étaient incapables de sortir des trappes proposées par Choulet ? Rien, nada. On attend et on se prend un 0-6.
Que les choses soient claires. Ma frustration se nourrit des échecs répétés et ressemblants de la SIG. On peut relativiser en parlant d'argent, de saison régulière, de Dettmann ou de plein de conneries, mais on ne peut pas relativiser ce genre de séquences gerbantes qui ont fait le sel de toutes ces finales perdues. Il existe des façons dignes de perdre, je ne me résoudrai jamais à subir de tels sabordages. -
Collet ou pas, ils sont nombreux à penser qu'il a eu raison d'envoyer c.... la presse une fois pour toutes, avec ses habituelles questions provocatrices et à la c.. sur son état d'esprit, faisant passer le jeu au second plan en voulant se payer le sélectionneur national.
Sinon tu souhaites voir qui à sa place ? Les bonnes pistes européennes étant à oublier, reste donc la même liste de coachs français régulièrement sur le marché et qu'il est inutile de citer. La SIG n'a ni les moyens, ni un nom assez vendeur pour lui trouver un meilleur remplaçant et en cas de départ on verrait débarquer un Dettmann bis, un Christophe Denis ou je ne sais qui encore. Pas certain du tout que l'on y gagne au change. -
Peu importe le nom, quand on voit que ce chibre de Jean-Marc Dupraz a conquis un titre aux dépens de Collet, ça évacue facilement la question. Pourquoi pas donner les clés à un jeune entraîneur ? C'est évident que se retrouver avec un Weisz, Monschau et consorts n'arrangerait rien.
Comme disait @mediasoc à l'époque, pour beaucoup Collet est devenu le totem de la SIG, l'équivalent de Gress au Racing. Le mec intouchable, loué par tout le monde malgré ses tares.
En le reprenant cet automne, le club a fait le choix de la facilité mais s'est en quelque sorte condamné au supplice de Tantale.
Le pire, c'est que j'adore Collet pour son oeuvre globale de meilleur coach français des 20 dernières années et surtout pour avoir su gérer la génération Parker. Mais ce qu'il a construit à la SIG est très fragile, en dépit des rêves mégalos du président, le club reste un nain du basket à l'échelle européenne. -
On a déjà donné dans le "peu importe" , Bellon n'ayant visiblement rien trouvé de mieux que Dettmann.
En passant d'une place de lanterne rouge à une finale de Pro A, forcé de constater que le choix de la facilité aura été le bon, sans oublier que la série face à Chalon n'est pas encore terminée. Et si on a pu retourner Pau puis l'ASVEL surtout, c'est aussi grâce à Collet, ne l'oublions pas.
C'est le basket français tout entier qui est un nain sur la scène européenne, ce qui n'avait pas empêché la SIG de devenir le premier représentant de Pro A à disputer une finale de C2 depuis 15 ans. -
La calcul est simple à présent, la victoire ou les vacances..
Une nouvelle fois dos au mur
Après le scénario cruel de l’épisode 3, la SIG Strasbourg ne pourra pas décrocher le titre au Rhenus. Chalon a repris l’avantage du terrain et pourrait conclure dès ce lundi (20h30, en direct sur SFR Sport 2) mais on connaît la capacité de réaction des Strasbourgeois dans l’adversité. Il faudra en faire une fois de plus la preuve.
http://sigstrasbourg.fr/2017/06/une-nouvelle-fois-dos-au-mur -
kitl a écrit, le 18/06/2017 22:19 : Comme disait @mediasoc à l'époque, pour beaucoup Collet est devenu le totem de la SIG, l'équivalent de Gress au Racing.
Pas tout à fait: jusque là, Gress a apporté un titre à Strasbourg. Collet, pas encore, il lui reste deux matchs pour le faire...
rcsforever a écrit, le 18/06/2017 20:16 : Ce ne sont que des paroles mais elles font du bien..
"Je sais l'histoire des dernières finales de ce club et il est hors de question que je ne fasse pas partie de l'équipe qui ramènera le trophée à Strasbourg." (Slaughter)
Le tout est de passer des paroles aux actes, la grande problématique du sport: il existe parfois un fossé entre les unes et les autres... On ne demande donc qu'à voir! -
En tout cas Slaughter est au rdv des PO.
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Nous voilà au match 5, la SIG va le faire.
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