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Minimum syndical. Comme le nul du RCS, comme l'ambiance à la Licorne, comme l'article qui suit.
Il faut savoir rester prudent en ces temps d'élections prud'hommales. Si le stub est une petite entreprise (à but non lucratif évidemment) qui ne connaît pas la crise, il est toute fois difficile d'assurer un service minimum rédactionnel tant ce match face à Amiens est proche du grand rien.
Une trentaine de robustes Strasbourgeois dans le parcage visiteur du stade de la Licorne, dont une partie invitée par le club d'Amiens (geste appréciée,il faut, paraît-il, en remercier Christophe). La tribune est habillée d'une petite dizaine de drapeaux / banderoles représentant principalement l'Alsace, le club et les UB90. S'intercalent un banderole de soutien à Santos. Malgré le froid et le faible nombre, les visiteurs donnent de la voix, reprenant de nombreux airs oubliés, ayant un rapport avec le club. Ou pas.
La seconde mi-temps verra un medley de tous les meilleurs hymnes du club : "Hophop les Bleus et Blancs", "Ce soir, on va gagner", "Le virage du Krimmeri" et le "Allez Strasbourgeois" des Gospelskids.
Fait marquant : l'envahissement du terrain par un Strasbourgeois sanguinaire suite au pénalty de Cohade. Il reprendra immédiatement sa place en tribune.
Stade bien rempli mais pas à guichets fermés non plus. Le KLB (Kop de la Licorne Blanche) nous gratifie d'une chouette animation à base de drapeaux à damiers. Malheureusement, leur tribune ne semble pas suivre et le résultat est clairsemé. De l'autre coté, un Kopounet réalise un animation Téléthon ou dans le genre : RAS.
Niveau ambiance, c'est glacial, pour ne pas dire digne d'un film sourd muet. Le stade ne pousse que très peu et les deux petits Kops (40 personnes ?) s'égosillent dans le vide.
A tel point qu'il est possible de se faire entendre des joueurs et surtout du peroxydé gardien amiénois et de l'arbitre : « l'arbitre avec nous ! ».
Les moments de folie apparaissent justement sur les interventions de ce dernier, les Picards ne semblant pas démordre de la théorie du complot.
Bonus : l'animation de Noël / Saint Nicolas :
15 gamins qui font du play-back avec un gros monsieur en rouge. Ils lancent ensuite des bonbons dans le public (ça, c'est bien!). Le Père Noël se paie le luxe de refaire le challenge mi-temps en glissant un extérieur du pied au speaker : féérique ... ou cauchemardesque.
J'en oublierais presque "Licornou", l'affreuse mascotte.
Bref, Amiens, c'est la D2, c'est nul, et on ne veut plus y retourner.
Passons sur tout ce qui a trait au football, puisqu'il n'en fut point question lundi soir.
Les joueurs saluent les supporteurs migrateurs au début et à la fin de la partie, certains s'approchant comme d'habitude plus que d'autre. Rudy Carlier revient du vestiaire pour lancer son maillot. Les autres semblent heureux, mais nous sommes loin de la communion du début d'année après des victoires héroïques.
Autre déception (personnelle) : les joueurs ne viendront pas fêter le but de Cohade avec nous, alors qu'ils se trouvaient pourtant face à notre tribune... Chacun son monde.
Pourtant, en cette période de Noël, on se prendrait à rêver... d'un autre monde.
Nous :
Une trentaine de robustes Strasbourgeois dans le parcage visiteur du stade de la Licorne, dont une partie invitée par le club d'Amiens (geste appréciée,il faut, paraît-il, en remercier Christophe). La tribune est habillée d'une petite dizaine de drapeaux / banderoles représentant principalement l'Alsace, le club et les UB90. S'intercalent un banderole de soutien à Santos. Malgré le froid et le faible nombre, les visiteurs donnent de la voix, reprenant de nombreux airs oubliés, ayant un rapport avec le club. Ou pas.
La seconde mi-temps verra un medley de tous les meilleurs hymnes du club : "Hophop les Bleus et Blancs", "Ce soir, on va gagner", "Le virage du Krimmeri" et le "Allez Strasbourgeois" des Gospelskids.
Fait marquant : l'envahissement du terrain par un Strasbourgeois sanguinaire suite au pénalty de Cohade. Il reprendra immédiatement sa place en tribune.
Eux :
Stade bien rempli mais pas à guichets fermés non plus. Le KLB (Kop de la Licorne Blanche) nous gratifie d'une chouette animation à base de drapeaux à damiers. Malheureusement, leur tribune ne semble pas suivre et le résultat est clairsemé. De l'autre coté, un Kopounet réalise un animation Téléthon ou dans le genre : RAS.
Niveau ambiance, c'est glacial, pour ne pas dire digne d'un film sourd muet. Le stade ne pousse que très peu et les deux petits Kops (40 personnes ?) s'égosillent dans le vide.
A tel point qu'il est possible de se faire entendre des joueurs et surtout du peroxydé gardien amiénois et de l'arbitre : « l'arbitre avec nous ! ».
Les moments de folie apparaissent justement sur les interventions de ce dernier, les Picards ne semblant pas démordre de la théorie du complot.
Bonus : l'animation de Noël / Saint Nicolas :
15 gamins qui font du play-back avec un gros monsieur en rouge. Ils lancent ensuite des bonbons dans le public (ça, c'est bien!). Le Père Noël se paie le luxe de refaire le challenge mi-temps en glissant un extérieur du pied au speaker : féérique ... ou cauchemardesque.
J'en oublierais presque "Licornou", l'affreuse mascotte.
Bref, Amiens, c'est la D2, c'est nul, et on ne veut plus y retourner.
Les gars en short sur le terrain :
Passons sur tout ce qui a trait au football, puisqu'il n'en fut point question lundi soir.
Les joueurs saluent les supporteurs migrateurs au début et à la fin de la partie, certains s'approchant comme d'habitude plus que d'autre. Rudy Carlier revient du vestiaire pour lancer son maillot. Les autres semblent heureux, mais nous sommes loin de la communion du début d'année après des victoires héroïques.
Autre déception (personnelle) : les joueurs ne viendront pas fêter le but de Cohade avec nous, alors qu'ils se trouvaient pourtant face à notre tribune... Chacun son monde.
Pourtant, en cette période de Noël, on se prendrait à rêver... d'un autre monde.
