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- Côté tribunes
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Match de gala et programmation à 17h pour ce Racing-Marseille qui vient clôturer l’année à la Meinau.
Un match qui sent le sapin pour fêter Noël à la Meinau, le ton est donné dés l’arrivée au stade avec la distribution des traditionnels bonnets pour tous les spectateurs et évidemment les différentes animations de circonstances. La rencontre est à guichets fermés même si c'est plus le prestigieux adversaire que l’ambiance de Noël qui a attiré du monde au stade. Même s’il a perdu depuis bien longtemps son lustre, le club phocéen attire toujours les foules avec sa cohorte de suiveurs du Strasbourg du Sud, même s’il fut difficile pour eux de se procurer un billet dans un stade presque toujours plein.
Le Kop dans la lignée du tifo anniversaire des UB90 a prévu un tifo avec une banderole XXL tout le long de la tribune Ouest haute. On peut y lire « une équipe qui fait la Une, c’est la folie dans les tribunes » clin d’œil à un couplet de la légendaire chanson que l’on peut appeler « la cigogne du RCS » :
« Et ce soir à la Meinau, c'est l'aventure, qui débute.
Bleu et blanc sur les maillots et déjà le premier but.
Une équipe qui fait la une. Les Ultra Boys dans les tribunes.
Le Racing Club de Strasbourg sera le héros du jour. »
A l’entrée des joueurs, ce sont plusieurs milliers de serpentins bleus et blancs sont lancés et colorent un instant les travées de la tribune. Animation simple et basique mais qui fonctionne toujours. Auparavant, c’est Yann Ehrlacher, le fils du grand Yves, également présent, qui a donné le coup d’envoi en sa qualité de sportif alsacien de l’année élu par les journalistes locaux.
Les supporteurs peuvent donner de la voix, les supporteurs du Racing en tout cas puisque ceux de Marseille n’ont pas eu l’autorisation de se rendre à la Meinau suite aux divers débordements. Le parcage visiteur est donc rempli de footballeurs de clubs partenaires, invités par le Racing. Pas de duel dans les tribunes donc mais une ambiance qui part plutôt bien malgré un match crispant. L’ambiance sera bonne sans atteindre des sommets, la rencontre n’y engageant pas vraiment.
Petit évènement, Jean-Luc Filser doit abandonner son poste avant la mi-temps mais plus de peur que de mal pour le titulaire du micro depuis de nombreuses années. Le Racing s’incline 2-0 mais cela n’empêche pas le kop de chanter, notamment sur l’air de « vive le vent » qui est plus qu’actualité. Les joueurs viendront saluer leurs supporteurs qui savent bien qu’ils ont donner le maximum même si la marche était trop haute cette fois ci. Rendez-vous est pris en janvier à la Meinau en championnat ou pourquoi pas en coupe.
Le Kop dans la lignée du tifo anniversaire des UB90 a prévu un tifo avec une banderole XXL tout le long de la tribune Ouest haute. On peut y lire « une équipe qui fait la Une, c’est la folie dans les tribunes » clin d’œil à un couplet de la légendaire chanson que l’on peut appeler « la cigogne du RCS » :
« Et ce soir à la Meinau, c'est l'aventure, qui débute.
Bleu et blanc sur les maillots et déjà le premier but.
Une équipe qui fait la une. Les Ultra Boys dans les tribunes.
Le Racing Club de Strasbourg sera le héros du jour. »
A l’entrée des joueurs, ce sont plusieurs milliers de serpentins bleus et blancs sont lancés et colorent un instant les travées de la tribune. Animation simple et basique mais qui fonctionne toujours. Auparavant, c’est Yann Ehrlacher, le fils du grand Yves, également présent, qui a donné le coup d’envoi en sa qualité de sportif alsacien de l’année élu par les journalistes locaux.
Les supporteurs peuvent donner de la voix, les supporteurs du Racing en tout cas puisque ceux de Marseille n’ont pas eu l’autorisation de se rendre à la Meinau suite aux divers débordements. Le parcage visiteur est donc rempli de footballeurs de clubs partenaires, invités par le Racing. Pas de duel dans les tribunes donc mais une ambiance qui part plutôt bien malgré un match crispant. L’ambiance sera bonne sans atteindre des sommets, la rencontre n’y engageant pas vraiment.
Petit évènement, Jean-Luc Filser doit abandonner son poste avant la mi-temps mais plus de peur que de mal pour le titulaire du micro depuis de nombreuses années. Le Racing s’incline 2-0 mais cela n’empêche pas le kop de chanter, notamment sur l’air de « vive le vent » qui est plus qu’actualité. Les joueurs viendront saluer leurs supporteurs qui savent bien qu’ils ont donner le maximum même si la marche était trop haute cette fois ci. Rendez-vous est pris en janvier à la Meinau en championnat ou pourquoi pas en coupe.
