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- Avant-match
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- Par bluefever67
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Délaissée depuis plus d'un mois, la Meinau va rallumer les lumières pour le début de la phase retour, en espérant que ses maîtres des céans profitent des premières douceurs pour faire plier Thaon-les-Vosges.
La reprise à Jarville a été difficile la semaine passée. Outre le fait que le Racing n'arrive décidément pas à se familiariser avec la maudite pelouse synthétique et ses grains noirs, les hommes de François Keller ont semblé manquer de jus pour faire sauter le verrou lorrain, qui au regard des dernières volées administrées par le Racing, ont mis un place un système ultra-défensif, que ne sauraient renier les inventeurs du Catenaccio. Les Lorrains, dont la combativité et la solidarité furent de tous les instants, ont donc obtenu le point méritoire qu'ils cherchaient. Un point, presque synonyme de victoire en Coupe du Monde, au regard de la joie de certains joueurs, qui finirent pour la plupart complètement harassés au coup de sifflet final.
Les Strasbourgeois n'ont jamais trouvé l'inspiration au stade de la Californie, une constatation qui est certainement due au fait que le Racing n'ait plus évolué en compétition officielle depuis que les fesses rougies belfortaines soient passées à la Meinau un 28 janvier. On fera l'impasse sur les défaites concédées en amical face au Soleil (0-2) et Haguenau (0-1). Face à un adversaire recroquevillé en défense, on comprend mieux le mutisme alsacien. Mais que dire de son adversaire du week-end, Thaon-les-Vosges, qui lui, n'a toujours pas retrouvé les pelouses, abandonnées également un 28 janvier, sur une lourde à domicile face à... Jarville (0-3). Du coup, le promu thaonnais, du fait de ses reports en cascade (Chaumont, ASIM, Pontarlier et Neuves-Maisons), se retrouve à une peu confortable 14e place, dans la encore moins confortable charrette des relégués.
Du temps où Thaon jouait encore au football, on se souvient que le sort du match aller, disputé à Robert-Sayer, fut très long à se dessiner malgré l'ouverture du score par le goleador maison du Racing, David Ledy. Ce n'est qu'à une dizaine de minutes du coup de sifflet final, que l'ancien havrais Martin doublait la mise et assurait la victoire à son équipe, ce qui provoqua une immense joie dans la tribune strasbourgeoise, une joie qui se prolongea avec les supporters sur la piste d'athlétisme. Cette première défaite de la saison pour Thaon allait en appeler d'autres, pour ne revoir qu'une seule victoire, significative qui plus est, chez ce qui semble être l'épouvantail du groupe, à savoir Saint-Louis Neuweg (2-1). Cette belle victoire en terre alsacienne est un peu ternie par les autres voyages dans la plus belle région de France. A Schiltigheim et à Steinseltz, les locaux furent sans pitié et assénaient un violent 4-0 aux Thaonnais. C'est donc un peu cahin-caha que les Vosgiens, du fait qu'ils n'aient plus foulé les pelouses depuis longtemps et de leur position de relégable, abordent leur déplacement à la Meinau, pour ce qui fait office de premier match de la phase retour.
Les Strasbourgeois qui ont regagné les pelouses extérieures, ont quant à eux, très vite effacé la déception liée à leur match nul à Jarville, notamment grâce au nouvel accroc subi par leur principal rival vésulien face au leader Auxerre III (0-1). Pour leur retour à la Meinau, tout le peuple bleu et blanc n'attendra, comme à son habitude cette saison, rien d'autre qu'une victoire. Et comme à chaque fois, il devra très vite trouver la clef dans la traditionnelle tactique « hérisson » de son visiteur. Les trois dernières fois, il l'avait trouvée très rapidement et ses adversaires avaient éclaté en plein vol et 16 buts sont tombés. On en espère pas tant tout à l'heure (enfin, quoique...).
Au niveau de la composition d'équipe, François Keller devrait récupérer Anthony Sichi, remis de ses douleurs costales et au visage. L'ancien orléanais devrait logiquement remplacer un Abdoulaye Coulibaly, pas franchement à son aise la semaine passée. Francisco Donzelot, touché à la cheville à la Californie, devrait pouvoir tenir sa place dans son couloir droit de la défense. Pour le reste, pas de changement, même si la titularisation d'un De Jong ne serait pas usurpée à la place d'un Genghini, dont on attend toujours plus.
Les Strasbourgeois n'ont jamais trouvé l'inspiration au stade de la Californie, une constatation qui est certainement due au fait que le Racing n'ait plus évolué en compétition officielle depuis que les fesses rougies belfortaines soient passées à la Meinau un 28 janvier. On fera l'impasse sur les défaites concédées en amical face au Soleil (0-2) et Haguenau (0-1). Face à un adversaire recroquevillé en défense, on comprend mieux le mutisme alsacien. Mais que dire de son adversaire du week-end, Thaon-les-Vosges, qui lui, n'a toujours pas retrouvé les pelouses, abandonnées également un 28 janvier, sur une lourde à domicile face à... Jarville (0-3). Du coup, le promu thaonnais, du fait de ses reports en cascade (Chaumont, ASIM, Pontarlier et Neuves-Maisons), se retrouve à une peu confortable 14e place, dans la encore moins confortable charrette des relégués.
Du temps où Thaon jouait encore au football, on se souvient que le sort du match aller, disputé à Robert-Sayer, fut très long à se dessiner malgré l'ouverture du score par le goleador maison du Racing, David Ledy. Ce n'est qu'à une dizaine de minutes du coup de sifflet final, que l'ancien havrais Martin doublait la mise et assurait la victoire à son équipe, ce qui provoqua une immense joie dans la tribune strasbourgeoise, une joie qui se prolongea avec les supporters sur la piste d'athlétisme. Cette première défaite de la saison pour Thaon allait en appeler d'autres, pour ne revoir qu'une seule victoire, significative qui plus est, chez ce qui semble être l'épouvantail du groupe, à savoir Saint-Louis Neuweg (2-1). Cette belle victoire en terre alsacienne est un peu ternie par les autres voyages dans la plus belle région de France. A Schiltigheim et à Steinseltz, les locaux furent sans pitié et assénaient un violent 4-0 aux Thaonnais. C'est donc un peu cahin-caha que les Vosgiens, du fait qu'ils n'aient plus foulé les pelouses depuis longtemps et de leur position de relégable, abordent leur déplacement à la Meinau, pour ce qui fait office de premier match de la phase retour.
Les Strasbourgeois qui ont regagné les pelouses extérieures, ont quant à eux, très vite effacé la déception liée à leur match nul à Jarville, notamment grâce au nouvel accroc subi par leur principal rival vésulien face au leader Auxerre III (0-1). Pour leur retour à la Meinau, tout le peuple bleu et blanc n'attendra, comme à son habitude cette saison, rien d'autre qu'une victoire. Et comme à chaque fois, il devra très vite trouver la clef dans la traditionnelle tactique « hérisson » de son visiteur. Les trois dernières fois, il l'avait trouvée très rapidement et ses adversaires avaient éclaté en plein vol et 16 buts sont tombés. On en espère pas tant tout à l'heure (enfin, quoique...).
Au niveau de la composition d'équipe, François Keller devrait récupérer Anthony Sichi, remis de ses douleurs costales et au visage. L'ancien orléanais devrait logiquement remplacer un Abdoulaye Coulibaly, pas franchement à son aise la semaine passée. Francisco Donzelot, touché à la cheville à la Californie, devrait pouvoir tenir sa place dans son couloir droit de la défense. Pour le reste, pas de changement, même si la titularisation d'un De Jong ne serait pas usurpée à la place d'un Genghini, dont on attend toujours plus.
