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- Après-match
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Pour cette troisième journée de National, le Racing passait un véritable test face à un « cador » de ce championnat de National, le Paris FC avec son recrutement XXL (Poujol, Socrier, Kinkala, Keita…). Autant le dire tout de suite, ce match a été loin d’être très emballant enfin sauf peut-être jusqu’à cette 92e minute…
Pour cette rencontre, Jacky Duguépéroux procède à deux changements : Alassane N’Diaye et Abdelhak Belahmeur remplacent Dimitri Liénard et Frédéric Marquès. Le Racing abandonne donc son 4-4-2 au profit d’un 4-2-3-1 plus défensif.
600 personnes dont la moitié strasbourgeoise se sont déplacées dans un stade Charlety de 20 000 places. On est donc pas loin de jouer à guichets fermés. En plus d’un stade quasi-vide, les 600 spectateurs ont droit à la pluie parisienne, puis à du soleil, ce qui permet d’admirer un arc-en-ciel au dessus du stade en première mi-temps. Puis il repleut, repleut et fait froid surtout pour une soirée d’été, bref un contexte et un temps « parfaits » pour jouer au foot.
Comme on pouvait s’y attendre, le match est donc très loin d’être « bandant », les deux équipes donnant l’impression de jouer d’abord pour ne pas perdre, en soit un "bon" match de National. Il n’y a quasiment aucune occasion durant cette première mi-temps, les deux équipes se contentant de défendre et de ne pas prendre trop de risques. La première réelle possibilité n’intervenant pas avant la 30e minute et elle est pour le PFC mais Poujol seul devant le but reprend un corner de Kinkela du tibia et voit sa déviation passée tout près du but de Gauclin.
A la 38e minute après une belle action construite, Belahmeur se présente seul devant Demarconnay mais le numéro 10 du Racing dévisse complètement sa frappe. Cinq minutes plus tard, le Racing bénéficie de sa meilleure occasion de la première période : sur un des rares centres potables de N’Diaye, Bahoken (peut-être signalé hors-jeu) voit sa tête passer à quelques centimètres au-dessus de la cage du portier parisien.
Le Saboteur
La deuxième période repart sur le même rythme que les trente premières minutes. Rien à signaler ou presque. Sur un énième coup-franc pour le Racing, Grimm, du reste très bon hier soir, manque le cadre de quelques centimètres. Le Paris FC procéde plus par contre et sur l’un d’entre eux, Sabo commet une faute sur Kinkela, alors ce dernier semble avoir trop poussé son ballon. Une faute à priori sans intérêt mais lourde de conséquences pour le Racing car Kinkela après une prise d’élan un peu bizarre, transforme le pénalty, 1-0 à la 76e minute.
Seka, taille patron !
Le coup est rude pour le Racing, pas vraiment inquiété au cours de ce match mais qui se retrouve mené à l’extérieur à un quart d’heure du terme de cette partie. Mais ce Racing-là a peut-être un truc en plus et notamment sous les encouragements de Seka, trouve les ressources pour revenir. A la 92e minute à la suite d’un long ballon de N’Diaye, Seka contrôle et d’une demie volée trompe Demarconnay, sans doute surpris comme tout le monde par ce superbe but. Une égalisation qui tombe au bon moment pour le Racing qui ne méritait vraiment pas de perdre ce match.
Le match se termine donc sur ce 1-1 au terme d’une action plus que litigieuse : Marquès au prise avec deux parisiens, s’écroule dans la surface mais l’arbitre siffle non pas un pénalty mais la fin du match.
Et maintenant ?
Alors comme le tempère "Dugué", ce n’est qu’un point de pris mais ce point a un goût de victoire. Avec 7 points en 3 matchs, seulement deux buts pris en trois matchs (uniquement sur coup de pied arrêté) et très peu d'occasions concédées, le Racing dégage une certaine solidité et peut légitimement espérer une saison plus calme que la précédente. A confirmer contre Boulogne vendredi prochain dans une Meinau qui devrait de nouveau être bien garnie…
600 personnes dont la moitié strasbourgeoise se sont déplacées dans un stade Charlety de 20 000 places. On est donc pas loin de jouer à guichets fermés. En plus d’un stade quasi-vide, les 600 spectateurs ont droit à la pluie parisienne, puis à du soleil, ce qui permet d’admirer un arc-en-ciel au dessus du stade en première mi-temps. Puis il repleut, repleut et fait froid surtout pour une soirée d’été, bref un contexte et un temps « parfaits » pour jouer au foot.
Comme on pouvait s’y attendre, le match est donc très loin d’être « bandant », les deux équipes donnant l’impression de jouer d’abord pour ne pas perdre, en soit un "bon" match de National. Il n’y a quasiment aucune occasion durant cette première mi-temps, les deux équipes se contentant de défendre et de ne pas prendre trop de risques. La première réelle possibilité n’intervenant pas avant la 30e minute et elle est pour le PFC mais Poujol seul devant le but reprend un corner de Kinkela du tibia et voit sa déviation passée tout près du but de Gauclin.
A la 38e minute après une belle action construite, Belahmeur se présente seul devant Demarconnay mais le numéro 10 du Racing dévisse complètement sa frappe. Cinq minutes plus tard, le Racing bénéficie de sa meilleure occasion de la première période : sur un des rares centres potables de N’Diaye, Bahoken (peut-être signalé hors-jeu) voit sa tête passer à quelques centimètres au-dessus de la cage du portier parisien.
Le Saboteur
La deuxième période repart sur le même rythme que les trente premières minutes. Rien à signaler ou presque. Sur un énième coup-franc pour le Racing, Grimm, du reste très bon hier soir, manque le cadre de quelques centimètres. Le Paris FC procéde plus par contre et sur l’un d’entre eux, Sabo commet une faute sur Kinkela, alors ce dernier semble avoir trop poussé son ballon. Une faute à priori sans intérêt mais lourde de conséquences pour le Racing car Kinkela après une prise d’élan un peu bizarre, transforme le pénalty, 1-0 à la 76e minute.
Seka, taille patron !
Le coup est rude pour le Racing, pas vraiment inquiété au cours de ce match mais qui se retrouve mené à l’extérieur à un quart d’heure du terme de cette partie. Mais ce Racing-là a peut-être un truc en plus et notamment sous les encouragements de Seka, trouve les ressources pour revenir. A la 92e minute à la suite d’un long ballon de N’Diaye, Seka contrôle et d’une demie volée trompe Demarconnay, sans doute surpris comme tout le monde par ce superbe but. Une égalisation qui tombe au bon moment pour le Racing qui ne méritait vraiment pas de perdre ce match.
Le match se termine donc sur ce 1-1 au terme d’une action plus que litigieuse : Marquès au prise avec deux parisiens, s’écroule dans la surface mais l’arbitre siffle non pas un pénalty mais la fin du match.
Et maintenant ?
Alors comme le tempère "Dugué", ce n’est qu’un point de pris mais ce point a un goût de victoire. Avec 7 points en 3 matchs, seulement deux buts pris en trois matchs (uniquement sur coup de pied arrêté) et très peu d'occasions concédées, le Racing dégage une certaine solidité et peut légitimement espérer une saison plus calme que la précédente. A confirmer contre Boulogne vendredi prochain dans une Meinau qui devrait de nouveau être bien garnie…
