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- Catégorie
- Après-match
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- Par calcio90
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Solide sans forcément être brillant, le Racing s’impose 1-0 face à Bourg-Péronnas grâce au premier but à la Meinau de Jérémy Grimm et poursuit sa jolie série (4 victoires et 4 matchs nuls). Le Racing revient par la même occasion à 5 points de son adversaire du soir.
Pour cette affiche, les femmes étaient fort gentiment invitées par le club. Le point commun entre le Racing et la femme ? Il n’y a pas vraiment de différence entre une femme et une montée en Ligue 2 : si tu ne t'en occupe pas à chaque journée, tu n'arriveras pas à monter...
Pour le Racing, la donne est assez simple et le sera lors de quasiment toutes les prochaines journées : « gagner ou crever », encore plus quand il s’agit d’un concurrent direct, mieux classé. Ce match au couperet ressemble donc à du déjà vu à la Meinau les dernières saisons : RCS-Troyes en L1, RCS-Guingamp en National en 2011, RCS-La Duchère en CFA, RCS-Amiens l’an passé, etc.
Avant le match aller où Bourg-Péronnas était relégable, peu de monde aurait parié, au moment du match retour, sur une deuxième place des coéquipiers de Pape Sané, auteur d’un triplé au match aller. En cas de succès, ils avaient d’ailleurs l’occasion de mettre le Racing à 11 points et de (quasiment) l’éliminer de la lutte à la Ligue 2.
Jacky Duguépéroux procède à deux changements notables par rapport au match à Boulogne : Jérémy Blayac qui effectue son retour remplace Stéphane Bahoken et Milovan Sikimic remplace Yoann Salmier, suspendu pour l’occasion.
Le match dans tout ça ? Un premier quart d’heure assez animé qui débute bien pour le Racing par une tête d'Ernest Seka sur corner dans les bras de Callamand (3ème minute). Un match où curieusement les équipes qui attaquent ont souvent pris le dessus sur les défenses lors de coups de pieds arrêtés. La première possibilité est pour le Racing mais Dimitri Lienard dans un « remake » de son coup-franc face à Colmar, ne trouve cette fois-ci pas le cadre.
A la 22ème minute, sur un coup-franc obtenu grâce à un remarquable travail d’Aguemon, frappé par Sabo et prolongé au second poteau de la tête par un défenseur de Bourg-Péronnas, Grimm est libre de tout marquage et n’a plus qu’à pousser le ballon au fond pour ouvrir le score et faire exulter les 14203 spectateurs présents hier soir à la Meinau.
Les dix minutes suivantes sont assez intenses : Gaubey seul au 6 mètres dévie de la tête un centre et voit son ballon passer à quelques centimètres du but d’Oukidja puis dans la foulée, Liénard touche le poteau suite à un gros travail d’Aguemon, auteur sans doute de sa meilleure prestation sous le maillot du Racing.
La suite ? Plus grand chose franchement voire plus rien en première mi-temps …
En seconde période, le Racing reprend sa marche en avant et se crée sa meilleure occasion de la seconde période dès la 51ème : suite à une belle ouverture de Grimm, Blayac effectue un bon travail et sert légèrement en retrait Liénard. Sa reprise est sauvée une première fois sur la ligne par un défenseur adverse. Dans la foulée, le ballon atterrit sur Blayac qui tente à son tour sa chance mais là encore, le ballon est sauvé sur la ligne. Par la suite, ni Sikimic de la tête sur corner, ni Liénard qui reprend du bout du pied un centre de Sabo, ni N’Diaye sur tête plongeante à moitié ratée ne peuvent doubler la mise…
Et Bourg-Péronnas ? Pas grand chose, voire rien du tout … Tout juste une frappe de Boussaha repoussée par Oukidja et un but refusé pour un hors-jeu apparemment peu évident de l’avant-centre burgien. Pas de regrets, l’arbitre ayant sifflé depuis dix bonnes secondes, tout le monde s'était arrêté de jouer.
Au fil du match, le dauphin du National s’est petit à petit éteint et a complètement disparu des radars sur la fin du match alors que les Strasbourgeois commençaient tout doucement à reculer…
Mention spéciale au milieu Grimm-N’Doye, auteur d’une remarquable prestation. Seka (comme toujours en fait) et Aguemon ont également réalisé un très gros match.
Constat amère mais lucide, outre les confrontations directes, la belle série du Racing ne leur permet pas de reprendre énormément de points aux équipes du podium. Le Racing poursuit sa marche en avant et devra montrer la même solidité vendredi prochain en Corse, face au CA Bastia, relégable. Les deux matchs Bourg-Péronnas/CA Bastia ressemblent à l'enchaînement déjà vu pour le Racing, Colmar/Marseille Consolat : une transition entre une grosse affiche avec une forte affluence suivie d’un match piège contre un second club d’une ville. On aurait pu parler des adversaires du Racing ou de leurs calendriers mais aujourd’hui, les Bleus et Blancs ne peuvent pas se permettre un quelconque calcul. Ils devront simplement gagner pour se donner le droit de rêver à la Ligue 2.
Pour le Racing, la donne est assez simple et le sera lors de quasiment toutes les prochaines journées : « gagner ou crever », encore plus quand il s’agit d’un concurrent direct, mieux classé. Ce match au couperet ressemble donc à du déjà vu à la Meinau les dernières saisons : RCS-Troyes en L1, RCS-Guingamp en National en 2011, RCS-La Duchère en CFA, RCS-Amiens l’an passé, etc.
Avant le match aller où Bourg-Péronnas était relégable, peu de monde aurait parié, au moment du match retour, sur une deuxième place des coéquipiers de Pape Sané, auteur d’un triplé au match aller. En cas de succès, ils avaient d’ailleurs l’occasion de mettre le Racing à 11 points et de (quasiment) l’éliminer de la lutte à la Ligue 2.
Jacky Duguépéroux procède à deux changements notables par rapport au match à Boulogne : Jérémy Blayac qui effectue son retour remplace Stéphane Bahoken et Milovan Sikimic remplace Yoann Salmier, suspendu pour l’occasion.
Grimm libère le Racing
Le match dans tout ça ? Un premier quart d’heure assez animé qui débute bien pour le Racing par une tête d'Ernest Seka sur corner dans les bras de Callamand (3ème minute). Un match où curieusement les équipes qui attaquent ont souvent pris le dessus sur les défenses lors de coups de pieds arrêtés. La première possibilité est pour le Racing mais Dimitri Lienard dans un « remake » de son coup-franc face à Colmar, ne trouve cette fois-ci pas le cadre.
A la 22ème minute, sur un coup-franc obtenu grâce à un remarquable travail d’Aguemon, frappé par Sabo et prolongé au second poteau de la tête par un défenseur de Bourg-Péronnas, Grimm est libre de tout marquage et n’a plus qu’à pousser le ballon au fond pour ouvrir le score et faire exulter les 14203 spectateurs présents hier soir à la Meinau.
Les dix minutes suivantes sont assez intenses : Gaubey seul au 6 mètres dévie de la tête un centre et voit son ballon passer à quelques centimètres du but d’Oukidja puis dans la foulée, Liénard touche le poteau suite à un gros travail d’Aguemon, auteur sans doute de sa meilleure prestation sous le maillot du Racing.
La suite ? Plus grand chose franchement voire plus rien en première mi-temps …
En seconde période, le Racing reprend sa marche en avant et se crée sa meilleure occasion de la seconde période dès la 51ème : suite à une belle ouverture de Grimm, Blayac effectue un bon travail et sert légèrement en retrait Liénard. Sa reprise est sauvée une première fois sur la ligne par un défenseur adverse. Dans la foulée, le ballon atterrit sur Blayac qui tente à son tour sa chance mais là encore, le ballon est sauvé sur la ligne. Par la suite, ni Sikimic de la tête sur corner, ni Liénard qui reprend du bout du pied un centre de Sabo, ni N’Diaye sur tête plongeante à moitié ratée ne peuvent doubler la mise…
Et Bourg-Péronnas ? Pas grand chose, voire rien du tout … Tout juste une frappe de Boussaha repoussée par Oukidja et un but refusé pour un hors-jeu apparemment peu évident de l’avant-centre burgien. Pas de regrets, l’arbitre ayant sifflé depuis dix bonnes secondes, tout le monde s'était arrêté de jouer.
Au fil du match, le dauphin du National s’est petit à petit éteint et a complètement disparu des radars sur la fin du match alors que les Strasbourgeois commençaient tout doucement à reculer…
Mention spéciale au milieu Grimm-N’Doye, auteur d’une remarquable prestation. Seka (comme toujours en fait) et Aguemon ont également réalisé un très gros match.
La suite ?
Constat amère mais lucide, outre les confrontations directes, la belle série du Racing ne leur permet pas de reprendre énormément de points aux équipes du podium. Le Racing poursuit sa marche en avant et devra montrer la même solidité vendredi prochain en Corse, face au CA Bastia, relégable. Les deux matchs Bourg-Péronnas/CA Bastia ressemblent à l'enchaînement déjà vu pour le Racing, Colmar/Marseille Consolat : une transition entre une grosse affiche avec une forte affluence suivie d’un match piège contre un second club d’une ville. On aurait pu parler des adversaires du Racing ou de leurs calendriers mais aujourd’hui, les Bleus et Blancs ne peuvent pas se permettre un quelconque calcul. Ils devront simplement gagner pour se donner le droit de rêver à la Ligue 2.
