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- Par nonoben67
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Après son nouvel exploit face au PSG (mais à force, en est-ce toujours ?), le Racing serait bien inspiré de ne pas faire… du Racing, face aux Normands. En jeu, dans ce choc entre « survivalistes » : un trou au classement.
Thierry Laurey l’a dit et répété : le match le plus important de la semaine pour le Racing club de Strasbourg n’était pas la réception du PSG, mais bien cette réception dominicale de Caen à la Meinau. Passé ce tour de Coupe du Crédit Qatari face à un modeste club de la banlieue parisienne, focalisons nous donc sur ce choc entre « survivalistes » de cette 17e journée de Ligue 1.
Après leur défaite de dernière minute face à Nîmes, les joueurs du Calvados sont aujourd’hui 17es (13 points), soit plus ou moins la place du Racing l’an dernier après 16 journées. Au compteur : deux victoires seulement, une série en cours de huit rencontres sans succès et surtout une immense peine dans la régularité.« Il y a des joueurs qui ne sont pas au niveau, il faut qu'ils aient une constance sur plusieurs matchs », balançait en conférence de presse le coach normand Fabien Mercadal, comme décidé à trouver à la Meinau (qui affichera complet pour la 8e fois en 9 matches de Ligue 1) le fameux déclic pour son équipe. « Strasbourg n'est pas la même équipe à domicile qu'à l'extérieur. Si tu parviens à résister là-bas, ça peut être une bonne chose pour le groupe. » Si ça, ça ne pue pas le match piège...
Après les stars le micro à la bouche mercredi (pour ceux s'arrêtant en zone mixte), ce pourrait ainsi être des concurrents au couteau entre les dents qui fouleront la pelouse strasbourgeoise. Ce sera probablement sans Djiku, élément clef de la défense de Malherbe et touché au tendon d'Achille, mais avec Faycal Fajr. Très bon tireur de coups de pied arrêtés, il est l'un des hommes en forme et de base du système caennais, avec Oniangué et Guilbert. Devant, Crivelli et Beauvue mènent la danse (3 buts), mais les 7 derniers pions normands viennent d'autant de joueurs différents...
Et bien on espère qu'il réagira, à court terme, comme après son remake de David contre Goliath de l'an passé : passé le match du PSG, Strasbourg avait enchaîné deux victoires. Avant de s'effondrer pile au bon moment, à Metz. So Racing, dirait une journaliste radiophonique.
Avec ce match en semaine, les rotations s'imposeront. Sissoko, comme Thomasson et Mothiba, devrait retrouver le onze de départ strasbourgeois. En l'absence de Carole, out au moins jusqu'à la fin décembre, Caci pourrait retrouver le côté gauche, puisque Mitrovic est de retour dans le groupe. À moins que Liénard ne dépanne encore ? Comme Jonas Martin, il sera peut-être question de le préserver physiquement.
L'occasion est belle, face à Malherbe, de dépasser la barre des 24 points atteints à Noël dernier. Et en même temps, de faire un peu plus son trou au classement.
Caen ça veut pas
Après leur défaite de dernière minute face à Nîmes, les joueurs du Calvados sont aujourd’hui 17es (13 points), soit plus ou moins la place du Racing l’an dernier après 16 journées. Au compteur : deux victoires seulement, une série en cours de huit rencontres sans succès et surtout une immense peine dans la régularité.« Il y a des joueurs qui ne sont pas au niveau, il faut qu'ils aient une constance sur plusieurs matchs », balançait en conférence de presse le coach normand Fabien Mercadal, comme décidé à trouver à la Meinau (qui affichera complet pour la 8e fois en 9 matches de Ligue 1) le fameux déclic pour son équipe. « Strasbourg n'est pas la même équipe à domicile qu'à l'extérieur. Si tu parviens à résister là-bas, ça peut être une bonne chose pour le groupe. » Si ça, ça ne pue pas le match piège...
Les hommes de Mercadal l’ont-ils toujours ?
Après les stars le micro à la bouche mercredi (pour ceux s'arrêtant en zone mixte), ce pourrait ainsi être des concurrents au couteau entre les dents qui fouleront la pelouse strasbourgeoise. Ce sera probablement sans Djiku, élément clef de la défense de Malherbe et touché au tendon d'Achille, mais avec Faycal Fajr. Très bon tireur de coups de pied arrêtés, il est l'un des hommes en forme et de base du système caennais, avec Oniangué et Guilbert. Devant, Crivelli et Beauvue mènent la danse (3 buts), mais les 7 derniers pions normands viennent d'autant de joueurs différents...
Et le Racing dans tout ça ?
Et bien on espère qu'il réagira, à court terme, comme après son remake de David contre Goliath de l'an passé : passé le match du PSG, Strasbourg avait enchaîné deux victoires. Avant de s'effondrer pile au bon moment, à Metz. So Racing, dirait une journaliste radiophonique.
Avec ce match en semaine, les rotations s'imposeront. Sissoko, comme Thomasson et Mothiba, devrait retrouver le onze de départ strasbourgeois. En l'absence de Carole, out au moins jusqu'à la fin décembre, Caci pourrait retrouver le côté gauche, puisque Mitrovic est de retour dans le groupe. À moins que Liénard ne dépanne encore ? Comme Jonas Martin, il sera peut-être question de le préserver physiquement.
L'occasion est belle, face à Malherbe, de dépasser la barre des 24 points atteints à Noël dernier. Et en même temps, de faire un peu plus son trou au classement.
