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- Côté tribunes
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Qui a volé l'ambiance de ce RCS-BDX ? Le commissaire STUB mène l'enquête, le(s) coupable(s) n'ont qu'à bien se tenir.
Samedi 20 Octobre 20... 16 Heures, le Racing club de Strasbourg affronte le Football Club Girondins de Bordeaux. En ligne de mire il y a une place dans le haut du classement pour le vainqueur. Sur le terrain les deux équipes jouent un beau football, dans les tribunes c'est le néant der Thal (fabuleux géant mythique dont la trace se perd quelques parts dans les Vosges orientales).
Malgré l'enjeu et la présence de l'ancien rival des années 90, l'ambiance de la Meinau a tout bonnement disparu. Volatilisée sans que personne ne s'en aperçoive.
Dès le coup de sifflet final, Philippe Ginestet fait appel au commissaire STUB pour retrouver l'ambiance et arrêter les coupables. Ce dernier se rend immédiatement au stade pour étudier les enregistrements de la vidéo surveillance et entendre les 18 000 témoins oculaires.
L'enquête peut commencer !
Les indices :
Indice 1 : Un match programmé à 16H, bizarre. D'ailleurs au cours de la rencontre plusieurs banderoles communes entre les ultras des deux équipes se feront l'écho de cet horaire inhabituel et du manque de respect envers les supporters passionnés.
Indice 2 : Les personnes suivant régulièrement le RCS en déplacement auront pu reconnaître certains éléments du tifo :
Dans le haut du virage sont agités les drapeaux à damiers bleus et blancs vus à Sochaux.
La partie basse quant à elle se pare des étendards déjà sortis lors du victorieux derby d'Alsace-Lorraine.
Au centre de la tribune c'est un voile inédit signé ULTRAS STRASBOURG, et entouré de la tête de fantôme et celle du Prédator : les deux emblèmes tellement années 90 des UB justement 90.
Encore une fois bizarre, quant on sait que les ultras consacrent leurs week-ends à travailler d'arrache (Salim) pied (cassé), pour préparer leurs chorégraphies.
Indice 3 : Un homme en noir dont l'ombre a plané sur le match. Si la poule au pot, Poulat n'en a pas eu quand il a choisi son métier. Son incompétence se rapporte à son inconscience, et nous tenons là le roi des mécréants. Poulat aurait du faire poulet, là-bas au moins les bavures sont tolérées par la hiérarchie.
Les suspects :
Les Bordelais
Ils sont pas beaux, ils sont venus de loin, cela fait rapidement d'eux le coupable idéal. Arrivés en retard les Ultramarines ont très bien eu le temps de cacher l'ambiance quelque part, avant d'entrer dans le stade. De plus les mauvaises fréquentations passées des Devils (le second groupe ultra de Lescure, dissous cette année et laissant les Ultramarines 1987 seuls au commande du Virage Sud) avec les Mulhousiens conforte le commissaire STUB dans sa thèse du crime à caractère régionaliste. Néanmoins pas de traces de Mulhousiens samedi dans le parcage et les Girondins sont lavés de tout soupçon.
Les Messins
Une banderole anodine en début de match : « victoire à Metz, après 24 ans de disette, merci pour la branlette » et voilà « les terreurs des stades » de nouveau au centre d'une sale affaire. Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu une ambiance inhabituelle à Saint Symphorien lors du dernier match. Serait-il possible que des supporters messins, jaloux, aient profité des incidents lors du derby pour subtiliser l'ambiance aux Strasbourgeois ?
Après vérification des alibis, le commissaire STUB blanchit Génération Grenat, Horda et consorts. Ils étaient à Nice pour voir la nouvelle défaite de leur équipe.
Stéphane Cassard
Reconnu coupable d'avoir provoqué les attaquants messins en arrêtant leurs tirs une main attachée dans son dos, le portier strasbourgeois aurait-il remis le couvert pour ce match face à Bordeaux ? Sa tenue orange mécanique attire l'attention du commissaire STUB. Mais Stéphane est un saint homme, il est forcement innocent.
Le public de la Meinau
Là on tient du lourd, capable du meilleur comme du pire. Il traîne de lourdes casseroles derrière lui, notamment des ambiances merdissimes au cours de certains matchs il y a quelques années. Malgré les récentes améliorations, le commissaire STUB ne manque pas de noter que le public alsacien ne supporte visiblement pas le froid et a souvent eu du mal à chanter dès que l'hiver pointe. Hier il a visiblement plus été occupé à conspuer l'arbitre qu'à soutenir les siens.
Circonstances aggravantes, l'équipe du Racing enflamme rapidement le match et manque de mettre les Marines et Blancs ko en première mi-temps. Si la seconde est plus terne, le public restera lui amorphe tout au long de la partie.
Le verdict :
Coupables, les fidèles de la Meinau vont devoir restituer l'ambiance, et ce dès le prochain match à domicile face au Paris SG. Le challenge sera de taille, car même avec une équipe catastrophique les fans parisiens restent parmi les plus démonstratifs de France. Allez les Bleus !
Encore une mission réussie, encore une question d'éclaircie, sous les mercis les ovations, le commissaire STUB s'enfuit à l'horizon.
Malgré l'enjeu et la présence de l'ancien rival des années 90, l'ambiance de la Meinau a tout bonnement disparu. Volatilisée sans que personne ne s'en aperçoive.
Dès le coup de sifflet final, Philippe Ginestet fait appel au commissaire STUB pour retrouver l'ambiance et arrêter les coupables. Ce dernier se rend immédiatement au stade pour étudier les enregistrements de la vidéo surveillance et entendre les 18 000 témoins oculaires.
L'enquête peut commencer !
Les indices :
Indice 1 : Un match programmé à 16H, bizarre. D'ailleurs au cours de la rencontre plusieurs banderoles communes entre les ultras des deux équipes se feront l'écho de cet horaire inhabituel et du manque de respect envers les supporters passionnés.
Indice 2 : Les personnes suivant régulièrement le RCS en déplacement auront pu reconnaître certains éléments du tifo :
Dans le haut du virage sont agités les drapeaux à damiers bleus et blancs vus à Sochaux.
La partie basse quant à elle se pare des étendards déjà sortis lors du victorieux derby d'Alsace-Lorraine.
Au centre de la tribune c'est un voile inédit signé ULTRAS STRASBOURG, et entouré de la tête de fantôme et celle du Prédator : les deux emblèmes tellement années 90 des UB justement 90.
Encore une fois bizarre, quant on sait que les ultras consacrent leurs week-ends à travailler d'arrache (Salim) pied (cassé), pour préparer leurs chorégraphies.
Indice 3 : Un homme en noir dont l'ombre a plané sur le match. Si la poule au pot, Poulat n'en a pas eu quand il a choisi son métier. Son incompétence se rapporte à son inconscience, et nous tenons là le roi des mécréants. Poulat aurait du faire poulet, là-bas au moins les bavures sont tolérées par la hiérarchie.
Les suspects :
Les Bordelais
Ils sont pas beaux, ils sont venus de loin, cela fait rapidement d'eux le coupable idéal. Arrivés en retard les Ultramarines ont très bien eu le temps de cacher l'ambiance quelque part, avant d'entrer dans le stade. De plus les mauvaises fréquentations passées des Devils (le second groupe ultra de Lescure, dissous cette année et laissant les Ultramarines 1987 seuls au commande du Virage Sud) avec les Mulhousiens conforte le commissaire STUB dans sa thèse du crime à caractère régionaliste. Néanmoins pas de traces de Mulhousiens samedi dans le parcage et les Girondins sont lavés de tout soupçon.
Les Messins
Une banderole anodine en début de match : « victoire à Metz, après 24 ans de disette, merci pour la branlette » et voilà « les terreurs des stades » de nouveau au centre d'une sale affaire. Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu une ambiance inhabituelle à Saint Symphorien lors du dernier match. Serait-il possible que des supporters messins, jaloux, aient profité des incidents lors du derby pour subtiliser l'ambiance aux Strasbourgeois ?
Après vérification des alibis, le commissaire STUB blanchit Génération Grenat, Horda et consorts. Ils étaient à Nice pour voir la nouvelle défaite de leur équipe.
Stéphane Cassard
Reconnu coupable d'avoir provoqué les attaquants messins en arrêtant leurs tirs une main attachée dans son dos, le portier strasbourgeois aurait-il remis le couvert pour ce match face à Bordeaux ? Sa tenue orange mécanique attire l'attention du commissaire STUB. Mais Stéphane est un saint homme, il est forcement innocent.
Le public de la Meinau
Là on tient du lourd, capable du meilleur comme du pire. Il traîne de lourdes casseroles derrière lui, notamment des ambiances merdissimes au cours de certains matchs il y a quelques années. Malgré les récentes améliorations, le commissaire STUB ne manque pas de noter que le public alsacien ne supporte visiblement pas le froid et a souvent eu du mal à chanter dès que l'hiver pointe. Hier il a visiblement plus été occupé à conspuer l'arbitre qu'à soutenir les siens.
Circonstances aggravantes, l'équipe du Racing enflamme rapidement le match et manque de mettre les Marines et Blancs ko en première mi-temps. Si la seconde est plus terne, le public restera lui amorphe tout au long de la partie.
Le verdict :
Coupables, les fidèles de la Meinau vont devoir restituer l'ambiance, et ce dès le prochain match à domicile face au Paris SG. Le challenge sera de taille, car même avec une équipe catastrophique les fans parisiens restent parmi les plus démonstratifs de France. Allez les Bleus !
Encore une mission réussie, encore une question d'éclaircie, sous les mercis les ovations, le commissaire STUB s'enfuit à l'horizon.
