Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Pour les quiches, la Metz est dite

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Par rachmaninov
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Samedi prochain, le Racing accueille les quiches, doux surnom que les Grenats n'ont jamais aussi bien porté. Voyons pourquoi !

(NDLR : cet article fait partie d'une série d'articles au ton décalé et résolument second degré. A lire avec précaution et humour !)


Précisons-le d'emblée : cet article n'est pas du tout sérieux et j'adore la quiche. Voilà, c'est dit.
Parlons foot, parlons du FC Metz. De façon « pas très sympa » pour reprendre les termes exacts du cahier des charges.
Rarement pareille tâche a été aussi aisée. La saison précédente, les Graoully caracolaient en tête de la L2, loin devant le Racing. captainflirt avait dû déployer des trésors de poésie pour taquiner le voisin messin en parodiant Renaud. A relire ici !

Mais en foot, le bonheur est éphémère et les cadors de la L2 se sont mués en loosers de la L1 absolus en quelques mois. Les historiens se sont ainsi disputés pour savoir si oui ou merde, le FC Metz était bien la pire équipe de tous les temps. Même en remontant jusqu'à des époques dont seul filipe est capable de parler, ils ont peiné à trouver pire équipe. Du pain béni pour le rédacteur chargé de chambrer l'équipe mosellane. A tel point que l'exercice devient trop facile et qu'il prend des tournures piégeuses. Ne pas tomber dans la facilité. Ce que je fais hélas en associant quiche et FC Metz. « rachmaninov démission » crient déjà les stubistes... J'avoue que je me suis longtemps refusé à attaquer l'article sous cet angle. Mais fichtre, la comparaison est tellement criante de vérité. Qui dit Lorrain dit quiches, qui dit quiches peut aussi dire nuls, qui dit nuls dit FC Metz 07/08, la boucle est bouclée.

Poursuivons la comparaison : les infrastructures du club sont tel un vieux moule métallique et rouillé. Le stade St-Symphorien est une pâle copie d'un stade à l'anglaise, un Geoffroy Guichard du pauvre, ouverts aux 4 vents, patchworks de tribunes toutes plus tordues les unes que les autres. Cerise sur la quiche, impossible de voir un des buts depuis la moitié d'une tribune, à moins de mesurer 2 m 10. Joachim Noah, si tu passes dans le coin...

Sur le moule, on trouve la croûte : Carlo Molinari. Là aussi, la comparaison Molinari-croûte, certes pas très carton bleu, n'en est pas moins troublante de justesse. A force d'être dans le four, la croûte a fini par noircir et par accrocher, impossible de s'en débarrasser ! Comme il accroche, cela oblige le microcosme du foot français à écouter ses élucubrations, comme ses accusations contre les supporters strasbourgeois soupçonnés de provoquer ses gentils petits rejetons Graoully en train de jouer à police-voleur sur la pelouse et dans la tribune présidentielle.

Passons aux joueurs. Tels des petits lardons chétifs et malingres, ils semblent bien isolés dans la jungle de la L1 entre les quenelles lyonnaises, la bouillabaisse marseillaise et le bæckeofe alsacien. Pour couronner le tout, ils ont des noms ridicules. Entre Pascal Delhommeau-sexuel et Babacar Gueye et lesbien, ça fleure bon la Grèce ! Passons sur les cas de Christophe Marichez-nous-voilà et Flavien « Belson Bonfort » (lire à haute voix), tout aussi peu sérieux. Enfin, je préfère éluder le cas Chapuis histoire de rester poli.

Tous ces petits lardons sont figés dans un flan visqueux que l'on peut associer au public messin et qui rappelle sa principale caractéristique : la mollesse et le manque de consistance. Faut dire que les supporters messins sont des oiseaux rares, toujours motivés pour mettre l'ambiance. 1ère méthode : se foutre sur la gueule joyeusement. 2ème méthode : parler du pays à un joueur valenciennois.
Ajoutons un peu de fromage (à proscrire de toute bonne quiche) : Cyril Chapuis. On ne présente pas le quidam ; que les jeunes générations en soient conscientes : n'oublions pas, plus jamais ça ! Bon courage Yvon ! Yvon, c'est un gentil Monsieur qui a choisi de bosser dans l'humanitaire en Lorraine. Il a succédé à Francis Taddéo (et t'as des bas surtout !). On pense bien à lui.

Moquons-nous des Lorrains tant que nous sommes 11ème, rigolons car dans quelques temps, nous les retrouverons peut-être dans les profondeurs du classement. Il sera vain de parler de quiches, la choucroute sera cuite. Bref, profitons !
Le four sonne, la quiche est dorée. C'est prêt, régalez vous.

rachmaninov

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