Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

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Toute la lumière sur un incroyable mensonge © kibitz

Il y a quarante ans, l'homme marchait sur la Lune. Il y a trente ans, le Racing remportait le championnat de France. Vraiment ? Il est temps de mettre fin aux deux plus grands mensonges du XXème siècle (1/2).

Introduction : les grands complots de l'histoire

L'Histoire avec un grand H, dont les rédacteurs se parent de titres scientifiques afin de donner de l'aplomb à leur entreprise de construction a posteriori de la vérité, a toujours été source de discussions et de remises en questions permanentes. Quelles que soient les époques, les lieux ou les civilisations étudiées, on trouvera toujours des contradicteurs face aux thèses les mieux établies, des doutes face aux preuves présentant les plus solides arguments de véracité. C'est que l'Histoire, en tant que science, se donne pour but d'établir la Vérité sur le passé. Elle sert de ce fait de socle dans la construction des idéaux et des représentations, de ciment dans la constitution des nations, de justification aux déclarations de guerre.

Néanmoins, étant avant tout une construction de l'esprit, elle est à la merci de toutes entreprises de récupération, voire pire, de falsification. L'histoire, c'est bien connu, est écrite par les vainqueurs et imposée aux vaincus. C'est encore plus vrai lorsqu'elle s'applique à des époques assez reculées dans le temps, suffisamment du moins pour que tous les protagonistes d'un évènement historique quelconque soient décédés. Et s'il est difficile de faire parler un mort, un peu d'habileté machiavélique, une belle plume et un éditeur généreux peuvent suffire à lui faire dire à peu près n'importe quoi.

Avez-vous déjà contemplé le spectacle d'un coup d'état ? N'avez-vous jamais remarqué qu'en même temps que les opposants politiques un peu trop bruyants, les premières pièces à disparaître sont souvent les archives dérangeantes ? C'est vieux comme le monde, et pourtant ça fonctionne toujours, mais pour légitimer un pouvoir, une version des faits, une bonne campagne de presse pour une version officielle de l'histoire légitimant l'action entreprise est un des meilleurs moyens d'étouffer toute tentative de contestation à la base. Ainsi, selon les pays, et leurs intérêts respectifs, la lecture de l'Histoire n'est jamais la même, les évènements déterminants sont choisis avec soin, et la signification à leur donner fait l'objet de nombreuses justifications. Ainsi, l'histoire officielle de la Corée du Nord enseignée à tous les citoyens du régime, nous parait à nous autres, Occidentaux, totalement fantasmagorique, mais, soyez sûrs que de nombreux Coréens du Nord seront toute leur vie persuadés qu'ils vivent dans un pays qui représente le summum de l'évolution politique humaine... et si la méthode du bourrage de crâne ne suffit pas, un petit séjour en camp de "rééducation" permet d'installer durablement une grille de lecture "optimiste" de l'histoire dans les esprits.

Les exemples de falsifications, de déformations historiques ou de validations de thèses ubuesques sont légion à travers les âges. Ainsi le fameux Protocole des Sages de Sion, faux document construit de toutes pièces par un faussaire russe vivant à Paris à la fin du XIXème siècle, fut ressorti des cartons par l'administration nazie et publiée à large échelle pour donner du crédit à l'idée d'un complot juif. Ses airs de documents anciens, un habile matraquage et le soutien du régime eurent vite fait de l'imposer dans le public comme un document authentique.
La manipulation s'est aussi très bien accommodée des moyens modernes de transmissions de l'information, et, déjà, dans les années 30, après la disgrâce de Trotsky, Staline s'employait à effacer des photos officielles toutes les représentations de son adversaire aux côtés de Lénine, le laissant seul à côté du père de l'Union Soviétique, et en en faisant par là même son unique "héritier" naturel. L'URSS, toujours bien inspirée en matière de créativité falsificatrice, arriva même à faire croire au monde entier qu'elle détenait un arsenal nucléaire comparable à celui des Américains à la fin des années 60 en organisant de nombreuses parades militaires avec des ogives... vides ! 40 ans de guerre froide ont validé la portée de telles mises en scènes. Plus près de nous toujours, les plus jeunes de nos lecteurs se souviennent sans doute des magnifiques images prouvant l'existence d'armes de destruction massive en Irak et ayant joué un rôle déterminant dans l'assentiment donné par l'ONU à l'intervention américaine.

Maintenant que le climat anxiogène est bien installé, et que le doute méthodique s'insinue peu à peu dans votre esprit, êtes-vous prêt à faire vaciller vos certitudes les plus fondamentales ? Vous pensiez-vous à l'abri de ces manipulations ? Croyiez-vous que certains faits qui vous semblaient irréfutables et acquis pouvaient être, en réalité, de sombres complots ourdis par des puissances occultes pour des raisons qui vous dépassent ?
Il nous semblait important de rétablir la vérité sur un pan de l'Histoire qui n'a jusque-là souffert d'aucune contestation. Un pan de l'Histoire qui fait partie de notre inconscient collectif. Un pan de l'Histoire qui s'ébrèche aujourd'hui, pour laisser passer un rayon de lumière de vérité.
Pourquoi sur racingstub.com, vous demandez-vous alors avec raison ? En quoi un site consacré à un club de football serait-il une tribune pour la dénonciation - risquée - d'un complot d'envergure mondiale ?

Il se trouve que le Racing Club de Strasbourg a servi d'alibi pour masquer une des guerres secrètes les plus actives de l'histoire des services de renseignement et d'espionnage. Cette vérité, sous couvert d'anonymat puisque les risques de représailles sont réels, nous nous devions de la révéler au grand public.

Alsaciens, Alsaciennes, on vous a menti. Le Racing n'a jamais été champion de France en 1979.

Ce qu'on a voulu nous faire croire


La montée des périls

Souvenons-nous. Nous sommes en 1979.

Le pétrole flambe, la carrière de Claude François décline, l'URSS envahit l'Afghanistan, l'Iran envahit l'Iran. L'année érotique a dix ans et quelques rides. La France, vieux pays gaulois endormi, peuplé de bérets et de cigales, se réveillait doucement puissance nucléaire, fille rebelle de l'OTAN et engagée de plus en plus profondément dans la grande spirale de l'Histoire.

Mais c'est un évènement en particulier, peut-être - sans doute ! - le plus invraisemblable de ce siècle, qui vint frapper de plein fouet la quiétude de ce peuple accroché à ses traditions millénaires et la confiance trompeuse dans sa modernité que lui donnaient ses modestes réussites technologiques (camembert et stylo Bic).

On le sentait certes insidieusement, le monde changeait : dix ans auparavant, les Etats-Unis remportaient en apparence la course à l'espace devant le rival soviétique, à la surprise générale. Tout semblait possible, même le plus incroyable.

France mère des Arts, des Armes et de la FIFA

C'est par le football que la France, elle, fut touchée. L'importance de ce sport dans la culture française est bien connue: pays du jeu de soule, c'est à son image que les Anglais imaginèrent leurs kops et les Italiens leurs ultras - autant de déclinaisons locales de l'inimitable et si français footix (déformation du vieux français fol d'icelui), figure idéale du supporter fier et inflexible, incarnation de la – naguère Grande – nation. Sur le terrain comme dans les tribunes, le football français était dans son essence un jeu courtois d'échange de titres entre vignerons champenois, maîtres de forges de Saint-Etienne, et armateurs nantais : un jeu codifié et rigoureux, qui était surtout l'occasion de démonstrations de panache et autres poses de coq dont ce peuple turbulent est si friand.

L'inimiginable

Tout changea, le 1er juin 1979, dans un fracas de fin du monde. Suspendus à leurs postes de radio et à leurs télévisions, dans un pays à l'arrêt, trois milliards et demi de Français apprenaient avec stupeur que le Racing Club de Strasbourg, ville de la marge orientale et capitale de l'Europe, venait de remporter le titre de champion de France.

Comment en était-on arrivé là ? Un an avant, rien pourtant ne laissait présager l'évènement. Des calculs récents, qui ne pourraient être détaillés ici faute de place mais néanmoins forts impressionnants, montrent que la probabilité était de 0,0001 %. Ce qui est peu, comme le souligne Jacques V., cadre du RCS au début de cette saison 78-79 et qui a souhaité garder l'anonymat : « vraisemblablement inférieur à 0,0002 % », ce qui est encore plus impressionnant.

Une soirée étrange

Qu'on en juge en effet ; dans le championnat français, il était de tradition que l'équipe stéphanoise l'emportât en alignant les meilleurs attaquants et milieux de terrain chevelus du pays. Mais en 1979, à Strasbourg, c'est un groupe étonnamment homogène que le club fait défiler sur tous les terrains de l'Hexagone. Tous ou presque sont issus de cette région, et porteurs de patronymes étrangers. Pour tout commentaire, un des intéressés lâchera le soir de la victoire un énigmatique « Les bures sont champions de France », avant de s'expliquer maladroitement devant la mine des journalistes.

En France, des centaines de milliards de regards interloqués se sont croisés à cet instant... mais le hiératique Roland Wagner n'en dira jamais guère plus. Plus tard, le moustachu Raymond Domenech rajoutera encore au mystère dans une interview devenue introuvable : « On faisait des oppositions Alsace contre reste du monde » lâcha-t-il dans un souffle, visiblement mal à l'aise sous ses sourcils abondants. «Je me souviens de cette interview, témoigne Jacques V., je mangeais des Figolus. C'était incroyable. J'en suis resté bouche bée ». Mais de quel monde s'agissait-il ? Parlait-il de ces fameuses « bures » ? Qui croire avec certitude ? Jacques V. : «Je pense que Domenech savait beaucoup de choses, sans doute trop ; car le monde renvoyait clairement dans l'esprit de cet homme simple au jeu des grandes puissances...».

Le mot est lâché : la géopolitique. Faut-il vraiment s'en étonner ? Après tout, ceux qui étaient capable dix ans auparavant d'avoir organisé une mystification de l'ampleur de la prétendue conquête de la Lune avaient démontré une capacité d'organisation, une intelligence dans le détail qui défient l'imagination...

Un parcours surprenant

Mais revenons un instant à Strasbourg. Car il y a plus : le malaise remontait en fait à plusieurs mois, malgré le silence soigneusement organisé par les médias nationaux. Etait-ce vraiment une équipe qui avait fait basculer le pays ? « Elle me fait penser à un bloc, un rouleau compresseur », déclarera l'entraîneur vaincu de ce soir du 1er juin, le regard halluciné («Un regard terrifiant (...) j'étais terrifié !», témoigne Jacques V.). Cet homme était un certain Aimé Jacquet...

Écoutons encore Raymond Domenech - qui avait décidément de gros sourcils - quelques années après ; interrogé sur le mystère strasbourgeois, il répondit «n'avait-on pas entendu que la Coupe de France avait quitté le pays quand Strasbourg l'avait gagnée ?» - tout cela, le regard lourd de sous-entendus, en laissant la conclusion à son interlocuteur : la géopolitique, encore ?... avant d'ajouter comme pour lui-même, incrédule : «le Racing, on avait beau le critiquer, mais c'était quand même lui qui gagnait».

Mais que s'est-il donc passé ce jour de juin 1979 ? Peut-on vraiment croire qu'un simple club de province, jusque là anonyme, ait pu bouleverser à ce point le prestigieux championnat de France en passant par les seules lois du sport ? Le devoir commande, trente ans après, d'explorer réellement cette page d'Histoire : aujourd'hui, de nombreuses voix et non des moindres, comme celle de Jacques V., s'élèvent pour que la France ré-ouvre enfin ce chapitre douloureux de son passé.

L'effroyable mystification


Un enjeu décisif
Revenons au milieu des années 70, à une période où l'AS Saint-Etienne écrase le football français. Manufrance, leur emblématique commanditaire, se réjouit surtout des résultats européens qui facilitent son véritable dessein : en effet, selon nos informations, les services secrets américains soupçonnaient de longue date la fabrique stéphanoise de mettre à disposition des Soviétiques leurs ateliers de production d'armes.
Ainsi, le Ruch Chorzow, club polonais entr'aperçu dans la brume forézienne en mars 1975 pour un match de Coupe des Champions, serait reparti de l'hexagone avec des valises bien chargées, et on ne parle pas là des deux buts encaissés... « Ça bombarde dur sur le but polonais » métaphorise en direct le journaliste d'investigation Thierry Roland, après avoir découvert l'abominable réel enjeu de cette soirée à Geoffroy-Guichard.

Mission impossible ?
Pour mettre un terme à ce trafic mettant en péril le fragile équilibre mondial, les USA se doivent à tout prix de neutraliser la puissance de l'ASSE. Après avoir envisagé différentes options, la Maison Blanche choisit le Racing Club de Strasbourg, symbole fort de l'Europe occidentale, pour anéantir les petits hommes verts : « notre nation doit s'engager à faire vaincre le Racing avant la fin de la décennie » annonce solennellement Richard Nixon à ses plus proches conseillers au début des années 70. Pour tenir au secret ce pari insensé, l'administration Nixon met alors en place un prodigieux réseau d'espionnage chargé d'éviter les fuites ; cela causera sa perte : c'est l'affaire du Watergate.
Malgré le scandale, la CIA parvient à dissimuler de justesse le véritable objectif et confie l'impérieuse mission à l'agent israélien Gyora Spiegel : devant la recrudescence du soutien de l'URSS aux pays arabes, Israël accepte d'envoyer dans la capitale européenne un de ses meilleurs hommes, où il devient rapidement incontournable ; hélas, le capitaine du RCS ne parviendra jamais à mener Strasbourg au sommet. En 1976, le sanction tombe : Spiegel est envoyé en faction dans un petit club de la banlieue stéphanoise, l'Olympique Lyonnais, d'où il surveille de près les agissements de l'ennemi.

Le tout pour le tout...
Un titre du Racing semble donc être un pari perdu d'avance, tout comme un alunissage fut en réalité techniquement et physiquement impossible dix ans auparavant (l'autre odieuse mystification du XXème siècle). D'ailleurs, en 1976, le RCS est relégué en D2 et en 1977, la mairie de Saint-Etienne est conquise par le PC. Face à cette situation catastrophique, les Américains ne renoncent pas et passent à la vitesse supérieure, alors que l'ASSE vient de remporter son troisième titre consécutif : un agent dormant posté à Haguenau, le Roumain Alexander Schwartz, passé à l'Ouest avant la seconde guerre mondiale, est chargé de ramener Strasbourg en D1. « C'est lui qui a été la rampe de lancement » avoue aujourd'hui Albert Gemmrich, haut-responsable du RCS dans les années 70.
Deux ans plus tard, les médias annoncent que l'incroyable défi est réussi. « De deux choses lune, l'autre c'est le soleil » a dit Jacques Prévert : aveuglée par l'éclat prétendu de ce sacre, une foule en liesse, inconsciente de l'effroyable tromperie, accueille ses héros à la gare de Strasbourg le 2 juin 1979. On s'étonnera en effet de ne voir aucune véritable étoile dans le firmament strasbourgeois alors que tous les champions de France de l'ère moderne possédaient des stars dans leur effectif. Vous avez dit imposture ?
Jacques V. - transféré sur injonction de Jimmy Carter à l'autre extrémité du territoire peu de temps après le début de saison, officiellement parce qu'il n'acceptait pas son statut de remplacant - affirme que le fameux stage commando à Grunberg n'a jamais eu lieu. Selon lui, à l'image des astronautes qui sont en fait restés en orbite autour de terre pendant huit jours sans jamais mettre les pieds sur la Lune, les joueurs du Racing sont planqués au restaurant "La belle vue" situé au 143 route de Colmar. Gilbert Gress y organisait des concours de buveurs de bières avec ses joueurs pour tuer le temps. D'ailleurs aujourd'hui, après quelques verres, Joël Tanter l'avoue sans difficultés.

Des complices haut placés
Mais alors comment a-t-on pu organiser un tel mensonge ? On a simplement appliqué la recette utilisée pour la prétendue conquête spatiale : très peu de collaborateurs étaient dans la confidence. Arsène Wenger, par exemple, est toujours convaincu d'être champion de France 1979. Seuls les principaux cadres comme Raymond Domenech savaient : qui peut sinon sérieusement croire qu'il serait encore sélectionneur de l'équipe de France aujourd'hui, s'il n'avait pas un secret explosif comme gage de sécurité ?
On s'étonnera aussi du silence complice des médias qui n'ont jamais donné le RCS comme possible champion de France. Sans doute que moins on en parlait, moins on trouverait ça étrange, n'est-ce pas ?

L'opération Phoenix
Mais, après ce titre de champion arrangé par les Américains, ces derniers organisent une manoeuvre moins coûteuse pour se débarrasser définitivement des Verts : le Stéphanois Jean-François Larios est chargé de séduire la femme de Michel Platini ; c'est le nadir de l'ASSE.
Les forces américaines se retirent rapidement de Strasbourg et chargent André Bord de saborder le RCS : on n'en entendra plus parler pendant près de 15 ans... Cependant, à leur grande surprise, le Racing refait surface à partir de 1992. Inquiet de constater qu'une politique stable et performante s'y met en place, l'administration Clinton charge l'un des groupes mondiaux les plus puissants du sport d'effacer les dernières traces du complot : IMG/Mc Cormack prend le contrôle du club en 1997 et envoie trophées et documents compromettants à la poubelle. En 1999, le restaurant "La belle vue" et ses souvenirs embarrassants est rasé : il est remplacé par... un Mc Donald's.
Mc Cormack cherche enfin à détruire définitivement le club mais échoue de peu. José-Luis Chilavert, chargé du coup de grâce, double ses employeurs et fait gagner la Coupe de France au RCS en 2001. Malgré l'échec de cette dernière étape, le puissant groupe américain peut ensuite quitter Strasbourg avec la fierté d'une mission menée de main de maître : le Racing est à nouveau en D2.

Lisez également le second volet de cette enquête vérité : "Hammerson, on a un problème..."


Pour d'évidentes raisons de sécurité, les six enquêteurs qui ont rédigé cet article préfèrent conserver l'anonymat.

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