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- Après-match
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- Auteur(s)
- Par jphilou
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Privés de nombreuses pièces maîtresses, les Niçois et les Strasbourgeois ne surent pas se départager dans un match terne, uniquement marqué par un manque d'inspiration et de génie rarement entrevu à ce niveau.
Aux abonnés absents
Privés de leurs principales armes offensives, les deux équipes commencent le match bien regroupées autour de leur défense respectives, laissant présager, comme prévu, d'un match fermé. Les Aiglons négligent ostentatoirement leurs ailes et voient leurs offensives étouffées dans l'oeuf par une défense strasbourgeoise qui ne s'attendait sans doute pas à faire face à un adversaire aussi peu inspiré. Au contraire, c'est bien les Alsaciens qui se créent les plus sérieuses velléités en cette première période au cours de laquelle Abdessadki se procurera la seule véritable occasion de digne ce nom. Même un coup franc de Farnerud, décidément bien seul en pointe, ne sera pas suffisant pour procurer des sueurs froides au supporters locaux. Les Niçois, dans tout cela, tentèrent bien de pointer le bout de leur nez à l'image de Vahirua ou Meslin, mais ce fut avec une telle adresse que même Chapuis serait passé inaperçu dans ce dispositif tactique terrifiant. Fait suffisamment rare pour être signalé, Strasbourg réussira même à se procurer un corner à la 40ème minute. Ce sera donc sur ce score de 0-0 peu glorieux que les 22 acteurs rejoignent les vestiaires.
R.A.S
Pendant la pause Camdini remplace un Ulrich Le Pen assez peu en vue jusqu'à présent, mais surtout touché semble-t-il. Dès la reprise, les Azuréens, revenus avec de bien meilleures intentions, pressent les Strasbourgeois plus haut et plus constamment. Ces derniers se contentent de subir tranquillement cette débauche d'énergie de Niçois toujours aussi stériles. Le match ne sera marqué que par les quelques avertissements distribués plus ou moins judicieusement par l'arbitre et un jeu on ne peut plus haché qui fera sombrer tout le monde dans une torpeur que les différents changements ne sauront inverser. Plus rien ne semblait désormais en mesure d'inverser une issue depuis longtemps certaine d'une rencontre nulle à tous les points de vue.
Privés de leurs principales armes offensives, les deux équipes commencent le match bien regroupées autour de leur défense respectives, laissant présager, comme prévu, d'un match fermé. Les Aiglons négligent ostentatoirement leurs ailes et voient leurs offensives étouffées dans l'oeuf par une défense strasbourgeoise qui ne s'attendait sans doute pas à faire face à un adversaire aussi peu inspiré. Au contraire, c'est bien les Alsaciens qui se créent les plus sérieuses velléités en cette première période au cours de laquelle Abdessadki se procurera la seule véritable occasion de digne ce nom. Même un coup franc de Farnerud, décidément bien seul en pointe, ne sera pas suffisant pour procurer des sueurs froides au supporters locaux. Les Niçois, dans tout cela, tentèrent bien de pointer le bout de leur nez à l'image de Vahirua ou Meslin, mais ce fut avec une telle adresse que même Chapuis serait passé inaperçu dans ce dispositif tactique terrifiant. Fait suffisamment rare pour être signalé, Strasbourg réussira même à se procurer un corner à la 40ème minute. Ce sera donc sur ce score de 0-0 peu glorieux que les 22 acteurs rejoignent les vestiaires.
R.A.S
Pendant la pause Camdini remplace un Ulrich Le Pen assez peu en vue jusqu'à présent, mais surtout touché semble-t-il. Dès la reprise, les Azuréens, revenus avec de bien meilleures intentions, pressent les Strasbourgeois plus haut et plus constamment. Ces derniers se contentent de subir tranquillement cette débauche d'énergie de Niçois toujours aussi stériles. Le match ne sera marqué que par les quelques avertissements distribués plus ou moins judicieusement par l'arbitre et un jeu on ne peut plus haché qui fera sombrer tout le monde dans une torpeur que les différents changements ne sauront inverser. Plus rien ne semblait désormais en mesure d'inverser une issue depuis longtemps certaine d'une rencontre nulle à tous les points de vue.
